Georges Lane et François Guillaumat http://lumiere101.com Un regard libre sur un monde ouvert Fri, 29 Mar 2024 02:15:41 -0600 fr ©Lumière 101 lumiere101@gmail.com (Lumiere 101) lumiere101@gmail.com 1440 lumiere 101 liberte Un regard libre sur un monde ouvert Un regard libre sur un monde ouvert Lumière 101 Lumière 101 lumiere101@gmail.com No no snake.png Lumière 101 http://liberpedia.org/l101/img/snake.png 500 500 La normalophobie195130501-la_normalophobie.mp3http://lumiere101.com/2013/05/02/la-normalophobie/http://lumiere101.com/2013/05/02/la-normalophobie/#commentsWed, 01 May 2013 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2013/05/02/la-normalophobie/François Guillaumat explique à Georges Lane, votre serviteur, le principe de la "normalophobie".
Ce principe est, à sa façon, la généralisation de quelques thèmes proposés dans des émissions antérieures de Lumière 101.

Références :
Émissions précédentes : Le pseudo-universalisme - La folie française - '“Discrimination”: les trois avatars d'un mot-zombi
Textes : Anthony de Jasay : L’Etat- Murray Rothbard : Au-delà de l'être et du devoir être - Ayn Rand : "L’extrémisme" ou l’art de la délation - Hans-Hermann Hoppe : "Les élites naturelles, les intellectuels et l’État" - en anglais Ayn Rand : For the New Intellectual - Supreme Court of the United States : Dredd Scott v. Sandford (1857).

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François Guillaumat explique à Georges Lane, votre serviteur, le principe de la "normalophobie".
Ce principe est, à sa façon, la généralisation de quelques thèmes proposés dans des émissions antérieures de Lumière 101.

Références :
Émissions précédentes : Le pseudo-universalisme - La folie française - '“Discrimination”: les trois avatars d'un mot-zombi
Textes : Anthony de Jasay : L’Etat- Murray Rothbard : Au-delà de l'être et du devoir être - Ayn Rand : "L’extrémisme" ou l’art de la délation - Hans-Hermann Hoppe : "Les élites naturelles, les intellectuels et l’État" - en anglais Ayn Rand : For the New Intellectual - Supreme Court of the United States : Dredd Scott v. Sandford (1857).

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http://lumiere101.com/2013/05/02/la-normalophobie//feed/1:34:08François Guillaumat explique à Georges Lane, votre serviteur, le principe de la "normalophobie".
Ce principe est, à sa façon, la généralisation de quelques thèmes proposés dans des émissions antérieures de Lumière 101.

Références :
Émissions précédentes : Le pseudo-universalisme - La folie française - '“Discrimination”: les trois avatars d'un mot-zombi
Textes : Anthony de Jasay : L’Etat- Murray Rothbard : Au-delà de l'être et du devoir être - Ayn Rand : "L’extrémisme" ou l’art de la délation - Hans-Hermann Hoppe : "Les élites naturelles, les intellectuels et l’État" - en anglais Ayn Rand : For the New Intellectual - Supreme Court of the United States : Dredd Scott v. Sandford (1857).

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François Guillaumat explique à Georges Lane, votre serviteur, le principe de la "normalophobie".
Ce principe est, à sa façon, la généralisation de quelques thèmes proposés dans des émissions antérieures de Lumière 101.

Références :
Émissions précédentes : Le pseudo-universalisme - La folie française - '“Discrimination”: les trois avatars d'un mot-zombi
Textes : Anthony de Jasay : L’Etat- Murray Rothbard : Au-delà de l'être et du devoir être - Ayn Rand : "L’extrémisme" ou l’art de la délation - Hans-Hermann Hoppe : "Les élites naturelles, les intellectuels et l’État" - en anglais Ayn Rand : For the New Intellectual - Supreme Court of the United States : Dredd Scott v. Sandford (1857).

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Lumière 101noNo
Les idoles grimaçantes de la pseudo-démocratie socialiste194130328-les_idoles_grimacantes_de_la_pseudo-democratie_socialiste.mp3http://lumiere101.com/2013/03/28/les-idoles-grimacantes-de-la-pseudo-democratie-socialiste/http://lumiere101.com/2013/03/28/les-idoles-grimacantes-de-la-pseudo-democratie-socialiste/#commentsThu, 28 Mar 2013 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2013/03/28/les-idoles-grimacantes-de-la-pseudo-democratie-socialiste/Pourquoi cette prétendue République qui soi-disant "ne reconnaît et ne salarie aucun culte", nous force-t-elle à faire d’immenses sacrifices humains en pure perte à cette idolâtrie de la violence qu’est le socialisme pseudodémocratique, avec son culte obligatoire des prétendus "solidarité", "egalité des chances", "développement durable" et autres "luttes contre les discriminations" ?
Georges Lane et François Guillaumat déclinent les conséquences de l’absurdisme socialiste dans les institutions de la pseudodémocratie, énumérant successivement les effets esclavagistes et les effets génocidaires de son cannibalisme moral.

Références :
Emissions précédentes : Le pseudouniversalisme - La prétendue ‘justice sociale’ - Discrimination : les trois avatars d’un motzombi - Le faux problème du ‘développement durable’ - Quousque Tandem.

Textes :
Liberpédia : Pseudo-expérimentalisme - Ludwig von Mises : Le Socialisme - Anthony De Jasay : L’Etat, "Les valeurs démocratiques" ; The State, "Democratic values" - Ayn Rand : La Grève : Discours de John Galt.

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Pourquoi cette prétendue République qui soi-disant "ne reconnaît et ne salarie aucun culte", nous force-t-elle à faire d’immenses sacrifices humains en pure perte à cette idolâtrie de la violence qu’est le socialisme pseudodémocratique, avec son culte obligatoire des prétendus "solidarité", "egalité des chances", "développement durable" et autres "luttes contre les discriminations" ?
Georges Lane et François Guillaumat déclinent les conséquences de l’absurdisme socialiste dans les institutions de la pseudodémocratie, énumérant successivement les effets esclavagistes et les effets génocidaires de son cannibalisme moral.

Références :
Emissions précédentes : Le pseudouniversalisme - La prétendue ‘justice sociale’ - Discrimination : les trois avatars d’un motzombi - Le faux problème du ‘développement durable’ - Quousque Tandem.

Textes :
Liberpédia : Pseudo-expérimentalisme - Ludwig von Mises : Le Socialisme - Anthony De Jasay : L’Etat, "Les valeurs démocratiques" ; The State, "Democratic values" - Ayn Rand : La Grève : Discours de John Galt.

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http://lumiere101.com/2013/03/28/les-idoles-grimacantes-de-la-pseudo-democratie-socialiste//feed/1:14:19Pourquoi cette prétendue République qui soi-disant "ne reconnaît et ne salarie aucun culte", nous force-t-elle à faire d’immenses sacrifices humains en pure perte à cette idolâtrie de la violence qu’est le socialisme pseudodémocratique, avec son culte obligatoire des prétendus "solidarité", "egalité des chances", "développement durable" et autres "luttes contre les discriminations" ?
Georges Lane et François Guillaumat déclinent les conséquences de l’absurdisme socialiste dans les institutions de la pseudodémocratie, énumérant successivement les effets esclavagistes et les effets génocidaires de son cannibalisme moral.

Références :
Emissions précédentes : Le pseudouniversalisme - La prétendue ‘justice sociale’ - Discrimination : les trois avatars d’un motzombi - Le faux problème du ‘développement durable’ - Quousque Tandem.

Textes :
Liberpédia : Pseudo-expérimentalisme - Ludwig von Mises : Le Socialisme - Anthony De Jasay : L’Etat, "Les valeurs démocratiques" ; The State, "Democratic values" - Ayn Rand : La Grève : Discours de John Galt.

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Pourquoi cette prétendue République qui soi-disant "ne reconnaît et ne salarie aucun culte", nous force-t-elle à faire d’immenses sacrifices humains en pure perte à cette idolâtrie de la violence qu’est le socialisme pseudodémocratique, avec son culte obligatoire des prétendus "solidarité", "egalité des chances", "développement durable" et autres "luttes contre les discriminations" ?
Georges Lane et François Guillaumat déclinent les conséquences de l’absurdisme socialiste dans les institutions de la pseudodémocratie, énumérant successivement les effets esclavagistes et les effets génocidaires de son cannibalisme moral.

Références :
Emissions précédentes : Le pseudouniversalisme - La prétendue ‘justice sociale’ - Discrimination : les trois avatars d’un motzombi - Le faux problème du ‘développement durable’ - Quousque Tandem.

Textes :
Liberpédia : Pseudo-expérimentalisme - Ludwig von Mises : Le Socialisme - Anthony De Jasay : L’Etat, "Les valeurs démocratiques" ; The State, "Democratic values" - Ayn Rand : La Grève : Discours de John Galt.

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L’idéologie193130324-l_ideologie.mp3http://lumiere101.com/2013/03/24/l%e2%80%99ideologie/http://lumiere101.com/2013/03/24/l%e2%80%99ideologie/#commentsSun, 24 Mar 2013 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2013/03/24/l%e2%80%99ideologie/D’abord inspiré par une prétention à faire une science de la philosophie morale, le mot d’idéologie est rapidement devenu synonyme de philosophie politique malfaisante parce que sans rapport avec la réalité. Avec Georges Lane, François Guillaumat rappelle que ce n’est pas parce qu’il y a des idées insensées qu’il n’y en a pas qui soient vraies et nécessaires.

Références : Emission précédente : Le pseudo-universalisme - Textes : Ludwig von Mises : Le Socialisme - Hans-Hermann Hoppe : L’alibi intellectuel du socialisme - Murray Rothbard : Au-delà de l’être et du devoir être - Le pseudo-expérimentalisme - Le vol de concepts - Leonard Peikoff : La dichotomie analytique-synthétique - Ayn Rand : L’extrémisme ou l’art de la délation.

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D’abord inspiré par une prétention à faire une science de la philosophie morale, le mot d’idéologie est rapidement devenu synonyme de philosophie politique malfaisante parce que sans rapport avec la réalité. Avec Georges Lane, François Guillaumat rappelle que ce n’est pas parce qu’il y a des idées insensées qu’il n’y en a pas qui soient vraies et nécessaires.

Références : Emission précédente : Le pseudo-universalisme - Textes : Ludwig von Mises : Le Socialisme - Hans-Hermann Hoppe : L’alibi intellectuel du socialisme - Murray Rothbard : Au-delà de l’être et du devoir être - Le pseudo-expérimentalisme - Le vol de concepts - Leonard Peikoff : La dichotomie analytique-synthétique - Ayn Rand : L’extrémisme ou l’art de la délation.

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http://lumiere101.com/2013/03/24/l%e2%80%99ideologie//feed/1:04:27D’abord inspiré par une prétention à faire une science de la philosophie morale, le mot d’idéologie est rapidement devenu synonyme de philosophie politique malfaisante parce que sans rapport avec la réalité. Avec Georges Lane, François Guillaumat rappelle que ce n’est pas parce qu’il y a des idées insensées qu’il n’y en a pas qui soient vraies et nécessaires.

Références : Emission précédente : Le pseudo-universalisme - Textes : Ludwig von Mises : Le Socialisme - Hans-Hermann Hoppe : L’alibi intellectuel du socialisme - Murray Rothbard : Au-delà de l’être et du devoir être - Le pseudo-expérimentalisme - Le vol de concepts - Leonard Peikoff : La dichotomie analytique-synthétique - Ayn Rand : L’extrémisme ou l’art de la délation.

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D’abord inspiré par une prétention à faire une science de la philosophie morale, le mot d’idéologie est rapidement devenu synonyme de philosophie politique malfaisante parce que sans rapport avec la réalité. Avec Georges Lane, François Guillaumat rappelle que ce n’est pas parce qu’il y a des idées insensées qu’il n’y en a pas qui soient vraies et nécessaires.

Références : Emission précédente : Le pseudo-universalisme - Textes : Ludwig von Mises : Le Socialisme - Hans-Hermann Hoppe : L’alibi intellectuel du socialisme - Murray Rothbard : Au-delà de l’être et du devoir être - Le pseudo-expérimentalisme - Le vol de concepts - Leonard Peikoff : La dichotomie analytique-synthétique - Ayn Rand : L’extrémisme ou l’art de la délation.

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Lumière 101noNo
Quousque tandem?191130312-quousque_tandem.mp3http://lumiere101.com/2013/03/12/quousque-tandem/http://lumiere101.com/2013/03/12/quousque-tandem/#commentsTue, 12 Mar 2013 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2013/03/12/quousque-tandem/“Jusqu’à quand enfin, abuseront-ils de notre patience ?”
Pour tenter de deviner le moment et les circonstances où les Esclavagistes au pouvoir comprendront que voler davantage le Peuple n’est pas la solution à leurs problèmes, Georges Lane et François Guillaumat s’appuient sur le précédent mitterrandien de 1984 et les épisodes de baisse des impôts et des dépenses publiques, entreprises par des socialistes de gauche comme de droite.

Références : Emissions précédentes : Ce qu’il faut faire et ce qu’il ne faut pas faire - Le théorème d’Omlevaah - Le Charlatanisme keynésien - La Folie française.

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“Jusqu’à quand enfin, abuseront-ils de notre patience ?”
Pour tenter de deviner le moment et les circonstances où les Esclavagistes au pouvoir comprendront que voler davantage le Peuple n’est pas la solution à leurs problèmes, Georges Lane et François Guillaumat s’appuient sur le précédent mitterrandien de 1984 et les épisodes de baisse des impôts et des dépenses publiques, entreprises par des socialistes de gauche comme de droite.

Références : Emissions précédentes : Ce qu’il faut faire et ce qu’il ne faut pas faire - Le théorème d’Omlevaah - Le Charlatanisme keynésien - La Folie française.

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http://lumiere101.com/2013/03/12/quousque-tandem//feed/54:41“Jusqu’à quand enfin, abuseront-ils de notre patience ?”
Pour tenter de deviner le moment et les circonstances où les Esclavagistes au pouvoir comprendront que voler davantage le Peuple n’est pas la solution à leurs problèmes, Georges Lane et François Guillaumat s’appuient sur le précédent mitterrandien de 1984 et les épisodes de baisse des impôts et des dépenses publiques, entreprises par des socialistes de gauche comme de droite.

Références : Emissions précédentes : Ce qu’il faut faire et ce qu’il ne faut pas faire - Le théorème d’Omlevaah - Le Charlatanisme keynésien - La Folie française.

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“Jusqu’à quand enfin, abuseront-ils de notre patience ?”
Pour tenter de deviner le moment et les circonstances où les Esclavagistes au pouvoir comprendront que voler davantage le Peuple n’est pas la solution à leurs problèmes, Georges Lane et François Guillaumat s’appuient sur le précédent mitterrandien de 1984 et les épisodes de baisse des impôts et des dépenses publiques, entreprises par des socialistes de gauche comme de droite.

Références : Emissions précédentes : Ce qu’il faut faire et ce qu’il ne faut pas faire - Le théorème d’Omlevaah - Le Charlatanisme keynésien - La Folie française.

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Le Pseudo universalisme192130309-le-pseudo-universalisme.mp3http://lumiere101.com/2013/03/08/le-pseudo-universalisme/http://lumiere101.com/2013/03/08/le-pseudo-universalisme/#commentsFri, 08 Mar 2013 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2013/03/08/le-pseudo-universalisme/Je réponds – ”L’amour de la symétrie” — avec l’aide inattendue du Marx de la Critique du programme de Gotha et d’une inappréciable sortie d’un Engels furieux, que lorsqu’on croit choisir l’égalité on ne fait que malmener une de ses conceptions pour en faire triompher une autre
Anthony de Jasay, L’État
Le pseudo-universalisme, dont la Pseudo-Démocratie Socialiste nous donne aujourd’hui force exemples évidemment contradictoires, notamment avec son prétendu “mariage guet”, consiste à rationaliser des actes arbitraires au nom de prétendus “principes” qui n’en sont pas, c’est-à-dire qui ne résistent pas au test de la cohérence logique qui est le moyen de preuve de la philosophie.
Avec Georges Lane, François Guillaumat évoque la source de ces absurdités : le subjectivisme normatif, qu’ils réfutent, puis les contradictions qu’elles entraînent nécessairement :
chez les Pseudo-Démocrates Socialistes par définition, mais aussi chez des “libéraux” qui, faute de savoir tirer toutes les conséquences du principe qui les définit, ne reconnaissent pas la nécessité d’une régulation territoriale en matière d’immigration, de discours public et de moeurs.

Références :
Émissions précédentes : Incitation à la haine sociale - Les pseudo-élites judiciaires contre la justice naturelle - “Discrimination”, les trois avatars d’un mot-zombi - État minimum et anarcho-capitalisme - La liberté d’expression.

Textes : Anthony de Jasay : L’amour de la symétrie - Murray Rothbard : Les Droits de l’homme comme Droits de propriété - Murray Rothbard : Au-delà de l’être et du devoir être - Nathaniel Branden : Le vol de concepts - Liberpédia : Pseudo-expérimentalisme - Hans-Hermann Hoppe : De la théorie économique du laissez-faire à la politique du libéralisme - Hans-Hermann Hoppe : “L’Ordre naturel, l’État et le problème de l’immigration”. - Ayn Rand : “Extremism” - or the Art of Smearing - traduction: “L’ ‘extrémisme’ ou l’art de la délation” - François Guillaumat : “Il n’y a pas d’‘immaculée conception’ de l’espace public”.

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Je réponds – ”L’amour de la symétrie” — avec l’aide inattendue du Marx de la Critique du programme de Gotha et d’une inappréciable sortie d’un Engels furieux, que lorsqu’on croit choisir l’égalité on ne fait que malmener une de ses conceptions pour en faire triompher une autre
Anthony de Jasay, L’État
Le pseudo-universalisme, dont la Pseudo-Démocratie Socialiste nous donne aujourd’hui force exemples évidemment contradictoires, notamment avec son prétendu “mariage guet”, consiste à rationaliser des actes arbitraires au nom de prétendus “principes” qui n’en sont pas, c’est-à-dire qui ne résistent pas au test de la cohérence logique qui est le moyen de preuve de la philosophie.
Avec Georges Lane, François Guillaumat évoque la source de ces absurdités : le subjectivisme normatif, qu’ils réfutent, puis les contradictions qu’elles entraînent nécessairement :
chez les Pseudo-Démocrates Socialistes par définition, mais aussi chez des “libéraux” qui, faute de savoir tirer toutes les conséquences du principe qui les définit, ne reconnaissent pas la nécessité d’une régulation territoriale en matière d’immigration, de discours public et de moeurs.

Références :
Émissions précédentes : Incitation à la haine sociale - Les pseudo-élites judiciaires contre la justice naturelle - “Discrimination”, les trois avatars d’un mot-zombi - État minimum et anarcho-capitalisme - La liberté d’expression.

Textes : Anthony de Jasay : L’amour de la symétrie - Murray Rothbard : Les Droits de l’homme comme Droits de propriété - Murray Rothbard : Au-delà de l’être et du devoir être - Nathaniel Branden : Le vol de concepts - Liberpédia : Pseudo-expérimentalisme - Hans-Hermann Hoppe : De la théorie économique du laissez-faire à la politique du libéralisme - Hans-Hermann Hoppe : “L’Ordre naturel, l’État et le problème de l’immigration”. - Ayn Rand : “Extremism” - or the Art of Smearing - traduction: “L’ ‘extrémisme’ ou l’art de la délation” - François Guillaumat : “Il n’y a pas d’‘immaculée conception’ de l’espace public”.

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http://lumiere101.com/2013/03/08/le-pseudo-universalisme//feed/1:35:48Je réponds – ”L’amour de la symétrie” — avec l’aide inattendue du Marx de la Critique du programme de Gotha et d’une inappréciable sortie d’un Engels furieux, que lorsqu’on croit choisir l’égalité on ne fait que malmener une de ses conceptions pour en faire triompher une autre
Anthony de Jasay, L’État
Le pseudo-universalisme, dont la Pseudo-Démocratie Socialiste nous donne aujourd’hui force exemples évidemment contradictoires, notamment avec son prétendu “mariage guet”, consiste à rationaliser des actes arbitraires au nom de prétendus “principes” qui n’en sont pas, c’est-à-dire qui ne résistent pas au test de la cohérence logique qui est le moyen de preuve de la philosophie.
Avec Georges Lane, François Guillaumat évoque la source de ces absurdités : le subjectivisme normatif, qu’ils réfutent, puis les contradictions qu’elles entraînent nécessairement :
chez les Pseudo-Démocrates Socialistes par définition, mais aussi chez des “libéraux” qui, faute de savoir tirer toutes les conséquences du principe qui les définit, ne reconnaissent pas la nécessité d’une régulation territoriale en matière d’immigration, de discours public et de moeurs.

Références :
Émissions précédentes : Incitation à la haine sociale - Les pseudo-élites judiciaires contre la justice naturelle - “Discrimination”, les trois avatars d’un mot-zombi - État minimum et anarcho-capitalisme - La liberté d’expression.

Textes : Anthony de Jasay : L’amour de la symétrie - Murray Rothbard : Les Droits de l’homme comme Droits de propriété - Murray Rothbard : Au-delà de l’être et du devoir être - Nathaniel Branden : Le vol de concepts - Liberpédia : Pseudo-expérimentalisme - Hans-Hermann Hoppe : De la théorie économique du laissez-faire à la politique du libéralisme - Hans-Hermann Hoppe : “L’Ordre naturel, l’État et le problème de l’immigration”. - Ayn Rand : “Extremism” - or the Art of Smearing - traduction: “L’ ‘extrémisme’ ou l’art de la délation” - François Guillaumat : “Il n’y a pas d’‘immaculée conception’ de l’espace public”.

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Je réponds – ”L’amour de la symétrie” — avec l’aide inattendue du Marx de la Critique du programme de Gotha et d’une inappréciable sortie d’un Engels furieux, que lorsqu’on croit choisir l’égalité on ne fait que malmener une de ses conceptions pour en faire triompher une autre
Anthony de Jasay, L’État
Le pseudo-universalisme, dont la Pseudo-Démocratie Socialiste nous donne aujourd’hui force exemples évidemment contradictoires, notamment avec son prétendu “mariage guet”, consiste à rationaliser des actes arbitraires au nom de prétendus “principes” qui n’en sont pas, c’est-à-dire qui ne résistent pas au test de la cohérence logique qui est le moyen de preuve de la philosophie.
Avec Georges Lane, François Guillaumat évoque la source de ces absurdités : le subjectivisme normatif, qu’ils réfutent, puis les contradictions qu’elles entraînent nécessairement :
chez les Pseudo-Démocrates Socialistes par définition, mais aussi chez des “libéraux” qui, faute de savoir tirer toutes les conséquences du principe qui les définit, ne reconnaissent pas la nécessité d’une régulation territoriale en matière d’immigration, de discours public et de moeurs.

Références :
Émissions précédentes : Incitation à la haine sociale - Les pseudo-élites judiciaires contre la justice naturelle - “Discrimination”, les trois avatars d’un mot-zombi - État minimum et anarcho-capitalisme - La liberté d’expression.

Textes : Anthony de Jasay : L’amour de la symétrie - Murray Rothbard : Les Droits de l’homme comme Droits de propriété - Murray Rothbard : Au-delà de l’être et du devoir être - Nathaniel Branden : Le vol de concepts - Liberpédia : Pseudo-expérimentalisme - Hans-Hermann Hoppe : De la théorie économique du laissez-faire à la politique du libéralisme - Hans-Hermann Hoppe : “L’Ordre naturel, l’État et le problème de l’immigration”. - Ayn Rand : “Extremism” - or the Art of Smearing - traduction: “L’ ‘extrémisme’ ou l’art de la délation” - François Guillaumat : “Il n’y a pas d’‘immaculée conception’ de l’espace public”.

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Lumière 101noNo
Le Théorème d’Omlevaah190130226-le_theoreme_d_omlevaah.mp3http://lumiere101.com/2013/02/26/le-theoreme-d%E2%80%99omlevaah/http://lumiere101.com/2013/02/26/le-theoreme-d%E2%80%99omlevaah/#commentsTue, 26 Feb 2013 08:44:09 -0700http://lumiere101.com/2013/02/26/le-theoreme-d%E2%80%99omlevaah/L’absurde croyance où s’enferrent aujourd’hui les hommes de l’État, comme quoi baisser les dépenses publiques et même les impôts provoquerait une récession, est inséparable du prétendu “Théorème de Haavelmo”, variante du Charlatanisme Keynésien qui prétend qu’une hausse des dépenses publiques provoquerait une hausse équivalente de la production.
La vérité est exactement inverse : ce qui provoque une augmentation équivalente de la production réelle c’est au contraire la baisse des impôts et des dépenses publiques, et Georges Lane, avec François Guillaumat, démontre de deux manières ce “Théorème d’Omlevaah”, inverse du “Théorème de Haavelmo” :
par référence à Rothbard en 1962, et comme dernière conclusion de la Démonstration de Bitur-Camember.

Références :
Emissions précédentes : L’”austérité”, dernier anti-concept de la Pseudo-Démocratie Socialiste - La “comptabilité publique” n’est pas une comptabilité - Le Charlatanisme keynésien - Rendre à César - Le Décalogue du Charlatanisme Ordinaire en économie 1 - 2.
Textes : Murray Rothbard : Le Multiplicateur Keynésien - Pourquoi pas Bitur-Camember ?.

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L’absurde croyance où s’enferrent aujourd’hui les hommes de l’État, comme quoi baisser les dépenses publiques et même les impôts provoquerait une récession, est inséparable du prétendu “Théorème de Haavelmo”, variante du Charlatanisme Keynésien qui prétend qu’une hausse des dépenses publiques provoquerait une hausse équivalente de la production.
La vérité est exactement inverse : ce qui provoque une augmentation équivalente de la production réelle c’est au contraire la baisse des impôts et des dépenses publiques, et Georges Lane, avec François Guillaumat, démontre de deux manières ce “Théorème d’Omlevaah”, inverse du “Théorème de Haavelmo” :
par référence à Rothbard en 1962, et comme dernière conclusion de la Démonstration de Bitur-Camember.

Références :
Emissions précédentes : L’”austérité”, dernier anti-concept de la Pseudo-Démocratie Socialiste - La “comptabilité publique” n’est pas une comptabilité - Le Charlatanisme keynésien - Rendre à César - Le Décalogue du Charlatanisme Ordinaire en économie 1 - 2.
Textes : Murray Rothbard : Le Multiplicateur Keynésien - Pourquoi pas Bitur-Camember ?.

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http://lumiere101.com/2013/02/26/le-theoreme-d%E2%80%99omlevaah//feed/44:26.52L’absurde croyance où s’enferrent aujourd’hui les hommes de l’État, comme quoi baisser les dépenses publiques et même les impôts provoquerait une récession, est inséparable du prétendu “Théorème de Haavelmo”, variante du Charlatanisme Keynésien qui prétend qu’une hausse des dépenses publiques provoquerait une hausse équivalente de la production.
La vérité est exactement inverse : ce qui provoque une augmentation équivalente de la production réelle c’est au contraire la baisse des impôts et des dépenses publiques, et Georges Lane, avec François Guillaumat, démontre de deux manières ce “Théorème d’Omlevaah”, inverse du “Théorème de Haavelmo” :
par référence à Rothbard en 1962, et comme dernière conclusion de la Démonstration de Bitur-Camember.

Références :
Emissions précédentes : L’”austérité”, dernier anti-concept de la Pseudo-Démocratie Socialiste - La “comptabilité publique” n’est pas une comptabilité - Le Charlatanisme keynésien - Rendre à César - Le Décalogue du Charlatanisme Ordinaire en économie 1 - 2.
Textes : Murray Rothbard : Le Multiplicateur Keynésien - Pourquoi pas Bitur-Camember ?.

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L’absurde croyance où s’enferrent aujourd’hui les hommes de l’État, comme quoi baisser les dépenses publiques et même les impôts provoquerait une récession, est inséparable du prétendu “Théorème de Haavelmo”, variante du Charlatanisme Keynésien qui prétend qu’une hausse des dépenses publiques provoquerait une hausse équivalente de la production.
La vérité est exactement inverse : ce qui provoque une augmentation équivalente de la production réelle c’est au contraire la baisse des impôts et des dépenses publiques, et Georges Lane, avec François Guillaumat, démontre de deux manières ce “Théorème d’Omlevaah”, inverse du “Théorème de Haavelmo” :
par référence à Rothbard en 1962, et comme dernière conclusion de la Démonstration de Bitur-Camember.

Références :
Emissions précédentes : L’”austérité”, dernier anti-concept de la Pseudo-Démocratie Socialiste - La “comptabilité publique” n’est pas une comptabilité - Le Charlatanisme keynésien - Rendre à César - Le Décalogue du Charlatanisme Ordinaire en économie 1 - 2.
Textes : Murray Rothbard : Le Multiplicateur Keynésien - Pourquoi pas Bitur-Camember ?.

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Lumière 101noNo
Protégez-moi de mes amis…19120628-protegez-moi_de_mes_amis.mp3http://lumiere101.com/2012/06/28/protegez-moi-de-mes-amis/http://lumiere101.com/2012/06/28/protegez-moi-de-mes-amis/#commentsThu, 28 Jun 2012 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2012/06/28/protegez-moi-de-mes-amis/Dans un article récent, un de leurs amis de l’école de pensée économique dite “autrichienne”, espagnol, s’est avéré, contre toute attente, dénoncer certaines critiques adressées à la monnaie dénommée “euro”.
A l’invitation de Georges Lane, François Guillaumat décrypte la défense proposée et ses biais.
Références
Article de Jesus Huerta de Soto : “An Austrian Defense of the Euro”
Emission précédente “Leurro ou pas leurro”.

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Dans un article récent, un de leurs amis de l’école de pensée économique dite “autrichienne”, espagnol, s’est avéré, contre toute attente, dénoncer certaines critiques adressées à la monnaie dénommée “euro”.
A l’invitation de Georges Lane, François Guillaumat décrypte la défense proposée et ses biais.
Références
Article de Jesus Huerta de Soto : “An Austrian Defense of the Euro”
Emission précédente “Leurro ou pas leurro”.

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http://lumiere101.com/2012/06/28/protegez-moi-de-mes-amis//feed/49:58Dans un article récent, un de leurs amis de l’école de pensée économique dite “autrichienne”, espagnol, s’est avéré, contre toute attente, dénoncer certaines critiques adressées à la monnaie dénommée “euro”.
A l’invitation de Georges Lane, François Guillaumat décrypte la défense proposée et ses biais.
Références
Article de Jesus Huerta de Soto : “An Austrian Defense of the Euro”
Emission précédente “Leurro ou pas leurro”.

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Dans un article récent, un de leurs amis de l’école de pensée économique dite “autrichienne”, espagnol, s’est avéré, contre toute attente, dénoncer certaines critiques adressées à la monnaie dénommée “euro”.
A l’invitation de Georges Lane, François Guillaumat décrypte la défense proposée et ses biais.
Références
Article de Jesus Huerta de Soto : “An Austrian Defense of the Euro”
Emission précédente “Leurro ou pas leurro”.

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Lumière 101noNo
L'ignorance absolue18120407-l_ignorance_absolue.mp3http://lumiere101.com/2012/04/07/l%e2%80%99ignorance-absolue/http://lumiere101.com/2012/04/07/l%e2%80%99ignorance-absolue/#commentsSat, 07 Apr 2012 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2012/04/07/l%e2%80%99ignorance-absolue/... comme source méconnue de vérités axiomatiques en économie
Il est un axiome de l’action humaine trop ignoré : on n’agit jamais que si on peut avoir une idée des résultats de l’action.
Mais, trop habitués qu’ils sont en majorité à faire abstraction de l’incertitude, les économistes le méconnaissent. Ils oublient que les gloses sur l”inconnaissable n’ont aucune place dans la science.
En conséquence, ils refusent de tenir compte de l’ignorance absolue chez ceux - y compris les hommes de l’état - dont ils prétendent décrire les choix, ainsi que de la leur propre quand il s’agit de normes.
Et la plupart des Dix commandements du Charlatanisme Ordinaire en économie impliquent de prétendre savoir des choses que nul ne peut connaître.
Enregistrements précédents :
Le décalogue du charlatanisme ordinaire en économie 1
Le décalogue du charlatanisme ordinaire en économie 2
Rendre à César
Le faux problème du développement durable
Créationnisme économique
Textes : Transcription de l’émission : L’absurde théorie des prétendues « externalités »
Friedrich Hayek : “La falsification de la science” ( “The pretence of knowledge”)

Murray Rothbard : Vers une reconstruction de la théorie de l’utilité et du bien-être

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... comme source méconnue de vérités axiomatiques en économie
Il est un axiome de l’action humaine trop ignoré : on n’agit jamais que si on peut avoir une idée des résultats de l’action.
Mais, trop habitués qu’ils sont en majorité à faire abstraction de l’incertitude, les économistes le méconnaissent. Ils oublient que les gloses sur l”inconnaissable n’ont aucune place dans la science.
En conséquence, ils refusent de tenir compte de l’ignorance absolue chez ceux - y compris les hommes de l’état - dont ils prétendent décrire les choix, ainsi que de la leur propre quand il s’agit de normes.
Et la plupart des Dix commandements du Charlatanisme Ordinaire en économie impliquent de prétendre savoir des choses que nul ne peut connaître.
Enregistrements précédents :
Le décalogue du charlatanisme ordinaire en économie 1
Le décalogue du charlatanisme ordinaire en économie 2
Rendre à César
Le faux problème du développement durable
Créationnisme économique
Textes : Transcription de l’émission : L’absurde théorie des prétendues « externalités »
Friedrich Hayek : “La falsification de la science” ( “The pretence of knowledge”)

Murray Rothbard : Vers une reconstruction de la théorie de l’utilité et du bien-être

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http://lumiere101.com/2012/04/07/l%e2%80%99ignorance-absolue//feed/01:32:06... comme source méconnue de vérités axiomatiques en économie
Il est un axiome de l’action humaine trop ignoré : on n’agit jamais que si on peut avoir une idée des résultats de l’action.
Mais, trop habitués qu’ils sont en majorité à faire abstraction de l’incertitude, les économistes le méconnaissent. Ils oublient que les gloses sur l”inconnaissable n’ont aucune place dans la science.
En conséquence, ils refusent de tenir compte de l’ignorance absolue chez ceux - y compris les hommes de l’état - dont ils prétendent décrire les choix, ainsi que de la leur propre quand il s’agit de normes.
Et la plupart des Dix commandements du Charlatanisme Ordinaire en économie impliquent de prétendre savoir des choses que nul ne peut connaître.
Enregistrements précédents :
Le décalogue du charlatanisme ordinaire en économie 1
Le décalogue du charlatanisme ordinaire en économie 2
Rendre à César
Le faux problème du développement durable
Créationnisme économique
Textes : Transcription de l’émission : L’absurde théorie des prétendues « externalités »
Friedrich Hayek : “La falsification de la science” ( “The pretence of knowledge”)

Murray Rothbard : Vers une reconstruction de la théorie de l’utilité et du bien-être

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... comme source méconnue de vérités axiomatiques en économie
Il est un axiome de l’action humaine trop ignoré : on n’agit jamais que si on peut avoir une idée des résultats de l’action.
Mais, trop habitués qu’ils sont en majorité à faire abstraction de l’incertitude, les économistes le méconnaissent. Ils oublient que les gloses sur l”inconnaissable n’ont aucune place dans la science.
En conséquence, ils refusent de tenir compte de l’ignorance absolue chez ceux - y compris les hommes de l’état - dont ils prétendent décrire les choix, ainsi que de la leur propre quand il s’agit de normes.
Et la plupart des Dix commandements du Charlatanisme Ordinaire en économie impliquent de prétendre savoir des choses que nul ne peut connaître.
Enregistrements précédents :
Le décalogue du charlatanisme ordinaire en économie 1
Le décalogue du charlatanisme ordinaire en économie 2
Rendre à César
Le faux problème du développement durable
Créationnisme économique
Textes : Transcription de l’émission : L’absurde théorie des prétendues « externalités »
Friedrich Hayek : “La falsification de la science” ( “The pretence of knowledge”)

Murray Rothbard : Vers une reconstruction de la théorie de l’utilité et du bien-être

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Lumière 101noNo
Magie noire contre magie blanche17120308-magie_noire_contre_magie_blanche.mp3http://lumiere101.com/2012/03/08/magie-noire-contre-magie-blanche/http://lumiere101.com/2012/03/08/magie-noire-contre-magie-blanche/#commentsMon, 12 Mar 2012 17:32:00 -0600http://lumiere101.com/2012/03/08/magie-noire-contre-magie-blanche/Quand on essaie d’interpréter les événements récents, on observe : — un jeu du Mistigri où les parties prenantes cherchent à forcer les autres à supporter les pertes révélées par la “crise”, — un affrontement entre la magie noire de la violence étatique, qui détruit le droit et l’économie, et la magie blanche de la création, que pratiquent encore les gens normaux pour s’opposer à ces coups de force et tirer parti des secours de la Providence.
Références
Émissions précédentes Leurro ou pas leurroFaiblesses des accords européensLa question pétrolièreNouvelles du coup d’ÉtatLe faux problème du développement durableCréationnisme économique
Textes : François-René Rideau : Magie blanche contre magie noire — Philipp Bagus : The future of the Euro – Anne Barnhardt : Ab homine iniquo, et doloso erue me — Mark Zullo et al. : Sheriff Arpaio releases premiminary findings on Obama birth certificate — Sarah Palin : Cannibals in GOP establishment employ tactics of the left — Angelo Codevilla : La caste dirigeante aux États-Unis – et les périls de la révolution.

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Quand on essaie d’interpréter les événements récents, on observe : — un jeu du Mistigri où les parties prenantes cherchent à forcer les autres à supporter les pertes révélées par la “crise”, — un affrontement entre la magie noire de la violence étatique, qui détruit le droit et l’économie, et la magie blanche de la création, que pratiquent encore les gens normaux pour s’opposer à ces coups de force et tirer parti des secours de la Providence.
Références
Émissions précédentes Leurro ou pas leurroFaiblesses des accords européensLa question pétrolièreNouvelles du coup d’ÉtatLe faux problème du développement durableCréationnisme économique
Textes : François-René Rideau : Magie blanche contre magie noire — Philipp Bagus : The future of the Euro – Anne Barnhardt : Ab homine iniquo, et doloso erue me — Mark Zullo et al. : Sheriff Arpaio releases premiminary findings on Obama birth certificate — Sarah Palin : Cannibals in GOP establishment employ tactics of the left — Angelo Codevilla : La caste dirigeante aux États-Unis – et les périls de la révolution.

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http://lumiere101.com/2012/03/08/magie-noire-contre-magie-blanche//feed/01:09:10Quand on essaie d’interpréter les événements récents, on observe : — un jeu du Mistigri où les parties prenantes cherchent à forcer les autres à supporter les pertes révélées par la “crise”, — un affrontement entre la magie noire de la violence étatique, qui détruit le droit et l’économie, et la magie blanche de la création, que pratiquent encore les gens normaux pour s’opposer à ces coups de force et tirer parti des secours de la Providence.
Références
Émissions précédentes Leurro ou pas leurroFaiblesses des accords européensLa question pétrolièreNouvelles du coup d’ÉtatLe faux problème du développement durableCréationnisme économique
Textes : François-René Rideau : Magie blanche contre magie noire — Philipp Bagus : The future of the Euro – Anne Barnhardt : Ab homine iniquo, et doloso erue me — Mark Zullo et al. : Sheriff Arpaio releases premiminary findings on Obama birth certificate — Sarah Palin : Cannibals in GOP establishment employ tactics of the left — Angelo Codevilla : La caste dirigeante aux États-Unis – et les périls de la révolution.

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Quand on essaie d’interpréter les événements récents, on observe : — un jeu du Mistigri où les parties prenantes cherchent à forcer les autres à supporter les pertes révélées par la “crise”, — un affrontement entre la magie noire de la violence étatique, qui détruit le droit et l’économie, et la magie blanche de la création, que pratiquent encore les gens normaux pour s’opposer à ces coups de force et tirer parti des secours de la Providence.
Références
Émissions précédentes Leurro ou pas leurroFaiblesses des accords européensLa question pétrolièreNouvelles du coup d’ÉtatLe faux problème du développement durableCréationnisme économique
Textes : François-René Rideau : Magie blanche contre magie noire — Philipp Bagus : The future of the Euro – Anne Barnhardt : Ab homine iniquo, et doloso erue me — Mark Zullo et al. : Sheriff Arpaio releases premiminary findings on Obama birth certificate — Sarah Palin : Cannibals in GOP establishment employ tactics of the left — Angelo Codevilla : La caste dirigeante aux États-Unis – et les périls de la révolution.

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Lumière 101noNo
Austérité, dernier anti-concept de la Pseudo-Démocratie Socialiste12120223-austerite_dernier_anti-concept_de_la_pseudo-democratie_socialiste.mp3http://lumiere101.com/2012/02/23/austerite-dernier-anti-concept-de-la-pseudo-democratie-socialiste/http://lumiere101.com/2012/02/23/austerite-dernier-anti-concept-de-la-pseudo-democratie-socialiste/#commentsThu, 23 Feb 2012 05:27:34 -0700http://lumiere101.com/2012/02/23/austerite-dernier-anti-concept-de-la-pseudo-democratie-socialiste/Pour ne pas avouer l’imposture des “conquêtes sociales” à quoila crise budgétaire les forcera à renoncer, les hommes de l’état agitent l’”austérité”, anti-concept par amalgame qui fourre dans le même sac la baisse nécessaire des dépenses de l’Etat et la hausse de la fiscalité, alors qu’elles sont comme le jour et la nuit quant à la justice et quant à leurs effets.
Cette confusion a sa contrepartie en théorie économique : c’est l’oubli des Droits de propriété qui trouve son achèvement dans la sophistique comptable des macroéconomistes.
Elle trouve un écho dans les réactions libertaires insanes qui s’opposent aux moyens éprouvés de réduire les gaspillages.
Pour ne pas avouer l’imposture des “conquêtes sociales” à quoi la crise budgétaire les forcera à renoncer, les hommes de l’état agitent l’”austérité”, anti-concept par amalgame qui fourre dans le même sac la baisse nécessaire des dépenses de l’Etat et la hausse de la fiscalité, alors qu’elles sont comme le jour et la nuit quant à la justice et quant à leurs effets.
Cette confusion a sa contrepartie en théorie économique : c’est l’oubli des Droits de propriété qui trouve son achèvement dans la sophistique comptable des macroéconomistes.
Elle trouve un écho dans les réactions libertaires insanes qui s’opposent aux moyens éprouvés de réduire les gaspillages.

→ Emissions précédentes : “La prétendue “comptabilité publique” n’est pas une comptabilité”; “Incitation à la haine sociale”; ” La folie française”;“La démocratie contre le socialisme”; Le prétendu “service public”, une institution antidémocratique
; “La régulation par l’état est impossible”; Ce qu’il ne faut pas faire et ce qu’il faut faire”.
→ Textes : Michael Polanyi : “Logique de la liberté”; Nathaniel Branden, ” Une dizaine de vérités méconnues par le Charlatanisme Ordinaire en économie “; Frédéric Bastiat : “Ce qu’on voit et ce qu’on ne voit pas”; Madsen Pirie : “La Micropolitique”.

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Pour ne pas avouer l’imposture des “conquêtes sociales” à quoila crise budgétaire les forcera à renoncer, les hommes de l’état agitent l’”austérité”, anti-concept par amalgame qui fourre dans le même sac la baisse nécessaire des dépenses de l’Etat et la hausse de la fiscalité, alors qu’elles sont comme le jour et la nuit quant à la justice et quant à leurs effets.
Cette confusion a sa contrepartie en théorie économique : c’est l’oubli des Droits de propriété qui trouve son achèvement dans la sophistique comptable des macroéconomistes.
Elle trouve un écho dans les réactions libertaires insanes qui s’opposent aux moyens éprouvés de réduire les gaspillages.
Pour ne pas avouer l’imposture des “conquêtes sociales” à quoi la crise budgétaire les forcera à renoncer, les hommes de l’état agitent l’”austérité”, anti-concept par amalgame qui fourre dans le même sac la baisse nécessaire des dépenses de l’Etat et la hausse de la fiscalité, alors qu’elles sont comme le jour et la nuit quant à la justice et quant à leurs effets.
Cette confusion a sa contrepartie en théorie économique : c’est l’oubli des Droits de propriété qui trouve son achèvement dans la sophistique comptable des macroéconomistes.
Elle trouve un écho dans les réactions libertaires insanes qui s’opposent aux moyens éprouvés de réduire les gaspillages.

→ Emissions précédentes : “La prétendue “comptabilité publique” n’est pas une comptabilité”; “Incitation à la haine sociale”; ” La folie française”;“La démocratie contre le socialisme”; Le prétendu “service public”, une institution antidémocratique
; “La régulation par l’état est impossible”; Ce qu’il ne faut pas faire et ce qu’il faut faire”.
→ Textes : Michael Polanyi : “Logique de la liberté”; Nathaniel Branden, ” Une dizaine de vérités méconnues par le Charlatanisme Ordinaire en économie “; Frédéric Bastiat : “Ce qu’on voit et ce qu’on ne voit pas”; Madsen Pirie : “La Micropolitique”.

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http://lumiere101.com/2012/02/23/austerite-dernier-anti-concept-de-la-pseudo-democratie-socialiste//feed/01:28:18Pour ne pas avouer l’imposture des “conquêtes sociales” à quoila crise budgétaire les forcera à renoncer, les hommes de l’état agitent l’”austérité”, anti-concept par amalgame qui fourre dans le même sac la baisse nécessaire des dépenses de l’Etat et la hausse de la fiscalité, alors qu’elles sont comme le jour et la nuit quant à la justice et quant à leurs effets.
Cette confusion a sa contrepartie en théorie économique : c’est l’oubli des Droits de propriété qui trouve son achèvement dans la sophistique comptable des macroéconomistes.
Elle trouve un écho dans les réactions libertaires insanes qui s’opposent aux moyens éprouvés de réduire les gaspillages.
Pour ne pas avouer l’imposture des “conquêtes sociales” à quoi la crise budgétaire les forcera à renoncer, les hommes de l’état agitent l’”austérité”, anti-concept par amalgame qui fourre dans le même sac la baisse nécessaire des dépenses de l’Etat et la hausse de la fiscalité, alors qu’elles sont comme le jour et la nuit quant à la justice et quant à leurs effets.
Cette confusion a sa contrepartie en théorie économique : c’est l’oubli des Droits de propriété qui trouve son achèvement dans la sophistique comptable des macroéconomistes.
Elle trouve un écho dans les réactions libertaires insanes qui s’opposent aux moyens éprouvés de réduire les gaspillages.

→ Emissions précédentes : “La prétendue “comptabilité publique” n’est pas une comptabilité”; “Incitation à la haine sociale”; ” La folie française”;“La démocratie contre le socialisme”; Le prétendu “service public”, une institution antidémocratique
; “La régulation par l’état est impossible”; Ce qu’il ne faut pas faire et ce qu’il faut faire”.
→ Textes : Michael Polanyi : “Logique de la liberté”; Nathaniel Branden, ” Une dizaine de vérités méconnues par le Charlatanisme Ordinaire en économie “; Frédéric Bastiat : “Ce qu’on voit et ce qu’on ne voit pas”; Madsen Pirie : “La Micropolitique”.

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Pour ne pas avouer l’imposture des “conquêtes sociales” à quoila crise budgétaire les forcera à renoncer, les hommes de l’état agitent l’”austérité”, anti-concept par amalgame qui fourre dans le même sac la baisse nécessaire des dépenses de l’Etat et la hausse de la fiscalité, alors qu’elles sont comme le jour et la nuit quant à la justice et quant à leurs effets.
Cette confusion a sa contrepartie en théorie économique : c’est l’oubli des Droits de propriété qui trouve son achèvement dans la sophistique comptable des macroéconomistes.
Elle trouve un écho dans les réactions libertaires insanes qui s’opposent aux moyens éprouvés de réduire les gaspillages.
Pour ne pas avouer l’imposture des “conquêtes sociales” à quoi la crise budgétaire les forcera à renoncer, les hommes de l’état agitent l’”austérité”, anti-concept par amalgame qui fourre dans le même sac la baisse nécessaire des dépenses de l’Etat et la hausse de la fiscalité, alors qu’elles sont comme le jour et la nuit quant à la justice et quant à leurs effets.
Cette confusion a sa contrepartie en théorie économique : c’est l’oubli des Droits de propriété qui trouve son achèvement dans la sophistique comptable des macroéconomistes.
Elle trouve un écho dans les réactions libertaires insanes qui s’opposent aux moyens éprouvés de réduire les gaspillages.

→ Emissions précédentes : “La prétendue “comptabilité publique” n’est pas une comptabilité”; “Incitation à la haine sociale”; ” La folie française”;“La démocratie contre le socialisme”; Le prétendu “service public”, une institution antidémocratique
; “La régulation par l’état est impossible”; Ce qu’il ne faut pas faire et ce qu’il faut faire”.
→ Textes : Michael Polanyi : “Logique de la liberté”; Nathaniel Branden, ” Une dizaine de vérités méconnues par le Charlatanisme Ordinaire en économie “; Frédéric Bastiat : “Ce qu’on voit et ce qu’on ne voit pas”; Madsen Pirie : “La Micropolitique”.

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Lumière 101noNo
Incitation à la haine sociale13120212-incitation_a_la_haine_sociale.mp3http://lumiere101.com/2012/02/12/incitation-a-la-haine-sociale/http://lumiere101.com/2012/02/12/incitation-a-la-haine-sociale/#commentsSun, 12 Feb 2012 06:41:11 -0700http://lumiere101.com/2012/02/12/incitation-a-la-haine-sociale/Si la Pseudo-Démocratie Socialiste ne reconnaît pas la qualification pénale d’incitation à la haine et à la discrimination sociales”, c’est parce qu’elle n’existe que par des mensonges de haine et se définit par la discrimination sociale.
Le mensonge dont les Impôts de la Haine sont à la fois un effet et un moyen, c’est l’imposture des prétendues “conquêtes sociales sur le dos des riches”, qu’il faut aujourd’hui crever pour pouvoir survivre. (…)
En savoir plus sur cette émission

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Si la Pseudo-Démocratie Socialiste ne reconnaît pas la qualification pénale d’incitation à la haine et à la discrimination sociales”, c’est parce qu’elle n’existe que par des mensonges de haine et se définit par la discrimination sociale.
Le mensonge dont les Impôts de la Haine sont à la fois un effet et un moyen, c’est l’imposture des prétendues “conquêtes sociales sur le dos des riches”, qu’il faut aujourd’hui crever pour pouvoir survivre. (…)
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http://lumiere101.com/2012/02/12/incitation-a-la-haine-sociale//feed/01:09:59Si la Pseudo-Démocratie Socialiste ne reconnaît pas la qualification pénale d’incitation à la haine et à la discrimination sociales”, c’est parce qu’elle n’existe que par des mensonges de haine et se définit par la discrimination sociale.
Le mensonge dont les Impôts de la Haine sont à la fois un effet et un moyen, c’est l’imposture des prétendues “conquêtes sociales sur le dos des riches”, qu’il faut aujourd’hui crever pour pouvoir survivre. (…)
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Si la Pseudo-Démocratie Socialiste ne reconnaît pas la qualification pénale d’incitation à la haine et à la discrimination sociales”, c’est parce qu’elle n’existe que par des mensonges de haine et se définit par la discrimination sociale.
Le mensonge dont les Impôts de la Haine sont à la fois un effet et un moyen, c’est l’imposture des prétendues “conquêtes sociales sur le dos des riches”, qu’il faut aujourd’hui crever pour pouvoir survivre. (…)
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Lumière 101noNo
La liberté d’expression14120207-la_liberte_d_expression.mp3http://lumiere101.com/2012/02/07/la-liberte-dexpression/http://lumiere101.com/2012/02/07/la-liberte-dexpression/#commentsTue, 07 Feb 2012 02:01:37 -0700http://lumiere101.com/2012/02/07/la-liberte-dexpression/A l’occasion d’une nouvelle loi de censure envisagée contre certains menteurs, Georges Lane et François Guillaumat constatent trois choses :
- la Pseudo-Démocratie Socialiste prétend “reconnaître la liberté d’expression” comme un “Droit de l’homme et du citoyen” mais c’est par nature qu’elle la viole de toutes les manières possibles ;
- il n’y a pas d’autre Droit de l’homme que le Droit de propriété, dont le propriétaire a le Droit et le devoir de se servir pour combattre le mensonge ;
- la censure explicite de la Pseudo-Démocratie Socialiste ne fait que refléter la tyrannie arbitraire des groupes de pression qu’elle est effectivement.(…)
Références de cet entretien

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A l’occasion d’une nouvelle loi de censure envisagée contre certains menteurs, Georges Lane et François Guillaumat constatent trois choses :
- la Pseudo-Démocratie Socialiste prétend “reconnaître la liberté d’expression” comme un “Droit de l’homme et du citoyen” mais c’est par nature qu’elle la viole de toutes les manières possibles ;
- il n’y a pas d’autre Droit de l’homme que le Droit de propriété, dont le propriétaire a le Droit et le devoir de se servir pour combattre le mensonge ;
- la censure explicite de la Pseudo-Démocratie Socialiste ne fait que refléter la tyrannie arbitraire des groupes de pression qu’elle est effectivement.(…)
Références de cet entretien

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http://lumiere101.com/2012/02/07/la-liberte-dexpression//feed/01:00:28A l’occasion d’une nouvelle loi de censure envisagée contre certains menteurs, Georges Lane et François Guillaumat constatent trois choses :
- la Pseudo-Démocratie Socialiste prétend “reconnaître la liberté d’expression” comme un “Droit de l’homme et du citoyen” mais c’est par nature qu’elle la viole de toutes les manières possibles ;
- il n’y a pas d’autre Droit de l’homme que le Droit de propriété, dont le propriétaire a le Droit et le devoir de se servir pour combattre le mensonge ;
- la censure explicite de la Pseudo-Démocratie Socialiste ne fait que refléter la tyrannie arbitraire des groupes de pression qu’elle est effectivement.(…)
Références de cet entretien

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A l’occasion d’une nouvelle loi de censure envisagée contre certains menteurs, Georges Lane et François Guillaumat constatent trois choses :
- la Pseudo-Démocratie Socialiste prétend “reconnaître la liberté d’expression” comme un “Droit de l’homme et du citoyen” mais c’est par nature qu’elle la viole de toutes les manières possibles ;
- il n’y a pas d’autre Droit de l’homme que le Droit de propriété, dont le propriétaire a le Droit et le devoir de se servir pour combattre le mensonge ;
- la censure explicite de la Pseudo-Démocratie Socialiste ne fait que refléter la tyrannie arbitraire des groupes de pression qu’elle est effectivement.(…)
Références de cet entretien

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Lumière 101noNo
Nouvelles du coup d’État d’Obama15120127-nouvelles_du_coup_d_etat_d_obama.mp3http://lumiere101.com/2012/01/27/nouvelles-du-coup-d%e2%80%99etat-dobama/http://lumiere101.com/2012/01/27/nouvelles-du-coup-d%e2%80%99etat-dobama/#commentsFri, 27 Jan 2012 12:12:11 -0700http://lumiere101.com/2012/01/27/nouvelles-du-coup-d%e2%80%99etat-dobama/Depuis près d’un siècle aux Etats-Unis les socialistes, ultraminoritaires, tentent de détruire  la Constitution de 1787 qui proscrit expressément leur esclavagisme absurdiste.
Après la période des amendements, celle des violations approuvées a posteriori par la Cour suprême, inaugurant une jurisprudence qui la contredit dans la lettre comme dans l’esprit, on voit aujourd’hui un exécutif illégal la bafouer ouvertement et de multiples manières.
Le parti Démocrate, traditionnellement raciste et désormais totalement socialiste, est l’auteur principal de ces crimes, avec la complicité des médias et celle de l’establishment du parti Républicain. Les prochaines semaines seront décisives.
Références de cette émission

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Depuis près d’un siècle aux Etats-Unis les socialistes, ultraminoritaires, tentent de détruire  la Constitution de 1787 qui proscrit expressément leur esclavagisme absurdiste.
Après la période des amendements, celle des violations approuvées a posteriori par la Cour suprême, inaugurant une jurisprudence qui la contredit dans la lettre comme dans l’esprit, on voit aujourd’hui un exécutif illégal la bafouer ouvertement et de multiples manières.
Le parti Démocrate, traditionnellement raciste et désormais totalement socialiste, est l’auteur principal de ces crimes, avec la complicité des médias et celle de l’establishment du parti Républicain. Les prochaines semaines seront décisives.
Références de cette émission

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http://lumiere101.com/2012/01/27/nouvelles-du-coup-d%e2%80%99etat-dobama//feed/01:24:06Depuis près d’un siècle aux Etats-Unis les socialistes, ultraminoritaires, tentent de détruire  la Constitution de 1787 qui proscrit expressément leur esclavagisme absurdiste.
Après la période des amendements, celle des violations approuvées a posteriori par la Cour suprême, inaugurant une jurisprudence qui la contredit dans la lettre comme dans l’esprit, on voit aujourd’hui un exécutif illégal la bafouer ouvertement et de multiples manières.
Le parti Démocrate, traditionnellement raciste et désormais totalement socialiste, est l’auteur principal de ces crimes, avec la complicité des médias et celle de l’establishment du parti Républicain. Les prochaines semaines seront décisives.
Références de cette émission

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Depuis près d’un siècle aux Etats-Unis les socialistes, ultraminoritaires, tentent de détruire  la Constitution de 1787 qui proscrit expressément leur esclavagisme absurdiste.
Après la période des amendements, celle des violations approuvées a posteriori par la Cour suprême, inaugurant une jurisprudence qui la contredit dans la lettre comme dans l’esprit, on voit aujourd’hui un exécutif illégal la bafouer ouvertement et de multiples manières.
Le parti Démocrate, traditionnellement raciste et désormais totalement socialiste, est l’auteur principal de ces crimes, avec la complicité des médias et celle de l’establishment du parti Républicain. Les prochaines semaines seront décisives.
Références de cette émission

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Lumière 101noNo
Les agences de notation1120120-les_agences_de_notation.mp3http://lumiere101.com/2012/01/20/les-agences-de-notation/http://lumiere101.com/2012/01/20/les-agences-de-notation/#commentsFri, 20 Jan 2012 08:44:09 -0700http://lumiere101.com/2012/01/20/les-agences-de-notation/François Guillaumat et Georges Lane s’interrogent sur l’origine des agences de notation, leurs procédés d’évaluation successifs, le crédit qu’on peut prêter à leurs interprétations, et la stratégie que l’on peut adopter face à leurs opinions.
Références de cette émissions

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François Guillaumat et Georges Lane s’interrogent sur l’origine des agences de notation, leurs procédés d’évaluation successifs, le crédit qu’on peut prêter à leurs interprétations, et la stratégie que l’on peut adopter face à leurs opinions.
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http://lumiere101.com/2012/01/20/les-agences-de-notation//feed/01:08:59François Guillaumat et Georges Lane s’interrogent sur l’origine des agences de notation, leurs procédés d’évaluation successifs, le crédit qu’on peut prêter à leurs interprétations, et la stratégie que l’on peut adopter face à leurs opinions.
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Lumière 101noNo
La “taxe Tobin”2120116-la_taxe_tobin.mp3http://lumiere101.com/2012/01/17/la-taxe-tobin/http://lumiere101.com/2012/01/17/la-taxe-tobin/#commentsTue, 17 Jan 2012 07:36:04 -0700http://lumiere101.com/2012/01/17/la-taxe-tobin/La prétendue “taxe Tobin” vise à détourner une proposition ésotérique pour soi-disant “stabiliser” le marché des changes à une époque bien révolue,faite par un économiste qui a entre-temps obtenu le “prix Nobel”, afin d’en faire un nouvel Impôt de la Haine (…)
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La prétendue “taxe Tobin” vise à détourner une proposition ésotérique pour soi-disant “stabiliser” le marché des changes à une époque bien révolue,faite par un économiste qui a entre-temps obtenu le “prix Nobel”, afin d’en faire un nouvel Impôt de la Haine (…)
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http://lumiere101.com/2012/01/17/la-taxe-tobin//feed/01:07:05La prétendue “taxe Tobin” vise à détourner une proposition ésotérique pour soi-disant “stabiliser” le marché des changes à une époque bien révolue,faite par un économiste qui a entre-temps obtenu le “prix Nobel”, afin d’en faire un nouvel Impôt de la Haine (…)
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La TVA antisociale16120117-la_tva_antisociale.mp3http://lumiere101.com/2012/01/16/la-tva-antisociale/http://lumiere101.com/2012/01/16/la-tva-antisociale/#commentsMon, 16 Jan 2012 08:41:27 -0700http://lumiere101.com/2012/01/16/la-tva-antisociale/Au lieu de s’attaquer  aux Impôts de la Haine pour sortir de la crise budgétaire,  le gouvernement  ressort le vieux serpent de mer de  la prétendue “TVA sociale”,  laquelle ne ferait qu’aggraver  l’absence de régulation  des institutions “publiques” qui  en est la cause,  en les éloignant  encore davantage  d’un modèle de financement fondé sur la responsabilité. (…)

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Au lieu de s’attaquer  aux Impôts de la Haine pour sortir de la crise budgétaire,  le gouvernement  ressort le vieux serpent de mer de  la prétendue “TVA sociale”,  laquelle ne ferait qu’aggraver  l’absence de régulation  des institutions “publiques” qui  en est la cause,  en les éloignant  encore davantage  d’un modèle de financement fondé sur la responsabilité. (…)

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http://lumiere101.com/2012/01/16/la-tva-antisociale//feed/01:12:05Au lieu de s’attaquer  aux Impôts de la Haine pour sortir de la crise budgétaire,  le gouvernement  ressort le vieux serpent de mer de  la prétendue “TVA sociale”,  laquelle ne ferait qu’aggraver  l’absence de régulation  des institutions “publiques” qui  en est la cause,  en les éloignant  encore davantage  d’un modèle de financement fondé sur la responsabilité. (…)

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Au lieu de s’attaquer  aux Impôts de la Haine pour sortir de la crise budgétaire,  le gouvernement  ressort le vieux serpent de mer de  la prétendue “TVA sociale”,  laquelle ne ferait qu’aggraver  l’absence de régulation  des institutions “publiques” qui  en est la cause,  en les éloignant  encore davantage  d’un modèle de financement fondé sur la responsabilité. (…)

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Le protectionnisme, illusion fiscale ultime3120111-le_protectionnisme_illusion_fiscale_ultime.mp3http://lumiere101.com/2012/01/12/le-protectionnisme-illusion-fiscale-ultime/http://lumiere101.com/2012/01/12/le-protectionnisme-illusion-fiscale-ultime/#commentsWed, 11 Jan 2012 01:38:40 -0700http://lumiere101.com/2012/01/12/le-protectionnisme-illusion-fiscale-ultime/… pour esclavagistes-absurdistes au désespoir ?
A la recherche de procédés magiques pour “résoudre” les problèmes de l’emploi et de la production sans se résigner à y reconnaître les ravages de la redistribution politique socialiste, certains agitateurs tentent d’exhumer le protectionnisme du discrédit auquel l’avaient relégué son absurdité démontrée depuis deux cents ans, ainsi que les guerres qu’il a inspirées.
Conformément à leur devoir d’économistes, François Guillaumat et Georges Lane s’efforcent d’éviscérer cette source-là d’illusion fiscale, en établissant successivement :
– que ce n’est pas une prétendue “réalité” des “avantages sociaux” qu’il s’agit de sauver mais seulement les impostures à leur sujet ;
– que le protectionnisme n’est pas une politique différente des autres par la réalité de ses effets contraignants, et ne ferait donc qu’ajouter la ruine à la ruine ;
– et qu’à cet égard il ne devrait pas suffire de prononcer ex cathedra des jugements totalement infondés pour faire croire qu’on y connaîtrait seulement quelque chose.
Références
Vidéo : Pascal Salin et Eric Zemmour à l’émission “Ce soir ou jamais” du 6 décembre 2011
Émissions précédentes : Le mondialisme
; Le capitalisme, bouc émissaire du semi-esclavagisme d’État ; Injustice et immoralité de l’inflation; L’illusion fiscale - le retour;
La ‘solidarité sociale’
; L’esclavagisme-absurdisme
Textes : L’illusion fiscale : transcription de la première émission; Pourquoi pas ‘Bitur-Camember’ ?; Ludwig von Mises : Le gouvernement omnipotent; Georges Lane : “Dumping social et compétitivité”; Frédéric Bastiat : “Egaliser les conditions de production”; Frédéric Bastiat : “Immense découverte!!!”; Frédéric Bastiat : “Protectionnisme et communisme”

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… pour esclavagistes-absurdistes au désespoir ?
A la recherche de procédés magiques pour “résoudre” les problèmes de l’emploi et de la production sans se résigner à y reconnaître les ravages de la redistribution politique socialiste, certains agitateurs tentent d’exhumer le protectionnisme du discrédit auquel l’avaient relégué son absurdité démontrée depuis deux cents ans, ainsi que les guerres qu’il a inspirées.
Conformément à leur devoir d’économistes, François Guillaumat et Georges Lane s’efforcent d’éviscérer cette source-là d’illusion fiscale, en établissant successivement :
– que ce n’est pas une prétendue “réalité” des “avantages sociaux” qu’il s’agit de sauver mais seulement les impostures à leur sujet ;
– que le protectionnisme n’est pas une politique différente des autres par la réalité de ses effets contraignants, et ne ferait donc qu’ajouter la ruine à la ruine ;
– et qu’à cet égard il ne devrait pas suffire de prononcer ex cathedra des jugements totalement infondés pour faire croire qu’on y connaîtrait seulement quelque chose.
Références
Vidéo : Pascal Salin et Eric Zemmour à l’émission “Ce soir ou jamais” du 6 décembre 2011
Émissions précédentes : Le mondialisme
; Le capitalisme, bouc émissaire du semi-esclavagisme d’État ; Injustice et immoralité de l’inflation; L’illusion fiscale - le retour;
La ‘solidarité sociale’
; L’esclavagisme-absurdisme
Textes : L’illusion fiscale : transcription de la première émission; Pourquoi pas ‘Bitur-Camember’ ?; Ludwig von Mises : Le gouvernement omnipotent; Georges Lane : “Dumping social et compétitivité”; Frédéric Bastiat : “Egaliser les conditions de production”; Frédéric Bastiat : “Immense découverte!!!”; Frédéric Bastiat : “Protectionnisme et communisme”

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http://lumiere101.com/2012/01/12/le-protectionnisme-illusion-fiscale-ultime//feed/01:32:54… pour esclavagistes-absurdistes au désespoir ?
A la recherche de procédés magiques pour “résoudre” les problèmes de l’emploi et de la production sans se résigner à y reconnaître les ravages de la redistribution politique socialiste, certains agitateurs tentent d’exhumer le protectionnisme du discrédit auquel l’avaient relégué son absurdité démontrée depuis deux cents ans, ainsi que les guerres qu’il a inspirées.
Conformément à leur devoir d’économistes, François Guillaumat et Georges Lane s’efforcent d’éviscérer cette source-là d’illusion fiscale, en établissant successivement :
– que ce n’est pas une prétendue “réalité” des “avantages sociaux” qu’il s’agit de sauver mais seulement les impostures à leur sujet ;
– que le protectionnisme n’est pas une politique différente des autres par la réalité de ses effets contraignants, et ne ferait donc qu’ajouter la ruine à la ruine ;
– et qu’à cet égard il ne devrait pas suffire de prononcer ex cathedra des jugements totalement infondés pour faire croire qu’on y connaîtrait seulement quelque chose.
Références
Vidéo : Pascal Salin et Eric Zemmour à l’émission “Ce soir ou jamais” du 6 décembre 2011
Émissions précédentes : Le mondialisme
; Le capitalisme, bouc émissaire du semi-esclavagisme d’État ; Injustice et immoralité de l’inflation; L’illusion fiscale - le retour;
La ‘solidarité sociale’
; L’esclavagisme-absurdisme
Textes : L’illusion fiscale : transcription de la première émission; Pourquoi pas ‘Bitur-Camember’ ?; Ludwig von Mises : Le gouvernement omnipotent; Georges Lane : “Dumping social et compétitivité”; Frédéric Bastiat : “Egaliser les conditions de production”; Frédéric Bastiat : “Immense découverte!!!”; Frédéric Bastiat : “Protectionnisme et communisme”

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… pour esclavagistes-absurdistes au désespoir ?
A la recherche de procédés magiques pour “résoudre” les problèmes de l’emploi et de la production sans se résigner à y reconnaître les ravages de la redistribution politique socialiste, certains agitateurs tentent d’exhumer le protectionnisme du discrédit auquel l’avaient relégué son absurdité démontrée depuis deux cents ans, ainsi que les guerres qu’il a inspirées.
Conformément à leur devoir d’économistes, François Guillaumat et Georges Lane s’efforcent d’éviscérer cette source-là d’illusion fiscale, en établissant successivement :
– que ce n’est pas une prétendue “réalité” des “avantages sociaux” qu’il s’agit de sauver mais seulement les impostures à leur sujet ;
– que le protectionnisme n’est pas une politique différente des autres par la réalité de ses effets contraignants, et ne ferait donc qu’ajouter la ruine à la ruine ;
– et qu’à cet égard il ne devrait pas suffire de prononcer ex cathedra des jugements totalement infondés pour faire croire qu’on y connaîtrait seulement quelque chose.
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Vidéo : Pascal Salin et Eric Zemmour à l’émission “Ce soir ou jamais” du 6 décembre 2011
Émissions précédentes : Le mondialisme
; Le capitalisme, bouc émissaire du semi-esclavagisme d’État ; Injustice et immoralité de l’inflation; L’illusion fiscale - le retour;
La ‘solidarité sociale’
; L’esclavagisme-absurdisme
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Innovation monnaie et réglementation4111222-innovation_monnaie_et_reglementation.mp3http://lumiere101.com/2011/12/22/innovation-monnaie-et-reglementation/http://lumiere101.com/2011/12/22/innovation-monnaie-et-reglementation/#commentsThu, 22 Dec 2011 08:20:02 -0700http://lumiere101.com/2011/12/22/innovation-monnaie-et-reglementation/François Guillaumat invite Georges Lane à présenter le dernier fruit de ses recherches, présentées au dernier Séminaire d’économie autrichienne, sur la monnaie et la liberté des contrats comme moyens d’abaisser le coût résiduel de l’échange. (…)
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François Guillaumat invite Georges Lane à présenter le dernier fruit de ses recherches, présentées au dernier Séminaire d’économie autrichienne, sur la monnaie et la liberté des contrats comme moyens d’abaisser le coût résiduel de l’échange. (…)
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http://lumiere101.com/2011/12/22/innovation-monnaie-et-reglementation//feed/01:23:32François Guillaumat invite Georges Lane à présenter le dernier fruit de ses recherches, présentées au dernier Séminaire d’économie autrichienne, sur la monnaie et la liberté des contrats comme moyens d’abaisser le coût résiduel de l’échange. (…)
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François Guillaumat invite Georges Lane à présenter le dernier fruit de ses recherches, présentées au dernier Séminaire d’économie autrichienne, sur la monnaie et la liberté des contrats comme moyens d’abaisser le coût résiduel de l’échange. (…)
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Lumière 101noNo
Peut-on instituer la démocratie en France ?5111210-peut-on_instituer_la_democratie_en_france.mp3http://lumiere101.com/2011/12/12/peut-on-instituer-la-democratie-en-france/http://lumiere101.com/2011/12/12/peut-on-instituer-la-democratie-en-france/#commentsSun, 11 Dec 2011 11:25:14 -0700http://lumiere101.com/2011/12/12/peut-on-instituer-la-democratie-en-france/François Guillaumat et Georges Lane se posent une question bien actuelle entre les “décisions européennes” et la “campagne présidentielle”. Qui gouverne la France ?
Documentation de cet enregistrement

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http://lumiere101.com/2011/12/12/peut-on-instituer-la-democratie-en-france//feed/01:23:39François Guillaumat et Georges Lane se posent une question bien actuelle entre les “décisions européennes” et la “campagne présidentielle”. Qui gouverne la France ?
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François Guillaumat et Georges Lane se posent une question bien actuelle entre les “décisions européennes” et la “campagne présidentielle”. Qui gouverne la France ?
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Lumière 101noNo
Injustice et immoralité de l’inflation6111206-injustice_et_immoralite_de_l_inflation.mp3http://lumiere101.com/2011/12/06/injustice-et-immoralite-de-linflation/http://lumiere101.com/2011/12/06/injustice-et-immoralite-de-linflation/#commentsTue, 06 Dec 2011 12:23:57 -0700http://lumiere101.com/2011/12/06/injustice-et-immoralite-de-linflation/François Guillaumat interroge Georges Lane sur les erreurs et les incertitudes qui accompagnent les politiques d’inflation : qu’est-ce qui permet de voir qu’une politique monétaire est inflationniste avant qu’il ne soit trop tard?
Comment ses nouveaux procédés faussent-ils encore davantage les indicateurs de taux d’intérêt?
Qui cherche-t-on à tromper, et à voler, quand on réclame que les hommes de l’état “mettent fin à la dictature des marchés” en “rétablissant leur souveraineté sur la monnaie”?
Émissions précédentes : Gueule de bois et gueules aux abois - L’illusion fiscale - L’illusion fiscale — le retour - La régulation par l’état est impossible - La question pétrolière
Textes : Alan Greenspan : “The Assault on Integrity” - George Selgin : “La théorie de la banque libre” - George Selgin, Lawrence White & William Lastrapes : “Has the Fed Been a Failure?” - Jacques Rueff : “Comment le déficit engendre le désordre social”

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François Guillaumat interroge Georges Lane sur les erreurs et les incertitudes qui accompagnent les politiques d’inflation : qu’est-ce qui permet de voir qu’une politique monétaire est inflationniste avant qu’il ne soit trop tard?
Comment ses nouveaux procédés faussent-ils encore davantage les indicateurs de taux d’intérêt?
Qui cherche-t-on à tromper, et à voler, quand on réclame que les hommes de l’état “mettent fin à la dictature des marchés” en “rétablissant leur souveraineté sur la monnaie”?
Émissions précédentes : Gueule de bois et gueules aux abois - L’illusion fiscale - L’illusion fiscale — le retour - La régulation par l’état est impossible - La question pétrolière
Textes : Alan Greenspan : “The Assault on Integrity” - George Selgin : “La théorie de la banque libre” - George Selgin, Lawrence White & William Lastrapes : “Has the Fed Been a Failure?” - Jacques Rueff : “Comment le déficit engendre le désordre social”

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http://lumiere101.com/2011/12/06/injustice-et-immoralite-de-linflation//feed/58:57François Guillaumat interroge Georges Lane sur les erreurs et les incertitudes qui accompagnent les politiques d’inflation : qu’est-ce qui permet de voir qu’une politique monétaire est inflationniste avant qu’il ne soit trop tard?
Comment ses nouveaux procédés faussent-ils encore davantage les indicateurs de taux d’intérêt?
Qui cherche-t-on à tromper, et à voler, quand on réclame que les hommes de l’état “mettent fin à la dictature des marchés” en “rétablissant leur souveraineté sur la monnaie”?
Émissions précédentes : Gueule de bois et gueules aux abois - L’illusion fiscale - L’illusion fiscale — le retour - La régulation par l’état est impossible - La question pétrolière
Textes : Alan Greenspan : “The Assault on Integrity” - George Selgin : “La théorie de la banque libre” - George Selgin, Lawrence White & William Lastrapes : “Has the Fed Been a Failure?” - Jacques Rueff : “Comment le déficit engendre le désordre social”

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François Guillaumat interroge Georges Lane sur les erreurs et les incertitudes qui accompagnent les politiques d’inflation : qu’est-ce qui permet de voir qu’une politique monétaire est inflationniste avant qu’il ne soit trop tard?
Comment ses nouveaux procédés faussent-ils encore davantage les indicateurs de taux d’intérêt?
Qui cherche-t-on à tromper, et à voler, quand on réclame que les hommes de l’état “mettent fin à la dictature des marchés” en “rétablissant leur souveraineté sur la monnaie”?
Émissions précédentes : Gueule de bois et gueules aux abois - L’illusion fiscale - L’illusion fiscale — le retour - La régulation par l’état est impossible - La question pétrolière
Textes : Alan Greenspan : “The Assault on Integrity” - George Selgin : “La théorie de la banque libre” - George Selgin, Lawrence White & William Lastrapes : “Has the Fed Been a Failure?” - Jacques Rueff : “Comment le déficit engendre le désordre social”

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Le capitalisme, bouc émissaire7111122-le_capitalisme_bouc_emissaire.mp3http://lumiere101.com/2011/11/23/le-capitalisme-bouc-emissaire/http://lumiere101.com/2011/11/23/le-capitalisme-bouc-emissaire/#commentsWed, 23 Nov 2011 09:07:51 -0700http://lumiere101.com/2011/11/23/le-capitalisme-bouc-emissaire/… du semi-esclavagisme d’État
Depuis Marx et la mi-XIXe siècle, les Absurdistes du socialisme se servent du même mot de “capitalisme” pour désigner à la fois le principe de la propriété privée, et toute pratique des affaires — que cette dernière respecte ladite propriété privée ou, au contraire, soit l’œuvre de criminels qui la violent systématiquement et provoquent les conséquences désastreuses que l’on voit et à quoi il fallait s’attendre.
Jusqu’alors, cette confusion volontaire servait à disqualifier la Justice naturelle au prétexte, évidemment contradictoire… de ses violations réelles ou supposées par des capitaines d’industrie.
Aujourd’hui, les semi-esclavagistes de la pseudo-démocratie socialiste à bout de souffle la manipulent encore, pour détourner contre “les riches” la colère du peuple.
Celui-ci n’est-il pas en effet en train de découvrir
– que leur redistribution politique engendre trop de parasites, et détruit trop de richesses, pour qu’ils puissent tenir toutes leurs promesses d’argent volé aux autres, et en outre
– que la découverte fatale de cette imposture n’est que l’une des multiples catastrophes que doivent nécessairement provoquer leurs usurpations irresponsables du pouvoir social.
Conscients de l’opposition entre la justice naturelle et la ploutocratie du semi-esclavagisme d’état, force est de reconnaître que pour “moraliser le capitalisme” - au sens second de “pratique des affaires” du mot -, il faudra ne plus l’empêcher d’être - le mot étant pris au sens premier de “principe de la propriété privée” -.

Emissions précédentes : “La falsification marxiste du libéralisme” ; “La Folie française” ; “Retraites : sortir d’une mentalité criminelle” ; “État minimum et anarcho-capitalisme : le grand écart”.
Textes : “Pourquoi pas “Bitur-Camember”?” ; “La Sécurité sociale et comment s’en sortir”.
Vidéaux: “Dialogue de sourds entre Georges Lane et Michel Drac : Faut-il moraliser le capitalisme ?” ; Interview de Pascal Salin : “Revenir au capitalisme pour éviter les crises”.

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… du semi-esclavagisme d’État
Depuis Marx et la mi-XIXe siècle, les Absurdistes du socialisme se servent du même mot de “capitalisme” pour désigner à la fois le principe de la propriété privée, et toute pratique des affaires — que cette dernière respecte ladite propriété privée ou, au contraire, soit l’œuvre de criminels qui la violent systématiquement et provoquent les conséquences désastreuses que l’on voit et à quoi il fallait s’attendre.
Jusqu’alors, cette confusion volontaire servait à disqualifier la Justice naturelle au prétexte, évidemment contradictoire… de ses violations réelles ou supposées par des capitaines d’industrie.
Aujourd’hui, les semi-esclavagistes de la pseudo-démocratie socialiste à bout de souffle la manipulent encore, pour détourner contre “les riches” la colère du peuple.
Celui-ci n’est-il pas en effet en train de découvrir
– que leur redistribution politique engendre trop de parasites, et détruit trop de richesses, pour qu’ils puissent tenir toutes leurs promesses d’argent volé aux autres, et en outre
– que la découverte fatale de cette imposture n’est que l’une des multiples catastrophes que doivent nécessairement provoquer leurs usurpations irresponsables du pouvoir social.
Conscients de l’opposition entre la justice naturelle et la ploutocratie du semi-esclavagisme d’état, force est de reconnaître que pour “moraliser le capitalisme” - au sens second de “pratique des affaires” du mot -, il faudra ne plus l’empêcher d’être - le mot étant pris au sens premier de “principe de la propriété privée” -.

Emissions précédentes : “La falsification marxiste du libéralisme” ; “La Folie française” ; “Retraites : sortir d’une mentalité criminelle” ; “État minimum et anarcho-capitalisme : le grand écart”.
Textes : “Pourquoi pas “Bitur-Camember”?” ; “La Sécurité sociale et comment s’en sortir”.
Vidéaux: “Dialogue de sourds entre Georges Lane et Michel Drac : Faut-il moraliser le capitalisme ?” ; Interview de Pascal Salin : “Revenir au capitalisme pour éviter les crises”.

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http://lumiere101.com/2011/11/23/le-capitalisme-bouc-emissaire//feed/01:14:18… du semi-esclavagisme d’État
Depuis Marx et la mi-XIXe siècle, les Absurdistes du socialisme se servent du même mot de “capitalisme” pour désigner à la fois le principe de la propriété privée, et toute pratique des affaires — que cette dernière respecte ladite propriété privée ou, au contraire, soit l’œuvre de criminels qui la violent systématiquement et provoquent les conséquences désastreuses que l’on voit et à quoi il fallait s’attendre.
Jusqu’alors, cette confusion volontaire servait à disqualifier la Justice naturelle au prétexte, évidemment contradictoire… de ses violations réelles ou supposées par des capitaines d’industrie.
Aujourd’hui, les semi-esclavagistes de la pseudo-démocratie socialiste à bout de souffle la manipulent encore, pour détourner contre “les riches” la colère du peuple.
Celui-ci n’est-il pas en effet en train de découvrir
– que leur redistribution politique engendre trop de parasites, et détruit trop de richesses, pour qu’ils puissent tenir toutes leurs promesses d’argent volé aux autres, et en outre
– que la découverte fatale de cette imposture n’est que l’une des multiples catastrophes que doivent nécessairement provoquer leurs usurpations irresponsables du pouvoir social.
Conscients de l’opposition entre la justice naturelle et la ploutocratie du semi-esclavagisme d’état, force est de reconnaître que pour “moraliser le capitalisme” - au sens second de “pratique des affaires” du mot -, il faudra ne plus l’empêcher d’être - le mot étant pris au sens premier de “principe de la propriété privée” -.

Emissions précédentes : “La falsification marxiste du libéralisme” ; “La Folie française” ; “Retraites : sortir d’une mentalité criminelle” ; “État minimum et anarcho-capitalisme : le grand écart”.
Textes : “Pourquoi pas “Bitur-Camember”?” ; “La Sécurité sociale et comment s’en sortir”.
Vidéaux: “Dialogue de sourds entre Georges Lane et Michel Drac : Faut-il moraliser le capitalisme ?” ; Interview de Pascal Salin : “Revenir au capitalisme pour éviter les crises”.

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… du semi-esclavagisme d’État
Depuis Marx et la mi-XIXe siècle, les Absurdistes du socialisme se servent du même mot de “capitalisme” pour désigner à la fois le principe de la propriété privée, et toute pratique des affaires — que cette dernière respecte ladite propriété privée ou, au contraire, soit l’œuvre de criminels qui la violent systématiquement et provoquent les conséquences désastreuses que l’on voit et à quoi il fallait s’attendre.
Jusqu’alors, cette confusion volontaire servait à disqualifier la Justice naturelle au prétexte, évidemment contradictoire… de ses violations réelles ou supposées par des capitaines d’industrie.
Aujourd’hui, les semi-esclavagistes de la pseudo-démocratie socialiste à bout de souffle la manipulent encore, pour détourner contre “les riches” la colère du peuple.
Celui-ci n’est-il pas en effet en train de découvrir
– que leur redistribution politique engendre trop de parasites, et détruit trop de richesses, pour qu’ils puissent tenir toutes leurs promesses d’argent volé aux autres, et en outre
– que la découverte fatale de cette imposture n’est que l’une des multiples catastrophes que doivent nécessairement provoquer leurs usurpations irresponsables du pouvoir social.
Conscients de l’opposition entre la justice naturelle et la ploutocratie du semi-esclavagisme d’état, force est de reconnaître que pour “moraliser le capitalisme” - au sens second de “pratique des affaires” du mot -, il faudra ne plus l’empêcher d’être - le mot étant pris au sens premier de “principe de la propriété privée” -.

Emissions précédentes : “La falsification marxiste du libéralisme” ; “La Folie française” ; “Retraites : sortir d’une mentalité criminelle” ; “État minimum et anarcho-capitalisme : le grand écart”.
Textes : “Pourquoi pas “Bitur-Camember”?” ; “La Sécurité sociale et comment s’en sortir”.
Vidéaux: “Dialogue de sourds entre Georges Lane et Michel Drac : Faut-il moraliser le capitalisme ?” ; Interview de Pascal Salin : “Revenir au capitalisme pour éviter les crises”.

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Leurro ou pas Leurro ?8111115-leurro_ou_pas_leurro.mp3http://lumiere101.com/2011/11/15/leurro-ou-pas-leurro/http://lumiere101.com/2011/11/15/leurro-ou-pas-leurro/#commentsTue, 15 Nov 2011 05:17:16 -0700http://lumiere101.com/2011/11/15/leurro-ou-pas-leurro/François Guillaumat interroge Georges Lane sur les trois sujets suivants : La crise budgétaire actuelle des états européens est-elle bien due au Leurro? Le Leurro va-t-il bientôt disparaître?
Par quoi le remplacer ?

Emissions précédentes : Aujourd’hui Athènes demain Paris ; Le monétarisme ; Ce qu’il ne faut pas faire et ce qu’il faut faire
Textes : Philippe Simonnot : “L’euro est condamné, une dévaluation souhaitable et l’étatisme un danger ; Robert Mundell : “Une théorie des zones monétaires optimales” ; Georges Lane : L’euro : si ex nihilo non est, sed ex quo ? ; Georges Lane : Quel avenir pour l’euro ?
Enregistrements : Pascal Salin : Sur l’euro ; Steve H. Hanke : discusses Italy and the eurozone on Reuters
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François Guillaumat interroge Georges Lane sur les trois sujets suivants : La crise budgétaire actuelle des états européens est-elle bien due au Leurro? Le Leurro va-t-il bientôt disparaître?
Par quoi le remplacer ?

Emissions précédentes : Aujourd’hui Athènes demain Paris ; Le monétarisme ; Ce qu’il ne faut pas faire et ce qu’il faut faire
Textes : Philippe Simonnot : “L’euro est condamné, une dévaluation souhaitable et l’étatisme un danger ; Robert Mundell : “Une théorie des zones monétaires optimales” ; Georges Lane : L’euro : si ex nihilo non est, sed ex quo ? ; Georges Lane : Quel avenir pour l’euro ?
Enregistrements : Pascal Salin : Sur l’euro ; Steve H. Hanke : discusses Italy and the eurozone on Reuters
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http://lumiere101.com/2011/11/15/leurro-ou-pas-leurro//feed/01:17:11François Guillaumat interroge Georges Lane sur les trois sujets suivants : La crise budgétaire actuelle des états européens est-elle bien due au Leurro? Le Leurro va-t-il bientôt disparaître?
Par quoi le remplacer ?

Emissions précédentes : Aujourd’hui Athènes demain Paris ; Le monétarisme ; Ce qu’il ne faut pas faire et ce qu’il faut faire
Textes : Philippe Simonnot : “L’euro est condamné, une dévaluation souhaitable et l’étatisme un danger ; Robert Mundell : “Une théorie des zones monétaires optimales” ; Georges Lane : L’euro : si ex nihilo non est, sed ex quo ? ; Georges Lane : Quel avenir pour l’euro ?
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François Guillaumat interroge Georges Lane sur les trois sujets suivants : La crise budgétaire actuelle des états européens est-elle bien due au Leurro? Le Leurro va-t-il bientôt disparaître?
Par quoi le remplacer ?

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La Folie française9111109-la_folie_francaise.mp3http://lumiere101.com/2011/11/09/la-folie-francaise/http://lumiere101.com/2011/11/09/la-folie-francaise/#commentsWed, 09 Nov 2011 09:07:39 -0700http://lumiere101.com/2011/11/09/la-folie-francaise/La folie française consiste à décrire comme “libéral” un état qui est au contraire tellement socialiste que désormais il ne peut plus ni voler ni promettre de voler davantage pour tenir à la fois toutes les promesses qu’il a faites à ses Parasites Institutionnels.
Face à cette incapacité, la scène politique française voit défiler des “fous” qui dénoncent son “ultra-libéralisme” ; tout aussi follement, d’autres considèrent comme “normales” les institutions criminelles qui ont conduit à cette impasse, ne comprenant pas plus qu’ils sont socialistes que le poisson rouge ne sait qu’il est dans un bocal.
Tant qu’on attribuera “la crise” à la liberté résiduelle et non à leurs usurpations massives et irresponsables, les puissants du moment ne pourront qu’en tirer prétexte pour accroître l’arbitraire de leur pouvoir.
Pourtant, ils s’en sortiraient plus facilement en disant la vérité sur l’absurdité d’un système qui ne fait que voler et subventionner tout le monde sans aucun profit pour personne, au prix d’une destruction que tout le monde sous-estime.

Emissions précédentes : Ultralibéralisme ou infradéterminisme ; La prétendue “comptabilité publique” n’est pas une comptabilité ; La régulation par l’Etat est impossible ; L’historicisme ; L’Argent caché.
Textes : Philippe Nemo : “La France aveuglée par le socialisme” ; “Silber Schatten” : “L’économie selon Mar(x)ine Le Pen” ;Friedrich Hayek : “La source de l’orgueil scientiste : l’Ecole polytechnique” ; Jason Taylor & Richard Vedder : “Stimulus by spending cuts: Lessons from 1946” ; François Guillaumat et Georges Lane : ”Pourquoi pas Bitur-Camember?” ; IREF : “Baisse des dépenses publiques. Ils l’ont fait, pourquoi pas nous?” ; Jacques Rueff : “Comment le déficit engendre le désordre social” ; Erasme de Rotterdam : “Eloge de la folie.“

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La folie française consiste à décrire comme “libéral” un état qui est au contraire tellement socialiste que désormais il ne peut plus ni voler ni promettre de voler davantage pour tenir à la fois toutes les promesses qu’il a faites à ses Parasites Institutionnels.
Face à cette incapacité, la scène politique française voit défiler des “fous” qui dénoncent son “ultra-libéralisme” ; tout aussi follement, d’autres considèrent comme “normales” les institutions criminelles qui ont conduit à cette impasse, ne comprenant pas plus qu’ils sont socialistes que le poisson rouge ne sait qu’il est dans un bocal.
Tant qu’on attribuera “la crise” à la liberté résiduelle et non à leurs usurpations massives et irresponsables, les puissants du moment ne pourront qu’en tirer prétexte pour accroître l’arbitraire de leur pouvoir.
Pourtant, ils s’en sortiraient plus facilement en disant la vérité sur l’absurdité d’un système qui ne fait que voler et subventionner tout le monde sans aucun profit pour personne, au prix d’une destruction que tout le monde sous-estime.

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Textes : Philippe Nemo : “La France aveuglée par le socialisme” ; “Silber Schatten” : “L’économie selon Mar(x)ine Le Pen” ;Friedrich Hayek : “La source de l’orgueil scientiste : l’Ecole polytechnique” ; Jason Taylor & Richard Vedder : “Stimulus by spending cuts: Lessons from 1946” ; François Guillaumat et Georges Lane : ”Pourquoi pas Bitur-Camember?” ; IREF : “Baisse des dépenses publiques. Ils l’ont fait, pourquoi pas nous?” ; Jacques Rueff : “Comment le déficit engendre le désordre social” ; Erasme de Rotterdam : “Eloge de la folie.“

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http://lumiere101.com/2011/11/09/la-folie-francaise//feed/01:09:37La folie française consiste à décrire comme “libéral” un état qui est au contraire tellement socialiste que désormais il ne peut plus ni voler ni promettre de voler davantage pour tenir à la fois toutes les promesses qu’il a faites à ses Parasites Institutionnels.
Face à cette incapacité, la scène politique française voit défiler des “fous” qui dénoncent son “ultra-libéralisme” ; tout aussi follement, d’autres considèrent comme “normales” les institutions criminelles qui ont conduit à cette impasse, ne comprenant pas plus qu’ils sont socialistes que le poisson rouge ne sait qu’il est dans un bocal.
Tant qu’on attribuera “la crise” à la liberté résiduelle et non à leurs usurpations massives et irresponsables, les puissants du moment ne pourront qu’en tirer prétexte pour accroître l’arbitraire de leur pouvoir.
Pourtant, ils s’en sortiraient plus facilement en disant la vérité sur l’absurdité d’un système qui ne fait que voler et subventionner tout le monde sans aucun profit pour personne, au prix d’une destruction que tout le monde sous-estime.

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Textes : Philippe Nemo : “La France aveuglée par le socialisme” ; “Silber Schatten” : “L’économie selon Mar(x)ine Le Pen” ;Friedrich Hayek : “La source de l’orgueil scientiste : l’Ecole polytechnique” ; Jason Taylor & Richard Vedder : “Stimulus by spending cuts: Lessons from 1946” ; François Guillaumat et Georges Lane : ”Pourquoi pas Bitur-Camember?” ; IREF : “Baisse des dépenses publiques. Ils l’ont fait, pourquoi pas nous?” ; Jacques Rueff : “Comment le déficit engendre le désordre social” ; Erasme de Rotterdam : “Eloge de la folie.“

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La folie française consiste à décrire comme “libéral” un état qui est au contraire tellement socialiste que désormais il ne peut plus ni voler ni promettre de voler davantage pour tenir à la fois toutes les promesses qu’il a faites à ses Parasites Institutionnels.
Face à cette incapacité, la scène politique française voit défiler des “fous” qui dénoncent son “ultra-libéralisme” ; tout aussi follement, d’autres considèrent comme “normales” les institutions criminelles qui ont conduit à cette impasse, ne comprenant pas plus qu’ils sont socialistes que le poisson rouge ne sait qu’il est dans un bocal.
Tant qu’on attribuera “la crise” à la liberté résiduelle et non à leurs usurpations massives et irresponsables, les puissants du moment ne pourront qu’en tirer prétexte pour accroître l’arbitraire de leur pouvoir.
Pourtant, ils s’en sortiraient plus facilement en disant la vérité sur l’absurdité d’un système qui ne fait que voler et subventionner tout le monde sans aucun profit pour personne, au prix d’une destruction que tout le monde sous-estime.

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Textes : Philippe Nemo : “La France aveuglée par le socialisme” ; “Silber Schatten” : “L’économie selon Mar(x)ine Le Pen” ;Friedrich Hayek : “La source de l’orgueil scientiste : l’Ecole polytechnique” ; Jason Taylor & Richard Vedder : “Stimulus by spending cuts: Lessons from 1946” ; François Guillaumat et Georges Lane : ”Pourquoi pas Bitur-Camember?” ; IREF : “Baisse des dépenses publiques. Ils l’ont fait, pourquoi pas nous?” ; Jacques Rueff : “Comment le déficit engendre le désordre social” ; Erasme de Rotterdam : “Eloge de la folie.“

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L’Objectivisme de Ayn Rand, c’est la science des définitions10111101-l_objectivisme_de_ayn_rand_c_est_la_science_des_definitions.mp3http://lumiere101.com/2011/11/01/lobjectivisme-de-ayn-rand-cest-la-science-des-definitions/http://lumiere101.com/2011/11/01/lobjectivisme-de-ayn-rand-cest-la-science-des-definitions/#commentsTue, 01 Nov 2011 11:43:07 -0600http://lumiere101.com/2011/11/01/lobjectivisme-de-ayn-rand-cest-la-science-des-definitions/L’Objectivisme de Ayn Rand permet d’ancrer la logique dans l’expérience, en montrant comment fonder la définition des mots sur la connaissance de la réalité et de ses lois.
Peuvent méconnaître cet apport à la philosophie :
- les nominalistes, qui semblent incapables d’admettre cette évidence qu’un système de classifications peut et doit se fonder sur l’expérience et
- les réalistes qui, familiers de la tradition philosophique réaliste qui l’a toujours proclamé, pourraient être découragés par sa caricature de l’“égoïsme rationnel”, et l’évidente absurdité de son athéisme.
Emissions précédentes : “Lire Atlas Shrugged”; “Le pseudo-expérimentalisme”.
Textes : Ayn Rand : Introduction to Objectivist Epistemology; Nathaniel Branden, “Le vol de concepts”; Leonard Peikoff La dichotomie analytique-synthétique; Ayn Rand “La philosophie: qui en a besoin ?; Claude Tresmontant De la méthode en métaphysique; “Docteur angélique, textes de saint Thomas d’Aquin”; Murray Rothbard Beyond Is and Ought.

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L’Objectivisme de Ayn Rand permet d’ancrer la logique dans l’expérience, en montrant comment fonder la définition des mots sur la connaissance de la réalité et de ses lois.
Peuvent méconnaître cet apport à la philosophie :
- les nominalistes, qui semblent incapables d’admettre cette évidence qu’un système de classifications peut et doit se fonder sur l’expérience et
- les réalistes qui, familiers de la tradition philosophique réaliste qui l’a toujours proclamé, pourraient être découragés par sa caricature de l’“égoïsme rationnel”, et l’évidente absurdité de son athéisme.
Emissions précédentes : “Lire Atlas Shrugged”; “Le pseudo-expérimentalisme”.
Textes : Ayn Rand : Introduction to Objectivist Epistemology; Nathaniel Branden, “Le vol de concepts”; Leonard Peikoff La dichotomie analytique-synthétique; Ayn Rand “La philosophie: qui en a besoin ?; Claude Tresmontant De la méthode en métaphysique; “Docteur angélique, textes de saint Thomas d’Aquin”; Murray Rothbard Beyond Is and Ought.

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http://lumiere101.com/2011/11/01/lobjectivisme-de-ayn-rand-cest-la-science-des-definitions//feed/01:24:50L’Objectivisme de Ayn Rand permet d’ancrer la logique dans l’expérience, en montrant comment fonder la définition des mots sur la connaissance de la réalité et de ses lois.
Peuvent méconnaître cet apport à la philosophie :
- les nominalistes, qui semblent incapables d’admettre cette évidence qu’un système de classifications peut et doit se fonder sur l’expérience et
- les réalistes qui, familiers de la tradition philosophique réaliste qui l’a toujours proclamé, pourraient être découragés par sa caricature de l’“égoïsme rationnel”, et l’évidente absurdité de son athéisme.
Emissions précédentes : “Lire Atlas Shrugged”; “Le pseudo-expérimentalisme”.
Textes : Ayn Rand : Introduction to Objectivist Epistemology; Nathaniel Branden, “Le vol de concepts”; Leonard Peikoff La dichotomie analytique-synthétique; Ayn Rand “La philosophie: qui en a besoin ?; Claude Tresmontant De la méthode en métaphysique; “Docteur angélique, textes de saint Thomas d’Aquin”; Murray Rothbard Beyond Is and Ought.

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L’Objectivisme de Ayn Rand permet d’ancrer la logique dans l’expérience, en montrant comment fonder la définition des mots sur la connaissance de la réalité et de ses lois.
Peuvent méconnaître cet apport à la philosophie :
- les nominalistes, qui semblent incapables d’admettre cette évidence qu’un système de classifications peut et doit se fonder sur l’expérience et
- les réalistes qui, familiers de la tradition philosophique réaliste qui l’a toujours proclamé, pourraient être découragés par sa caricature de l’“égoïsme rationnel”, et l’évidente absurdité de son athéisme.
Emissions précédentes : “Lire Atlas Shrugged”; “Le pseudo-expérimentalisme”.
Textes : Ayn Rand : Introduction to Objectivist Epistemology; Nathaniel Branden, “Le vol de concepts”; Leonard Peikoff La dichotomie analytique-synthétique; Ayn Rand “La philosophie: qui en a besoin ?; Claude Tresmontant De la méthode en métaphysique; “Docteur angélique, textes de saint Thomas d’Aquin”; Murray Rothbard Beyond Is and Ought.

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Lire Atlas Shrugged11111011-lire_atlas_shrugged.mp3http://lumiere101.com/2011/10/11/lire-atlas-shrugged/http://lumiere101.com/2011/10/11/lire-atlas-shrugged/#commentsTue, 11 Oct 2011 05:14:35 -0600http://lumiere101.com/2011/10/11/lire-atlas-shrugged/La publication en français du roman philosophique de Ayn Rand, “Atlas Shrugged”, traduit sous le titre “La Grève” est l’occasion pour Georges Lane d’inviter François Guillaumat à témoigner de l’effet radical de sa lecture sur un économiste alors à la recherche de ses moyens de preuve.
Le roman réussit le tour de force, par les moyens d’une fiction romanesque décrivant l’effondrement d’une société qui refuse de le reconnaître, de prouver que la preuve purement logique, c’est-à-dire philosophique, est non seulement possible mais nécessaire pour distinguer le vrai du faux — c’est-à-dire la correspondance ou non d’un élément de la conscience avec l’absolu d’une réalité qui existe indépendamment de sa pensée.
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Références
Emissions précédentes : Le pseudo-expérimentalisme Au royaume des aveugles.
Archive audio : Claude Tresmontant nous parle du néo-positivisme.
Textes : Anthony de Jasay : “Le réversible n’est pas testable : réflexions sur la pensée politique de Karl Popper” – Nicholas Dyke : Debunking Popper: A Critique of Karl Popper’s Critical Rationalism ; article Liberpédia sur le pseudo-expérimentalisme – Hans-Hermann Hoppe : “Le rationalisme autrichien à l’ère du déclin du positivisme” – Ayn Rand : Introduction to objectivist epistemology – Claude Tresmontant : Le divorce entre la science et la philosophie.

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La publication en français du roman philosophique de Ayn Rand, “Atlas Shrugged”, traduit sous le titre “La Grève” est l’occasion pour Georges Lane d’inviter François Guillaumat à témoigner de l’effet radical de sa lecture sur un économiste alors à la recherche de ses moyens de preuve.
Le roman réussit le tour de force, par les moyens d’une fiction romanesque décrivant l’effondrement d’une société qui refuse de le reconnaître, de prouver que la preuve purement logique, c’est-à-dire philosophique, est non seulement possible mais nécessaire pour distinguer le vrai du faux — c’est-à-dire la correspondance ou non d’un élément de la conscience avec l’absolu d’une réalité qui existe indépendamment de sa pensée.
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Textes : Anthony de Jasay : “Le réversible n’est pas testable : réflexions sur la pensée politique de Karl Popper” – Nicholas Dyke : Debunking Popper: A Critique of Karl Popper’s Critical Rationalism ; article Liberpédia sur le pseudo-expérimentalisme – Hans-Hermann Hoppe : “Le rationalisme autrichien à l’ère du déclin du positivisme” – Ayn Rand : Introduction to objectivist epistemology – Claude Tresmontant : Le divorce entre la science et la philosophie.

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http://lumiere101.com/2011/10/11/lire-atlas-shrugged//feed/01:01:53La publication en français du roman philosophique de Ayn Rand, “Atlas Shrugged”, traduit sous le titre “La Grève” est l’occasion pour Georges Lane d’inviter François Guillaumat à témoigner de l’effet radical de sa lecture sur un économiste alors à la recherche de ses moyens de preuve.
Le roman réussit le tour de force, par les moyens d’une fiction romanesque décrivant l’effondrement d’une société qui refuse de le reconnaître, de prouver que la preuve purement logique, c’est-à-dire philosophique, est non seulement possible mais nécessaire pour distinguer le vrai du faux — c’est-à-dire la correspondance ou non d’un élément de la conscience avec l’absolu d’une réalité qui existe indépendamment de sa pensée.
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Textes : Anthony de Jasay : “Le réversible n’est pas testable : réflexions sur la pensée politique de Karl Popper” – Nicholas Dyke : Debunking Popper: A Critique of Karl Popper’s Critical Rationalism ; article Liberpédia sur le pseudo-expérimentalisme – Hans-Hermann Hoppe : “Le rationalisme autrichien à l’ère du déclin du positivisme” – Ayn Rand : Introduction to objectivist epistemology – Claude Tresmontant : Le divorce entre la science et la philosophie.

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La publication en français du roman philosophique de Ayn Rand, “Atlas Shrugged”, traduit sous le titre “La Grève” est l’occasion pour Georges Lane d’inviter François Guillaumat à témoigner de l’effet radical de sa lecture sur un économiste alors à la recherche de ses moyens de preuve.
Le roman réussit le tour de force, par les moyens d’une fiction romanesque décrivant l’effondrement d’une société qui refuse de le reconnaître, de prouver que la preuve purement logique, c’est-à-dire philosophique, est non seulement possible mais nécessaire pour distinguer le vrai du faux — c’est-à-dire la correspondance ou non d’un élément de la conscience avec l’absolu d’une réalité qui existe indépendamment de sa pensée.
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Textes : Anthony de Jasay : “Le réversible n’est pas testable : réflexions sur la pensée politique de Karl Popper” – Nicholas Dyke : Debunking Popper: A Critique of Karl Popper’s Critical Rationalism ; article Liberpédia sur le pseudo-expérimentalisme – Hans-Hermann Hoppe : “Le rationalisme autrichien à l’ère du déclin du positivisme” – Ayn Rand : Introduction to objectivist epistemology – Claude Tresmontant : Le divorce entre la science et la philosophie.

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La proie pour l’ombre32110820-la_proie_pour_l_ombre.mp3http://lumiere101.com/2011/08/20/la-proie-pour-l%e2%80%99ombre/http://lumiere101.com/2011/08/20/la-proie-pour-l%e2%80%99ombre/#commentsSat, 20 Aug 2011 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2011/08/20/la-proie-pour-l%e2%80%99ombre/On cherche à marginaliser l’école “autrichienne” d’économie - qui prolonge la grande tradition de l’école “française” des XVIIIe et XIXe siècles, parce que, étant la seule qui se soumet aux disciplines de la logique, elle ne cesse de démontrer le caractère purement destructeur de toute intervention de l’État.
Tergiversation et mauvaise foi face à ces conclusions ont donné l’occasion d’épisodes récents où l’on a vu :- un maître de l’école autrichienne renier celle-ci pour les habituelles fausses raisons, et manquer sa réfutation du keynésianisme, - un Charlatan Ordinaire défendu par un ingénieur — au nom de la “science” ? dans son refus de tenir compte de faits reconnus depuis 140 ans,- et un autre professeur qui semble, depuis une trentaine d’années, avoir cessé de réfléchir aux meilleures manières d’exercer son métier.

Références :
Émissions précédentes : Le Charlatanisme Ordinaire; Le Décalogue du Charlatanisme Ordinaire en économie : Commandements 1 à 5, Commandements 6 à 10; Le charlatanisme keynésien;
Le monétarisme
; Sur une erreur incompréhensible de Murray Rothbard; La prétendue “comptabilité publique” n’est pas une comptabilité; Rendre à César….

Enregistrements : BBC 4: Keynes Vs. Hayek; Institut Turgot : Le 30 juin 2011 : “Sortir de l’euro : le bon scénario”, séminaire avec Jean-Jacques Rosa.

Textes : Le pseudo-expérimentalisme; George Selgin: “Me, Murray and Milton”; Rémy Prudhomme : Les trois péchés originels de la taxe carbone; Hans-Hermann Hoppe: The Intellectual Cover for Socialism.

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On cherche à marginaliser l’école “autrichienne” d’économie - qui prolonge la grande tradition de l’école “française” des XVIIIe et XIXe siècles, parce que, étant la seule qui se soumet aux disciplines de la logique, elle ne cesse de démontrer le caractère purement destructeur de toute intervention de l’État.
Tergiversation et mauvaise foi face à ces conclusions ont donné l’occasion d’épisodes récents où l’on a vu :- un maître de l’école autrichienne renier celle-ci pour les habituelles fausses raisons, et manquer sa réfutation du keynésianisme, - un Charlatan Ordinaire défendu par un ingénieur — au nom de la “science” ? dans son refus de tenir compte de faits reconnus depuis 140 ans,- et un autre professeur qui semble, depuis une trentaine d’années, avoir cessé de réfléchir aux meilleures manières d’exercer son métier.

Références :
Émissions précédentes : Le Charlatanisme Ordinaire; Le Décalogue du Charlatanisme Ordinaire en économie : Commandements 1 à 5, Commandements 6 à 10; Le charlatanisme keynésien;
Le monétarisme
; Sur une erreur incompréhensible de Murray Rothbard; La prétendue “comptabilité publique” n’est pas une comptabilité; Rendre à César….

Enregistrements : BBC 4: Keynes Vs. Hayek; Institut Turgot : Le 30 juin 2011 : “Sortir de l’euro : le bon scénario”, séminaire avec Jean-Jacques Rosa.

Textes : Le pseudo-expérimentalisme; George Selgin: “Me, Murray and Milton”; Rémy Prudhomme : Les trois péchés originels de la taxe carbone; Hans-Hermann Hoppe: The Intellectual Cover for Socialism.

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http://lumiere101.com/2011/08/20/la-proie-pour-l%e2%80%99ombre//feed/01:21:26On cherche à marginaliser l’école “autrichienne” d’économie - qui prolonge la grande tradition de l’école “française” des XVIIIe et XIXe siècles, parce que, étant la seule qui se soumet aux disciplines de la logique, elle ne cesse de démontrer le caractère purement destructeur de toute intervention de l’État.
Tergiversation et mauvaise foi face à ces conclusions ont donné l’occasion d’épisodes récents où l’on a vu :- un maître de l’école autrichienne renier celle-ci pour les habituelles fausses raisons, et manquer sa réfutation du keynésianisme, - un Charlatan Ordinaire défendu par un ingénieur — au nom de la “science” ? dans son refus de tenir compte de faits reconnus depuis 140 ans,- et un autre professeur qui semble, depuis une trentaine d’années, avoir cessé de réfléchir aux meilleures manières d’exercer son métier.

Références :
Émissions précédentes : Le Charlatanisme Ordinaire; Le Décalogue du Charlatanisme Ordinaire en économie : Commandements 1 à 5, Commandements 6 à 10; Le charlatanisme keynésien;
Le monétarisme
; Sur une erreur incompréhensible de Murray Rothbard; La prétendue “comptabilité publique” n’est pas une comptabilité; Rendre à César….

Enregistrements : BBC 4: Keynes Vs. Hayek; Institut Turgot : Le 30 juin 2011 : “Sortir de l’euro : le bon scénario”, séminaire avec Jean-Jacques Rosa.

Textes : Le pseudo-expérimentalisme; George Selgin: “Me, Murray and Milton”; Rémy Prudhomme : Les trois péchés originels de la taxe carbone; Hans-Hermann Hoppe: The Intellectual Cover for Socialism.

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On cherche à marginaliser l’école “autrichienne” d’économie - qui prolonge la grande tradition de l’école “française” des XVIIIe et XIXe siècles, parce que, étant la seule qui se soumet aux disciplines de la logique, elle ne cesse de démontrer le caractère purement destructeur de toute intervention de l’État.
Tergiversation et mauvaise foi face à ces conclusions ont donné l’occasion d’épisodes récents où l’on a vu :- un maître de l’école autrichienne renier celle-ci pour les habituelles fausses raisons, et manquer sa réfutation du keynésianisme, - un Charlatan Ordinaire défendu par un ingénieur — au nom de la “science” ? dans son refus de tenir compte de faits reconnus depuis 140 ans,- et un autre professeur qui semble, depuis une trentaine d’années, avoir cessé de réfléchir aux meilleures manières d’exercer son métier.

Références :
Émissions précédentes : Le Charlatanisme Ordinaire; Le Décalogue du Charlatanisme Ordinaire en économie : Commandements 1 à 5, Commandements 6 à 10; Le charlatanisme keynésien;
Le monétarisme
; Sur une erreur incompréhensible de Murray Rothbard; La prétendue “comptabilité publique” n’est pas une comptabilité; Rendre à César….

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Textes : Le pseudo-expérimentalisme; George Selgin: “Me, Murray and Milton”; Rémy Prudhomme : Les trois péchés originels de la taxe carbone; Hans-Hermann Hoppe: The Intellectual Cover for Socialism.

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Le coup d’État monétaire mondial du 15 août 197170110815-le_coup_d_etat_monetaire_mondial_du_15_aout_1971.mp3http://lumiere101.com/2011/08/15/le-coup-detat-monetaire-mondial-du-15-aout-1971/http://lumiere101.com/2011/08/15/le-coup-detat-monetaire-mondial-du-15-aout-1971/#commentsMon, 15 Aug 2011 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2011/08/15/le-coup-detat-monetaire-mondial-du-15-aout-1971/Au cours de ce deuxième entretien François Guillaumat et Georges Lane exposent les conséquences de la décision unilatérale du 15 août 1971. Ce jour-là, Richard Nixon, alors président des États-Unis, suspendit le lien officiel du dollar à l’or et les engagements internationaux correspondants.

Références :
Émissions précédentes : “Le péché monétaire de l’occident”; “Le monétarisme”.

Textes : Kathleen Packard, Nixon Shock Series: “Getting Off Gold, The Gold Standard Now” Lehrman Institute; Ludwig von Mises, “Stabilisation monétaire et politique cyclique”; Friedrich Hayek “Choice in currency : A way to stop inflation”; “Denationalization of Money”.

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Au cours de ce deuxième entretien François Guillaumat et Georges Lane exposent les conséquences de la décision unilatérale du 15 août 1971. Ce jour-là, Richard Nixon, alors président des États-Unis, suspendit le lien officiel du dollar à l’or et les engagements internationaux correspondants.

Références :
Émissions précédentes : “Le péché monétaire de l’occident”; “Le monétarisme”.

Textes : Kathleen Packard, Nixon Shock Series: “Getting Off Gold, The Gold Standard Now” Lehrman Institute; Ludwig von Mises, “Stabilisation monétaire et politique cyclique”; Friedrich Hayek “Choice in currency : A way to stop inflation”; “Denationalization of Money”.

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http://lumiere101.com/2011/08/15/le-coup-detat-monetaire-mondial-du-15-aout-1971//feed/59:04Au cours de ce deuxième entretien François Guillaumat et Georges Lane exposent les conséquences de la décision unilatérale du 15 août 1971. Ce jour-là, Richard Nixon, alors président des États-Unis, suspendit le lien officiel du dollar à l’or et les engagements internationaux correspondants.

Références :
Émissions précédentes : “Le péché monétaire de l’occident”; “Le monétarisme”.

Textes : Kathleen Packard, Nixon Shock Series: “Getting Off Gold, The Gold Standard Now” Lehrman Institute; Ludwig von Mises, “Stabilisation monétaire et politique cyclique”; Friedrich Hayek “Choice in currency : A way to stop inflation”; “Denationalization of Money”.

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Au cours de ce deuxième entretien François Guillaumat et Georges Lane exposent les conséquences de la décision unilatérale du 15 août 1971. Ce jour-là, Richard Nixon, alors président des États-Unis, suspendit le lien officiel du dollar à l’or et les engagements internationaux correspondants.

Références :
Émissions précédentes : “Le péché monétaire de l’occident”; “Le monétarisme”.

Textes : Kathleen Packard, Nixon Shock Series: “Getting Off Gold, The Gold Standard Now” Lehrman Institute; Ludwig von Mises, “Stabilisation monétaire et politique cyclique”; Friedrich Hayek “Choice in currency : A way to stop inflation”; “Denationalization of Money”.

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Le péché monétaire de l’occident20110814-le_peche_monetaire_de_l_occident.mp3http://lumiere101.com/2011/08/14/le-peche-monetaire-de-loccident/http://lumiere101.com/2011/08/14/le-peche-monetaire-de-loccident/#commentsSun, 14 Aug 2011 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2011/08/14/le-peche-monetaire-de-loccident/Au cours de ce premier entretien François Guillaumat et Georges Lane exposent les événements et les évolutions qui ont conduit à la décision unilatérale du 15 août 1971. Ce jour-là, Richard Nixon, alors président des Etats-Unis suspendit le lien officiel du dollar à l’or et les engagements internationaux correspondants.

Références :
Émissions précédentes : “Le monétarisme”; “L’argent caché”.

→ Textes : Kathleen Packard, Nixon Shock Series: “Getting Off Gold, The Gold Standard Now” Lehrman Institute; Georges Lane “Il y a quarante ans, le 15 août 1971 allait survenir avec son cortège de surprises, mais pas pour tout le monde…”; Jacques Rueff “Le Péché monétaire de l’occident”
; Milton Friedman, Anna Jacobson Schwartz, “A monetary history of the United States, 1867-1960″; Ludwig von Mises, “Stabilisation monétaire et politique cyclique”.

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Au cours de ce premier entretien François Guillaumat et Georges Lane exposent les événements et les évolutions qui ont conduit à la décision unilatérale du 15 août 1971. Ce jour-là, Richard Nixon, alors président des Etats-Unis suspendit le lien officiel du dollar à l’or et les engagements internationaux correspondants.

Références :
Émissions précédentes : “Le monétarisme”; “L’argent caché”.

→ Textes : Kathleen Packard, Nixon Shock Series: “Getting Off Gold, The Gold Standard Now” Lehrman Institute; Georges Lane “Il y a quarante ans, le 15 août 1971 allait survenir avec son cortège de surprises, mais pas pour tout le monde…”; Jacques Rueff “Le Péché monétaire de l’occident”
; Milton Friedman, Anna Jacobson Schwartz, “A monetary history of the United States, 1867-1960″; Ludwig von Mises, “Stabilisation monétaire et politique cyclique”.

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http://lumiere101.com/2011/08/14/le-peche-monetaire-de-loccident//feed/01:01:06Au cours de ce premier entretien François Guillaumat et Georges Lane exposent les événements et les évolutions qui ont conduit à la décision unilatérale du 15 août 1971. Ce jour-là, Richard Nixon, alors président des Etats-Unis suspendit le lien officiel du dollar à l’or et les engagements internationaux correspondants.

Références :
Émissions précédentes : “Le monétarisme”; “L’argent caché”.

→ Textes : Kathleen Packard, Nixon Shock Series: “Getting Off Gold, The Gold Standard Now” Lehrman Institute; Georges Lane “Il y a quarante ans, le 15 août 1971 allait survenir avec son cortège de surprises, mais pas pour tout le monde…”; Jacques Rueff “Le Péché monétaire de l’occident”
; Milton Friedman, Anna Jacobson Schwartz, “A monetary history of the United States, 1867-1960″; Ludwig von Mises, “Stabilisation monétaire et politique cyclique”.

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Au cours de ce premier entretien François Guillaumat et Georges Lane exposent les événements et les évolutions qui ont conduit à la décision unilatérale du 15 août 1971. Ce jour-là, Richard Nixon, alors président des Etats-Unis suspendit le lien officiel du dollar à l’or et les engagements internationaux correspondants.

Références :
Émissions précédentes : “Le monétarisme”; “L’argent caché”.

→ Textes : Kathleen Packard, Nixon Shock Series: “Getting Off Gold, The Gold Standard Now” Lehrman Institute; Georges Lane “Il y a quarante ans, le 15 août 1971 allait survenir avec son cortège de surprises, mais pas pour tout le monde…”; Jacques Rueff “Le Péché monétaire de l’occident”
; Milton Friedman, Anna Jacobson Schwartz, “A monetary history of the United States, 1867-1960″; Ludwig von Mises, “Stabilisation monétaire et politique cyclique”.

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Hans-Hermann Hoppe21110722-hans-hermann_hoppe.mp3http://lumiere101.com/2011/07/23/hans-hermann-hoppe/http://lumiere101.com/2011/07/23/hans-hermann-hoppe/#commentsSat, 23 Jul 2011 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2011/07/23/hans-hermann-hoppe/Désigné par Murray Rothbard comme son héritier intellectuel, Hans-Hermann Hoppe avait d’abord été formé à la sociologie marxiste (Habermas) puis au pseudo-expérimentalisme (Popper).
Seulement, il a redécouvert que l’expérience est subordonnée à la logique et, ouvrant la porte de ce monde proprement philosophique, exploré ensuite les énoncés et les principes présupposés par l’action, en plus de ceux qu’impliquent la pensée et la parole.
S’en étant servi pour démontrer que nul ne peut argumenter contre le principe de la propriété de soi sans tomber dans une contradiction, il en a déduit les caractéristiques prévisibles d’une société fondée sur la justice naturelle ainsi démontrée.
C’est lui qui a défini le concept d’”intégration forcée” comme aspect essentiel des usurpations du pouvoir social par les hommes de l’Etat et, par conséquent, comme moyen de réfuter les impostures de leurs Ersatz prétendument “démocratiques”, voire “libéraux”.

Références :
Emissions précédentes : De la certitude et de l’incertitude; Etat minimum et anarcho-capitalisme : le grand écart;L’intégration forcée;

Textes : Hans-Hermann Hoppe : Toutes les traductions en français; Kritik der kausalwissenschaftlichen Sozialforschung; Nathaniel Branden :Le vol de concepts; Ayn Rand :
Introduction to Objectivist Epistemology.

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Désigné par Murray Rothbard comme son héritier intellectuel, Hans-Hermann Hoppe avait d’abord été formé à la sociologie marxiste (Habermas) puis au pseudo-expérimentalisme (Popper).
Seulement, il a redécouvert que l’expérience est subordonnée à la logique et, ouvrant la porte de ce monde proprement philosophique, exploré ensuite les énoncés et les principes présupposés par l’action, en plus de ceux qu’impliquent la pensée et la parole.
S’en étant servi pour démontrer que nul ne peut argumenter contre le principe de la propriété de soi sans tomber dans une contradiction, il en a déduit les caractéristiques prévisibles d’une société fondée sur la justice naturelle ainsi démontrée.
C’est lui qui a défini le concept d’”intégration forcée” comme aspect essentiel des usurpations du pouvoir social par les hommes de l’Etat et, par conséquent, comme moyen de réfuter les impostures de leurs Ersatz prétendument “démocratiques”, voire “libéraux”.

Références :
Emissions précédentes : De la certitude et de l’incertitude; Etat minimum et anarcho-capitalisme : le grand écart;L’intégration forcée;

Textes : Hans-Hermann Hoppe : Toutes les traductions en français; Kritik der kausalwissenschaftlichen Sozialforschung; Nathaniel Branden :Le vol de concepts; Ayn Rand :
Introduction to Objectivist Epistemology.

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http://lumiere101.com/2011/07/23/hans-hermann-hoppe//feed/01:20:42Désigné par Murray Rothbard comme son héritier intellectuel, Hans-Hermann Hoppe avait d’abord été formé à la sociologie marxiste (Habermas) puis au pseudo-expérimentalisme (Popper).
Seulement, il a redécouvert que l’expérience est subordonnée à la logique et, ouvrant la porte de ce monde proprement philosophique, exploré ensuite les énoncés et les principes présupposés par l’action, en plus de ceux qu’impliquent la pensée et la parole.
S’en étant servi pour démontrer que nul ne peut argumenter contre le principe de la propriété de soi sans tomber dans une contradiction, il en a déduit les caractéristiques prévisibles d’une société fondée sur la justice naturelle ainsi démontrée.
C’est lui qui a défini le concept d’”intégration forcée” comme aspect essentiel des usurpations du pouvoir social par les hommes de l’Etat et, par conséquent, comme moyen de réfuter les impostures de leurs Ersatz prétendument “démocratiques”, voire “libéraux”.

Références :
Emissions précédentes : De la certitude et de l’incertitude; Etat minimum et anarcho-capitalisme : le grand écart;L’intégration forcée;

Textes : Hans-Hermann Hoppe : Toutes les traductions en français; Kritik der kausalwissenschaftlichen Sozialforschung; Nathaniel Branden :Le vol de concepts; Ayn Rand :
Introduction to Objectivist Epistemology.

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Désigné par Murray Rothbard comme son héritier intellectuel, Hans-Hermann Hoppe avait d’abord été formé à la sociologie marxiste (Habermas) puis au pseudo-expérimentalisme (Popper).
Seulement, il a redécouvert que l’expérience est subordonnée à la logique et, ouvrant la porte de ce monde proprement philosophique, exploré ensuite les énoncés et les principes présupposés par l’action, en plus de ceux qu’impliquent la pensée et la parole.
S’en étant servi pour démontrer que nul ne peut argumenter contre le principe de la propriété de soi sans tomber dans une contradiction, il en a déduit les caractéristiques prévisibles d’une société fondée sur la justice naturelle ainsi démontrée.
C’est lui qui a défini le concept d’”intégration forcée” comme aspect essentiel des usurpations du pouvoir social par les hommes de l’Etat et, par conséquent, comme moyen de réfuter les impostures de leurs Ersatz prétendument “démocratiques”, voire “libéraux”.

Références :
Emissions précédentes : De la certitude et de l’incertitude; Etat minimum et anarcho-capitalisme : le grand écart;L’intégration forcée;

Textes : Hans-Hermann Hoppe : Toutes les traductions en français; Kritik der kausalwissenschaftlichen Sozialforschung; Nathaniel Branden :Le vol de concepts; Ayn Rand :
Introduction to Objectivist Epistemology.

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Lumière 101noNo
De la certitude et de l’incertitude22110713-de_la_certitude_et_de_l_incertitude.mp3http://lumiere101.com/2011/07/12/de-la-certitude-et-de-l%e2%80%99incertitude/http://lumiere101.com/2011/07/12/de-la-certitude-et-de-l%e2%80%99incertitude/#commentsTue, 12 Jul 2011 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2011/07/12/de-la-certitude-et-de-l%e2%80%99incertitude/François Guillaumat interroge Georges Lane sur la certitude et l’incertitude, à propos de sa critique d’un texte largement philosophique de l’économiste Hans-Hermann Hoppe.
Il semble bien que seuls les spécialistes de l’incertitude savent vraiment en faire abstraction et que, parmi ses théoriciens, figure Frédéric Bastiat, encore une fois sous-estimé par ses pairs et ses successeurs.

Références :
Emissions précédentes : Rendre à César ; Le monétarisme ; Crise scientifique et crise intellectuelle ; La crise est d’abord une crise scientifique.

Textes : Hans-Hermann Hoppe :De la certitude et de l’incertitude — ou : quelle peut être la rationalité de nos anticipations ? ; Frédéric Bastiat :Les salaires, ch. 14 des Harmonies économiques ; Georges Lane : Bastiat, l’aversion pour l’incertitude et la loi de l’association; Friedrich von Hayek Droit, Législation et liberté, tome 2 : le mirage de la justice sociale, chap 10 ; Murray Rothbard : Vers une reconstruction de la théorie de l’utilité et du bien-être ; Transcription de l’émission : Voleurs de pauvres Pour connaître le temps qu’il fera en juillet : Piers Corbyn, Weather Action.

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François Guillaumat interroge Georges Lane sur la certitude et l’incertitude, à propos de sa critique d’un texte largement philosophique de l’économiste Hans-Hermann Hoppe.
Il semble bien que seuls les spécialistes de l’incertitude savent vraiment en faire abstraction et que, parmi ses théoriciens, figure Frédéric Bastiat, encore une fois sous-estimé par ses pairs et ses successeurs.

Références :
Emissions précédentes : Rendre à César ; Le monétarisme ; Crise scientifique et crise intellectuelle ; La crise est d’abord une crise scientifique.

Textes : Hans-Hermann Hoppe :De la certitude et de l’incertitude — ou : quelle peut être la rationalité de nos anticipations ? ; Frédéric Bastiat :Les salaires, ch. 14 des Harmonies économiques ; Georges Lane : Bastiat, l’aversion pour l’incertitude et la loi de l’association; Friedrich von Hayek Droit, Législation et liberté, tome 2 : le mirage de la justice sociale, chap 10 ; Murray Rothbard : Vers une reconstruction de la théorie de l’utilité et du bien-être ; Transcription de l’émission : Voleurs de pauvres Pour connaître le temps qu’il fera en juillet : Piers Corbyn, Weather Action.

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http://lumiere101.com/2011/07/12/de-la-certitude-et-de-l%e2%80%99incertitude//feed/01:24:13François Guillaumat interroge Georges Lane sur la certitude et l’incertitude, à propos de sa critique d’un texte largement philosophique de l’économiste Hans-Hermann Hoppe.
Il semble bien que seuls les spécialistes de l’incertitude savent vraiment en faire abstraction et que, parmi ses théoriciens, figure Frédéric Bastiat, encore une fois sous-estimé par ses pairs et ses successeurs.

Références :
Emissions précédentes : Rendre à César ; Le monétarisme ; Crise scientifique et crise intellectuelle ; La crise est d’abord une crise scientifique.

Textes : Hans-Hermann Hoppe :De la certitude et de l’incertitude — ou : quelle peut être la rationalité de nos anticipations ? ; Frédéric Bastiat :Les salaires, ch. 14 des Harmonies économiques ; Georges Lane : Bastiat, l’aversion pour l’incertitude et la loi de l’association; Friedrich von Hayek Droit, Législation et liberté, tome 2 : le mirage de la justice sociale, chap 10 ; Murray Rothbard : Vers une reconstruction de la théorie de l’utilité et du bien-être ; Transcription de l’émission : Voleurs de pauvres Pour connaître le temps qu’il fera en juillet : Piers Corbyn, Weather Action.

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François Guillaumat interroge Georges Lane sur la certitude et l’incertitude, à propos de sa critique d’un texte largement philosophique de l’économiste Hans-Hermann Hoppe.
Il semble bien que seuls les spécialistes de l’incertitude savent vraiment en faire abstraction et que, parmi ses théoriciens, figure Frédéric Bastiat, encore une fois sous-estimé par ses pairs et ses successeurs.

Références :
Emissions précédentes : Rendre à César ; Le monétarisme ; Crise scientifique et crise intellectuelle ; La crise est d’abord une crise scientifique.

Textes : Hans-Hermann Hoppe :De la certitude et de l’incertitude — ou : quelle peut être la rationalité de nos anticipations ? ; Frédéric Bastiat :Les salaires, ch. 14 des Harmonies économiques ; Georges Lane : Bastiat, l’aversion pour l’incertitude et la loi de l’association; Friedrich von Hayek Droit, Législation et liberté, tome 2 : le mirage de la justice sociale, chap 10 ; Murray Rothbard : Vers une reconstruction de la théorie de l’utilité et du bien-être ; Transcription de l’émission : Voleurs de pauvres Pour connaître le temps qu’il fera en juillet : Piers Corbyn, Weather Action.

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Lumière 101noNo
L’historicisme23110709-l_historicisme.mp3http://lumiere101.com/2011/07/08/lhistoricisme/http://lumiere101.com/2011/07/08/lhistoricisme/#commentsFri, 08 Jul 2011 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2011/07/08/lhistoricisme/A l’invitation de Georges Lane, François Guillaumat brosse un panorama de l’”historicisme”. Pourquoi cette émission sur l’historicisme alors qu’ils en ont déjà proposé plusieurs qui parlent du pseudo-expérimentalisme dont l’historicisme est une forme ?
Pour dire encore du mal de Karl Popper, et du bien de Carl Menger et Ludwig von Mises ?
C’est surtout que l’historicisme fabrique des charlatans économiques très convaincants, parce que leur fausse méthode les conduit à énoncer force “faits” dans un domaine spécialisé où ce sont eux qui sont au niveau de compréhension du public profane.

Émissions précédentes : Le pseudo-expérimentalisme ; Ludwig von Mises (1) La praxéologie
Textes : Compte-rendu de “Misère de l’historicisme” ; Samuel Bostaph : Le débat méthodologique entre Carl Menger et les historicistes allemands.
Liberpédia : Le pseudo-expérimentalisme

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A l’invitation de Georges Lane, François Guillaumat brosse un panorama de l’”historicisme”. Pourquoi cette émission sur l’historicisme alors qu’ils en ont déjà proposé plusieurs qui parlent du pseudo-expérimentalisme dont l’historicisme est une forme ?
Pour dire encore du mal de Karl Popper, et du bien de Carl Menger et Ludwig von Mises ?
C’est surtout que l’historicisme fabrique des charlatans économiques très convaincants, parce que leur fausse méthode les conduit à énoncer force “faits” dans un domaine spécialisé où ce sont eux qui sont au niveau de compréhension du public profane.

Émissions précédentes : Le pseudo-expérimentalisme ; Ludwig von Mises (1) La praxéologie
Textes : Compte-rendu de “Misère de l’historicisme” ; Samuel Bostaph : Le débat méthodologique entre Carl Menger et les historicistes allemands.
Liberpédia : Le pseudo-expérimentalisme

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http://lumiere101.com/2011/07/08/lhistoricisme//feed/01:17:17A l’invitation de Georges Lane, François Guillaumat brosse un panorama de l’”historicisme”. Pourquoi cette émission sur l’historicisme alors qu’ils en ont déjà proposé plusieurs qui parlent du pseudo-expérimentalisme dont l’historicisme est une forme ?
Pour dire encore du mal de Karl Popper, et du bien de Carl Menger et Ludwig von Mises ?
C’est surtout que l’historicisme fabrique des charlatans économiques très convaincants, parce que leur fausse méthode les conduit à énoncer force “faits” dans un domaine spécialisé où ce sont eux qui sont au niveau de compréhension du public profane.

Émissions précédentes : Le pseudo-expérimentalisme ; Ludwig von Mises (1) La praxéologie
Textes : Compte-rendu de “Misère de l’historicisme” ; Samuel Bostaph : Le débat méthodologique entre Carl Menger et les historicistes allemands.
Liberpédia : Le pseudo-expérimentalisme

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A l’invitation de Georges Lane, François Guillaumat brosse un panorama de l’”historicisme”. Pourquoi cette émission sur l’historicisme alors qu’ils en ont déjà proposé plusieurs qui parlent du pseudo-expérimentalisme dont l’historicisme est une forme ?
Pour dire encore du mal de Karl Popper, et du bien de Carl Menger et Ludwig von Mises ?
C’est surtout que l’historicisme fabrique des charlatans économiques très convaincants, parce que leur fausse méthode les conduit à énoncer force “faits” dans un domaine spécialisé où ce sont eux qui sont au niveau de compréhension du public profane.

Émissions précédentes : Le pseudo-expérimentalisme ; Ludwig von Mises (1) La praxéologie
Textes : Compte-rendu de “Misère de l’historicisme” ; Samuel Bostaph : Le débat méthodologique entre Carl Menger et les historicistes allemands.
Liberpédia : Le pseudo-expérimentalisme

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Lumière 101noNo
Le monétarisme24110610-le_monetarisme.mp3http://lumiere101.com/2011/06/10/le-monetarisme/http://lumiere101.com/2011/06/10/le-monetarisme/#commentsFri, 10 Jun 2011 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2011/06/10/le-monetarisme/François Guillaumat interroge Georges Lane sur le monétarisme.
Au-delà des évidences rationnelles qu’on lui associe mais qui ne lui sont pas propres — l’inflation est un phénomène monétaire, ce sont l’offre et la demande de monnaie qui déterminent la dépense totale, n’importe quelle quantité de monnaie peut rendre tous les services de la monnaie, les entrepreneurs font de leur mieux pour prévoir l’état à venir de l’économie — le monétarisme est-il autre chose qu’une série de travaux historiques pour tenter de définir les conditions d’une politique monétaire au lieu de contester celle-ci dans son principe ?

Enregistrements précédents :
La vie et l’œuvre de Milton Friedman
Ludwig von Mises 2 : la monnaie
La monnaie (1)
La monnaie (2)

Textes:
David Laidler: From bimetallism to monetarism: the shifting political affiliation of the quantity theory
Le pseudo-expérimentalisme
W. Hafer et David C. Wheelock : “The Rise and Fall of a Policy Rule: Monetarism at the St. Louis Fed, 1968-1986”
M. C. Anderson : “The State of the Monetarist Debate”
Leonall C. Andersen et Jerry L. Jordan : “Monetary and Fiscal Actions: A Test of Their Relative Importance in Economic Stabilization”.

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François Guillaumat interroge Georges Lane sur le monétarisme.
Au-delà des évidences rationnelles qu’on lui associe mais qui ne lui sont pas propres — l’inflation est un phénomène monétaire, ce sont l’offre et la demande de monnaie qui déterminent la dépense totale, n’importe quelle quantité de monnaie peut rendre tous les services de la monnaie, les entrepreneurs font de leur mieux pour prévoir l’état à venir de l’économie — le monétarisme est-il autre chose qu’une série de travaux historiques pour tenter de définir les conditions d’une politique monétaire au lieu de contester celle-ci dans son principe ?

Enregistrements précédents :
La vie et l’œuvre de Milton Friedman
Ludwig von Mises 2 : la monnaie
La monnaie (1)
La monnaie (2)

Textes:
David Laidler: From bimetallism to monetarism: the shifting political affiliation of the quantity theory
Le pseudo-expérimentalisme
W. Hafer et David C. Wheelock : “The Rise and Fall of a Policy Rule: Monetarism at the St. Louis Fed, 1968-1986”
M. C. Anderson : “The State of the Monetarist Debate”
Leonall C. Andersen et Jerry L. Jordan : “Monetary and Fiscal Actions: A Test of Their Relative Importance in Economic Stabilization”.

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http://lumiere101.com/2011/06/10/le-monetarisme//feed/01:10:52François Guillaumat interroge Georges Lane sur le monétarisme.
Au-delà des évidences rationnelles qu’on lui associe mais qui ne lui sont pas propres — l’inflation est un phénomène monétaire, ce sont l’offre et la demande de monnaie qui déterminent la dépense totale, n’importe quelle quantité de monnaie peut rendre tous les services de la monnaie, les entrepreneurs font de leur mieux pour prévoir l’état à venir de l’économie — le monétarisme est-il autre chose qu’une série de travaux historiques pour tenter de définir les conditions d’une politique monétaire au lieu de contester celle-ci dans son principe ?

Enregistrements précédents :
La vie et l’œuvre de Milton Friedman
Ludwig von Mises 2 : la monnaie
La monnaie (1)
La monnaie (2)

Textes:
David Laidler: From bimetallism to monetarism: the shifting political affiliation of the quantity theory
Le pseudo-expérimentalisme
W. Hafer et David C. Wheelock : “The Rise and Fall of a Policy Rule: Monetarism at the St. Louis Fed, 1968-1986”
M. C. Anderson : “The State of the Monetarist Debate”
Leonall C. Andersen et Jerry L. Jordan : “Monetary and Fiscal Actions: A Test of Their Relative Importance in Economic Stabilization”.

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François Guillaumat interroge Georges Lane sur le monétarisme.
Au-delà des évidences rationnelles qu’on lui associe mais qui ne lui sont pas propres — l’inflation est un phénomène monétaire, ce sont l’offre et la demande de monnaie qui déterminent la dépense totale, n’importe quelle quantité de monnaie peut rendre tous les services de la monnaie, les entrepreneurs font de leur mieux pour prévoir l’état à venir de l’économie — le monétarisme est-il autre chose qu’une série de travaux historiques pour tenter de définir les conditions d’une politique monétaire au lieu de contester celle-ci dans son principe ?

Enregistrements précédents :
La vie et l’œuvre de Milton Friedman
Ludwig von Mises 2 : la monnaie
La monnaie (1)
La monnaie (2)

Textes:
David Laidler: From bimetallism to monetarism: the shifting political affiliation of the quantity theory
Le pseudo-expérimentalisme
W. Hafer et David C. Wheelock : “The Rise and Fall of a Policy Rule: Monetarism at the St. Louis Fed, 1968-1986”
M. C. Anderson : “The State of the Monetarist Debate”
Leonall C. Andersen et Jerry L. Jordan : “Monetary and Fiscal Actions: A Test of Their Relative Importance in Economic Stabilization”.

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Lumière 101noNo
Nouvelles de la trahison25110426-nouvelles_de_la_trahison.mp3http://lumiere101.com/2011/04/26/nouvelles-de-la-trahison/http://lumiere101.com/2011/04/26/nouvelles-de-la-trahison/#commentsTue, 26 Apr 2011 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2011/04/26/nouvelles-de-la-trahison/La Constitution américaine, censée protéger le peuple contre la prédation de la classe dirigeante, est depuis un siècle l’objet d’attaques de la part des socialistes, qui atteignent aujourd’hui un paroxysme.
Face à ces assauts, le vote par la Chambre des représentants du budget résiduel pour 2011 traduit une nouvelle trahison de son électorat par la direction du Parti Républicain.

Références :
Emissions précédentes : “Les Etats-Unis deviendront-ils une autre pseudo-démocratie socialiste?”
Textes :
Angelo Codevilla : “La classe dirigeante américaine et les périls de la révolution” ; Ann Coulter: “Slander” ; Emmerich de Vattel : “Le Droit des Gens ou les principes de la loi naturelle”, Livre 1, Chapitre 19, §§ 212 et 217 (la source est suspecte, le texte est authentique); John Charlton: “4 Supreme Court Cases define “natural born citizen.”

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La Constitution américaine, censée protéger le peuple contre la prédation de la classe dirigeante, est depuis un siècle l’objet d’attaques de la part des socialistes, qui atteignent aujourd’hui un paroxysme.
Face à ces assauts, le vote par la Chambre des représentants du budget résiduel pour 2011 traduit une nouvelle trahison de son électorat par la direction du Parti Républicain.

Références :
Emissions précédentes : “Les Etats-Unis deviendront-ils une autre pseudo-démocratie socialiste?”
Textes :
Angelo Codevilla : “La classe dirigeante américaine et les périls de la révolution” ; Ann Coulter: “Slander” ; Emmerich de Vattel : “Le Droit des Gens ou les principes de la loi naturelle”, Livre 1, Chapitre 19, §§ 212 et 217 (la source est suspecte, le texte est authentique); John Charlton: “4 Supreme Court Cases define “natural born citizen.”

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http://lumiere101.com/2011/04/26/nouvelles-de-la-trahison//feed/01:39:19La Constitution américaine, censée protéger le peuple contre la prédation de la classe dirigeante, est depuis un siècle l’objet d’attaques de la part des socialistes, qui atteignent aujourd’hui un paroxysme.
Face à ces assauts, le vote par la Chambre des représentants du budget résiduel pour 2011 traduit une nouvelle trahison de son électorat par la direction du Parti Républicain.

Références :
Emissions précédentes : “Les Etats-Unis deviendront-ils une autre pseudo-démocratie socialiste?”
Textes :
Angelo Codevilla : “La classe dirigeante américaine et les périls de la révolution” ; Ann Coulter: “Slander” ; Emmerich de Vattel : “Le Droit des Gens ou les principes de la loi naturelle”, Livre 1, Chapitre 19, §§ 212 et 217 (la source est suspecte, le texte est authentique); John Charlton: “4 Supreme Court Cases define “natural born citizen.”

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La Constitution américaine, censée protéger le peuple contre la prédation de la classe dirigeante, est depuis un siècle l’objet d’attaques de la part des socialistes, qui atteignent aujourd’hui un paroxysme.
Face à ces assauts, le vote par la Chambre des représentants du budget résiduel pour 2011 traduit une nouvelle trahison de son électorat par la direction du Parti Républicain.

Références :
Emissions précédentes : “Les Etats-Unis deviendront-ils une autre pseudo-démocratie socialiste?”
Textes :
Angelo Codevilla : “La classe dirigeante américaine et les périls de la révolution” ; Ann Coulter: “Slander” ; Emmerich de Vattel : “Le Droit des Gens ou les principes de la loi naturelle”, Livre 1, Chapitre 19, §§ 212 et 217 (la source est suspecte, le texte est authentique); John Charlton: “4 Supreme Court Cases define “natural born citizen.”

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Lumière 101noNo
Henri Poincaré : leçons pour les économistes26110412-henri_poincare_leçons_pour_les_economistes.mp3http://lumiere101.com/2011/04/13/henri-poincare-lecons-pour-les-economistes/http://lumiere101.com/2011/04/13/henri-poincare-lecons-pour-les-economistes/#commentsWed, 13 Apr 2011 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2011/04/13/henri-poincare-lecons-pour-les-economistes/Il y a un peu plus d’un siècle, en 1908, Henri Poincaré, le grand mathématicien français, publiait “Science et méthode” : il y critiquait, entre autres, les mathématiciens qui prétendaient inventer des définitions complètement détachées de l’expérience.
Georges Lane et François Guillaumat développent les analogies que ce débat leur inspire, notamment à propos de “l’équilibre économique”.

Emissions précédentes :
“Prouver statistiquement que deux et deux font cinq”; “Les sophismes comptables”
Textes :
Henri Poincaré : “Science et méthode” (extraits) ; Leonard Peikoff : “La dichotomie analytique-synthétique” ; Nathaniel Branden : “Le vol de concepts” ; Liberpédia : “Le pseudo-expérimentalisme”

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Il y a un peu plus d’un siècle, en 1908, Henri Poincaré, le grand mathématicien français, publiait “Science et méthode” : il y critiquait, entre autres, les mathématiciens qui prétendaient inventer des définitions complètement détachées de l’expérience.
Georges Lane et François Guillaumat développent les analogies que ce débat leur inspire, notamment à propos de “l’équilibre économique”.

Emissions précédentes :
“Prouver statistiquement que deux et deux font cinq”; “Les sophismes comptables”
Textes :
Henri Poincaré : “Science et méthode” (extraits) ; Leonard Peikoff : “La dichotomie analytique-synthétique” ; Nathaniel Branden : “Le vol de concepts” ; Liberpédia : “Le pseudo-expérimentalisme”

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http://lumiere101.com/2011/04/13/henri-poincare-lecons-pour-les-economistes//feed/50:14Il y a un peu plus d’un siècle, en 1908, Henri Poincaré, le grand mathématicien français, publiait “Science et méthode” : il y critiquait, entre autres, les mathématiciens qui prétendaient inventer des définitions complètement détachées de l’expérience.
Georges Lane et François Guillaumat développent les analogies que ce débat leur inspire, notamment à propos de “l’équilibre économique”.

Emissions précédentes :
“Prouver statistiquement que deux et deux font cinq”; “Les sophismes comptables”
Textes :
Henri Poincaré : “Science et méthode” (extraits) ; Leonard Peikoff : “La dichotomie analytique-synthétique” ; Nathaniel Branden : “Le vol de concepts” ; Liberpédia : “Le pseudo-expérimentalisme”

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Il y a un peu plus d’un siècle, en 1908, Henri Poincaré, le grand mathématicien français, publiait “Science et méthode” : il y critiquait, entre autres, les mathématiciens qui prétendaient inventer des définitions complètement détachées de l’expérience.
Georges Lane et François Guillaumat développent les analogies que ce débat leur inspire, notamment à propos de “l’équilibre économique”.

Emissions précédentes :
“Prouver statistiquement que deux et deux font cinq”; “Les sophismes comptables”
Textes :
Henri Poincaré : “Science et méthode” (extraits) ; Leonard Peikoff : “La dichotomie analytique-synthétique” ; Nathaniel Branden : “Le vol de concepts” ; Liberpédia : “Le pseudo-expérimentalisme”

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Lumière 101noNo
Hayek 3 Le théoricien de la conjoncture27110330-hayek_(3)_le_theoricien_de_la_conjoncture.mp3http://lumiere101.com/2011/03/30/hayek-3-le-theoricien-de-la-conjoncture/http://lumiere101.com/2011/03/30/hayek-3-le-theoricien-de-la-conjoncture/#commentsWed, 30 Mar 2011 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2011/03/30/hayek-3-le-theoricien-de-la-conjoncture/Georges Lane a invité François Guillaumat à exposer la théorie de la conjoncture de Friedrich von Hayek, une théorie pour laquelle celui-ci n’a pas volé son “prix Nobel” d’économie.
Le comité Nobel lui a en effet décerné le prix en 1974 en tant que représentant de l’«école de la conjoncture » française, puis autrichienne et suédoise, seule vraie et périodiquement redécouverte, mais oubliée entretemps au profit de charlataneries politiquement correctes.
Dans ce cadre, Hayek en a profité pour familiariser et prôner la concurrence des monnaies.

Références

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Georges Lane a invité François Guillaumat à exposer la théorie de la conjoncture de Friedrich von Hayek, une théorie pour laquelle celui-ci n’a pas volé son “prix Nobel” d’économie.
Le comité Nobel lui a en effet décerné le prix en 1974 en tant que représentant de l’«école de la conjoncture » française, puis autrichienne et suédoise, seule vraie et périodiquement redécouverte, mais oubliée entretemps au profit de charlataneries politiquement correctes.
Dans ce cadre, Hayek en a profité pour familiariser et prôner la concurrence des monnaies.

Références

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http://lumiere101.com/2011/03/30/hayek-3-le-theoricien-de-la-conjoncture//feed/47:06Georges Lane a invité François Guillaumat à exposer la théorie de la conjoncture de Friedrich von Hayek, une théorie pour laquelle celui-ci n’a pas volé son “prix Nobel” d’économie.
Le comité Nobel lui a en effet décerné le prix en 1974 en tant que représentant de l’«école de la conjoncture » française, puis autrichienne et suédoise, seule vraie et périodiquement redécouverte, mais oubliée entretemps au profit de charlataneries politiquement correctes.
Dans ce cadre, Hayek en a profité pour familiariser et prôner la concurrence des monnaies.

Références

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Georges Lane a invité François Guillaumat à exposer la théorie de la conjoncture de Friedrich von Hayek, une théorie pour laquelle celui-ci n’a pas volé son “prix Nobel” d’économie.
Le comité Nobel lui a en effet décerné le prix en 1974 en tant que représentant de l’«école de la conjoncture » française, puis autrichienne et suédoise, seule vraie et périodiquement redécouverte, mais oubliée entretemps au profit de charlataneries politiquement correctes.
Dans ce cadre, Hayek en a profité pour familiariser et prôner la concurrence des monnaies.

Références

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Lumière 101noNo
Hayek 2 Le théoricien du Droit28110319-hayek_(2)_le_theoricien_du_droit.mp3http://lumiere101.com/2011/03/20/hayek-2-le-theoricien-du-droit/http://lumiere101.com/2011/03/20/hayek-2-le-theoricien-du-droit/#commentsSat, 19 Mar 2011 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2011/03/20/hayek-2-le-theoricien-du-droit/Friedrich Hayek était un théoricien du droit naturel qui curieusement ne se reconnaissait pas comme tel.
François Guillaumat et Georges Lane présentent d’abord sa description de la manière dont les règles de Droit traduisent l’expérience et les réflexions progressivement accumulées par les juristes, puis la façon dont cette sagesse a été mise en cause par des “savants” - sans culture humaniste - qui ne les comprenaient pas, et enfin les développements que l’on peut tirer des réflexions.

Références

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Friedrich Hayek était un théoricien du droit naturel qui curieusement ne se reconnaissait pas comme tel.
François Guillaumat et Georges Lane présentent d’abord sa description de la manière dont les règles de Droit traduisent l’expérience et les réflexions progressivement accumulées par les juristes, puis la façon dont cette sagesse a été mise en cause par des “savants” - sans culture humaniste - qui ne les comprenaient pas, et enfin les développements que l’on peut tirer des réflexions.

Références

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http://lumiere101.com/2011/03/20/hayek-2-le-theoricien-du-droit//feed/01:19:05Friedrich Hayek était un théoricien du droit naturel qui curieusement ne se reconnaissait pas comme tel.
François Guillaumat et Georges Lane présentent d’abord sa description de la manière dont les règles de Droit traduisent l’expérience et les réflexions progressivement accumulées par les juristes, puis la façon dont cette sagesse a été mise en cause par des “savants” - sans culture humaniste - qui ne les comprenaient pas, et enfin les développements que l’on peut tirer des réflexions.

Références

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Friedrich Hayek était un théoricien du droit naturel qui curieusement ne se reconnaissait pas comme tel.
François Guillaumat et Georges Lane présentent d’abord sa description de la manière dont les règles de Droit traduisent l’expérience et les réflexions progressivement accumulées par les juristes, puis la façon dont cette sagesse a été mise en cause par des “savants” - sans culture humaniste - qui ne les comprenaient pas, et enfin les développements que l’on peut tirer des réflexions.

Références

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Lumière 101noNo
Hayek 1 Le théoricien de l’information29110317-hayek_(1)_le_theoricien_de_l_information.mp3http://lumiere101.com/2011/03/17/hayek-1-le-theoricien-de-linformation/http://lumiere101.com/2011/03/17/hayek-1-le-theoricien-de-linformation/#commentsThu, 17 Mar 2011 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2011/03/17/hayek-1-le-theoricien-de-linformation/Georges Lane et François Guillaumat rendent compte de la critique de la planification centrale par Friedrich Hayek, de sa description du marché comme un système irremplaçable d’interaction entre les cerveaux, et son insistance sur l’information unique, souvent intransmissible voire inconsciente, que chacun possède.

Émissions précédentes :
La “régulation” par l’État est impossible ; L’illusion fiscale
Texte :
Israel Kirzner : ”Les dangers de la règlementation”

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Georges Lane et François Guillaumat rendent compte de la critique de la planification centrale par Friedrich Hayek, de sa description du marché comme un système irremplaçable d’interaction entre les cerveaux, et son insistance sur l’information unique, souvent intransmissible voire inconsciente, que chacun possède.

Émissions précédentes :
La “régulation” par l’État est impossible ; L’illusion fiscale
Texte :
Israel Kirzner : ”Les dangers de la règlementation”

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http://lumiere101.com/2011/03/17/hayek-1-le-theoricien-de-linformation//feed/56:11Georges Lane et François Guillaumat rendent compte de la critique de la planification centrale par Friedrich Hayek, de sa description du marché comme un système irremplaçable d’interaction entre les cerveaux, et son insistance sur l’information unique, souvent intransmissible voire inconsciente, que chacun possède.

Émissions précédentes :
La “régulation” par l’État est impossible ; L’illusion fiscale
Texte :
Israel Kirzner : ”Les dangers de la règlementation”

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Georges Lane et François Guillaumat rendent compte de la critique de la planification centrale par Friedrich Hayek, de sa description du marché comme un système irremplaçable d’interaction entre les cerveaux, et son insistance sur l’information unique, souvent intransmissible voire inconsciente, que chacun possède.

Émissions précédentes :
La “régulation” par l’État est impossible ; L’illusion fiscale
Texte :
Israel Kirzner : ”Les dangers de la règlementation”

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Lumière 101noNo
Le décalogue du charlatanisme ordinaire en économie 230110311-le_decalogue_du_charlatanisme_ordinaire_en_economie_2.mp3http://lumiere101.com/2011/03/11/le-decalogue-du-charlatanisme-ordinaire-en-economie-2/http://lumiere101.com/2011/03/11/le-decalogue-du-charlatanisme-ordinaire-en-economie-2/#commentsFri, 11 Mar 2011 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2011/03/11/le-decalogue-du-charlatanisme-ordinaire-en-economie-2/Le Charlatanisme Ordinaire est un consensus tacite entre économistes pour ne tirer aucune conséquence de faits connus, reconnus et même expressément professés par tous, parce que la prise en compte d’un seul suffit à démontrer l’inanité de toutes les politiques publiques.

Les Cinq Derniers Commandements du Charlatan Ordinaire en économie sont : 6. Tu méconnaîtras que la redistribution politique est par définition une violence que les puissants font aux faibles. 7. Tu ne tiendras aucun compte des lois de l’incidence fiscale et de la protection effective. 8. Tu feras comme si l’action politique pouvait apporter des profits certains. 9. Tu ne sauras pas que la redistribution politique détruit autant de richesses qu’elle en vole. 10. Tu n’étudieras pas l’action humaine mais ses effets et ses “déterminants” supposés, sans tirer les conséquences du fait qu’elle est le produit de la pensée.

Première partie
Compléments et références

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Le Charlatanisme Ordinaire est un consensus tacite entre économistes pour ne tirer aucune conséquence de faits connus, reconnus et même expressément professés par tous, parce que la prise en compte d’un seul suffit à démontrer l’inanité de toutes les politiques publiques.

Les Cinq Derniers Commandements du Charlatan Ordinaire en économie sont : 6. Tu méconnaîtras que la redistribution politique est par définition une violence que les puissants font aux faibles. 7. Tu ne tiendras aucun compte des lois de l’incidence fiscale et de la protection effective. 8. Tu feras comme si l’action politique pouvait apporter des profits certains. 9. Tu ne sauras pas que la redistribution politique détruit autant de richesses qu’elle en vole. 10. Tu n’étudieras pas l’action humaine mais ses effets et ses “déterminants” supposés, sans tirer les conséquences du fait qu’elle est le produit de la pensée.

Première partie
Compléments et références

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http://lumiere101.com/2011/03/11/le-decalogue-du-charlatanisme-ordinaire-en-economie-2//feed/50:30Le Charlatanisme Ordinaire est un consensus tacite entre économistes pour ne tirer aucune conséquence de faits connus, reconnus et même expressément professés par tous, parce que la prise en compte d’un seul suffit à démontrer l’inanité de toutes les politiques publiques.

Les Cinq Derniers Commandements du Charlatan Ordinaire en économie sont : 6. Tu méconnaîtras que la redistribution politique est par définition une violence que les puissants font aux faibles. 7. Tu ne tiendras aucun compte des lois de l’incidence fiscale et de la protection effective. 8. Tu feras comme si l’action politique pouvait apporter des profits certains. 9. Tu ne sauras pas que la redistribution politique détruit autant de richesses qu’elle en vole. 10. Tu n’étudieras pas l’action humaine mais ses effets et ses “déterminants” supposés, sans tirer les conséquences du fait qu’elle est le produit de la pensée.

Première partie
Compléments et références

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Le Charlatanisme Ordinaire est un consensus tacite entre économistes pour ne tirer aucune conséquence de faits connus, reconnus et même expressément professés par tous, parce que la prise en compte d’un seul suffit à démontrer l’inanité de toutes les politiques publiques.

Les Cinq Derniers Commandements du Charlatan Ordinaire en économie sont : 6. Tu méconnaîtras que la redistribution politique est par définition une violence que les puissants font aux faibles. 7. Tu ne tiendras aucun compte des lois de l’incidence fiscale et de la protection effective. 8. Tu feras comme si l’action politique pouvait apporter des profits certains. 9. Tu ne sauras pas que la redistribution politique détruit autant de richesses qu’elle en vole. 10. Tu n’étudieras pas l’action humaine mais ses effets et ses “déterminants” supposés, sans tirer les conséquences du fait qu’elle est le produit de la pensée.

Première partie
Compléments et références

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Lumière 101noNo
Le décalogue du charlatanisme ordinaire en économie 131110309-le_decalogue_du_charlatanisme_ordinaire_en_economie_1.mp3http://lumiere101.com/2011/03/09/le-decalogue-du-charlatanisme-ordinaire-en-economie-1/http://lumiere101.com/2011/03/09/le-decalogue-du-charlatanisme-ordinaire-en-economie-1/#commentsWed, 09 Mar 2011 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2011/03/09/le-decalogue-du-charlatanisme-ordinaire-en-economie-1/Le Charlatanisme Ordinaire est un consensus tacite entre économistes pour ne tirer aucune conséquence de faits connus, reconnus et même expressément professés par tous, parce que la prise en compte d’un seul suffit à démontrer l’inanité de toutes les politiques publiques.
Les Cinq Premiers Commandements du Charlatan Ordinaire en économie sont :
1. Tu feras semblant de mesurer la valeur là où elle n’est pas mesurable.
2. Tu traiteras la propriété à la fois comme si elle existait et comme si elle n’existait pas.
3. Tu gloseras sur l’inconnaissable comme si c’était de la science.
4. Tu raisonneras sur la violence comme si elle pouvait faire autre chose que détruire.
5. Tu prendras les hommes de l’État pour un “deus ex machina”.

Compléments et références

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Le Charlatanisme Ordinaire est un consensus tacite entre économistes pour ne tirer aucune conséquence de faits connus, reconnus et même expressément professés par tous, parce que la prise en compte d’un seul suffit à démontrer l’inanité de toutes les politiques publiques.
Les Cinq Premiers Commandements du Charlatan Ordinaire en économie sont :
1. Tu feras semblant de mesurer la valeur là où elle n’est pas mesurable.
2. Tu traiteras la propriété à la fois comme si elle existait et comme si elle n’existait pas.
3. Tu gloseras sur l’inconnaissable comme si c’était de la science.
4. Tu raisonneras sur la violence comme si elle pouvait faire autre chose que détruire.
5. Tu prendras les hommes de l’État pour un “deus ex machina”.

Compléments et références

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http://lumiere101.com/2011/03/09/le-decalogue-du-charlatanisme-ordinaire-en-economie-1//feed/01:09:07Le Charlatanisme Ordinaire est un consensus tacite entre économistes pour ne tirer aucune conséquence de faits connus, reconnus et même expressément professés par tous, parce que la prise en compte d’un seul suffit à démontrer l’inanité de toutes les politiques publiques.
Les Cinq Premiers Commandements du Charlatan Ordinaire en économie sont :
1. Tu feras semblant de mesurer la valeur là où elle n’est pas mesurable.
2. Tu traiteras la propriété à la fois comme si elle existait et comme si elle n’existait pas.
3. Tu gloseras sur l’inconnaissable comme si c’était de la science.
4. Tu raisonneras sur la violence comme si elle pouvait faire autre chose que détruire.
5. Tu prendras les hommes de l’État pour un “deus ex machina”.

Compléments et références

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Le Charlatanisme Ordinaire est un consensus tacite entre économistes pour ne tirer aucune conséquence de faits connus, reconnus et même expressément professés par tous, parce que la prise en compte d’un seul suffit à démontrer l’inanité de toutes les politiques publiques.
Les Cinq Premiers Commandements du Charlatan Ordinaire en économie sont :
1. Tu feras semblant de mesurer la valeur là où elle n’est pas mesurable.
2. Tu traiteras la propriété à la fois comme si elle existait et comme si elle n’existait pas.
3. Tu gloseras sur l’inconnaissable comme si c’était de la science.
4. Tu raisonneras sur la violence comme si elle pouvait faire autre chose que détruire.
5. Tu prendras les hommes de l’État pour un “deus ex machina”.

Compléments et références

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Lumière 101noNo
Créationnisme économique83110305-creationnisme_economique.mp3http://lumiere101.com/2011/03/05/creationnisme-economique/http://lumiere101.com/2011/03/05/creationnisme-economique/#commentsSat, 05 Mar 2011 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2011/03/05/creationnisme-economique/Pour réfuter la sophistique des prétendues “limites à la croissance”, il a fallu comprendre que la richesse n’est jamais un gâteau fixe préexistant, mais qu’elle est au contraire toujours créée par l’esprit humain.
C’est cette métaphysique de la production, qui permet de distinguer les actes productifs des actes destructeurs, qui amène François Guillaumat et Georges Lane à conclure qu’on n’est pas véritablement économiste si on n’est pas “créationniste”. Cette conclusion débouche sur des remarques politiquement incorrectes sur les véritables présupposés philosophiques du débat résiduel sur l’origine de l’information biologique.

Les émissions :
Il n’y a pas de richesses naturelles” ; Le faux problème du “développement durable” ; “Le pseudo expérimentalisme

Les textes :
Claude Tresmontant : “Les métaphysiques principales”,  OEIL, Paris, 1989 ;Jacques Rueff : “La création du monde ” (Comédie-ballet en cinq journées), Plon, Paris, 1974;  Jacques Rueff : “Les Dieux et les Rois” (Regards sur le pouvoir créateur), Plon, Paris, 1967; Jacques Monod, Le hasard et la nécessité (Essai sur la philosophie naturelle de la biologie naturelle), Éditions du Seuil, Paris, 1970; Pierre-Paul Grassé, “L’évolution du vivant” Albin Michel, Paris, 1973.

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Pour réfuter la sophistique des prétendues “limites à la croissance”, il a fallu comprendre que la richesse n’est jamais un gâteau fixe préexistant, mais qu’elle est au contraire toujours créée par l’esprit humain.
C’est cette métaphysique de la production, qui permet de distinguer les actes productifs des actes destructeurs, qui amène François Guillaumat et Georges Lane à conclure qu’on n’est pas véritablement économiste si on n’est pas “créationniste”. Cette conclusion débouche sur des remarques politiquement incorrectes sur les véritables présupposés philosophiques du débat résiduel sur l’origine de l’information biologique.

Les émissions :
Il n’y a pas de richesses naturelles” ; Le faux problème du “développement durable” ; “Le pseudo expérimentalisme

Les textes :
Claude Tresmontant : “Les métaphysiques principales”,  OEIL, Paris, 1989 ;Jacques Rueff : “La création du monde ” (Comédie-ballet en cinq journées), Plon, Paris, 1974;  Jacques Rueff : “Les Dieux et les Rois” (Regards sur le pouvoir créateur), Plon, Paris, 1967; Jacques Monod, Le hasard et la nécessité (Essai sur la philosophie naturelle de la biologie naturelle), Éditions du Seuil, Paris, 1970; Pierre-Paul Grassé, “L’évolution du vivant” Albin Michel, Paris, 1973.

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http://lumiere101.com/2011/03/05/creationnisme-economique//feed/01:19:33Pour réfuter la sophistique des prétendues “limites à la croissance”, il a fallu comprendre que la richesse n’est jamais un gâteau fixe préexistant, mais qu’elle est au contraire toujours créée par l’esprit humain.
C’est cette métaphysique de la production, qui permet de distinguer les actes productifs des actes destructeurs, qui amène François Guillaumat et Georges Lane à conclure qu’on n’est pas véritablement économiste si on n’est pas “créationniste”. Cette conclusion débouche sur des remarques politiquement incorrectes sur les véritables présupposés philosophiques du débat résiduel sur l’origine de l’information biologique.

Les émissions :
Il n’y a pas de richesses naturelles” ; Le faux problème du “développement durable” ; “Le pseudo expérimentalisme

Les textes :
Claude Tresmontant : “Les métaphysiques principales”,  OEIL, Paris, 1989 ;Jacques Rueff : “La création du monde ” (Comédie-ballet en cinq journées), Plon, Paris, 1974;  Jacques Rueff : “Les Dieux et les Rois” (Regards sur le pouvoir créateur), Plon, Paris, 1967; Jacques Monod, Le hasard et la nécessité (Essai sur la philosophie naturelle de la biologie naturelle), Éditions du Seuil, Paris, 1970; Pierre-Paul Grassé, “L’évolution du vivant” Albin Michel, Paris, 1973.

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Pour réfuter la sophistique des prétendues “limites à la croissance”, il a fallu comprendre que la richesse n’est jamais un gâteau fixe préexistant, mais qu’elle est au contraire toujours créée par l’esprit humain.
C’est cette métaphysique de la production, qui permet de distinguer les actes productifs des actes destructeurs, qui amène François Guillaumat et Georges Lane à conclure qu’on n’est pas véritablement économiste si on n’est pas “créationniste”. Cette conclusion débouche sur des remarques politiquement incorrectes sur les véritables présupposés philosophiques du débat résiduel sur l’origine de l’information biologique.

Les émissions :
Il n’y a pas de richesses naturelles” ; Le faux problème du “développement durable” ; “Le pseudo expérimentalisme

Les textes :
Claude Tresmontant : “Les métaphysiques principales”,  OEIL, Paris, 1989 ;Jacques Rueff : “La création du monde ” (Comédie-ballet en cinq journées), Plon, Paris, 1974;  Jacques Rueff : “Les Dieux et les Rois” (Regards sur le pouvoir créateur), Plon, Paris, 1967; Jacques Monod, Le hasard et la nécessité (Essai sur la philosophie naturelle de la biologie naturelle), Éditions du Seuil, Paris, 1970; Pierre-Paul Grassé, “L’évolution du vivant” Albin Michel, Paris, 1973.

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Lumière 101noNo
Les Sophismes comptables84110223-sophismes_comptables.mp3http://lumiere101.com/2011/02/24/les-sophismes-comptables/http://lumiere101.com/2011/02/24/les-sophismes-comptables/#commentsWed, 23 Feb 2011 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2011/02/24/les-sophismes-comptables/ La sophistique des chiffres  qui voudrait qu’on évaluât les prétendues “productions” étatiques  à l’aune des quantités de monnaie que, par la fiscalité, les hommes de l’état  volent pour les entretenir,  passe par deux types de “sophismes comptables” - pour reprendre l’expression de François-René Rideau -:  Les sophismes anti-comptables qui consistent à violer les règles de la comptabilité :– en pratiquant une comptabilité  tronquée,  qui ne tient pas compte de ce qu’on aurait pu faire d’autre avec la richesse volée - ce que dénonçait Frédéric Bastiat, ou alors — en violant carrément les lois de l’arithmétique - innovation de Keynes,  que perpétuent les keynésiens. Les sophismes pseudo-comptables  qui consistent à vouloir appliquer les règles de la comptabilité là où elles n’ont pas de sens c’est-à-dire à prétendre pratiquer le calcul économique : — quand  les prix - qui ne sont authentiques  que comme quantités de monnaie échangées par des propriétaires responsables — ne reflètent plus vraiment les jugements de valeur ni la rareté des produits  (conditions d’abord décrites par von Mises), — voire quand il n’y a pas de prix du tout alors qu’on ne peut mesurer que des prix  (pratique dénoncée par Rothbard).

Emissions précédentes :
Le mensonge statistique comme outil de pouvoir ; L’illusion fiscale ; Les illusions de la croissance quantitative ; La prétendue “comptabilité publique” n’est pas une comptabilité;
La régulation par l’état est impossible.

Textes :
François-René Rideau :  Raisonnement économique contre sophismes comptables; Frédéric Bastiat : L’État; François Guillaumat et Georges Lane : Pourquoi pas Bitur-Camember ?; George Reisman :C’est avec de l’épargne qu’on embauche,  et qu’on embauchera; Alain Desrosières :  Naissance d’un nouveau langage statistique entre 1940 et 1960; Ludwig von Mises : Les équations de l’économie mathématique et le problème du calcul économique en régime socialiste; Murray Rothbard : Vers une reconstruction de la théorie de l’utilité et du bien-être.

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La sophistique des chiffres  qui voudrait qu’on évaluât les prétendues “productions” étatiques  à l’aune des quantités de monnaie que, par la fiscalité, les hommes de l’état  volent pour les entretenir,  passe par deux types de “sophismes comptables” - pour reprendre l’expression de François-René Rideau -:  Les sophismes anti-comptables qui consistent à violer les règles de la comptabilité :– en pratiquant une comptabilité  tronquée,  qui ne tient pas compte de ce qu’on aurait pu faire d’autre avec la richesse volée - ce que dénonçait Frédéric Bastiat, ou alors — en violant carrément les lois de l’arithmétique - innovation de Keynes,  que perpétuent les keynésiens. Les sophismes pseudo-comptables  qui consistent à vouloir appliquer les règles de la comptabilité là où elles n’ont pas de sens c’est-à-dire à prétendre pratiquer le calcul économique : — quand  les prix - qui ne sont authentiques  que comme quantités de monnaie échangées par des propriétaires responsables — ne reflètent plus vraiment les jugements de valeur ni la rareté des produits  (conditions d’abord décrites par von Mises), — voire quand il n’y a pas de prix du tout alors qu’on ne peut mesurer que des prix  (pratique dénoncée par Rothbard).

Emissions précédentes :
Le mensonge statistique comme outil de pouvoir ; L’illusion fiscale ; Les illusions de la croissance quantitative ; La prétendue “comptabilité publique” n’est pas une comptabilité;
La régulation par l’état est impossible.

Textes :
François-René Rideau :  Raisonnement économique contre sophismes comptables; Frédéric Bastiat : L’État; François Guillaumat et Georges Lane : Pourquoi pas Bitur-Camember ?; George Reisman :C’est avec de l’épargne qu’on embauche,  et qu’on embauchera; Alain Desrosières :  Naissance d’un nouveau langage statistique entre 1940 et 1960; Ludwig von Mises : Les équations de l’économie mathématique et le problème du calcul économique en régime socialiste; Murray Rothbard : Vers une reconstruction de la théorie de l’utilité et du bien-être.

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http://lumiere101.com/2011/02/24/les-sophismes-comptables//feed/01:09:14 La sophistique des chiffres  qui voudrait qu’on évaluât les prétendues “productions” étatiques  à l’aune des quantités de monnaie que, par la fiscalité, les hommes de l’état  volent pour les entretenir,  passe par deux types de “sophismes comptables” - pour reprendre l’expression de François-René Rideau -:  Les sophismes anti-comptables qui consistent à violer les règles de la comptabilité :– en pratiquant une comptabilité  tronquée,  qui ne tient pas compte de ce qu’on aurait pu faire d’autre avec la richesse volée - ce que dénonçait Frédéric Bastiat, ou alors — en violant carrément les lois de l’arithmétique - innovation de Keynes,  que perpétuent les keynésiens. Les sophismes pseudo-comptables  qui consistent à vouloir appliquer les règles de la comptabilité là où elles n’ont pas de sens c’est-à-dire à prétendre pratiquer le calcul économique : — quand  les prix - qui ne sont authentiques  que comme quantités de monnaie échangées par des propriétaires responsables — ne reflètent plus vraiment les jugements de valeur ni la rareté des produits  (conditions d’abord décrites par von Mises), — voire quand il n’y a pas de prix du tout alors qu’on ne peut mesurer que des prix  (pratique dénoncée par Rothbard).

Emissions précédentes :
Le mensonge statistique comme outil de pouvoir ; L’illusion fiscale ; Les illusions de la croissance quantitative ; La prétendue “comptabilité publique” n’est pas une comptabilité;
La régulation par l’état est impossible.

Textes :
François-René Rideau :  Raisonnement économique contre sophismes comptables; Frédéric Bastiat : L’État; François Guillaumat et Georges Lane : Pourquoi pas Bitur-Camember ?; George Reisman :C’est avec de l’épargne qu’on embauche,  et qu’on embauchera; Alain Desrosières :  Naissance d’un nouveau langage statistique entre 1940 et 1960; Ludwig von Mises : Les équations de l’économie mathématique et le problème du calcul économique en régime socialiste; Murray Rothbard : Vers une reconstruction de la théorie de l’utilité et du bien-être.

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La sophistique des chiffres  qui voudrait qu’on évaluât les prétendues “productions” étatiques  à l’aune des quantités de monnaie que, par la fiscalité, les hommes de l’état  volent pour les entretenir,  passe par deux types de “sophismes comptables” - pour reprendre l’expression de François-René Rideau -:  Les sophismes anti-comptables qui consistent à violer les règles de la comptabilité :– en pratiquant une comptabilité  tronquée,  qui ne tient pas compte de ce qu’on aurait pu faire d’autre avec la richesse volée - ce que dénonçait Frédéric Bastiat, ou alors — en violant carrément les lois de l’arithmétique - innovation de Keynes,  que perpétuent les keynésiens. Les sophismes pseudo-comptables  qui consistent à vouloir appliquer les règles de la comptabilité là où elles n’ont pas de sens c’est-à-dire à prétendre pratiquer le calcul économique : — quand  les prix - qui ne sont authentiques  que comme quantités de monnaie échangées par des propriétaires responsables — ne reflètent plus vraiment les jugements de valeur ni la rareté des produits  (conditions d’abord décrites par von Mises), — voire quand il n’y a pas de prix du tout alors qu’on ne peut mesurer que des prix  (pratique dénoncée par Rothbard).

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Le mensonge statistique comme outil de pouvoir ; L’illusion fiscale ; Les illusions de la croissance quantitative ; La prétendue “comptabilité publique” n’est pas une comptabilité;
La régulation par l’état est impossible.

Textes :
François-René Rideau :  Raisonnement économique contre sophismes comptables; Frédéric Bastiat : L’État; François Guillaumat et Georges Lane : Pourquoi pas Bitur-Camember ?; George Reisman :C’est avec de l’épargne qu’on embauche,  et qu’on embauchera; Alain Desrosières :  Naissance d’un nouveau langage statistique entre 1940 et 1960; Ludwig von Mises : Les équations de l’économie mathématique et le problème du calcul économique en régime socialiste; Murray Rothbard : Vers une reconstruction de la théorie de l’utilité et du bien-être.

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Lumière 101noNo
Le droit de se défendre85110217-le_droit_de_se_defendre.mp3http://lumiere101.com/2011/02/17/le-droit-de-se-defendre/http://lumiere101.com/2011/02/17/le-droit-de-se-defendre/#commentsThu, 17 Feb 2011 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2011/02/17/le-droit-de-se-defendre/Deux épisodes récents d’anarchie (en Tunisie et en Egypte) et une tentative tout aussi récente, mais ratée celle-là, de la Caste exploiteuse suisse pour tromper les Suisses de bonne foi et les désarmer, sont l’occasion pour François Guillaumat et Georges Lane de discuter du Droit de se défendre.
Le droit de se défendre n’est jamais que le droit de défendre sa personne et sa propriété, mais aussi celle des autres qui le désirent, soit dans une société de liberté naturelle (parfois qualifiée “d’anarcho-capitaliste”), soit dans une démocratie libérale, soit dans la pseudo-démocratie socialiste qui nous assiège.

Emissions précédentes :
“Les pseudo-élites judiciaires contre la justice naturelle “ ; “Etat minimum et anarcho-capitalisme : le grand écart” ; “L’intégration forcée”
Textes :
“La Suisse «pour» les armes à domicile” ; “Concealed Carry Statistics” ;
Hans-Hermann Hoppe : “L’Ordre naturel, l’état et le problème de l’immigration”;“L’analyse de classe selon Marx… et selon l’école autrichienne”

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Deux épisodes récents d’anarchie (en Tunisie et en Egypte) et une tentative tout aussi récente, mais ratée celle-là, de la Caste exploiteuse suisse pour tromper les Suisses de bonne foi et les désarmer, sont l’occasion pour François Guillaumat et Georges Lane de discuter du Droit de se défendre.
Le droit de se défendre n’est jamais que le droit de défendre sa personne et sa propriété, mais aussi celle des autres qui le désirent, soit dans une société de liberté naturelle (parfois qualifiée “d’anarcho-capitaliste”), soit dans une démocratie libérale, soit dans la pseudo-démocratie socialiste qui nous assiège.

Emissions précédentes :
“Les pseudo-élites judiciaires contre la justice naturelle “ ; “Etat minimum et anarcho-capitalisme : le grand écart” ; “L’intégration forcée”
Textes :
“La Suisse «pour» les armes à domicile” ; “Concealed Carry Statistics” ;
Hans-Hermann Hoppe : “L’Ordre naturel, l’état et le problème de l’immigration”;“L’analyse de classe selon Marx… et selon l’école autrichienne”

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http://lumiere101.com/2011/02/17/le-droit-de-se-defendre//feed/55:09Deux épisodes récents d’anarchie (en Tunisie et en Egypte) et une tentative tout aussi récente, mais ratée celle-là, de la Caste exploiteuse suisse pour tromper les Suisses de bonne foi et les désarmer, sont l’occasion pour François Guillaumat et Georges Lane de discuter du Droit de se défendre.
Le droit de se défendre n’est jamais que le droit de défendre sa personne et sa propriété, mais aussi celle des autres qui le désirent, soit dans une société de liberté naturelle (parfois qualifiée “d’anarcho-capitaliste”), soit dans une démocratie libérale, soit dans la pseudo-démocratie socialiste qui nous assiège.

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Textes :
“La Suisse «pour» les armes à domicile” ; “Concealed Carry Statistics” ;
Hans-Hermann Hoppe : “L’Ordre naturel, l’état et le problème de l’immigration”;“L’analyse de classe selon Marx… et selon l’école autrichienne”

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Deux épisodes récents d’anarchie (en Tunisie et en Egypte) et une tentative tout aussi récente, mais ratée celle-là, de la Caste exploiteuse suisse pour tromper les Suisses de bonne foi et les désarmer, sont l’occasion pour François Guillaumat et Georges Lane de discuter du Droit de se défendre.
Le droit de se défendre n’est jamais que le droit de défendre sa personne et sa propriété, mais aussi celle des autres qui le désirent, soit dans une société de liberté naturelle (parfois qualifiée “d’anarcho-capitaliste”), soit dans une démocratie libérale, soit dans la pseudo-démocratie socialiste qui nous assiège.

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“Les pseudo-élites judiciaires contre la justice naturelle “ ; “Etat minimum et anarcho-capitalisme : le grand écart” ; “L’intégration forcée”
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“La Suisse «pour» les armes à domicile” ; “Concealed Carry Statistics” ;
Hans-Hermann Hoppe : “L’Ordre naturel, l’état et le problème de l’immigration”;“L’analyse de classe selon Marx… et selon l’école autrichienne”

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Rendre à César86110215-rendre_a_cesar.mp3http://lumiere101.com/2011/02/15/rendre-a-cesar/http://lumiere101.com/2011/02/15/rendre-a-cesar/#commentsTue, 15 Feb 2011 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2011/02/15/rendre-a-cesar/Pour décrire ce que, dans la société, seront les conséquences prévisibles de contraintes matérielles et institutionnelles supposées connues, il faut les distinguer précisément de celles qui, au contraire, ne sont des conséquences que de l’incertitude ; et il semble que, parmi les économistes, n’en sont véritablement capables que les autrichiens, parce que ceux-ci sont les seuls qui conçoivent d’abord l’économie comme un produit de la pensée et de l’action.
La mise en œuvre sérieuse de ce principe –rendre à l’incertitude ce qui appartient à l’incertitude pour identifier ce qui n’en découle pas– leur a permis, depuis 1997 avec Pascal Salin, de faire en théorie économique au moins cinq découvertes importantes dont Georges Lane et François Guillaumat, après avoir récapitulé les quatre premières, présentent aujourd’hui la cinquième :
1° l’”effet-revenu” n’existe pas ; 2° les “externalités” n’existent pas ; 3° les “pertes” que l’on attribue au libre-échange ne lui sont pas imputables ; 4° la redistribution politique détruit en tendance l’équivalent de la richesse dont elle s’empare ; et enfin, produit secondaire et plus récemment perçu de cette démonstration : 5° L’intervention de l’état ne peut jamais atteindre ses objectifs que par accident.

Enregistrements précédents :
La Loi de Bitur-Camember ; Pourquoi pas “Bitur-Camember” ?

Textes :
Hans-Hermann Hoppe : “De la certitude et de l’incertitude — ou : quelle peut être la rationalité de nos anticipations?”; Juan Carlos Cachanosky : “L’économie politique contre l’économie mathématique” ; François Guillaumat : Scientistes et socialistes ; Georges Lane et François Guillaumat : “L’absurde théorie des prétendues ‘externalités‘”; “Pourquoi pas Bitur-Camember ?” : Liberpédia : “La Loi de Bitur-Camember

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Pour décrire ce que, dans la société, seront les conséquences prévisibles de contraintes matérielles et institutionnelles supposées connues, il faut les distinguer précisément de celles qui, au contraire, ne sont des conséquences que de l’incertitude ; et il semble que, parmi les économistes, n’en sont véritablement capables que les autrichiens, parce que ceux-ci sont les seuls qui conçoivent d’abord l’économie comme un produit de la pensée et de l’action.
La mise en œuvre sérieuse de ce principe –rendre à l’incertitude ce qui appartient à l’incertitude pour identifier ce qui n’en découle pas– leur a permis, depuis 1997 avec Pascal Salin, de faire en théorie économique au moins cinq découvertes importantes dont Georges Lane et François Guillaumat, après avoir récapitulé les quatre premières, présentent aujourd’hui la cinquième :
1° l’”effet-revenu” n’existe pas ; 2° les “externalités” n’existent pas ; 3° les “pertes” que l’on attribue au libre-échange ne lui sont pas imputables ; 4° la redistribution politique détruit en tendance l’équivalent de la richesse dont elle s’empare ; et enfin, produit secondaire et plus récemment perçu de cette démonstration : 5° L’intervention de l’état ne peut jamais atteindre ses objectifs que par accident.

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La Loi de Bitur-Camember ; Pourquoi pas “Bitur-Camember” ?

Textes :
Hans-Hermann Hoppe : “De la certitude et de l’incertitude — ou : quelle peut être la rationalité de nos anticipations?”; Juan Carlos Cachanosky : “L’économie politique contre l’économie mathématique” ; François Guillaumat : Scientistes et socialistes ; Georges Lane et François Guillaumat : “L’absurde théorie des prétendues ‘externalités‘”; “Pourquoi pas Bitur-Camember ?” : Liberpédia : “La Loi de Bitur-Camember

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http://lumiere101.com/2011/02/15/rendre-a-cesar//feed/01:23:14Pour décrire ce que, dans la société, seront les conséquences prévisibles de contraintes matérielles et institutionnelles supposées connues, il faut les distinguer précisément de celles qui, au contraire, ne sont des conséquences que de l’incertitude ; et il semble que, parmi les économistes, n’en sont véritablement capables que les autrichiens, parce que ceux-ci sont les seuls qui conçoivent d’abord l’économie comme un produit de la pensée et de l’action.
La mise en œuvre sérieuse de ce principe –rendre à l’incertitude ce qui appartient à l’incertitude pour identifier ce qui n’en découle pas– leur a permis, depuis 1997 avec Pascal Salin, de faire en théorie économique au moins cinq découvertes importantes dont Georges Lane et François Guillaumat, après avoir récapitulé les quatre premières, présentent aujourd’hui la cinquième :
1° l’”effet-revenu” n’existe pas ; 2° les “externalités” n’existent pas ; 3° les “pertes” que l’on attribue au libre-échange ne lui sont pas imputables ; 4° la redistribution politique détruit en tendance l’équivalent de la richesse dont elle s’empare ; et enfin, produit secondaire et plus récemment perçu de cette démonstration : 5° L’intervention de l’état ne peut jamais atteindre ses objectifs que par accident.

Enregistrements précédents :
La Loi de Bitur-Camember ; Pourquoi pas “Bitur-Camember” ?

Textes :
Hans-Hermann Hoppe : “De la certitude et de l’incertitude — ou : quelle peut être la rationalité de nos anticipations?”; Juan Carlos Cachanosky : “L’économie politique contre l’économie mathématique” ; François Guillaumat : Scientistes et socialistes ; Georges Lane et François Guillaumat : “L’absurde théorie des prétendues ‘externalités‘”; “Pourquoi pas Bitur-Camember ?” : Liberpédia : “La Loi de Bitur-Camember

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Pour décrire ce que, dans la société, seront les conséquences prévisibles de contraintes matérielles et institutionnelles supposées connues, il faut les distinguer précisément de celles qui, au contraire, ne sont des conséquences que de l’incertitude ; et il semble que, parmi les économistes, n’en sont véritablement capables que les autrichiens, parce que ceux-ci sont les seuls qui conçoivent d’abord l’économie comme un produit de la pensée et de l’action.
La mise en œuvre sérieuse de ce principe –rendre à l’incertitude ce qui appartient à l’incertitude pour identifier ce qui n’en découle pas– leur a permis, depuis 1997 avec Pascal Salin, de faire en théorie économique au moins cinq découvertes importantes dont Georges Lane et François Guillaumat, après avoir récapitulé les quatre premières, présentent aujourd’hui la cinquième :
1° l’”effet-revenu” n’existe pas ; 2° les “externalités” n’existent pas ; 3° les “pertes” que l’on attribue au libre-échange ne lui sont pas imputables ; 4° la redistribution politique détruit en tendance l’équivalent de la richesse dont elle s’empare ; et enfin, produit secondaire et plus récemment perçu de cette démonstration : 5° L’intervention de l’état ne peut jamais atteindre ses objectifs que par accident.

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Lumière 101noNo
Philippe Simonnot “Le jour où la France sortira de l’euro”87110211-philippe_simonnot_le_jour_où_la_france_sortira_de_l_euro.mp3http://lumiere101.com/2011/02/12/philippe-simonnot-le-jour-ou-la-france-sortira-de-leuro/http://lumiere101.com/2011/02/12/philippe-simonnot-le-jour-ou-la-france-sortira-de-leuro/#commentsFri, 11 Feb 2011 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2011/02/12/philippe-simonnot-le-jour-ou-la-france-sortira-de-leuro/François Guillaumat et Georges Lane s’entretiennent avec Philippe Simonnot, économiste, journaliste, essayiste, à propos de son dernier livre, paru fin 2010 et intitulé Le jour où la France sortira de l’euro

On pourra compléter l’écoute de cette émission par : L’euro et la banque centrale européenne, Lumière 101, 11 décembre 2007 ; Pouvoir d’achat, “euro fort” et croissance, Lumière 101 , 1er janvier 2008 ; Crise de l’euro, Lumière 101, 18 février 2010.

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François Guillaumat et Georges Lane s’entretiennent avec Philippe Simonnot, économiste, journaliste, essayiste, à propos de son dernier livre, paru fin 2010 et intitulé Le jour où la France sortira de l’euro

On pourra compléter l’écoute de cette émission par : L’euro et la banque centrale européenne, Lumière 101, 11 décembre 2007 ; Pouvoir d’achat, “euro fort” et croissance, Lumière 101 , 1er janvier 2008 ; Crise de l’euro, Lumière 101, 18 février 2010.

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http://lumiere101.com/2011/02/12/philippe-simonnot-le-jour-ou-la-france-sortira-de-leuro//feed/01:05:08François Guillaumat et Georges Lane s’entretiennent avec Philippe Simonnot, économiste, journaliste, essayiste, à propos de son dernier livre, paru fin 2010 et intitulé Le jour où la France sortira de l’euro

On pourra compléter l’écoute de cette émission par : L’euro et la banque centrale européenne, Lumière 101, 11 décembre 2007 ; Pouvoir d’achat, “euro fort” et croissance, Lumière 101 , 1er janvier 2008 ; Crise de l’euro, Lumière 101, 18 février 2010.

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François Guillaumat et Georges Lane s’entretiennent avec Philippe Simonnot, économiste, journaliste, essayiste, à propos de son dernier livre, paru fin 2010 et intitulé Le jour où la France sortira de l’euro

On pourra compléter l’écoute de cette émission par : L’euro et la banque centrale européenne, Lumière 101, 11 décembre 2007 ; Pouvoir d’achat, “euro fort” et croissance, Lumière 101 , 1er janvier 2008 ; Crise de l’euro, Lumière 101, 18 février 2010.

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La prétendue justice sociale88110208-la_pretendue_justice_sociale.mp3http://lumiere101.com/2011/02/09/la-pretendue-justice-sociale/http://lumiere101.com/2011/02/09/la-pretendue-justice-sociale/#commentsTue, 08 Feb 2011 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2011/02/09/la-pretendue-justice-sociale/Au moment où de soi-disant réformateurs de l’impôt font assaut de chiffres sans signification et de jugements de valeur arbitraires pour ne pas reconnaître qu’un impôt “plus juste” ne peut être qu’un impôt plus bas, il paraît nécessaire d’exterminer un faux concept auquel on croyait que Friedrich Hayek avait déjà tordu le cou. François Guillaumat et Georges Lane complètent donc la démonstration de Hayek, en signalant que le discours sur une prétendue “justice sociale” est un procès fait à la réalité d’être ce qu’elle ne peut pas ne pas être, au nom de prétendues “normes” qui sont strictement impensables, et dans l’illusion de réaliser ce qui est tout aussi impossible.
En espérant contribuer à lever un obstacle aux changements qui s’imposent : supprimer les Impôts de la Haine, puis libérer l’Argent Caché que le pillage socialiste s’acharne à détruire.

Enregistrements précédents :
L’arbitraire fiscal ; L’argent caché ; La Loi de Bitur-Camember ; Pourquoi pas Bitur-Camember ? ; La prétendue “comptabilité publique” n’est pas une comptabilité
Textes :
Marc Suivre : Ce que le quadra… génère ; Murray Rothbard : “Peut-il y avoir un impôt juste?” ; Friedrich Hayek : Le Mirage de la justice sociale ; Ayn Rand : “An Untitled Letter” dans Philosophy: Who Needs it?; François-René Rideau : “Rawls, ou le socialisme diabolique”

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Au moment où de soi-disant réformateurs de l’impôt font assaut de chiffres sans signification et de jugements de valeur arbitraires pour ne pas reconnaître qu’un impôt “plus juste” ne peut être qu’un impôt plus bas, il paraît nécessaire d’exterminer un faux concept auquel on croyait que Friedrich Hayek avait déjà tordu le cou. François Guillaumat et Georges Lane complètent donc la démonstration de Hayek, en signalant que le discours sur une prétendue “justice sociale” est un procès fait à la réalité d’être ce qu’elle ne peut pas ne pas être, au nom de prétendues “normes” qui sont strictement impensables, et dans l’illusion de réaliser ce qui est tout aussi impossible.
En espérant contribuer à lever un obstacle aux changements qui s’imposent : supprimer les Impôts de la Haine, puis libérer l’Argent Caché que le pillage socialiste s’acharne à détruire.

Enregistrements précédents :
L’arbitraire fiscal ; L’argent caché ; La Loi de Bitur-Camember ; Pourquoi pas Bitur-Camember ? ; La prétendue “comptabilité publique” n’est pas une comptabilité
Textes :
Marc Suivre : Ce que le quadra… génère ; Murray Rothbard : “Peut-il y avoir un impôt juste?” ; Friedrich Hayek : Le Mirage de la justice sociale ; Ayn Rand : “An Untitled Letter” dans Philosophy: Who Needs it?; François-René Rideau : “Rawls, ou le socialisme diabolique”

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http://lumiere101.com/2011/02/09/la-pretendue-justice-sociale//feed/01:10:38Au moment où de soi-disant réformateurs de l’impôt font assaut de chiffres sans signification et de jugements de valeur arbitraires pour ne pas reconnaître qu’un impôt “plus juste” ne peut être qu’un impôt plus bas, il paraît nécessaire d’exterminer un faux concept auquel on croyait que Friedrich Hayek avait déjà tordu le cou. François Guillaumat et Georges Lane complètent donc la démonstration de Hayek, en signalant que le discours sur une prétendue “justice sociale” est un procès fait à la réalité d’être ce qu’elle ne peut pas ne pas être, au nom de prétendues “normes” qui sont strictement impensables, et dans l’illusion de réaliser ce qui est tout aussi impossible.
En espérant contribuer à lever un obstacle aux changements qui s’imposent : supprimer les Impôts de la Haine, puis libérer l’Argent Caché que le pillage socialiste s’acharne à détruire.

Enregistrements précédents :
L’arbitraire fiscal ; L’argent caché ; La Loi de Bitur-Camember ; Pourquoi pas Bitur-Camember ? ; La prétendue “comptabilité publique” n’est pas une comptabilité
Textes :
Marc Suivre : Ce que le quadra… génère ; Murray Rothbard : “Peut-il y avoir un impôt juste?” ; Friedrich Hayek : Le Mirage de la justice sociale ; Ayn Rand : “An Untitled Letter” dans Philosophy: Who Needs it?; François-René Rideau : “Rawls, ou le socialisme diabolique”

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Au moment où de soi-disant réformateurs de l’impôt font assaut de chiffres sans signification et de jugements de valeur arbitraires pour ne pas reconnaître qu’un impôt “plus juste” ne peut être qu’un impôt plus bas, il paraît nécessaire d’exterminer un faux concept auquel on croyait que Friedrich Hayek avait déjà tordu le cou. François Guillaumat et Georges Lane complètent donc la démonstration de Hayek, en signalant que le discours sur une prétendue “justice sociale” est un procès fait à la réalité d’être ce qu’elle ne peut pas ne pas être, au nom de prétendues “normes” qui sont strictement impensables, et dans l’illusion de réaliser ce qui est tout aussi impossible.
En espérant contribuer à lever un obstacle aux changements qui s’imposent : supprimer les Impôts de la Haine, puis libérer l’Argent Caché que le pillage socialiste s’acharne à détruire.

Enregistrements précédents :
L’arbitraire fiscal ; L’argent caché ; La Loi de Bitur-Camember ; Pourquoi pas Bitur-Camember ? ; La prétendue “comptabilité publique” n’est pas une comptabilité
Textes :
Marc Suivre : Ce que le quadra… génère ; Murray Rothbard : “Peut-il y avoir un impôt juste?” ; Friedrich Hayek : Le Mirage de la justice sociale ; Ayn Rand : “An Untitled Letter” dans Philosophy: Who Needs it?; François-René Rideau : “Rawls, ou le socialisme diabolique”

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Etat minimum et anarcho-capitalisme : le grand écart89110119-etat_minimum_et_anarcho-capitalisme_le_grand_ecart.mp3http://lumiere101.com/2011/01/19/etat-minimum-et-anarcho-capitalisme-le-grand-ecart/http://lumiere101.com/2011/01/19/etat-minimum-et-anarcho-capitalisme-le-grand-ecart/#commentsWed, 19 Jan 2011 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2011/01/19/etat-minimum-et-anarcho-capitalisme-le-grand-ecart/Georges Lane s’entretient avec François Guillaumat de la différence essentielle qui existe entre la société naturelle et l’état minimum. En effet, la seule norme politique qui soit rationnelle est celle du consentement : l’État, qui la viole par définition, ne peut donc jamais être justifié, encore qu’on ne pourra jamais prouver définitivement que l’on peut s’en passer.

Emissions antérieures :
L’intégration forcée ; Le conflit d’intérêts ; Les pseudo élites judiciaires contre la justice naturelle; Le sans-papiérisme est un communisme; La distinction nécessaire la plus méconnue du débat politique;Discrimination : les trois avatars d’un mot-zombi.
Textes :
“Il n’y a pas d’immaculée conception de l’espace public” ; “Burqa et espace public : les libertariens ne sont pas des libertaires”; “L’Ordre naturel, l’état et le problème de l’immigration”.

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Georges Lane s’entretient avec François Guillaumat de la différence essentielle qui existe entre la société naturelle et l’état minimum. En effet, la seule norme politique qui soit rationnelle est celle du consentement : l’État, qui la viole par définition, ne peut donc jamais être justifié, encore qu’on ne pourra jamais prouver définitivement que l’on peut s’en passer.

Emissions antérieures :
L’intégration forcée ; Le conflit d’intérêts ; Les pseudo élites judiciaires contre la justice naturelle; Le sans-papiérisme est un communisme; La distinction nécessaire la plus méconnue du débat politique;Discrimination : les trois avatars d’un mot-zombi.
Textes :
“Il n’y a pas d’immaculée conception de l’espace public” ; “Burqa et espace public : les libertariens ne sont pas des libertaires”; “L’Ordre naturel, l’état et le problème de l’immigration”.

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http://lumiere101.com/2011/01/19/etat-minimum-et-anarcho-capitalisme-le-grand-ecart//feed/01:07:34Georges Lane s’entretient avec François Guillaumat de la différence essentielle qui existe entre la société naturelle et l’état minimum. En effet, la seule norme politique qui soit rationnelle est celle du consentement : l’État, qui la viole par définition, ne peut donc jamais être justifié, encore qu’on ne pourra jamais prouver définitivement que l’on peut s’en passer.

Emissions antérieures :
L’intégration forcée ; Le conflit d’intérêts ; Les pseudo élites judiciaires contre la justice naturelle; Le sans-papiérisme est un communisme; La distinction nécessaire la plus méconnue du débat politique;Discrimination : les trois avatars d’un mot-zombi.
Textes :
“Il n’y a pas d’immaculée conception de l’espace public” ; “Burqa et espace public : les libertariens ne sont pas des libertaires”; “L’Ordre naturel, l’état et le problème de l’immigration”.

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Georges Lane s’entretient avec François Guillaumat de la différence essentielle qui existe entre la société naturelle et l’état minimum. En effet, la seule norme politique qui soit rationnelle est celle du consentement : l’État, qui la viole par définition, ne peut donc jamais être justifié, encore qu’on ne pourra jamais prouver définitivement que l’on peut s’en passer.

Emissions antérieures :
L’intégration forcée ; Le conflit d’intérêts ; Les pseudo élites judiciaires contre la justice naturelle; Le sans-papiérisme est un communisme; La distinction nécessaire la plus méconnue du débat politique;Discrimination : les trois avatars d’un mot-zombi.
Textes :
“Il n’y a pas d’immaculée conception de l’espace public” ; “Burqa et espace public : les libertariens ne sont pas des libertaires”; “L’Ordre naturel, l’état et le problème de l’immigration”.

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Retraites : sortir d’une mentalité criminelle104101213-retraites_sortir_d_une_mentalite_criminelle.mp3http://lumiere101.com/2010/12/13/retraites-sortir-dune-mentalite-criminelle/http://lumiere101.com/2010/12/13/retraites-sortir-dune-mentalite-criminelle/#commentsMon, 13 Dec 2010 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2010/12/13/retraites-sortir-dune-mentalite-criminelle/Au moment où les marchés financiers nous font savoir par l’augmentation des taux d’intérêt - et des “primes de risque”que ceux-ci cachent - qu’ils ne croient plus à la viabilité des Etats-providence, l’attitude de l’”opinion”, certes conditionnée par leurs soins, est problématique.
Pourquoi voit-on tant de gens incapables de comprendre que le respect du Droit de propriété et des contrats est la seule solution viable, et justifiée, aux problèmes que les “Etats-démons” ont causés comme à ceux qu’ils prétendaient régler sous le masque de la providence ?
François Guillaumat et Georges Lane examinent les deux idées absurdes et persistantes à propos des retraites qui suivent :
1) un système de retraites contractuel dépendrait de la démographie comme la redistribution communiste actuelle dépend de la taille de son cheptel humain,
2) en la matière de la retraite, le passage de l’esclavage à la liberté serait impossible parce que trop coûteux.
Au-delà de l’incompréhension naturelle de gens obsédés par ce qu’ils croient pouvoir calculer alors qu’ils n’ont aucune connaissance rationnelle de la gestion de patrimoine et de l’activité de l’assurance, F.G. et G.L. expliquent que les gens restent prisonniers des préjugés matérialistes et collectivistes du système communiste actuel, faute d’avoir su tirer les conséquences de ce rappel à l’ordre scientifique que, dans son cours d’économie politique à l’Université de Lausanne, faisait Vilfredo Pareto à la fin du XIXème siècle :
Il faut se débarrasser du préjugé qui porte à croire qu’un vol n’est plus un vol dès lors qu’il s’exécute dans les formes légales.

Autres émissions sur le sujet : Le futur des retraites ; La réforme des retraites et les principes de liberté ;
Retraites (2) : solutions individuelles ou solutions collectives ; Retraites (1) : de quoi parle-t-on ? ; La transition vers les retraites du futur ; Retraites du futur : la capitalisation ; Futur des retraites et retraites du futur ; Les retraites, principale plaie de la protection sociale ; Les “lois de financement” de la sécurité sociale française ; Sur la sécurité sociale monopoliste française ;

Références : Vilfredo Pareto : Cours d’économie politique (1896) ; Georges Lane : La Sécurité sociale et comment s’en sortir ; L’organisation de la sécurité sociale ; Georges Lane et Jacques Garello : Futur des retraites, les retraites du futur

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Au moment où les marchés financiers nous font savoir par l’augmentation des taux d’intérêt - et des “primes de risque”que ceux-ci cachent - qu’ils ne croient plus à la viabilité des Etats-providence, l’attitude de l’”opinion”, certes conditionnée par leurs soins, est problématique.
Pourquoi voit-on tant de gens incapables de comprendre que le respect du Droit de propriété et des contrats est la seule solution viable, et justifiée, aux problèmes que les “Etats-démons” ont causés comme à ceux qu’ils prétendaient régler sous le masque de la providence ?
François Guillaumat et Georges Lane examinent les deux idées absurdes et persistantes à propos des retraites qui suivent :
1) un système de retraites contractuel dépendrait de la démographie comme la redistribution communiste actuelle dépend de la taille de son cheptel humain,
2) en la matière de la retraite, le passage de l’esclavage à la liberté serait impossible parce que trop coûteux.
Au-delà de l’incompréhension naturelle de gens obsédés par ce qu’ils croient pouvoir calculer alors qu’ils n’ont aucune connaissance rationnelle de la gestion de patrimoine et de l’activité de l’assurance, F.G. et G.L. expliquent que les gens restent prisonniers des préjugés matérialistes et collectivistes du système communiste actuel, faute d’avoir su tirer les conséquences de ce rappel à l’ordre scientifique que, dans son cours d’économie politique à l’Université de Lausanne, faisait Vilfredo Pareto à la fin du XIXème siècle :
Il faut se débarrasser du préjugé qui porte à croire qu’un vol n’est plus un vol dès lors qu’il s’exécute dans les formes légales.

Autres émissions sur le sujet : Le futur des retraites ; La réforme des retraites et les principes de liberté ;
Retraites (2) : solutions individuelles ou solutions collectives ; Retraites (1) : de quoi parle-t-on ? ; La transition vers les retraites du futur ; Retraites du futur : la capitalisation ; Futur des retraites et retraites du futur ; Les retraites, principale plaie de la protection sociale ; Les “lois de financement” de la sécurité sociale française ; Sur la sécurité sociale monopoliste française ;

Références : Vilfredo Pareto : Cours d’économie politique (1896) ; Georges Lane : La Sécurité sociale et comment s’en sortir ; L’organisation de la sécurité sociale ; Georges Lane et Jacques Garello : Futur des retraites, les retraites du futur

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http://lumiere101.com/2010/12/13/retraites-sortir-dune-mentalite-criminelle//feed/58:55Au moment où les marchés financiers nous font savoir par l’augmentation des taux d’intérêt - et des “primes de risque”que ceux-ci cachent - qu’ils ne croient plus à la viabilité des Etats-providence, l’attitude de l’”opinion”, certes conditionnée par leurs soins, est problématique.
Pourquoi voit-on tant de gens incapables de comprendre que le respect du Droit de propriété et des contrats est la seule solution viable, et justifiée, aux problèmes que les “Etats-démons” ont causés comme à ceux qu’ils prétendaient régler sous le masque de la providence ?
François Guillaumat et Georges Lane examinent les deux idées absurdes et persistantes à propos des retraites qui suivent :
1) un système de retraites contractuel dépendrait de la démographie comme la redistribution communiste actuelle dépend de la taille de son cheptel humain,
2) en la matière de la retraite, le passage de l’esclavage à la liberté serait impossible parce que trop coûteux.
Au-delà de l’incompréhension naturelle de gens obsédés par ce qu’ils croient pouvoir calculer alors qu’ils n’ont aucune connaissance rationnelle de la gestion de patrimoine et de l’activité de l’assurance, F.G. et G.L. expliquent que les gens restent prisonniers des préjugés matérialistes et collectivistes du système communiste actuel, faute d’avoir su tirer les conséquences de ce rappel à l’ordre scientifique que, dans son cours d’économie politique à l’Université de Lausanne, faisait Vilfredo Pareto à la fin du XIXème siècle :
Il faut se débarrasser du préjugé qui porte à croire qu’un vol n’est plus un vol dès lors qu’il s’exécute dans les formes légales.

Autres émissions sur le sujet : Le futur des retraites ; La réforme des retraites et les principes de liberté ;
Retraites (2) : solutions individuelles ou solutions collectives ; Retraites (1) : de quoi parle-t-on ? ; La transition vers les retraites du futur ; Retraites du futur : la capitalisation ; Futur des retraites et retraites du futur ; Les retraites, principale plaie de la protection sociale ; Les “lois de financement” de la sécurité sociale française ; Sur la sécurité sociale monopoliste française ;

Références : Vilfredo Pareto : Cours d’économie politique (1896) ; Georges Lane : La Sécurité sociale et comment s’en sortir ; L’organisation de la sécurité sociale ; Georges Lane et Jacques Garello : Futur des retraites, les retraites du futur

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Au moment où les marchés financiers nous font savoir par l’augmentation des taux d’intérêt - et des “primes de risque”que ceux-ci cachent - qu’ils ne croient plus à la viabilité des Etats-providence, l’attitude de l’”opinion”, certes conditionnée par leurs soins, est problématique.
Pourquoi voit-on tant de gens incapables de comprendre que le respect du Droit de propriété et des contrats est la seule solution viable, et justifiée, aux problèmes que les “Etats-démons” ont causés comme à ceux qu’ils prétendaient régler sous le masque de la providence ?
François Guillaumat et Georges Lane examinent les deux idées absurdes et persistantes à propos des retraites qui suivent :
1) un système de retraites contractuel dépendrait de la démographie comme la redistribution communiste actuelle dépend de la taille de son cheptel humain,
2) en la matière de la retraite, le passage de l’esclavage à la liberté serait impossible parce que trop coûteux.
Au-delà de l’incompréhension naturelle de gens obsédés par ce qu’ils croient pouvoir calculer alors qu’ils n’ont aucune connaissance rationnelle de la gestion de patrimoine et de l’activité de l’assurance, F.G. et G.L. expliquent que les gens restent prisonniers des préjugés matérialistes et collectivistes du système communiste actuel, faute d’avoir su tirer les conséquences de ce rappel à l’ordre scientifique que, dans son cours d’économie politique à l’Université de Lausanne, faisait Vilfredo Pareto à la fin du XIXème siècle :
Il faut se débarrasser du préjugé qui porte à croire qu’un vol n’est plus un vol dès lors qu’il s’exécute dans les formes légales.

Autres émissions sur le sujet : Le futur des retraites ; La réforme des retraites et les principes de liberté ;
Retraites (2) : solutions individuelles ou solutions collectives ; Retraites (1) : de quoi parle-t-on ? ; La transition vers les retraites du futur ; Retraites du futur : la capitalisation ; Futur des retraites et retraites du futur ; Les retraites, principale plaie de la protection sociale ; Les “lois de financement” de la sécurité sociale française ; Sur la sécurité sociale monopoliste française ;

Références : Vilfredo Pareto : Cours d’économie politique (1896) ; Georges Lane : La Sécurité sociale et comment s’en sortir ; L’organisation de la sécurité sociale ; Georges Lane et Jacques Garello : Futur des retraites, les retraites du futur

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Cantonneries et autres vieux sophismes105101208-cantonneries_et_autres_vieux_sophismes.mp3http://lumiere101.com/2010/12/07/cantonneries-et-autres-vieux-sophismes/http://lumiere101.com/2010/12/07/cantonneries-et-autres-vieux-sophismes/#commentsWed, 08 Dec 2010 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2010/12/07/cantonneries-et-autres-vieux-sophismes/François Guillaumat et Georges Lane évoquent trois actualités monétaires étroitement liées.
Il y a l’actualité de l’ « homme pratique » qui parle de retirer son argent de la banque comme si l’argent existait comme il existait il y a encore cent ans et comme s’il n’allait pas retirer en fait des billets de la banque centrale européenne.
Il y a l’actualité des hommes de la banque centrale européenne de mise en œuvre récente -1er janvier 1999 – qui agissent en respectant de moins en moins les statuts pourtant récents (décennie 1990) de la banque, sous la pression des hommes des gouvernements.
Et il y a l’actualité des hommes des gouvernements qui tentent de résoudre des problèmes d’ordre budgétaire qu’ils ont créés de toutes pièces en ne respectant pas les règles qu’ils avaient fait voter à l’”homme de la rue”.

“Le danger, c’est l’euro” - ou … le petit bout de “la queue du chat”

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François Guillaumat et Georges Lane évoquent trois actualités monétaires étroitement liées.
Il y a l’actualité de l’ « homme pratique » qui parle de retirer son argent de la banque comme si l’argent existait comme il existait il y a encore cent ans et comme s’il n’allait pas retirer en fait des billets de la banque centrale européenne.
Il y a l’actualité des hommes de la banque centrale européenne de mise en œuvre récente -1er janvier 1999 – qui agissent en respectant de moins en moins les statuts pourtant récents (décennie 1990) de la banque, sous la pression des hommes des gouvernements.
Et il y a l’actualité des hommes des gouvernements qui tentent de résoudre des problèmes d’ordre budgétaire qu’ils ont créés de toutes pièces en ne respectant pas les règles qu’ils avaient fait voter à l’”homme de la rue”.

“Le danger, c’est l’euro” - ou … le petit bout de “la queue du chat”

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http://lumiere101.com/2010/12/07/cantonneries-et-autres-vieux-sophismes//feed/01:04:07François Guillaumat et Georges Lane évoquent trois actualités monétaires étroitement liées.
Il y a l’actualité de l’ « homme pratique » qui parle de retirer son argent de la banque comme si l’argent existait comme il existait il y a encore cent ans et comme s’il n’allait pas retirer en fait des billets de la banque centrale européenne.
Il y a l’actualité des hommes de la banque centrale européenne de mise en œuvre récente -1er janvier 1999 – qui agissent en respectant de moins en moins les statuts pourtant récents (décennie 1990) de la banque, sous la pression des hommes des gouvernements.
Et il y a l’actualité des hommes des gouvernements qui tentent de résoudre des problèmes d’ordre budgétaire qu’ils ont créés de toutes pièces en ne respectant pas les règles qu’ils avaient fait voter à l’”homme de la rue”.

“Le danger, c’est l’euro” - ou … le petit bout de “la queue du chat”

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François Guillaumat et Georges Lane évoquent trois actualités monétaires étroitement liées.
Il y a l’actualité de l’ « homme pratique » qui parle de retirer son argent de la banque comme si l’argent existait comme il existait il y a encore cent ans et comme s’il n’allait pas retirer en fait des billets de la banque centrale européenne.
Il y a l’actualité des hommes de la banque centrale européenne de mise en œuvre récente -1er janvier 1999 – qui agissent en respectant de moins en moins les statuts pourtant récents (décennie 1990) de la banque, sous la pression des hommes des gouvernements.
Et il y a l’actualité des hommes des gouvernements qui tentent de résoudre des problèmes d’ordre budgétaire qu’ils ont créés de toutes pièces en ne respectant pas les règles qu’ils avaient fait voter à l’”homme de la rue”.

“Le danger, c’est l’euro” - ou … le petit bout de “la queue du chat”

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Les Etats-Unis deviendront-ils une autre pseudo-démocratie socialiste?106101012-les_etats-unis_deviendront-ils_une_autre_pseudo-democratie_socialiste.mp3http://lumiere101.com/2010/10/12/les-etats-unis-deviendront-ils-une-autre-pseudo-democratie-socialiste/http://lumiere101.com/2010/10/12/les-etats-unis-deviendront-ils-une-autre-pseudo-democratie-socialiste/#commentsTue, 12 Oct 2010 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2010/10/12/les-etats-unis-deviendront-ils-une-autre-pseudo-democratie-socialiste/Aux élections du 2 novembre prochain, 54 % des intentions de vote  sont celles de libéraux, 18 % celles de socialistes.
Mais cela fait des lustres qu’aux Etats-Unis  il n’y a que 20 % de socialistes pour 40 % de libéraux, le reste se disant “indépendants”..
L’électorat ne cesse de voter contre le socialisme mais ne cesse d’être trompé par les démocrates,  et trahi par les républicains,  qui se font régulièrement battre chaque fois qu’ils glissent vers le centre.
Le coup d’État contre le système de santé a été voté à coups de mensonges et de pots-de-vin,  sans que quiconque  puisse seulement le lire avant.  Plus de 60% de l’opinion  souhaite son abrogation.
Et toute la classe parlante se ligue pour ridiculiser et réduire au silence ceux qui constatent que jamais le soi-disant “Président” n’a donné aucune preuve légalement recevable de son identité.

Références : Angelo Codevilla : America’s ruling class and the Perils of Revolution ; Rush Limbaugh ; Mark Levin ; Conservatives4PalinHillbuzz ; ObamaReleaseYour Records

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Aux élections du 2 novembre prochain, 54 % des intentions de vote  sont celles de libéraux, 18 % celles de socialistes.
Mais cela fait des lustres qu’aux Etats-Unis  il n’y a que 20 % de socialistes pour 40 % de libéraux, le reste se disant “indépendants”..
L’électorat ne cesse de voter contre le socialisme mais ne cesse d’être trompé par les démocrates,  et trahi par les républicains,  qui se font régulièrement battre chaque fois qu’ils glissent vers le centre.
Le coup d’État contre le système de santé a été voté à coups de mensonges et de pots-de-vin,  sans que quiconque  puisse seulement le lire avant.  Plus de 60% de l’opinion  souhaite son abrogation.
Et toute la classe parlante se ligue pour ridiculiser et réduire au silence ceux qui constatent que jamais le soi-disant “Président” n’a donné aucune preuve légalement recevable de son identité.

Références : Angelo Codevilla : America’s ruling class and the Perils of Revolution ; Rush Limbaugh ; Mark Levin ; Conservatives4PalinHillbuzz ; ObamaReleaseYour Records

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http://lumiere101.com/2010/10/12/les-etats-unis-deviendront-ils-une-autre-pseudo-democratie-socialiste//feed/01:11:45Aux élections du 2 novembre prochain, 54 % des intentions de vote  sont celles de libéraux, 18 % celles de socialistes.
Mais cela fait des lustres qu’aux Etats-Unis  il n’y a que 20 % de socialistes pour 40 % de libéraux, le reste se disant “indépendants”..
L’électorat ne cesse de voter contre le socialisme mais ne cesse d’être trompé par les démocrates,  et trahi par les républicains,  qui se font régulièrement battre chaque fois qu’ils glissent vers le centre.
Le coup d’État contre le système de santé a été voté à coups de mensonges et de pots-de-vin,  sans que quiconque  puisse seulement le lire avant.  Plus de 60% de l’opinion  souhaite son abrogation.
Et toute la classe parlante se ligue pour ridiculiser et réduire au silence ceux qui constatent que jamais le soi-disant “Président” n’a donné aucune preuve légalement recevable de son identité.

Références : Angelo Codevilla : America’s ruling class and the Perils of Revolution ; Rush Limbaugh ; Mark Levin ; Conservatives4PalinHillbuzz ; ObamaReleaseYour Records

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Aux élections du 2 novembre prochain, 54 % des intentions de vote  sont celles de libéraux, 18 % celles de socialistes.
Mais cela fait des lustres qu’aux Etats-Unis  il n’y a que 20 % de socialistes pour 40 % de libéraux, le reste se disant “indépendants”..
L’électorat ne cesse de voter contre le socialisme mais ne cesse d’être trompé par les démocrates,  et trahi par les républicains,  qui se font régulièrement battre chaque fois qu’ils glissent vers le centre.
Le coup d’État contre le système de santé a été voté à coups de mensonges et de pots-de-vin,  sans que quiconque  puisse seulement le lire avant.  Plus de 60% de l’opinion  souhaite son abrogation.
Et toute la classe parlante se ligue pour ridiculiser et réduire au silence ceux qui constatent que jamais le soi-disant “Président” n’a donné aucune preuve légalement recevable de son identité.

Références : Angelo Codevilla : America’s ruling class and the Perils of Revolution ; Rush Limbaugh ; Mark Levin ; Conservatives4PalinHillbuzz ; ObamaReleaseYour Records

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Sur une erreur incompréhensible de Murray Rothbard107101008-sur_une_erreur_incomprehensible_de_murray_rothbard.mp3http://lumiere101.com/2010/10/09/la-creation-de-monnaie-par-les-banques-est-elle-frauduleuse/http://lumiere101.com/2010/10/09/la-creation-de-monnaie-par-les-banques-est-elle-frauduleuse/#commentsFri, 08 Oct 2010 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2010/10/09/la-creation-de-monnaie-par-les-banques-est-elle-frauduleuse/Une loi proposée au Parlement de Londres pour que les clients des banques puissent expressément choisir entre un contrat de dépôt partiellement couvert et un contrat de dépôt entièrement couvert C’est pour Georges Lane et François Guillaumat l’occasion de réfuter une illusion de Rothbard [erreur incompréhensible pour qui a lu Ludwig von Mises] et qui consiste à prétendre que la couverture partielle serait frauduleuse, contre nature et déstabilisante pour l’économie. De la sorte, les partisans de la loi proposée en Grande Bretagne [et ceux qui partagent l’erreur incompréhensible de Rothbard] souhaiteraient imposer une réserve à 100 % supposée “rétablir l’honnêteté” et résoudre les problèmes monétaires.

Lire les textes :
Ludwig von Mises : “La Théorie de la monnaie et du crédit” ; Ludwig von Mises: “Le Nouveau système monétaire” ; George Selgin: “La théorie de la banque libre” ; George Selgin & Lawrence White: “In Defence of Fiduciary Media” ; George Selgin : “Central banks as sources of financial instability”
Écouter les enregistrements : “De la justice comme seule norme politique” ; “La régulation par l’Etat est impossible” ; Ludwig von Mises : “La monnaie 2″ ; “La banque libre” ; Ludwig von Mises : “La monnaie 1″ ; “Murray Rothbard : l’économiste “

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Une loi proposée au Parlement de Londres pour que les clients des banques puissent expressément choisir entre un contrat de dépôt partiellement couvert et un contrat de dépôt entièrement couvert C’est pour Georges Lane et François Guillaumat l’occasion de réfuter une illusion de Rothbard [erreur incompréhensible pour qui a lu Ludwig von Mises] et qui consiste à prétendre que la couverture partielle serait frauduleuse, contre nature et déstabilisante pour l’économie. De la sorte, les partisans de la loi proposée en Grande Bretagne [et ceux qui partagent l’erreur incompréhensible de Rothbard] souhaiteraient imposer une réserve à 100 % supposée “rétablir l’honnêteté” et résoudre les problèmes monétaires.

Lire les textes :
Ludwig von Mises : “La Théorie de la monnaie et du crédit” ; Ludwig von Mises: “Le Nouveau système monétaire” ; George Selgin: “La théorie de la banque libre” ; George Selgin & Lawrence White: “In Defence of Fiduciary Media” ; George Selgin : “Central banks as sources of financial instability”
Écouter les enregistrements : “De la justice comme seule norme politique” ; “La régulation par l’Etat est impossible” ; Ludwig von Mises : “La monnaie 2″ ; “La banque libre” ; Ludwig von Mises : “La monnaie 1″ ; “Murray Rothbard : l’économiste “

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http://lumiere101.com/2010/10/09/la-creation-de-monnaie-par-les-banques-est-elle-frauduleuse//feed/01:06:06Une loi proposée au Parlement de Londres pour que les clients des banques puissent expressément choisir entre un contrat de dépôt partiellement couvert et un contrat de dépôt entièrement couvert C’est pour Georges Lane et François Guillaumat l’occasion de réfuter une illusion de Rothbard [erreur incompréhensible pour qui a lu Ludwig von Mises] et qui consiste à prétendre que la couverture partielle serait frauduleuse, contre nature et déstabilisante pour l’économie. De la sorte, les partisans de la loi proposée en Grande Bretagne [et ceux qui partagent l’erreur incompréhensible de Rothbard] souhaiteraient imposer une réserve à 100 % supposée “rétablir l’honnêteté” et résoudre les problèmes monétaires.

Lire les textes :
Ludwig von Mises : “La Théorie de la monnaie et du crédit” ; Ludwig von Mises: “Le Nouveau système monétaire” ; George Selgin: “La théorie de la banque libre” ; George Selgin & Lawrence White: “In Defence of Fiduciary Media” ; George Selgin : “Central banks as sources of financial instability”
Écouter les enregistrements : “De la justice comme seule norme politique” ; “La régulation par l’Etat est impossible” ; Ludwig von Mises : “La monnaie 2″ ; “La banque libre” ; Ludwig von Mises : “La monnaie 1″ ; “Murray Rothbard : l’économiste “

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Une loi proposée au Parlement de Londres pour que les clients des banques puissent expressément choisir entre un contrat de dépôt partiellement couvert et un contrat de dépôt entièrement couvert C’est pour Georges Lane et François Guillaumat l’occasion de réfuter une illusion de Rothbard [erreur incompréhensible pour qui a lu Ludwig von Mises] et qui consiste à prétendre que la couverture partielle serait frauduleuse, contre nature et déstabilisante pour l’économie. De la sorte, les partisans de la loi proposée en Grande Bretagne [et ceux qui partagent l’erreur incompréhensible de Rothbard] souhaiteraient imposer une réserve à 100 % supposée “rétablir l’honnêteté” et résoudre les problèmes monétaires.

Lire les textes :
Ludwig von Mises : “La Théorie de la monnaie et du crédit” ; Ludwig von Mises: “Le Nouveau système monétaire” ; George Selgin: “La théorie de la banque libre” ; George Selgin & Lawrence White: “In Defence of Fiduciary Media” ; George Selgin : “Central banks as sources of financial instability”
Écouter les enregistrements : “De la justice comme seule norme politique” ; “La régulation par l’Etat est impossible” ; Ludwig von Mises : “La monnaie 2″ ; “La banque libre” ; Ludwig von Mises : “La monnaie 1″ ; “Murray Rothbard : l’économiste “

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Le mensonge statistique comme outil de pouvoir108100914-le_mensonge_statistique_comme_outil_de_pouvoir.mp3http://lumiere101.com/2010/09/14/le-mensonge-statistique-comme-outil-de-pouvoir/http://lumiere101.com/2010/09/14/le-mensonge-statistique-comme-outil-de-pouvoir/#commentsTue, 14 Sep 2010 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2010/09/14/le-mensonge-statistique-comme-outil-de-pouvoir/En compagnie de François Guillaumat et de JG Malliarakis, Georges Lane propose d’un petit historique du développement des faux chiffrages au milieu du XXe siècle. En quoi consiste cette forme de mensonge et comment il devient instrument de pouvoir.

Articles cités: Desrosières, A. (2003), « Naissance d’un nouveau langage statistique entre 1940 et 1960 » (Direction générale, Direction de la coordination statistique et des relations internationales, INSEE), Courrier des statistiques n° 108, décembre 2003, pp. 41-53. Cot A.L. et Lallement , J.(2007) « De Walras à Arrow-Debreu » (exposé présenté au séminaire de Roger Guesnerie, le 7 mars 2007).

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En compagnie de François Guillaumat et de JG Malliarakis, Georges Lane propose d’un petit historique du développement des faux chiffrages au milieu du XXe siècle. En quoi consiste cette forme de mensonge et comment il devient instrument de pouvoir.

Articles cités: Desrosières, A. (2003), « Naissance d’un nouveau langage statistique entre 1940 et 1960 » (Direction générale, Direction de la coordination statistique et des relations internationales, INSEE), Courrier des statistiques n° 108, décembre 2003, pp. 41-53. Cot A.L. et Lallement , J.(2007) « De Walras à Arrow-Debreu » (exposé présenté au séminaire de Roger Guesnerie, le 7 mars 2007).

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http://lumiere101.com/2010/09/14/le-mensonge-statistique-comme-outil-de-pouvoir//feed/01:03:31En compagnie de François Guillaumat et de JG Malliarakis, Georges Lane propose d’un petit historique du développement des faux chiffrages au milieu du XXe siècle. En quoi consiste cette forme de mensonge et comment il devient instrument de pouvoir.

Articles cités: Desrosières, A. (2003), « Naissance d’un nouveau langage statistique entre 1940 et 1960 » (Direction générale, Direction de la coordination statistique et des relations internationales, INSEE), Courrier des statistiques n° 108, décembre 2003, pp. 41-53. Cot A.L. et Lallement , J.(2007) « De Walras à Arrow-Debreu » (exposé présenté au séminaire de Roger Guesnerie, le 7 mars 2007).

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En compagnie de François Guillaumat et de JG Malliarakis, Georges Lane propose d’un petit historique du développement des faux chiffrages au milieu du XXe siècle. En quoi consiste cette forme de mensonge et comment il devient instrument de pouvoir.

Articles cités: Desrosières, A. (2003), « Naissance d’un nouveau langage statistique entre 1940 et 1960 » (Direction générale, Direction de la coordination statistique et des relations internationales, INSEE), Courrier des statistiques n° 108, décembre 2003, pp. 41-53. Cot A.L. et Lallement , J.(2007) « De Walras à Arrow-Debreu » (exposé présenté au séminaire de Roger Guesnerie, le 7 mars 2007).

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Gueule de bois et gueules aux abois109100720-gueule_de_bois_et_gueules_aux_abois.mp3http://lumiere101.com/2010/07/20/gueule-de-bois-et-gueules-aux-abois/http://lumiere101.com/2010/07/20/gueule-de-bois-et-gueules-aux-abois/#commentsTue, 20 Jul 2010 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2010/07/20/gueule-de-bois-et-gueules-aux-abois/Les hommes de l’État se trouvent actuellement contraints par les marchés financiers à interrompre leurs extravagances dépensières. Ils y trouvent l’occasion de se rendre compte des effets réels de leurs prétendues “relances” budgétaires. Celles-ci ont entraîné un gaspillage effréné de richesses produites par des populations spoliées. Elles compromettre leur crédit auprès des prêteurs.
Georges Lane et François Guillaumat rappellent les aspects du charlatanisme keynésien. Ils soulignent son incapacité à appliquer le raisonnement comptable. Ils dénoncent son refus de tenir compte du système des prix.
Ils posent dès lors la question: combien de fois faudra-t-il que l’on constate l’échec ruineux des politiques keynésiennes pour que les sophismes qui les inspirent perdent enfin tout crédit ?

Références : Ludwig von Mises : Lord Keynes and Say’s Law
Friedrich Hayek : La critique autrichienne ; La falsification de la science
Jacques Rueff : Les erreurs de la Théorie générale de Lord Keynes La fin de l’ère keynésienne Etienne Mantoux : La Théorie générale de M. Keynes
Murray Rothbard : Le “multiplicateur” keynésien
Keynes, the Man
Véronique de Rugy : Does government spending stimulate economies?
El Usurpador, The Usurper
Emissions précédentes L’argent caché La situation n’est pas “keynésienne” Le charlatanisme keynésien

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Les hommes de l’État se trouvent actuellement contraints par les marchés financiers à interrompre leurs extravagances dépensières. Ils y trouvent l’occasion de se rendre compte des effets réels de leurs prétendues “relances” budgétaires. Celles-ci ont entraîné un gaspillage effréné de richesses produites par des populations spoliées. Elles compromettre leur crédit auprès des prêteurs.
Georges Lane et François Guillaumat rappellent les aspects du charlatanisme keynésien. Ils soulignent son incapacité à appliquer le raisonnement comptable. Ils dénoncent son refus de tenir compte du système des prix.
Ils posent dès lors la question: combien de fois faudra-t-il que l’on constate l’échec ruineux des politiques keynésiennes pour que les sophismes qui les inspirent perdent enfin tout crédit ?

Références : Ludwig von Mises : Lord Keynes and Say’s Law
Friedrich Hayek : La critique autrichienne ; La falsification de la science
Jacques Rueff : Les erreurs de la Théorie générale de Lord Keynes La fin de l’ère keynésienne Etienne Mantoux : La Théorie générale de M. Keynes
Murray Rothbard : Le “multiplicateur” keynésien
Keynes, the Man
Véronique de Rugy : Does government spending stimulate economies?
El Usurpador, The Usurper
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http://lumiere101.com/2010/07/20/gueule-de-bois-et-gueules-aux-abois//feed/01:03:14Les hommes de l’État se trouvent actuellement contraints par les marchés financiers à interrompre leurs extravagances dépensières. Ils y trouvent l’occasion de se rendre compte des effets réels de leurs prétendues “relances” budgétaires. Celles-ci ont entraîné un gaspillage effréné de richesses produites par des populations spoliées. Elles compromettre leur crédit auprès des prêteurs.
Georges Lane et François Guillaumat rappellent les aspects du charlatanisme keynésien. Ils soulignent son incapacité à appliquer le raisonnement comptable. Ils dénoncent son refus de tenir compte du système des prix.
Ils posent dès lors la question: combien de fois faudra-t-il que l’on constate l’échec ruineux des politiques keynésiennes pour que les sophismes qui les inspirent perdent enfin tout crédit ?

Références : Ludwig von Mises : Lord Keynes and Say’s Law
Friedrich Hayek : La critique autrichienne ; La falsification de la science
Jacques Rueff : Les erreurs de la Théorie générale de Lord Keynes La fin de l’ère keynésienne Etienne Mantoux : La Théorie générale de M. Keynes
Murray Rothbard : Le “multiplicateur” keynésien
Keynes, the Man
Véronique de Rugy : Does government spending stimulate economies?
El Usurpador, The Usurper
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Les hommes de l’État se trouvent actuellement contraints par les marchés financiers à interrompre leurs extravagances dépensières. Ils y trouvent l’occasion de se rendre compte des effets réels de leurs prétendues “relances” budgétaires. Celles-ci ont entraîné un gaspillage effréné de richesses produites par des populations spoliées. Elles compromettre leur crédit auprès des prêteurs.
Georges Lane et François Guillaumat rappellent les aspects du charlatanisme keynésien. Ils soulignent son incapacité à appliquer le raisonnement comptable. Ils dénoncent son refus de tenir compte du système des prix.
Ils posent dès lors la question: combien de fois faudra-t-il que l’on constate l’échec ruineux des politiques keynésiennes pour que les sophismes qui les inspirent perdent enfin tout crédit ?

Références : Ludwig von Mises : Lord Keynes and Say’s Law
Friedrich Hayek : La critique autrichienne ; La falsification de la science
Jacques Rueff : Les erreurs de la Théorie générale de Lord Keynes La fin de l’ère keynésienne Etienne Mantoux : La Théorie générale de M. Keynes
Murray Rothbard : Le “multiplicateur” keynésien
Keynes, the Man
Véronique de Rugy : Does government spending stimulate economies?
El Usurpador, The Usurper
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Ludwig von Mises 3 : L’analyste de la politique110100701-ludwig_von_mises_(3)_l_analyste_de_la_politique.mp3http://lumiere101.com/2010/07/01/ludwig-von-mises-3-lanalyste-de-la-politique/http://lumiere101.com/2010/07/01/ludwig-von-mises-3-lanalyste-de-la-politique/#commentsThu, 01 Jul 2010 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2010/07/01/ludwig-von-mises-3-lanalyste-de-la-politique/François Guillaumat et Georges Lane évoquent l’analyse que Ludwig von Mises faisait de la politique de son époque.
Un de ses aspects essentiels était ce que Mises appelait le “nationalisme économique”, ensemble d’erreurs de raisonnement qui a marqué son époque, et qui a précipité les catastrophes mêmes contre lesquelles il prétendait prémunir les nations.
Sa défense intransigeante du laissez-faire en fait un des grands promoteurs de la justice naturelle, malgré son refus bizarre de reconnaître expressément celle-ci.

Références :
Ludwig von Mises : Les illusions du protectionnisme et de l’autarcie ; Le gouvernement omnipotent ; L’interventionnisme ;
Planifier la liberté ; La mentalité anti-capitaliste ;
Jacques Rueff, “The Intransigeance of Ludwig von Mises” traduit de “Le Refus de Ludwig von Mises”.

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François Guillaumat et Georges Lane évoquent l’analyse que Ludwig von Mises faisait de la politique de son époque.
Un de ses aspects essentiels était ce que Mises appelait le “nationalisme économique”, ensemble d’erreurs de raisonnement qui a marqué son époque, et qui a précipité les catastrophes mêmes contre lesquelles il prétendait prémunir les nations.
Sa défense intransigeante du laissez-faire en fait un des grands promoteurs de la justice naturelle, malgré son refus bizarre de reconnaître expressément celle-ci.

Références :
Ludwig von Mises : Les illusions du protectionnisme et de l’autarcie ; Le gouvernement omnipotent ; L’interventionnisme ;
Planifier la liberté ; La mentalité anti-capitaliste ;
Jacques Rueff, “The Intransigeance of Ludwig von Mises” traduit de “Le Refus de Ludwig von Mises”.

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http://lumiere101.com/2010/07/01/ludwig-von-mises-3-lanalyste-de-la-politique//feed/01:02:55François Guillaumat et Georges Lane évoquent l’analyse que Ludwig von Mises faisait de la politique de son époque.
Un de ses aspects essentiels était ce que Mises appelait le “nationalisme économique”, ensemble d’erreurs de raisonnement qui a marqué son époque, et qui a précipité les catastrophes mêmes contre lesquelles il prétendait prémunir les nations.
Sa défense intransigeante du laissez-faire en fait un des grands promoteurs de la justice naturelle, malgré son refus bizarre de reconnaître expressément celle-ci.

Références :
Ludwig von Mises : Les illusions du protectionnisme et de l’autarcie ; Le gouvernement omnipotent ; L’interventionnisme ;
Planifier la liberté ; La mentalité anti-capitaliste ;
Jacques Rueff, “The Intransigeance of Ludwig von Mises” traduit de “Le Refus de Ludwig von Mises”.

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François Guillaumat et Georges Lane évoquent l’analyse que Ludwig von Mises faisait de la politique de son époque.
Un de ses aspects essentiels était ce que Mises appelait le “nationalisme économique”, ensemble d’erreurs de raisonnement qui a marqué son époque, et qui a précipité les catastrophes mêmes contre lesquelles il prétendait prémunir les nations.
Sa défense intransigeante du laissez-faire en fait un des grands promoteurs de la justice naturelle, malgré son refus bizarre de reconnaître expressément celle-ci.

Références :
Ludwig von Mises : Les illusions du protectionnisme et de l’autarcie ; Le gouvernement omnipotent ; L’interventionnisme ;
Planifier la liberté ; La mentalité anti-capitaliste ;
Jacques Rueff, “The Intransigeance of Ludwig von Mises” traduit de “Le Refus de Ludwig von Mises”.

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Lumière 101noNo
Ludwig von Mises 2 : la monnaie111100623-ludwig_von_mises_(2)_la_monnaie.mp3http://lumiere101.com/2010/06/23/ludwig-von-mises-2-la-monnaie/http://lumiere101.com/2010/06/23/ludwig-von-mises-2-la-monnaie/#commentsWed, 23 Jun 2010 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2010/06/23/ludwig-von-mises-2-la-monnaie/François Guillaumat et Georges Lane font cette fois le point sur les études de la monnaie par Ludwig von Mises.
En 1912, Ludwig von Mises publiait sa thèse de doctorat : La Théorie de la monnaie et du crédit, assise sur une connaissance intime des théories de la conjoncture du XIXe siècle et inspirée par un souci de tirer toutes les conséquences de ce dont on peut logiquement être certain.
L’analyse de Mises demeure la référence, au bout d’un siècle où les hommes de l’État, en violant la propriété d’autrui, n’ont cessé de vouloir s’affranchir des disciplines de l’étalon or, mais surtout de la concurrence, tandis que force économistes, ou soi-disant tels, tentaient en vain de rationaliser les politiques qui résultent de ces usurpations en prétendant définir des lois d’offre et de demande de monnaie.

Ludwig von Mises : La théorie de la monnaie et du crédit
Ludwig von Mises : L’Action humaine
Ludwig von Mises : De la Manipulation de la monnaie et du crédit
George Reisman: C’est avec de l’épargne qu’on embauche, et qu’on embauchera
George Selgin : La théorie de la banque libre

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François Guillaumat et Georges Lane font cette fois le point sur les études de la monnaie par Ludwig von Mises.
En 1912, Ludwig von Mises publiait sa thèse de doctorat : La Théorie de la monnaie et du crédit, assise sur une connaissance intime des théories de la conjoncture du XIXe siècle et inspirée par un souci de tirer toutes les conséquences de ce dont on peut logiquement être certain.
L’analyse de Mises demeure la référence, au bout d’un siècle où les hommes de l’État, en violant la propriété d’autrui, n’ont cessé de vouloir s’affranchir des disciplines de l’étalon or, mais surtout de la concurrence, tandis que force économistes, ou soi-disant tels, tentaient en vain de rationaliser les politiques qui résultent de ces usurpations en prétendant définir des lois d’offre et de demande de monnaie.

Ludwig von Mises : La théorie de la monnaie et du crédit
Ludwig von Mises : L’Action humaine
Ludwig von Mises : De la Manipulation de la monnaie et du crédit
George Reisman: C’est avec de l’épargne qu’on embauche, et qu’on embauchera
George Selgin : La théorie de la banque libre

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http://lumiere101.com/2010/06/23/ludwig-von-mises-2-la-monnaie//feed/53:23François Guillaumat et Georges Lane font cette fois le point sur les études de la monnaie par Ludwig von Mises.
En 1912, Ludwig von Mises publiait sa thèse de doctorat : La Théorie de la monnaie et du crédit, assise sur une connaissance intime des théories de la conjoncture du XIXe siècle et inspirée par un souci de tirer toutes les conséquences de ce dont on peut logiquement être certain.
L’analyse de Mises demeure la référence, au bout d’un siècle où les hommes de l’État, en violant la propriété d’autrui, n’ont cessé de vouloir s’affranchir des disciplines de l’étalon or, mais surtout de la concurrence, tandis que force économistes, ou soi-disant tels, tentaient en vain de rationaliser les politiques qui résultent de ces usurpations en prétendant définir des lois d’offre et de demande de monnaie.

Ludwig von Mises : La théorie de la monnaie et du crédit
Ludwig von Mises : L’Action humaine
Ludwig von Mises : De la Manipulation de la monnaie et du crédit
George Reisman: C’est avec de l’épargne qu’on embauche, et qu’on embauchera
George Selgin : La théorie de la banque libre

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François Guillaumat et Georges Lane font cette fois le point sur les études de la monnaie par Ludwig von Mises.
En 1912, Ludwig von Mises publiait sa thèse de doctorat : La Théorie de la monnaie et du crédit, assise sur une connaissance intime des théories de la conjoncture du XIXe siècle et inspirée par un souci de tirer toutes les conséquences de ce dont on peut logiquement être certain.
L’analyse de Mises demeure la référence, au bout d’un siècle où les hommes de l’État, en violant la propriété d’autrui, n’ont cessé de vouloir s’affranchir des disciplines de l’étalon or, mais surtout de la concurrence, tandis que force économistes, ou soi-disant tels, tentaient en vain de rationaliser les politiques qui résultent de ces usurpations en prétendant définir des lois d’offre et de demande de monnaie.

Ludwig von Mises : La théorie de la monnaie et du crédit
Ludwig von Mises : L’Action humaine
Ludwig von Mises : De la Manipulation de la monnaie et du crédit
George Reisman: C’est avec de l’épargne qu’on embauche, et qu’on embauchera
George Selgin : La théorie de la banque libre

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Lumière 101noNo
Ludwig von Mises 1 : La praxéologie112100616-ludwig_von_mises_(1)_la_praxeologie.mp3http://lumiere101.com/2010/06/15/ludwig-von-mises-1-la-praxeologie/http://lumiere101.com/2010/06/15/ludwig-von-mises-1-la-praxeologie/#commentsWed, 16 Jun 2010 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2010/06/15/ludwig-von-mises-1-la-praxeologie/Ludwig von Mises (1880-1973) est peut-être le plus grand économiste de tous les temps. Mais comme il était partisan du laissez-faire capitaliste, parce qu’il n’a pratiqué aucune des formes du charlatanisme ordinaire, il est systématiquement occulté.
Dans cette première émission, François Guillaumat et Georges Lane définissent les fondements de la théorie économique que Mises a définitivement établie comme logique de l’action.
Emissions précédentes : Le Charlatanisme ordinaire ; Le pseudo-expérimentalisme
Ludwig von Mises : L’Action humaine ; Ludwig von Mises : Le fondement ultime de la science économique ; Murray Rothbard : Economistes et charlatans

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Ludwig von Mises (1880-1973) est peut-être le plus grand économiste de tous les temps. Mais comme il était partisan du laissez-faire capitaliste, parce qu’il n’a pratiqué aucune des formes du charlatanisme ordinaire, il est systématiquement occulté.
Dans cette première émission, François Guillaumat et Georges Lane définissent les fondements de la théorie économique que Mises a définitivement établie comme logique de l’action.
Emissions précédentes : Le Charlatanisme ordinaire ; Le pseudo-expérimentalisme
Ludwig von Mises : L’Action humaine ; Ludwig von Mises : Le fondement ultime de la science économique ; Murray Rothbard : Economistes et charlatans

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http://lumiere101.com/2010/06/15/ludwig-von-mises-1-la-praxeologie//feed/01:05:42Ludwig von Mises (1880-1973) est peut-être le plus grand économiste de tous les temps. Mais comme il était partisan du laissez-faire capitaliste, parce qu’il n’a pratiqué aucune des formes du charlatanisme ordinaire, il est systématiquement occulté.
Dans cette première émission, François Guillaumat et Georges Lane définissent les fondements de la théorie économique que Mises a définitivement établie comme logique de l’action.
Emissions précédentes : Le Charlatanisme ordinaire ; Le pseudo-expérimentalisme
Ludwig von Mises : L’Action humaine ; Ludwig von Mises : Le fondement ultime de la science économique ; Murray Rothbard : Economistes et charlatans

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Ludwig von Mises (1880-1973) est peut-être le plus grand économiste de tous les temps. Mais comme il était partisan du laissez-faire capitaliste, parce qu’il n’a pratiqué aucune des formes du charlatanisme ordinaire, il est systématiquement occulté.
Dans cette première émission, François Guillaumat et Georges Lane définissent les fondements de la théorie économique que Mises a définitivement établie comme logique de l’action.
Emissions précédentes : Le Charlatanisme ordinaire ; Le pseudo-expérimentalisme
Ludwig von Mises : L’Action humaine ; Ludwig von Mises : Le fondement ultime de la science économique ; Murray Rothbard : Economistes et charlatans

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Lumière 101noNo
L’Argent caché113100526-l_argent_cache.mp3http://lumiere101.com/2010/05/26/largent-cache/http://lumiere101.com/2010/05/26/largent-cache/#commentsWed, 26 May 2010 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2010/05/26/largent-cache/Les socialistes ont inventé un mythe de l’”argent caché” : celui d’une richesse supplémentaire dont le socialisme permettrait de disposer :- parce que le respect “réactionnaire” du Droit de propriété empêcherait l’élite intellectuelle de gérer la production, - parce qu’il accaparerait celle-ci au lieu de la laisser servir la société, -et parce qu’il conduirait à des crises qui la détruisent.
La réalité est exactement inverse : c’est au contraire l’usurpation violente de la propriété d’autrui par le socialisme, aujourd’hui pseudo-démocratique qui, automatiquement, - détruit la rationalité économique, - conduit à gaspiller une richesse à hauteur de celle dont elle s’empare - et provoque toutes les crises financières.
Les marchés financiers viennent de faire savoir aux hommes de l’État qu’ils ne leur permettraient plus d’emprunter pour faire croire qu’ils pourraient tenir leurs promesses d’argent volé.
Alors, la seule solution pour qu’ils n’aient besoin de renoncer qu’à des mensonges et à des illusions absurdes, c’est qu’ils cessent de voler et de distribuer les butins de leurs vols : c’est à cette seule condition que la richesse qu’aujourd’hui ils détruisent deviendra disponible, pour compenser leurs monstrueux saccages du présent et du passé.
Références :
Friedrich Hayek : La Source de l’orgueil scientiste : L’École polytechnique ; Ludwig von Mises : Die Wirtschaftsrechnung im sozialistischen Gemeinwesen (1920), traduit en anglais sous le titre Economic Calculation in the Socialist Commonwealth ; Jacques Rueff : Les erreurs de la Théorie générale de Lord Keynes ; François Guillaumat et Georges Lane : Pourquoi pas Bitur-Camember ?; Gilles Dryancour : Explosion des retraites et implosion de la natalité, produits inéluctables de la social-démocratie ; Georges Lane et Jacques Garello : Futur des retraites et retraites du futur. III. La transition vers les retraites du futur ; IREF : Baisse des dépenses publiques. Ils l’ont fait, pourquoi pas nous ? ; Richard Wedder & Lowell Gallaway : “The Great Depression of 1946″
→ Emissions précédentes : La prétendue “comptabilité publique” n’est pas une comptabilité

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Les socialistes ont inventé un mythe de l’”argent caché” : celui d’une richesse supplémentaire dont le socialisme permettrait de disposer :- parce que le respect “réactionnaire” du Droit de propriété empêcherait l’élite intellectuelle de gérer la production, - parce qu’il accaparerait celle-ci au lieu de la laisser servir la société, -et parce qu’il conduirait à des crises qui la détruisent.
La réalité est exactement inverse : c’est au contraire l’usurpation violente de la propriété d’autrui par le socialisme, aujourd’hui pseudo-démocratique qui, automatiquement, - détruit la rationalité économique, - conduit à gaspiller une richesse à hauteur de celle dont elle s’empare - et provoque toutes les crises financières.
Les marchés financiers viennent de faire savoir aux hommes de l’État qu’ils ne leur permettraient plus d’emprunter pour faire croire qu’ils pourraient tenir leurs promesses d’argent volé.
Alors, la seule solution pour qu’ils n’aient besoin de renoncer qu’à des mensonges et à des illusions absurdes, c’est qu’ils cessent de voler et de distribuer les butins de leurs vols : c’est à cette seule condition que la richesse qu’aujourd’hui ils détruisent deviendra disponible, pour compenser leurs monstrueux saccages du présent et du passé.
Références :
Friedrich Hayek : La Source de l’orgueil scientiste : L’École polytechnique ; Ludwig von Mises : Die Wirtschaftsrechnung im sozialistischen Gemeinwesen (1920), traduit en anglais sous le titre Economic Calculation in the Socialist Commonwealth ; Jacques Rueff : Les erreurs de la Théorie générale de Lord Keynes ; François Guillaumat et Georges Lane : Pourquoi pas Bitur-Camember ?; Gilles Dryancour : Explosion des retraites et implosion de la natalité, produits inéluctables de la social-démocratie ; Georges Lane et Jacques Garello : Futur des retraites et retraites du futur. III. La transition vers les retraites du futur ; IREF : Baisse des dépenses publiques. Ils l’ont fait, pourquoi pas nous ? ; Richard Wedder & Lowell Gallaway : “The Great Depression of 1946″
→ Emissions précédentes : La prétendue “comptabilité publique” n’est pas une comptabilité

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http://lumiere101.com/2010/05/26/largent-cache//feed/47:54Les socialistes ont inventé un mythe de l’”argent caché” : celui d’une richesse supplémentaire dont le socialisme permettrait de disposer :- parce que le respect “réactionnaire” du Droit de propriété empêcherait l’élite intellectuelle de gérer la production, - parce qu’il accaparerait celle-ci au lieu de la laisser servir la société, -et parce qu’il conduirait à des crises qui la détruisent.
La réalité est exactement inverse : c’est au contraire l’usurpation violente de la propriété d’autrui par le socialisme, aujourd’hui pseudo-démocratique qui, automatiquement, - détruit la rationalité économique, - conduit à gaspiller une richesse à hauteur de celle dont elle s’empare - et provoque toutes les crises financières.
Les marchés financiers viennent de faire savoir aux hommes de l’État qu’ils ne leur permettraient plus d’emprunter pour faire croire qu’ils pourraient tenir leurs promesses d’argent volé.
Alors, la seule solution pour qu’ils n’aient besoin de renoncer qu’à des mensonges et à des illusions absurdes, c’est qu’ils cessent de voler et de distribuer les butins de leurs vols : c’est à cette seule condition que la richesse qu’aujourd’hui ils détruisent deviendra disponible, pour compenser leurs monstrueux saccages du présent et du passé.
Références :
Friedrich Hayek : La Source de l’orgueil scientiste : L’École polytechnique ; Ludwig von Mises : Die Wirtschaftsrechnung im sozialistischen Gemeinwesen (1920), traduit en anglais sous le titre Economic Calculation in the Socialist Commonwealth ; Jacques Rueff : Les erreurs de la Théorie générale de Lord Keynes ; François Guillaumat et Georges Lane : Pourquoi pas Bitur-Camember ?; Gilles Dryancour : Explosion des retraites et implosion de la natalité, produits inéluctables de la social-démocratie ; Georges Lane et Jacques Garello : Futur des retraites et retraites du futur. III. La transition vers les retraites du futur ; IREF : Baisse des dépenses publiques. Ils l’ont fait, pourquoi pas nous ? ; Richard Wedder & Lowell Gallaway : “The Great Depression of 1946″
→ Emissions précédentes : La prétendue “comptabilité publique” n’est pas une comptabilité

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Les socialistes ont inventé un mythe de l’”argent caché” : celui d’une richesse supplémentaire dont le socialisme permettrait de disposer :- parce que le respect “réactionnaire” du Droit de propriété empêcherait l’élite intellectuelle de gérer la production, - parce qu’il accaparerait celle-ci au lieu de la laisser servir la société, -et parce qu’il conduirait à des crises qui la détruisent.
La réalité est exactement inverse : c’est au contraire l’usurpation violente de la propriété d’autrui par le socialisme, aujourd’hui pseudo-démocratique qui, automatiquement, - détruit la rationalité économique, - conduit à gaspiller une richesse à hauteur de celle dont elle s’empare - et provoque toutes les crises financières.
Les marchés financiers viennent de faire savoir aux hommes de l’État qu’ils ne leur permettraient plus d’emprunter pour faire croire qu’ils pourraient tenir leurs promesses d’argent volé.
Alors, la seule solution pour qu’ils n’aient besoin de renoncer qu’à des mensonges et à des illusions absurdes, c’est qu’ils cessent de voler et de distribuer les butins de leurs vols : c’est à cette seule condition que la richesse qu’aujourd’hui ils détruisent deviendra disponible, pour compenser leurs monstrueux saccages du présent et du passé.
Références :
Friedrich Hayek : La Source de l’orgueil scientiste : L’École polytechnique ; Ludwig von Mises : Die Wirtschaftsrechnung im sozialistischen Gemeinwesen (1920), traduit en anglais sous le titre Economic Calculation in the Socialist Commonwealth ; Jacques Rueff : Les erreurs de la Théorie générale de Lord Keynes ; François Guillaumat et Georges Lane : Pourquoi pas Bitur-Camember ?; Gilles Dryancour : Explosion des retraites et implosion de la natalité, produits inéluctables de la social-démocratie ; Georges Lane et Jacques Garello : Futur des retraites et retraites du futur. III. La transition vers les retraites du futur ; IREF : Baisse des dépenses publiques. Ils l’ont fait, pourquoi pas nous ? ; Richard Wedder & Lowell Gallaway : “The Great Depression of 1946″
→ Emissions précédentes : La prétendue “comptabilité publique” n’est pas une comptabilité

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Lumière 101noNo
L’intégration forcée114100515-l_integration_forcee.mp3http://lumiere101.com/2010/05/15/lintegration-forcee/http://lumiere101.com/2010/05/15/lintegration-forcee/#commentsSat, 15 May 2010 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2010/05/15/lintegration-forcee/Hans-Hermann Hoppe a inventé la notion d’”intégration forcée” parce que les économistes ne reconnaissaient comme telles que certaines des formes de la collectivisation injuste de ressources usurpées.
Parler d’intégration forcée c’est donc d’abord montrer ce qu’il y a de commun entre ses formes connues et celles qui sont méconnues.
L’intégration forcée qui fait l’actualité aujourd’hui, c’est la mise en commun des espaces “publics” nationaux, eux-mêmes déjà en grande partie volés à leurs propriétaires légitimes.
Cette mise en commun s’accompagne d’un va-et-vient entre le principe majoritaire, de plus en plus bafoué dans les faits par ses soi-disant “représentants”, et les pseudo-principes incohérents, faussement universels, qui servent de couverture à l’arbitraire de l’usurpation. Et comme l’échec de l’intégration monétaire forcée risque aujourd’hui de devenir patent, on assiste à une fuite en avant pour prolonger l’illusion.

Textes :
Hans-Hermann Hoppe : Pour le libre échange et une immigration limitée ; Georges Lane : L’inversion de la causalité ; Philippe Simonnot : L’Euro-égout ; François Guillaumat et Pascal Dray : La Banque centrale européenne, ou : le retour de l’inflation ; Anatole Kaletsky, F. X. Chauchat et Steve Vannelli, La crise de la Zone Euro est loin d’être terminée
Emissions : “Discrimination”, les trois avatars d’un mot-zombi ; Aujourd’hui Athènes, demain Paris ; Les pseudo-élites judiciaires contre la justice naturelle ; Le sans-papiérisme est un communisme ; La concurrence fiscale mise en cause

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Hans-Hermann Hoppe a inventé la notion d’”intégration forcée” parce que les économistes ne reconnaissaient comme telles que certaines des formes de la collectivisation injuste de ressources usurpées.
Parler d’intégration forcée c’est donc d’abord montrer ce qu’il y a de commun entre ses formes connues et celles qui sont méconnues.
L’intégration forcée qui fait l’actualité aujourd’hui, c’est la mise en commun des espaces “publics” nationaux, eux-mêmes déjà en grande partie volés à leurs propriétaires légitimes.
Cette mise en commun s’accompagne d’un va-et-vient entre le principe majoritaire, de plus en plus bafoué dans les faits par ses soi-disant “représentants”, et les pseudo-principes incohérents, faussement universels, qui servent de couverture à l’arbitraire de l’usurpation. Et comme l’échec de l’intégration monétaire forcée risque aujourd’hui de devenir patent, on assiste à une fuite en avant pour prolonger l’illusion.

Textes :
Hans-Hermann Hoppe : Pour le libre échange et une immigration limitée ; Georges Lane : L’inversion de la causalité ; Philippe Simonnot : L’Euro-égout ; François Guillaumat et Pascal Dray : La Banque centrale européenne, ou : le retour de l’inflation ; Anatole Kaletsky, F. X. Chauchat et Steve Vannelli, La crise de la Zone Euro est loin d’être terminée
Emissions : “Discrimination”, les trois avatars d’un mot-zombi ; Aujourd’hui Athènes, demain Paris ; Les pseudo-élites judiciaires contre la justice naturelle ; Le sans-papiérisme est un communisme ; La concurrence fiscale mise en cause

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http://lumiere101.com/2010/05/15/lintegration-forcee//feed/57:12Hans-Hermann Hoppe a inventé la notion d’”intégration forcée” parce que les économistes ne reconnaissaient comme telles que certaines des formes de la collectivisation injuste de ressources usurpées.
Parler d’intégration forcée c’est donc d’abord montrer ce qu’il y a de commun entre ses formes connues et celles qui sont méconnues.
L’intégration forcée qui fait l’actualité aujourd’hui, c’est la mise en commun des espaces “publics” nationaux, eux-mêmes déjà en grande partie volés à leurs propriétaires légitimes.
Cette mise en commun s’accompagne d’un va-et-vient entre le principe majoritaire, de plus en plus bafoué dans les faits par ses soi-disant “représentants”, et les pseudo-principes incohérents, faussement universels, qui servent de couverture à l’arbitraire de l’usurpation. Et comme l’échec de l’intégration monétaire forcée risque aujourd’hui de devenir patent, on assiste à une fuite en avant pour prolonger l’illusion.

Textes :
Hans-Hermann Hoppe : Pour le libre échange et une immigration limitée ; Georges Lane : L’inversion de la causalité ; Philippe Simonnot : L’Euro-égout ; François Guillaumat et Pascal Dray : La Banque centrale européenne, ou : le retour de l’inflation ; Anatole Kaletsky, F. X. Chauchat et Steve Vannelli, La crise de la Zone Euro est loin d’être terminée
Emissions : “Discrimination”, les trois avatars d’un mot-zombi ; Aujourd’hui Athènes, demain Paris ; Les pseudo-élites judiciaires contre la justice naturelle ; Le sans-papiérisme est un communisme ; La concurrence fiscale mise en cause

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Hans-Hermann Hoppe a inventé la notion d’”intégration forcée” parce que les économistes ne reconnaissaient comme telles que certaines des formes de la collectivisation injuste de ressources usurpées.
Parler d’intégration forcée c’est donc d’abord montrer ce qu’il y a de commun entre ses formes connues et celles qui sont méconnues.
L’intégration forcée qui fait l’actualité aujourd’hui, c’est la mise en commun des espaces “publics” nationaux, eux-mêmes déjà en grande partie volés à leurs propriétaires légitimes.
Cette mise en commun s’accompagne d’un va-et-vient entre le principe majoritaire, de plus en plus bafoué dans les faits par ses soi-disant “représentants”, et les pseudo-principes incohérents, faussement universels, qui servent de couverture à l’arbitraire de l’usurpation. Et comme l’échec de l’intégration monétaire forcée risque aujourd’hui de devenir patent, on assiste à une fuite en avant pour prolonger l’illusion.

Textes :
Hans-Hermann Hoppe : Pour le libre échange et une immigration limitée ; Georges Lane : L’inversion de la causalité ; Philippe Simonnot : L’Euro-égout ; François Guillaumat et Pascal Dray : La Banque centrale européenne, ou : le retour de l’inflation ; Anatole Kaletsky, F. X. Chauchat et Steve Vannelli, La crise de la Zone Euro est loin d’être terminée
Emissions : “Discrimination”, les trois avatars d’un mot-zombi ; Aujourd’hui Athènes, demain Paris ; Les pseudo-élites judiciaires contre la justice naturelle ; Le sans-papiérisme est un communisme ; La concurrence fiscale mise en cause

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La Malédiction de l’argent volé115100503-la_malediction_de_l_argent_vole.mp3http://lumiere101.com/2010/05/03/la-malediction-de-largent-vole/http://lumiere101.com/2010/05/03/la-malediction-de-largent-vole/#commentsMon, 03 May 2010 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2010/05/03/la-malediction-de-largent-vole/Comme le sang sur la main de Macbeth, le crime originel qui fait naître l’argent dit “public” de l’exploitation des gens normaux par les hommes de l’Etat entache non seulement la pratique de ce vol, mais encore, irrémédiablement, son butin. Cette malédiction, Georges Lane et François Guillaumat développent successivement trois de ses aspects :
- la ruine générale associée au malheur d’être esclave et aux désillusions de l”esclavagiste,
- la démoralisation de la société par l’usurpation du pouvoir social et l’obsession du vol,
- enfin le n’importe quoi étatiste, personne ne pouvant plus savoir qui fait quoi et avec quels effets.
Références :
Homogénéisation temporelle ou capitalisation, il va falloir choisir ; L’absurde théorie des prétendues “externalités” ; La Loi de Bitur-Camember ; Ludwig von Mises : L’impossibilité du calcul économique dans le socialisme
Emissions précédentes : L’arbitraire fiscal ; L’illusion fiscale ; La régulation par l’État est impossible ; Le Charlatanisme ordinaire ;La prétendue “comptabilité publique” n’est pas une comptabilité

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Comme le sang sur la main de Macbeth, le crime originel qui fait naître l’argent dit “public” de l’exploitation des gens normaux par les hommes de l’Etat entache non seulement la pratique de ce vol, mais encore, irrémédiablement, son butin. Cette malédiction, Georges Lane et François Guillaumat développent successivement trois de ses aspects :
- la ruine générale associée au malheur d’être esclave et aux désillusions de l”esclavagiste,
- la démoralisation de la société par l’usurpation du pouvoir social et l’obsession du vol,
- enfin le n’importe quoi étatiste, personne ne pouvant plus savoir qui fait quoi et avec quels effets.
Références :
Homogénéisation temporelle ou capitalisation, il va falloir choisir ; L’absurde théorie des prétendues “externalités” ; La Loi de Bitur-Camember ; Ludwig von Mises : L’impossibilité du calcul économique dans le socialisme
Emissions précédentes : L’arbitraire fiscal ; L’illusion fiscale ; La régulation par l’État est impossible ; Le Charlatanisme ordinaire ;La prétendue “comptabilité publique” n’est pas une comptabilité

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http://lumiere101.com/2010/05/03/la-malediction-de-largent-vole//feed/01:04:04Comme le sang sur la main de Macbeth, le crime originel qui fait naître l’argent dit “public” de l’exploitation des gens normaux par les hommes de l’Etat entache non seulement la pratique de ce vol, mais encore, irrémédiablement, son butin. Cette malédiction, Georges Lane et François Guillaumat développent successivement trois de ses aspects :
- la ruine générale associée au malheur d’être esclave et aux désillusions de l”esclavagiste,
- la démoralisation de la société par l’usurpation du pouvoir social et l’obsession du vol,
- enfin le n’importe quoi étatiste, personne ne pouvant plus savoir qui fait quoi et avec quels effets.
Références :
Homogénéisation temporelle ou capitalisation, il va falloir choisir ; L’absurde théorie des prétendues “externalités” ; La Loi de Bitur-Camember ; Ludwig von Mises : L’impossibilité du calcul économique dans le socialisme
Emissions précédentes : L’arbitraire fiscal ; L’illusion fiscale ; La régulation par l’État est impossible ; Le Charlatanisme ordinaire ;La prétendue “comptabilité publique” n’est pas une comptabilité

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Comme le sang sur la main de Macbeth, le crime originel qui fait naître l’argent dit “public” de l’exploitation des gens normaux par les hommes de l’Etat entache non seulement la pratique de ce vol, mais encore, irrémédiablement, son butin. Cette malédiction, Georges Lane et François Guillaumat développent successivement trois de ses aspects :
- la ruine générale associée au malheur d’être esclave et aux désillusions de l”esclavagiste,
- la démoralisation de la société par l’usurpation du pouvoir social et l’obsession du vol,
- enfin le n’importe quoi étatiste, personne ne pouvant plus savoir qui fait quoi et avec quels effets.
Références :
Homogénéisation temporelle ou capitalisation, il va falloir choisir ; L’absurde théorie des prétendues “externalités” ; La Loi de Bitur-Camember ; Ludwig von Mises : L’impossibilité du calcul économique dans le socialisme
Emissions précédentes : L’arbitraire fiscal ; L’illusion fiscale ; La régulation par l’État est impossible ; Le Charlatanisme ordinaire ;La prétendue “comptabilité publique” n’est pas une comptabilité

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Les pseudo-élites judiciaires contre la justice naturelle116100419-les_pseudo-elites_judiciaires_contre_la_justice_naturelle.mp3http://lumiere101.com/2010/04/19/les-pseudo-elites-judiciaires-contre-la-justice-naturelle/http://lumiere101.com/2010/04/19/les-pseudo-elites-judiciaires-contre-la-justice-naturelle/#commentsMon, 19 Apr 2010 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2010/04/19/les-pseudo-elites-judiciaires-contre-la-justice-naturelle/Ce n’est pas seulement parce qu’il tient un double langage pour camoufler des intentions criminelles que l’islamiste Tariq Ramadan confond les pseudo-démocrates socialistes. C’est aussi parce que leurs prétendus “principes” n’en sont pas. Ce sont des ersatz absurdes et mensongers, qui ne font que singer la justice naturelle pour faire croire que leur étatisme, qui la viole par définition, pourrait ne pas être arbitraire, pour rendre cet arbitraire plus tolérable à ses victimes.
Ces pseudo-principes, l’actualité nous montre de soi-disant “élites” judiciaires et juridiques les invoquer contre des choix conformes aux voeux de la majorité. Or, lorsque les hommes de l’état ont volé les citoyens pour leur imposer un domaine public, ce ne sont pas ces ersatz mais les règles les moins éloignées de celles qu’auraient choisies la plus grande partie de ces victimes qui y sont les moins injustes et les moins arbitraires.

Emissions précédentes :
“Discrimination”, les trois avatars d’un mot-zombi ; Les droits de l’homme et leur vampirisation par le socialisme ; L’arbitraire fiscal ; De la justice comme seule norme politique ; Une institution d’injustice : le prétendu “service public” ; Le prétendu “service public”, institution antidémocratique ; La démocratie contre le socialisme ; La distinction nécessaire la plus méconnue du débat politique ; Le sans-papiérisme est un communisme ; Murray Rothbard : Le philosophe politique ; La concurrence fiscale mise en cause

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Ce n’est pas seulement parce qu’il tient un double langage pour camoufler des intentions criminelles que l’islamiste Tariq Ramadan confond les pseudo-démocrates socialistes. C’est aussi parce que leurs prétendus “principes” n’en sont pas. Ce sont des ersatz absurdes et mensongers, qui ne font que singer la justice naturelle pour faire croire que leur étatisme, qui la viole par définition, pourrait ne pas être arbitraire, pour rendre cet arbitraire plus tolérable à ses victimes.
Ces pseudo-principes, l’actualité nous montre de soi-disant “élites” judiciaires et juridiques les invoquer contre des choix conformes aux voeux de la majorité. Or, lorsque les hommes de l’état ont volé les citoyens pour leur imposer un domaine public, ce ne sont pas ces ersatz mais les règles les moins éloignées de celles qu’auraient choisies la plus grande partie de ces victimes qui y sont les moins injustes et les moins arbitraires.

Emissions précédentes :
“Discrimination”, les trois avatars d’un mot-zombi ; Les droits de l’homme et leur vampirisation par le socialisme ; L’arbitraire fiscal ; De la justice comme seule norme politique ; Une institution d’injustice : le prétendu “service public” ; Le prétendu “service public”, institution antidémocratique ; La démocratie contre le socialisme ; La distinction nécessaire la plus méconnue du débat politique ; Le sans-papiérisme est un communisme ; Murray Rothbard : Le philosophe politique ; La concurrence fiscale mise en cause

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http://lumiere101.com/2010/04/19/les-pseudo-elites-judiciaires-contre-la-justice-naturelle//feed/01:01:57Ce n’est pas seulement parce qu’il tient un double langage pour camoufler des intentions criminelles que l’islamiste Tariq Ramadan confond les pseudo-démocrates socialistes. C’est aussi parce que leurs prétendus “principes” n’en sont pas. Ce sont des ersatz absurdes et mensongers, qui ne font que singer la justice naturelle pour faire croire que leur étatisme, qui la viole par définition, pourrait ne pas être arbitraire, pour rendre cet arbitraire plus tolérable à ses victimes.
Ces pseudo-principes, l’actualité nous montre de soi-disant “élites” judiciaires et juridiques les invoquer contre des choix conformes aux voeux de la majorité. Or, lorsque les hommes de l’état ont volé les citoyens pour leur imposer un domaine public, ce ne sont pas ces ersatz mais les règles les moins éloignées de celles qu’auraient choisies la plus grande partie de ces victimes qui y sont les moins injustes et les moins arbitraires.

Emissions précédentes :
“Discrimination”, les trois avatars d’un mot-zombi ; Les droits de l’homme et leur vampirisation par le socialisme ; L’arbitraire fiscal ; De la justice comme seule norme politique ; Une institution d’injustice : le prétendu “service public” ; Le prétendu “service public”, institution antidémocratique ; La démocratie contre le socialisme ; La distinction nécessaire la plus méconnue du débat politique ; Le sans-papiérisme est un communisme ; Murray Rothbard : Le philosophe politique ; La concurrence fiscale mise en cause

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Ce n’est pas seulement parce qu’il tient un double langage pour camoufler des intentions criminelles que l’islamiste Tariq Ramadan confond les pseudo-démocrates socialistes. C’est aussi parce que leurs prétendus “principes” n’en sont pas. Ce sont des ersatz absurdes et mensongers, qui ne font que singer la justice naturelle pour faire croire que leur étatisme, qui la viole par définition, pourrait ne pas être arbitraire, pour rendre cet arbitraire plus tolérable à ses victimes.
Ces pseudo-principes, l’actualité nous montre de soi-disant “élites” judiciaires et juridiques les invoquer contre des choix conformes aux voeux de la majorité. Or, lorsque les hommes de l’état ont volé les citoyens pour leur imposer un domaine public, ce ne sont pas ces ersatz mais les règles les moins éloignées de celles qu’auraient choisies la plus grande partie de ces victimes qui y sont les moins injustes et les moins arbitraires.

Emissions précédentes :
“Discrimination”, les trois avatars d’un mot-zombi ; Les droits de l’homme et leur vampirisation par le socialisme ; L’arbitraire fiscal ; De la justice comme seule norme politique ; Une institution d’injustice : le prétendu “service public” ; Le prétendu “service public”, institution antidémocratique ; La démocratie contre le socialisme ; La distinction nécessaire la plus méconnue du débat politique ; Le sans-papiérisme est un communisme ; Murray Rothbard : Le philosophe politique ; La concurrence fiscale mise en cause

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Le Charlatanisme Ordinaire117100408-le_charlatanisme_ordinaire.mp3http://lumiere101.com/2010/04/08/le-charlatanisme-ordinaire/http://lumiere101.com/2010/04/08/le-charlatanisme-ordinaire/#commentsThu, 08 Apr 2010 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2010/04/08/le-charlatanisme-ordinaire/Dans la science dite “post-normale”, politisée au-delà d’une certaine limite, les “scientifiques” pratiquent un Charlatanisme Ordinaire.
Celui-ci consiste à méconnaître régulièrement des faits, et autres moyens de preuve, dont par ailleurs ils prétendent toujours se réclamer :
en témoigne la pétition des réchauffistes qui, pour “protester” contre des “écarts” par rapport aux pratiques scientifiques, pratiquent… l’intimidation politique.
En science économique, politisée par nature, le Charlatanisme Ordinaire se caractérise donc par le vol de concepts : par une pratique dominante qui contredit des notions par ailleurs expressément reconnues de la preuve, de la norme, de la propriété, de la valeur, de l’optimum et même de la production.
Caractérisé et entretenu par le pseudo-expérimentalisme et sa disqualification de la preuve logique, il est officiel en France depuis la IIIe république, qui y a inauguré la censure massive par l’impôt-subvention caractéristique de la pseudo-démocratie socialiste contemporaine.

Nathaniel Branden: Le Vol de concepts.
Liberpédia : Le pseudo-expérimentalisme
L’absurde théorie des prétendues “externalités”
Ludwig von Mises : Remarques sur le traitement mathématique des problèmes de l’économie politique
Murray Rothbard : Vers une reconstruction de la théorie de l’utilité et du bien-être (Economistes et charlatans)

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Dans la science dite “post-normale”, politisée au-delà d’une certaine limite, les “scientifiques” pratiquent un Charlatanisme Ordinaire.
Celui-ci consiste à méconnaître régulièrement des faits, et autres moyens de preuve, dont par ailleurs ils prétendent toujours se réclamer :
en témoigne la pétition des réchauffistes qui, pour “protester” contre des “écarts” par rapport aux pratiques scientifiques, pratiquent… l’intimidation politique.
En science économique, politisée par nature, le Charlatanisme Ordinaire se caractérise donc par le vol de concepts : par une pratique dominante qui contredit des notions par ailleurs expressément reconnues de la preuve, de la norme, de la propriété, de la valeur, de l’optimum et même de la production.
Caractérisé et entretenu par le pseudo-expérimentalisme et sa disqualification de la preuve logique, il est officiel en France depuis la IIIe république, qui y a inauguré la censure massive par l’impôt-subvention caractéristique de la pseudo-démocratie socialiste contemporaine.

Nathaniel Branden: Le Vol de concepts.
Liberpédia : Le pseudo-expérimentalisme
L’absurde théorie des prétendues “externalités”
Ludwig von Mises : Remarques sur le traitement mathématique des problèmes de l’économie politique
Murray Rothbard : Vers une reconstruction de la théorie de l’utilité et du bien-être (Economistes et charlatans)

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http://lumiere101.com/2010/04/08/le-charlatanisme-ordinaire//feed/01:10:45Dans la science dite “post-normale”, politisée au-delà d’une certaine limite, les “scientifiques” pratiquent un Charlatanisme Ordinaire.
Celui-ci consiste à méconnaître régulièrement des faits, et autres moyens de preuve, dont par ailleurs ils prétendent toujours se réclamer :
en témoigne la pétition des réchauffistes qui, pour “protester” contre des “écarts” par rapport aux pratiques scientifiques, pratiquent… l’intimidation politique.
En science économique, politisée par nature, le Charlatanisme Ordinaire se caractérise donc par le vol de concepts : par une pratique dominante qui contredit des notions par ailleurs expressément reconnues de la preuve, de la norme, de la propriété, de la valeur, de l’optimum et même de la production.
Caractérisé et entretenu par le pseudo-expérimentalisme et sa disqualification de la preuve logique, il est officiel en France depuis la IIIe république, qui y a inauguré la censure massive par l’impôt-subvention caractéristique de la pseudo-démocratie socialiste contemporaine.

Nathaniel Branden: Le Vol de concepts.
Liberpédia : Le pseudo-expérimentalisme
L’absurde théorie des prétendues “externalités”
Ludwig von Mises : Remarques sur le traitement mathématique des problèmes de l’économie politique
Murray Rothbard : Vers une reconstruction de la théorie de l’utilité et du bien-être (Economistes et charlatans)

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Dans la science dite “post-normale”, politisée au-delà d’une certaine limite, les “scientifiques” pratiquent un Charlatanisme Ordinaire.
Celui-ci consiste à méconnaître régulièrement des faits, et autres moyens de preuve, dont par ailleurs ils prétendent toujours se réclamer :
en témoigne la pétition des réchauffistes qui, pour “protester” contre des “écarts” par rapport aux pratiques scientifiques, pratiquent… l’intimidation politique.
En science économique, politisée par nature, le Charlatanisme Ordinaire se caractérise donc par le vol de concepts : par une pratique dominante qui contredit des notions par ailleurs expressément reconnues de la preuve, de la norme, de la propriété, de la valeur, de l’optimum et même de la production.
Caractérisé et entretenu par le pseudo-expérimentalisme et sa disqualification de la preuve logique, il est officiel en France depuis la IIIe république, qui y a inauguré la censure massive par l’impôt-subvention caractéristique de la pseudo-démocratie socialiste contemporaine.

Nathaniel Branden: Le Vol de concepts.
Liberpédia : Le pseudo-expérimentalisme
L’absurde théorie des prétendues “externalités”
Ludwig von Mises : Remarques sur le traitement mathématique des problèmes de l’économie politique
Murray Rothbard : Vers une reconstruction de la théorie de l’utilité et du bien-être (Economistes et charlatans)

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L’arbitraire fiscal118100329-l_arbitraire_fiscal.mp3http://lumiere101.com/2010/03/30/larbitraire-fiscal/http://lumiere101.com/2010/03/30/larbitraire-fiscal/#commentsMon, 29 Mar 2010 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2010/03/30/larbitraire-fiscal/Au moment où les hommes de l’état s’effraient de l’une des limites qu’ils ont laissé instituer à leur pillage fiscal, il est bon de rappeler pourquoi l’impôt est nécessairement arbitraire :
- parce qu’il viole par définition la seule norme politique objective, qui justement interdit de voler,
- parce que ses effets sont presque aussi aléatoires qu’ils sont destructeurs, de sorte qu’il fait n’importe quoi, alors que personne ne sait en quoi consiste ce n’importe quoi.

L’absurde théorie des prétendues “externalités”
L’illusion fiscale
L’illusion fiscale - le retour
groupe facebook Pascal Salin
Livre “L’arbitraire fiscal“, Laffont 1985, Slatkine 1996

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Au moment où les hommes de l’état s’effraient de l’une des limites qu’ils ont laissé instituer à leur pillage fiscal, il est bon de rappeler pourquoi l’impôt est nécessairement arbitraire :
- parce qu’il viole par définition la seule norme politique objective, qui justement interdit de voler,
- parce que ses effets sont presque aussi aléatoires qu’ils sont destructeurs, de sorte qu’il fait n’importe quoi, alors que personne ne sait en quoi consiste ce n’importe quoi.

L’absurde théorie des prétendues “externalités”
L’illusion fiscale
L’illusion fiscale - le retour
groupe facebook Pascal Salin
Livre “L’arbitraire fiscal“, Laffont 1985, Slatkine 1996

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http://lumiere101.com/2010/03/30/larbitraire-fiscal//feed/53:16Au moment où les hommes de l’état s’effraient de l’une des limites qu’ils ont laissé instituer à leur pillage fiscal, il est bon de rappeler pourquoi l’impôt est nécessairement arbitraire :
- parce qu’il viole par définition la seule norme politique objective, qui justement interdit de voler,
- parce que ses effets sont presque aussi aléatoires qu’ils sont destructeurs, de sorte qu’il fait n’importe quoi, alors que personne ne sait en quoi consiste ce n’importe quoi.

L’absurde théorie des prétendues “externalités”
L’illusion fiscale
L’illusion fiscale - le retour
groupe facebook Pascal Salin
Livre “L’arbitraire fiscal“, Laffont 1985, Slatkine 1996

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Au moment où les hommes de l’état s’effraient de l’une des limites qu’ils ont laissé instituer à leur pillage fiscal, il est bon de rappeler pourquoi l’impôt est nécessairement arbitraire :
- parce qu’il viole par définition la seule norme politique objective, qui justement interdit de voler,
- parce que ses effets sont presque aussi aléatoires qu’ils sont destructeurs, de sorte qu’il fait n’importe quoi, alors que personne ne sait en quoi consiste ce n’importe quoi.

L’absurde théorie des prétendues “externalités”
L’illusion fiscale
L’illusion fiscale - le retour
groupe facebook Pascal Salin
Livre “L’arbitraire fiscal“, Laffont 1985, Slatkine 1996

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Murray Rothbard (3) : Le politicien manqué119100316-murray_rothbard_(3)_le_politicien_manque.mp3http://lumiere101.com/2010/03/16/murray-rothbard-3-le-politicien-manque/http://lumiere101.com/2010/03/16/murray-rothbard-3-le-politicien-manque/#commentsTue, 16 Mar 2010 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2010/03/16/murray-rothbard-3-le-politicien-manque/Cette troisième émission sur Murray Rothbard illustre les difficultés du penseur confronté aux dilemmes de la politique. En particulier, ayant cru trouver dans l’isolationnisme un “principe” pour les relations entre états, il aura illustré malgré lui les conséquences intellectuelles disqualifiantes de l’erreur de catégorie que l’on commet quand on prétend définir une politique étrangère a priori : d’abord ses conséquences directes qui sont le refus de connaître certains faits pertinents, voire la crédulité envers la propagande des ennemis de son état, et leur corollaire, l’échec assuré ; ensuite, les interprétations fallacieuses du principe de non-agression, soit comme un pseudo-”pacifisme” de facto complice des agresseurs, soit comme un pseudo-”nationalisme” implicitement raciste.

Liberpédia : Les sophismes isolationnistes de Murray Rothbard Murray
Rothbard’s isolationist fallacies

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Cette troisième émission sur Murray Rothbard illustre les difficultés du penseur confronté aux dilemmes de la politique. En particulier, ayant cru trouver dans l’isolationnisme un “principe” pour les relations entre états, il aura illustré malgré lui les conséquences intellectuelles disqualifiantes de l’erreur de catégorie que l’on commet quand on prétend définir une politique étrangère a priori : d’abord ses conséquences directes qui sont le refus de connaître certains faits pertinents, voire la crédulité envers la propagande des ennemis de son état, et leur corollaire, l’échec assuré ; ensuite, les interprétations fallacieuses du principe de non-agression, soit comme un pseudo-”pacifisme” de facto complice des agresseurs, soit comme un pseudo-”nationalisme” implicitement raciste.

Liberpédia : Les sophismes isolationnistes de Murray Rothbard Murray
Rothbard’s isolationist fallacies

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http://lumiere101.com/2010/03/16/murray-rothbard-3-le-politicien-manque//feed/01:00:07Cette troisième émission sur Murray Rothbard illustre les difficultés du penseur confronté aux dilemmes de la politique. En particulier, ayant cru trouver dans l’isolationnisme un “principe” pour les relations entre états, il aura illustré malgré lui les conséquences intellectuelles disqualifiantes de l’erreur de catégorie que l’on commet quand on prétend définir une politique étrangère a priori : d’abord ses conséquences directes qui sont le refus de connaître certains faits pertinents, voire la crédulité envers la propagande des ennemis de son état, et leur corollaire, l’échec assuré ; ensuite, les interprétations fallacieuses du principe de non-agression, soit comme un pseudo-”pacifisme” de facto complice des agresseurs, soit comme un pseudo-”nationalisme” implicitement raciste.

Liberpédia : Les sophismes isolationnistes de Murray Rothbard Murray
Rothbard’s isolationist fallacies

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Cette troisième émission sur Murray Rothbard illustre les difficultés du penseur confronté aux dilemmes de la politique. En particulier, ayant cru trouver dans l’isolationnisme un “principe” pour les relations entre états, il aura illustré malgré lui les conséquences intellectuelles disqualifiantes de l’erreur de catégorie que l’on commet quand on prétend définir une politique étrangère a priori : d’abord ses conséquences directes qui sont le refus de connaître certains faits pertinents, voire la crédulité envers la propagande des ennemis de son état, et leur corollaire, l’échec assuré ; ensuite, les interprétations fallacieuses du principe de non-agression, soit comme un pseudo-”pacifisme” de facto complice des agresseurs, soit comme un pseudo-”nationalisme” implicitement raciste.

Liberpédia : Les sophismes isolationnistes de Murray Rothbard Murray
Rothbard’s isolationist fallacies

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Murray Rothbard (2) : Le philosophe politique120100302-murray_rothbard_(2)_le_philosophe_politique.mp3http://lumiere101.com/2010/03/02/murray-rothbard-2/http://lumiere101.com/2010/03/02/murray-rothbard-2/#commentsTue, 02 Mar 2010 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2010/03/02/murray-rothbard-2/Georges Lane et François Guillaumat présentent l’économiste Murray Rothbard dans le domaine où sa supériorité sur son maître Ludwig von Mises était la plus décisive, celle de la philosophie politique : ayant compris que la norme politique peut et doit être découverte rationnellement, Rothbard présente la définition de la justice la plus conforme possible à son moyen de preuve, celui de la cohérence logique.

Murray Rothbard, “L’éthique de la liberté”
→ Ayn Rand, “Introduction to objectivist epistemology”

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Georges Lane et François Guillaumat présentent l’économiste Murray Rothbard dans le domaine où sa supériorité sur son maître Ludwig von Mises était la plus décisive, celle de la philosophie politique : ayant compris que la norme politique peut et doit être découverte rationnellement, Rothbard présente la définition de la justice la plus conforme possible à son moyen de preuve, celui de la cohérence logique.

Murray Rothbard, “L’éthique de la liberté”
→ Ayn Rand, “Introduction to objectivist epistemology”

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http://lumiere101.com/2010/03/02/murray-rothbard-2//feed/01:21:15Georges Lane et François Guillaumat présentent l’économiste Murray Rothbard dans le domaine où sa supériorité sur son maître Ludwig von Mises était la plus décisive, celle de la philosophie politique : ayant compris que la norme politique peut et doit être découverte rationnellement, Rothbard présente la définition de la justice la plus conforme possible à son moyen de preuve, celui de la cohérence logique.

Murray Rothbard, “L’éthique de la liberté”
→ Ayn Rand, “Introduction to objectivist epistemology”

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Georges Lane et François Guillaumat présentent l’économiste Murray Rothbard dans le domaine où sa supériorité sur son maître Ludwig von Mises était la plus décisive, celle de la philosophie politique : ayant compris que la norme politique peut et doit être découverte rationnellement, Rothbard présente la définition de la justice la plus conforme possible à son moyen de preuve, celui de la cohérence logique.

Murray Rothbard, “L’éthique de la liberté”
→ Ayn Rand, “Introduction to objectivist epistemology”

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Murray Rothbard (1) : L’économiste121100223-murray_rothbard_(1)_l_economiste.mp3http://lumiere101.com/2010/02/23/murray-rothbard/http://lumiere101.com/2010/02/23/murray-rothbard/#commentsTue, 23 Feb 2010 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2010/02/23/murray-rothbard/Dans cette première émission consacrée à Murray Rothbard (1926-1995), Georges Lane et François Guillaumat évoquent l’économiste pourfendant les Charlatans Ordinaires, avec sa réfutation du Quatrain des sophismes étatistes, sa reformulation des enseignements de Ludwig von Mises dans la tradition du réalisme aristotélicien, et son histoire de la pensée économique.

Georges Lane et François Guillaumat : L’Absurde théorie des prétendues “externalités” , transcription par Anton Perez de l’émission du 18 avril 2009; Murray Rothbard : L’Ethique de la Liberté “Vers une reconstruction de la théorie de l’utilité et du bien-être” ; “Monopole et concurrence”; Ayn Rand: Introduction to Objectivist Epistemology ; François Guillaumat : L’Illusion fiscale; Madsen Pirie : La Micropolitique

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Dans cette première émission consacrée à Murray Rothbard (1926-1995), Georges Lane et François Guillaumat évoquent l’économiste pourfendant les Charlatans Ordinaires, avec sa réfutation du Quatrain des sophismes étatistes, sa reformulation des enseignements de Ludwig von Mises dans la tradition du réalisme aristotélicien, et son histoire de la pensée économique.

Georges Lane et François Guillaumat : L’Absurde théorie des prétendues “externalités” , transcription par Anton Perez de l’émission du 18 avril 2009; Murray Rothbard : L’Ethique de la Liberté “Vers une reconstruction de la théorie de l’utilité et du bien-être” ; “Monopole et concurrence”; Ayn Rand: Introduction to Objectivist Epistemology ; François Guillaumat : L’Illusion fiscale; Madsen Pirie : La Micropolitique

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http://lumiere101.com/2010/02/23/murray-rothbard//feed/01:11:55Dans cette première émission consacrée à Murray Rothbard (1926-1995), Georges Lane et François Guillaumat évoquent l’économiste pourfendant les Charlatans Ordinaires, avec sa réfutation du Quatrain des sophismes étatistes, sa reformulation des enseignements de Ludwig von Mises dans la tradition du réalisme aristotélicien, et son histoire de la pensée économique.

Georges Lane et François Guillaumat : L’Absurde théorie des prétendues “externalités” , transcription par Anton Perez de l’émission du 18 avril 2009; Murray Rothbard : L’Ethique de la Liberté “Vers une reconstruction de la théorie de l’utilité et du bien-être” ; “Monopole et concurrence”; Ayn Rand: Introduction to Objectivist Epistemology ; François Guillaumat : L’Illusion fiscale; Madsen Pirie : La Micropolitique

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Dans cette première émission consacrée à Murray Rothbard (1926-1995), Georges Lane et François Guillaumat évoquent l’économiste pourfendant les Charlatans Ordinaires, avec sa réfutation du Quatrain des sophismes étatistes, sa reformulation des enseignements de Ludwig von Mises dans la tradition du réalisme aristotélicien, et son histoire de la pensée économique.

Georges Lane et François Guillaumat : L’Absurde théorie des prétendues “externalités” , transcription par Anton Perez de l’émission du 18 avril 2009; Murray Rothbard : L’Ethique de la Liberté “Vers une reconstruction de la théorie de l’utilité et du bien-être” ; “Monopole et concurrence”; Ayn Rand: Introduction to Objectivist Epistemology ; François Guillaumat : L’Illusion fiscale; Madsen Pirie : La Micropolitique

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Lumière 101noNo
La monnaie 2122100211-la_monnaie_2.mp3http://lumiere101.com/2010/02/11/la-monnaie-2/http://lumiere101.com/2010/02/11/la-monnaie-2/#commentsThu, 11 Feb 2010 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2010/02/11/la-monnaie-2/Georges Lane et François Guillaumat présentent la “politique monétaire”.
Cette politique n’est pas nécessaire, elle est nuisible ; elle n’en est pas moins importante parce qu’en empêchant par nature l’ajustement des offres aux demandes de monnaie, elle fausse l’ensemble des prix relatifs.
Ses tentatives pour réaliser une espèce d’ajustement au niveau global souffrent de la contradiction inhérente à toute planification centrale, c’est-à-dire qu’elle prétend se servir d’indicateurs de prix pour des politiques dont l’effet est justement de priver ceux-ci de leur signification.
La macroéconomie, qui prétend rendre compte de ses effets par une approche collectiviste et infra-déterministe n’est, comme disait Hayek, qu’une “falsification de la science”

Références :
Sur Lumière101.com :
La monnaie (1)
Ultralibéralisme ou infradéterminisme
L’étalon-or, à compléter par ce texte
La banque libre
Ludwig von Mises : Théorie de la monnaie et du crédit
Georges Lane : “Le seul débat politique : (ultra)libéral ou (infra)déterministe
Friedrich Hayek :
“La Falsification de la science”
L’utilisation de l’information dans la société
La critique autrichienne

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Georges Lane et François Guillaumat présentent la “politique monétaire”.
Cette politique n’est pas nécessaire, elle est nuisible ; elle n’en est pas moins importante parce qu’en empêchant par nature l’ajustement des offres aux demandes de monnaie, elle fausse l’ensemble des prix relatifs.
Ses tentatives pour réaliser une espèce d’ajustement au niveau global souffrent de la contradiction inhérente à toute planification centrale, c’est-à-dire qu’elle prétend se servir d’indicateurs de prix pour des politiques dont l’effet est justement de priver ceux-ci de leur signification.
La macroéconomie, qui prétend rendre compte de ses effets par une approche collectiviste et infra-déterministe n’est, comme disait Hayek, qu’une “falsification de la science”

Références :
Sur Lumière101.com :
La monnaie (1)
Ultralibéralisme ou infradéterminisme
L’étalon-or, à compléter par ce texte
La banque libre
Ludwig von Mises : Théorie de la monnaie et du crédit
Georges Lane : “Le seul débat politique : (ultra)libéral ou (infra)déterministe
Friedrich Hayek :
“La Falsification de la science”
L’utilisation de l’information dans la société
La critique autrichienne

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http://lumiere101.com/2010/02/11/la-monnaie-2//feed/51:49Georges Lane et François Guillaumat présentent la “politique monétaire”.
Cette politique n’est pas nécessaire, elle est nuisible ; elle n’en est pas moins importante parce qu’en empêchant par nature l’ajustement des offres aux demandes de monnaie, elle fausse l’ensemble des prix relatifs.
Ses tentatives pour réaliser une espèce d’ajustement au niveau global souffrent de la contradiction inhérente à toute planification centrale, c’est-à-dire qu’elle prétend se servir d’indicateurs de prix pour des politiques dont l’effet est justement de priver ceux-ci de leur signification.
La macroéconomie, qui prétend rendre compte de ses effets par une approche collectiviste et infra-déterministe n’est, comme disait Hayek, qu’une “falsification de la science”

Références :
Sur Lumière101.com :
La monnaie (1)
Ultralibéralisme ou infradéterminisme
L’étalon-or, à compléter par ce texte
La banque libre
Ludwig von Mises : Théorie de la monnaie et du crédit
Georges Lane : “Le seul débat politique : (ultra)libéral ou (infra)déterministe
Friedrich Hayek :
“La Falsification de la science”
L’utilisation de l’information dans la société
La critique autrichienne

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Georges Lane et François Guillaumat présentent la “politique monétaire”.
Cette politique n’est pas nécessaire, elle est nuisible ; elle n’en est pas moins importante parce qu’en empêchant par nature l’ajustement des offres aux demandes de monnaie, elle fausse l’ensemble des prix relatifs.
Ses tentatives pour réaliser une espèce d’ajustement au niveau global souffrent de la contradiction inhérente à toute planification centrale, c’est-à-dire qu’elle prétend se servir d’indicateurs de prix pour des politiques dont l’effet est justement de priver ceux-ci de leur signification.
La macroéconomie, qui prétend rendre compte de ses effets par une approche collectiviste et infra-déterministe n’est, comme disait Hayek, qu’une “falsification de la science”

Références :
Sur Lumière101.com :
La monnaie (1)
Ultralibéralisme ou infradéterminisme
L’étalon-or, à compléter par ce texte
La banque libre
Ludwig von Mises : Théorie de la monnaie et du crédit
Georges Lane : “Le seul débat politique : (ultra)libéral ou (infra)déterministe
Friedrich Hayek :
“La Falsification de la science”
L’utilisation de l’information dans la société
La critique autrichienne

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Lumière 101noNo
La monnaie123100208-la_monnaie.mp3http://lumiere101.com/2010/02/08/la-monnaie-1/http://lumiere101.com/2010/02/08/la-monnaie-1/#commentsMon, 08 Feb 2010 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2010/02/08/la-monnaie-1/ Georges Lane et François Guillaumat présentent ce que c’est que la monnaie - qu’en France on appelle souvent “argent”.
Cette première émission explique d’abord ce que c’est que la monnaie, comment se développent ses diverses formes à la recherche de moyens plus pratiques et moins coûteux de réduire le coût des échanges, et comment l’offre de monnaie s’ajuste normalement à sa demande.
Puis ils montrent comment les hommes de l’état essaient depuis toujours de voler les autres en rançonnant les utilisateurs de monnaie, accusant ensuite la liberté résiduelle –c’est-à-dire le moyen de sa régulation– de causer les désordres qui naissent de ces ingérences.

Autres enregistrements :
L’étalon-or, à compléter par ce texte
La banque libre

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Georges Lane et François Guillaumat présentent ce que c’est que la monnaie - qu’en France on appelle souvent “argent”.
Cette première émission explique d’abord ce que c’est que la monnaie, comment se développent ses diverses formes à la recherche de moyens plus pratiques et moins coûteux de réduire le coût des échanges, et comment l’offre de monnaie s’ajuste normalement à sa demande.
Puis ils montrent comment les hommes de l’état essaient depuis toujours de voler les autres en rançonnant les utilisateurs de monnaie, accusant ensuite la liberté résiduelle –c’est-à-dire le moyen de sa régulation– de causer les désordres qui naissent de ces ingérences.

Autres enregistrements :
L’étalon-or, à compléter par ce texte
La banque libre

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http://lumiere101.com/2010/02/08/la-monnaie-1//feed/01:13:06 Georges Lane et François Guillaumat présentent ce que c’est que la monnaie - qu’en France on appelle souvent “argent”.
Cette première émission explique d’abord ce que c’est que la monnaie, comment se développent ses diverses formes à la recherche de moyens plus pratiques et moins coûteux de réduire le coût des échanges, et comment l’offre de monnaie s’ajuste normalement à sa demande.
Puis ils montrent comment les hommes de l’état essaient depuis toujours de voler les autres en rançonnant les utilisateurs de monnaie, accusant ensuite la liberté résiduelle –c’est-à-dire le moyen de sa régulation– de causer les désordres qui naissent de ces ingérences.

Autres enregistrements :
L’étalon-or, à compléter par ce texte
La banque libre

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Georges Lane et François Guillaumat présentent ce que c’est que la monnaie - qu’en France on appelle souvent “argent”.
Cette première émission explique d’abord ce que c’est que la monnaie, comment se développent ses diverses formes à la recherche de moyens plus pratiques et moins coûteux de réduire le coût des échanges, et comment l’offre de monnaie s’ajuste normalement à sa demande.
Puis ils montrent comment les hommes de l’état essaient depuis toujours de voler les autres en rançonnant les utilisateurs de monnaie, accusant ensuite la liberté résiduelle –c’est-à-dire le moyen de sa régulation– de causer les désordres qui naissent de ces ingérences.

Autres enregistrements :
L’étalon-or, à compléter par ce texte
La banque libre

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Lumière 101noNo
Échec du coup d’État contre l’assurance-maladie aux États-Unis?124100121-echec_du_coup_d_etat_contre_l_assurance-maladie_aux_etats-unis.mp3http://lumiere101.com/2010/01/22/echec-du-coup-detat-contre-lassurance-maladie-aux-etats-unis/http://lumiere101.com/2010/01/22/echec-du-coup-detat-contre-lassurance-maladie-aux-etats-unis/#commentsThu, 21 Jan 2010 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2010/01/22/echec-du-coup-detat-contre-lassurance-maladie-aux-etats-unis/Georges Lane et François Guillaumat envisagent l’éventualité que l’élection d’un républicain au poste de sénateur laissé vacant par Ted Kennedy signale l’échec de la tentative d’imposer le socialisme dans l’assurance-maladie aux États-Unis.

Emission du 21 juillet : Le coup d’Etat contre l’assurance maladie aux Etats-Unis

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Georges Lane et François Guillaumat envisagent l’éventualité que l’élection d’un républicain au poste de sénateur laissé vacant par Ted Kennedy signale l’échec de la tentative d’imposer le socialisme dans l’assurance-maladie aux États-Unis.

Emission du 21 juillet : Le coup d’Etat contre l’assurance maladie aux Etats-Unis

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http://lumiere101.com/2010/01/22/echec-du-coup-detat-contre-lassurance-maladie-aux-etats-unis//feed/01:08:45Georges Lane et François Guillaumat envisagent l’éventualité que l’élection d’un républicain au poste de sénateur laissé vacant par Ted Kennedy signale l’échec de la tentative d’imposer le socialisme dans l’assurance-maladie aux États-Unis.

Emission du 21 juillet : Le coup d’Etat contre l’assurance maladie aux Etats-Unis

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Georges Lane et François Guillaumat envisagent l’éventualité que l’élection d’un républicain au poste de sénateur laissé vacant par Ted Kennedy signale l’échec de la tentative d’imposer le socialisme dans l’assurance-maladie aux États-Unis.

Emission du 21 juillet : Le coup d’Etat contre l’assurance maladie aux Etats-Unis

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Réchauffisme : les preuves de l’escroquerie165091214-rechauffisme_les_preuves_de_l_escroquerie.mp3http://lumiere101.com/2009/12/14/rechauffisme-les-preuves-de-lescroquerie/http://lumiere101.com/2009/12/14/rechauffisme-les-preuves-de-lescroquerie/#commentsMon, 14 Dec 2009 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2009/12/14/rechauffisme-les-preuves-de-lescroquerie/Depuis le 15 novembre 2009, où des documents récupérés sur une officine réchauffiste ont été publiés sur internet, les savants expérimentalistes n’ont plus d’excuse pour méconnaître ce que les économistes et philosophes politiques ont toujours su : à savoir que les soi-disant “savants” du réchauffisme sont des falsificateurs conscients et organisés.
Détourner l’attention des questions économiques et politiques normatives vers des questions qui relèvent apparemment des sciences de la nature est la dernière manipulation des esclavagistes-absurdistes pour imposer un gouvernement mondial.
Le Quadrilatère du Mensonge : les gouvernements, les médias, les chercheurs et les enseignants qui vivent d’argent volé essaient d’étouffer l’affaire, mais le réchauffisme devrait perdre tout crédit auprès des savants qui s’intéressent à la vérité.

Steven F. Hayward, Weekly Standard, 14 décember 2009
Stéphane, Le Meilleur Des Mondes, 6 décembre 2009 : “Climategate ou l’effondrement d’un dogme” ;
14 août 2009 : “L’homme qui dévoile l’arnaque du réchauffement climatique”
Pr. Vincent Courtillot, 2009 : Conférence : De l’observation aux processus et aux modèles en sciences de la Terre : l’exemple des évolutions climatiques récentes
Rush Limbaugh, 11 December 2009 : It Doesn’t Take a “Smart” Person to Understand the Hoax of Liberalism
Nigel Lawson : L’absence de débat climatique fait une politique bancale
Minnesotans for Global Warming : “Hide the Decline”
Emissions précédentes : Le réchauffisme ; Dernières nouvelles de l’escroquerie réchauffiste

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Depuis le 15 novembre 2009, où des documents récupérés sur une officine réchauffiste ont été publiés sur internet, les savants expérimentalistes n’ont plus d’excuse pour méconnaître ce que les économistes et philosophes politiques ont toujours su : à savoir que les soi-disant “savants” du réchauffisme sont des falsificateurs conscients et organisés.
Détourner l’attention des questions économiques et politiques normatives vers des questions qui relèvent apparemment des sciences de la nature est la dernière manipulation des esclavagistes-absurdistes pour imposer un gouvernement mondial.
Le Quadrilatère du Mensonge : les gouvernements, les médias, les chercheurs et les enseignants qui vivent d’argent volé essaient d’étouffer l’affaire, mais le réchauffisme devrait perdre tout crédit auprès des savants qui s’intéressent à la vérité.

Steven F. Hayward, Weekly Standard, 14 décember 2009
Stéphane, Le Meilleur Des Mondes, 6 décembre 2009 : “Climategate ou l’effondrement d’un dogme” ;
14 août 2009 : “L’homme qui dévoile l’arnaque du réchauffement climatique”
Pr. Vincent Courtillot, 2009 : Conférence : De l’observation aux processus et aux modèles en sciences de la Terre : l’exemple des évolutions climatiques récentes
Rush Limbaugh, 11 December 2009 : It Doesn’t Take a “Smart” Person to Understand the Hoax of Liberalism
Nigel Lawson : L’absence de débat climatique fait une politique bancale
Minnesotans for Global Warming : “Hide the Decline”
Emissions précédentes : Le réchauffisme ; Dernières nouvelles de l’escroquerie réchauffiste

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http://lumiere101.com/2009/12/14/rechauffisme-les-preuves-de-lescroquerie//feed/01:03:17Depuis le 15 novembre 2009, où des documents récupérés sur une officine réchauffiste ont été publiés sur internet, les savants expérimentalistes n’ont plus d’excuse pour méconnaître ce que les économistes et philosophes politiques ont toujours su : à savoir que les soi-disant “savants” du réchauffisme sont des falsificateurs conscients et organisés.
Détourner l’attention des questions économiques et politiques normatives vers des questions qui relèvent apparemment des sciences de la nature est la dernière manipulation des esclavagistes-absurdistes pour imposer un gouvernement mondial.
Le Quadrilatère du Mensonge : les gouvernements, les médias, les chercheurs et les enseignants qui vivent d’argent volé essaient d’étouffer l’affaire, mais le réchauffisme devrait perdre tout crédit auprès des savants qui s’intéressent à la vérité.

Steven F. Hayward, Weekly Standard, 14 décember 2009
Stéphane, Le Meilleur Des Mondes, 6 décembre 2009 : “Climategate ou l’effondrement d’un dogme” ;
14 août 2009 : “L’homme qui dévoile l’arnaque du réchauffement climatique”
Pr. Vincent Courtillot, 2009 : Conférence : De l’observation aux processus et aux modèles en sciences de la Terre : l’exemple des évolutions climatiques récentes
Rush Limbaugh, 11 December 2009 : It Doesn’t Take a “Smart” Person to Understand the Hoax of Liberalism
Nigel Lawson : L’absence de débat climatique fait une politique bancale
Minnesotans for Global Warming : “Hide the Decline”
Emissions précédentes : Le réchauffisme ; Dernières nouvelles de l’escroquerie réchauffiste

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Depuis le 15 novembre 2009, où des documents récupérés sur une officine réchauffiste ont été publiés sur internet, les savants expérimentalistes n’ont plus d’excuse pour méconnaître ce que les économistes et philosophes politiques ont toujours su : à savoir que les soi-disant “savants” du réchauffisme sont des falsificateurs conscients et organisés.
Détourner l’attention des questions économiques et politiques normatives vers des questions qui relèvent apparemment des sciences de la nature est la dernière manipulation des esclavagistes-absurdistes pour imposer un gouvernement mondial.
Le Quadrilatère du Mensonge : les gouvernements, les médias, les chercheurs et les enseignants qui vivent d’argent volé essaient d’étouffer l’affaire, mais le réchauffisme devrait perdre tout crédit auprès des savants qui s’intéressent à la vérité.

Steven F. Hayward, Weekly Standard, 14 décember 2009
Stéphane, Le Meilleur Des Mondes, 6 décembre 2009 : “Climategate ou l’effondrement d’un dogme” ;
14 août 2009 : “L’homme qui dévoile l’arnaque du réchauffement climatique”
Pr. Vincent Courtillot, 2009 : Conférence : De l’observation aux processus et aux modèles en sciences de la Terre : l’exemple des évolutions climatiques récentes
Rush Limbaugh, 11 December 2009 : It Doesn’t Take a “Smart” Person to Understand the Hoax of Liberalism
Nigel Lawson : L’absence de débat climatique fait une politique bancale
Minnesotans for Global Warming : “Hide the Decline”
Emissions précédentes : Le réchauffisme ; Dernières nouvelles de l’escroquerie réchauffiste

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Lumière 101noNo
La régulation par l’Etat est impossible167091124-la_regulation_par_l_etat_est_impossible.mp3http://lumiere101.com/2009/11/24/la-regulation-par-letat-est-impossible/http://lumiere101.com/2009/11/24/la-regulation-par-letat-est-impossible/#commentsTue, 24 Nov 2009 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2009/11/24/la-regulation-par-letat-est-impossible/Georges Lane et François Guillaumat expliquent pourquoi l’intervention de l’état ne peut que détruire la régulation sociale : parce qu’elle est essentiellement voleuse et irresponsable, et qu’elle détruit donc non seulement les raisons d’assurer cette régulation mais encore les instruments qui permettraient de guider celle-ci.

Liberpédia : Loi des Calamités ; Henri Lepage : Débat avec Drieu Godefridi, fondateur de l’Institut Hayek ; François Guillaumat : “Dans National-socialisme il y a “socialisme”

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Georges Lane et François Guillaumat expliquent pourquoi l’intervention de l’état ne peut que détruire la régulation sociale : parce qu’elle est essentiellement voleuse et irresponsable, et qu’elle détruit donc non seulement les raisons d’assurer cette régulation mais encore les instruments qui permettraient de guider celle-ci.

Liberpédia : Loi des Calamités ; Henri Lepage : Débat avec Drieu Godefridi, fondateur de l’Institut Hayek ; François Guillaumat : “Dans National-socialisme il y a “socialisme”

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http://lumiere101.com/2009/11/24/la-regulation-par-letat-est-impossible//feed/53:13Georges Lane et François Guillaumat expliquent pourquoi l’intervention de l’état ne peut que détruire la régulation sociale : parce qu’elle est essentiellement voleuse et irresponsable, et qu’elle détruit donc non seulement les raisons d’assurer cette régulation mais encore les instruments qui permettraient de guider celle-ci.

Liberpédia : Loi des Calamités ; Henri Lepage : Débat avec Drieu Godefridi, fondateur de l’Institut Hayek ; François Guillaumat : “Dans National-socialisme il y a “socialisme”

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Georges Lane et François Guillaumat expliquent pourquoi l’intervention de l’état ne peut que détruire la régulation sociale : parce qu’elle est essentiellement voleuse et irresponsable, et qu’elle détruit donc non seulement les raisons d’assurer cette régulation mais encore les instruments qui permettraient de guider celle-ci.

Liberpédia : Loi des Calamités ; Henri Lepage : Débat avec Drieu Godefridi, fondateur de l’Institut Hayek ; François Guillaumat : “Dans National-socialisme il y a “socialisme”

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Lumière 101noNo
La Géorgie un an après168091119-la_georgie_un_an_apres.mp3http://lumiere101.com/2009/11/19/la-georgie-un-an-apres/http://lumiere101.com/2009/11/19/la-georgie-un-an-apres/#commentsThu, 19 Nov 2009 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2009/11/19/la-georgie-un-an-apres/Georges Lane et François Guillaumat reçoivent Georges Mamoulia retour de Géorgie, un an après l’agression néo-soviétique. Celui-ci est allé constater l’échec des tentatives pour renverser le gouvernement de Micheil Saakachvili. Le gouvernement géorgien continue au contraire d’assainir les moeurs politiques et de réduire les impôts, ce qui lui vaut le soutien de la population…
Entretiens précédents : Le Caucase (1919-2009) ; La politique étrangère russe, modèle bolchevik 1918 ; A propos des événements de Géorgie (1) et (2)

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Georges Lane et François Guillaumat reçoivent Georges Mamoulia retour de Géorgie, un an après l’agression néo-soviétique. Celui-ci est allé constater l’échec des tentatives pour renverser le gouvernement de Micheil Saakachvili. Le gouvernement géorgien continue au contraire d’assainir les moeurs politiques et de réduire les impôts, ce qui lui vaut le soutien de la population…
Entretiens précédents : Le Caucase (1919-2009) ; La politique étrangère russe, modèle bolchevik 1918 ; A propos des événements de Géorgie (1) et (2)

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http://lumiere101.com/2009/11/19/la-georgie-un-an-apres//feed/01:02:28Georges Lane et François Guillaumat reçoivent Georges Mamoulia retour de Géorgie, un an après l’agression néo-soviétique. Celui-ci est allé constater l’échec des tentatives pour renverser le gouvernement de Micheil Saakachvili. Le gouvernement géorgien continue au contraire d’assainir les moeurs politiques et de réduire les impôts, ce qui lui vaut le soutien de la population…
Entretiens précédents : Le Caucase (1919-2009) ; La politique étrangère russe, modèle bolchevik 1918 ; A propos des événements de Géorgie (1) et (2)

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Georges Lane et François Guillaumat reçoivent Georges Mamoulia retour de Géorgie, un an après l’agression néo-soviétique. Celui-ci est allé constater l’échec des tentatives pour renverser le gouvernement de Micheil Saakachvili. Le gouvernement géorgien continue au contraire d’assainir les moeurs politiques et de réduire les impôts, ce qui lui vaut le soutien de la population…
Entretiens précédents : Le Caucase (1919-2009) ; La politique étrangère russe, modèle bolchevik 1918 ; A propos des événements de Géorgie (1) et (2)

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L’illusion fiscale - le retour169091111-l_illusion_fiscale_-_le_retour.mp3http://lumiere101.com/2009/11/11/lillusion-fiscale-le-retour/http://lumiere101.com/2009/11/11/lillusion-fiscale-le-retour/#commentsWed, 11 Nov 2009 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2009/11/11/lillusion-fiscale-le-retour/Deux ans après leur première émission sur l’illusion fiscale Georges Lane et François Guillaumat reçoivent Pascal Dray, économiste d’entreprise. Le sujet a tellement inspiré celui-ci qu’il soutiendra le 15 décembre prochain à Paris II une thèse de sciences économiques sur ce sujet même.
On ne saurait surestimer le caractère central de l’illusion fiscale comme moyen de la politique, et l’obligation de la dissiper comme rôle social des économistes.

→ Amilcare Puviani : Teoria della illusione nelle entrate publiche (1897)
Teoria della illusione Finanziaria (1903)
Mueller, Dennis C. (2003). Public Choice III. Cambridge University Press. pp. 221–222.
François Guillaumat avec Pascal Dray : L’Illusion fiscale

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Deux ans après leur première émission sur l’illusion fiscale Georges Lane et François Guillaumat reçoivent Pascal Dray, économiste d’entreprise. Le sujet a tellement inspiré celui-ci qu’il soutiendra le 15 décembre prochain à Paris II une thèse de sciences économiques sur ce sujet même.
On ne saurait surestimer le caractère central de l’illusion fiscale comme moyen de la politique, et l’obligation de la dissiper comme rôle social des économistes.

→ Amilcare Puviani : Teoria della illusione nelle entrate publiche (1897)
Teoria della illusione Finanziaria (1903)
Mueller, Dennis C. (2003). Public Choice III. Cambridge University Press. pp. 221–222.
François Guillaumat avec Pascal Dray : L’Illusion fiscale

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http://lumiere101.com/2009/11/11/lillusion-fiscale-le-retour//feed/01:12:20Deux ans après leur première émission sur l’illusion fiscale Georges Lane et François Guillaumat reçoivent Pascal Dray, économiste d’entreprise. Le sujet a tellement inspiré celui-ci qu’il soutiendra le 15 décembre prochain à Paris II une thèse de sciences économiques sur ce sujet même.
On ne saurait surestimer le caractère central de l’illusion fiscale comme moyen de la politique, et l’obligation de la dissiper comme rôle social des économistes.

→ Amilcare Puviani : Teoria della illusione nelle entrate publiche (1897)
Teoria della illusione Finanziaria (1903)
Mueller, Dennis C. (2003). Public Choice III. Cambridge University Press. pp. 221–222.
François Guillaumat avec Pascal Dray : L’Illusion fiscale

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Deux ans après leur première émission sur l’illusion fiscale Georges Lane et François Guillaumat reçoivent Pascal Dray, économiste d’entreprise. Le sujet a tellement inspiré celui-ci qu’il soutiendra le 15 décembre prochain à Paris II une thèse de sciences économiques sur ce sujet même.
On ne saurait surestimer le caractère central de l’illusion fiscale comme moyen de la politique, et l’obligation de la dissiper comme rôle social des économistes.

→ Amilcare Puviani : Teoria della illusione nelle entrate publiche (1897)
Teoria della illusione Finanziaria (1903)
Mueller, Dennis C. (2003). Public Choice III. Cambridge University Press. pp. 221–222.
François Guillaumat avec Pascal Dray : L’Illusion fiscale

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Lumière 101noNo
La prétendue “comptabilité publique” n’est pas une comptabilité170091028-la_pretendue_comptabilite_publique_n_est_pas_une_comptabilite.mp3http://lumiere101.com/2009/10/28/la-pretendue-comptabilite-publique-nest-pas-une-comptabilite/http://lumiere101.com/2009/10/28/la-pretendue-comptabilite-publique-nest-pas-une-comptabilite/#commentsWed, 28 Oct 2009 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2009/10/28/la-pretendue-comptabilite-publique-nest-pas-une-comptabilite/Inspirés l’un et l’autre par des incidents récents, Georges Lane et François Guillaumat énumèrent les raisons pour lesquelles les sommes d’argent que recense la prétendue “comptabilité publique”, et avec elle la prétendue “comptabilité nationale”, ne correspondent à aucune réalité économique, étant donné que celles-ci violent presque toutes les conditions dans lesquelles ces sommes d’argent pourraient refléter les jugements de valeur des personnes qui agissent.

Sur le blogue de Georges Lane : Respectivement + 28% et + 10% en 2009 et pas de levée de bouclier parisienne.
→ le texte de George Reisman : Le redressement économique passe par la reconstitution du capital, non par des « plans de relance » étatiques
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Inspirés l’un et l’autre par des incidents récents, Georges Lane et François Guillaumat énumèrent les raisons pour lesquelles les sommes d’argent que recense la prétendue “comptabilité publique”, et avec elle la prétendue “comptabilité nationale”, ne correspondent à aucune réalité économique, étant donné que celles-ci violent presque toutes les conditions dans lesquelles ces sommes d’argent pourraient refléter les jugements de valeur des personnes qui agissent.

Sur le blogue de Georges Lane : Respectivement + 28% et + 10% en 2009 et pas de levée de bouclier parisienne.
→ le texte de George Reisman : Le redressement économique passe par la reconstitution du capital, non par des « plans de relance » étatiques
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http://lumiere101.com/2009/10/28/la-pretendue-comptabilite-publique-nest-pas-une-comptabilite//feed/55:58Inspirés l’un et l’autre par des incidents récents, Georges Lane et François Guillaumat énumèrent les raisons pour lesquelles les sommes d’argent que recense la prétendue “comptabilité publique”, et avec elle la prétendue “comptabilité nationale”, ne correspondent à aucune réalité économique, étant donné que celles-ci violent presque toutes les conditions dans lesquelles ces sommes d’argent pourraient refléter les jugements de valeur des personnes qui agissent.

Sur le blogue de Georges Lane : Respectivement + 28% et + 10% en 2009 et pas de levée de bouclier parisienne.
→ le texte de George Reisman : Le redressement économique passe par la reconstitution du capital, non par des « plans de relance » étatiques
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Inspirés l’un et l’autre par des incidents récents, Georges Lane et François Guillaumat énumèrent les raisons pour lesquelles les sommes d’argent que recense la prétendue “comptabilité publique”, et avec elle la prétendue “comptabilité nationale”, ne correspondent à aucune réalité économique, étant donné que celles-ci violent presque toutes les conditions dans lesquelles ces sommes d’argent pourraient refléter les jugements de valeur des personnes qui agissent.

Sur le blogue de Georges Lane : Respectivement + 28% et + 10% en 2009 et pas de levée de bouclier parisienne.
→ le texte de George Reisman : Le redressement économique passe par la reconstitution du capital, non par des « plans de relance » étatiques
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Lumière 101noNo
Économie et mathématiques171091005-economie_et_mathematiques.mp3http://lumiere101.com/2009/10/05/economie-et-mathematiques/http://lumiere101.com/2009/10/05/economie-et-mathematiques/#commentsMon, 05 Oct 2009 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2009/10/05/economie-et-mathematiques/Entretien avec Georges Lane et François Guillaumat sur la critique de Ludwig Von Mises de la prétendue mesure mathématique de l’Économie
Écouter aussi et consulter la fiche technique

Ludwig von Mises Remarques sur le traitement mathématique des problèmes de l’économie politique

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Entretien avec Georges Lane et François Guillaumat sur la critique de Ludwig Von Mises de la prétendue mesure mathématique de l’Économie
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Ludwig von Mises Remarques sur le traitement mathématique des problèmes de l’économie politique

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http://lumiere101.com/2009/10/05/economie-et-mathematiques//feed/01:11:15Entretien avec Georges Lane et François Guillaumat sur la critique de Ludwig Von Mises de la prétendue mesure mathématique de l’Économie
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Entretien avec Georges Lane et François Guillaumat sur la critique de Ludwig Von Mises de la prétendue mesure mathématique de l’Économie
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Lumière 101noNo
Le sans-papiérisme est un communisme172090929-le_sans-papierisme_est_un_communisme.mp3http://lumiere101.com/2009/09/30/le-sans-papierisme-est-un-communisme/http://lumiere101.com/2009/09/30/le-sans-papierisme-est-un-communisme/#commentsTue, 29 Sep 2009 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2009/09/30/le-sans-papierisme-est-un-communisme/On fait souvent passer le libéralisme pour partisan inconditionnel de la liberté d’immigrer. Or, il ne peut pas exister de “droit” de s’installer chez les autres sans y avoir été invité. Il est vrai que l’anarcho-capitalisme, “stade suprême du capitalisme”, fait entièrement disparaître le problème, et même la notion ; mais le libéralisme traditionnel admet l’état ultra-minimal, dont la seule raison d’être est de tenir les étrangers indésirables à l’écart du territoire national. Et bien entendu, le libéralisme condamne absolument l’esclavagisme pseudo-démocratique qui amène aujourd’hui la majorité des étrangers immigrés à vivre par la force sur le dos des indigènes.

Références : Hans-Hermann Hoppe : Pour le libre échange et une immigration limitée
Le libéralisme contre l’immigrationnisme
Sans-papiérisme et socialisme

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On fait souvent passer le libéralisme pour partisan inconditionnel de la liberté d’immigrer. Or, il ne peut pas exister de “droit” de s’installer chez les autres sans y avoir été invité. Il est vrai que l’anarcho-capitalisme, “stade suprême du capitalisme”, fait entièrement disparaître le problème, et même la notion ; mais le libéralisme traditionnel admet l’état ultra-minimal, dont la seule raison d’être est de tenir les étrangers indésirables à l’écart du territoire national. Et bien entendu, le libéralisme condamne absolument l’esclavagisme pseudo-démocratique qui amène aujourd’hui la majorité des étrangers immigrés à vivre par la force sur le dos des indigènes.

Références : Hans-Hermann Hoppe : Pour le libre échange et une immigration limitée
Le libéralisme contre l’immigrationnisme
Sans-papiérisme et socialisme

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http://lumiere101.com/2009/09/30/le-sans-papierisme-est-un-communisme//feed/50:55On fait souvent passer le libéralisme pour partisan inconditionnel de la liberté d’immigrer. Or, il ne peut pas exister de “droit” de s’installer chez les autres sans y avoir été invité. Il est vrai que l’anarcho-capitalisme, “stade suprême du capitalisme”, fait entièrement disparaître le problème, et même la notion ; mais le libéralisme traditionnel admet l’état ultra-minimal, dont la seule raison d’être est de tenir les étrangers indésirables à l’écart du territoire national. Et bien entendu, le libéralisme condamne absolument l’esclavagisme pseudo-démocratique qui amène aujourd’hui la majorité des étrangers immigrés à vivre par la force sur le dos des indigènes.

Références : Hans-Hermann Hoppe : Pour le libre échange et une immigration limitée
Le libéralisme contre l’immigrationnisme
Sans-papiérisme et socialisme

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On fait souvent passer le libéralisme pour partisan inconditionnel de la liberté d’immigrer. Or, il ne peut pas exister de “droit” de s’installer chez les autres sans y avoir été invité. Il est vrai que l’anarcho-capitalisme, “stade suprême du capitalisme”, fait entièrement disparaître le problème, et même la notion ; mais le libéralisme traditionnel admet l’état ultra-minimal, dont la seule raison d’être est de tenir les étrangers indésirables à l’écart du territoire national. Et bien entendu, le libéralisme condamne absolument l’esclavagisme pseudo-démocratique qui amène aujourd’hui la majorité des étrangers immigrés à vivre par la force sur le dos des indigènes.

Références : Hans-Hermann Hoppe : Pour le libre échange et une immigration limitée
Le libéralisme contre l’immigrationnisme
Sans-papiérisme et socialisme

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Lumière 101noNo
Pourquoi pas Bitur-Camember?173090912-pourquoi_pas_bitur-camember.mp3http://lumiere101.com/2009/09/12/pourquoi-pas-bitur-camember/http://lumiere101.com/2009/09/12/pourquoi-pas-bitur-camember/#commentsSat, 12 Sep 2009 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2009/09/12/pourquoi-pas-bitur-camember/A la Freedom Fest de Paris, Georges Lane enregistre publiquement avec François Guillaumat un entretien sur ce qui empêche de comprendre la Loi de Bitur-Camember, laquelle démontre que les destructions causées par la redistribution politique sont équivalentes au montant de ses butins.

Documents :
Pourquoi pas Bitur-Camember ?, Le pseudo-expérimentalisme, L’illusion fiscale
Liberpédia : Pseudo-expérimentalisme, Loi de Bitur-Camember, Maurice Allais, Vol de concepts
François-René Rideau : Redistribution = Dissipation
Nathaniel Branden : Le Vol de concepts
Gordon Tullock: The Welfare Costs of Monopolies and Theft
Ludwig von Mises : Remarques sur le traitement mathématique des problèmes de l’économie politique
La loi de Bitur-Camember
L’illusion fiscale
Le péril socialiste selon Vilfredo Pareto
Le prétendu “service public”, institution anti-démocratique
Le réchauffisme

http://yacast.dailymotion.com/video/xatbrt_lumiere-101-pourquoi-pas-bitur-came_news

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A la Freedom Fest de Paris, Georges Lane enregistre publiquement avec François Guillaumat un entretien sur ce qui empêche de comprendre la Loi de Bitur-Camember, laquelle démontre que les destructions causées par la redistribution politique sont équivalentes au montant de ses butins.

Documents :
Pourquoi pas Bitur-Camember ?, Le pseudo-expérimentalisme, L’illusion fiscale
Liberpédia : Pseudo-expérimentalisme, Loi de Bitur-Camember, Maurice Allais, Vol de concepts
François-René Rideau : Redistribution = Dissipation
Nathaniel Branden : Le Vol de concepts
Gordon Tullock: The Welfare Costs of Monopolies and Theft
Ludwig von Mises : Remarques sur le traitement mathématique des problèmes de l’économie politique
La loi de Bitur-Camember
L’illusion fiscale
Le péril socialiste selon Vilfredo Pareto
Le prétendu “service public”, institution anti-démocratique
Le réchauffisme

http://yacast.dailymotion.com/video/xatbrt_lumiere-101-pourquoi-pas-bitur-came_news

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http://lumiere101.com/2009/09/12/pourquoi-pas-bitur-camember//feed/01:01:01A la Freedom Fest de Paris, Georges Lane enregistre publiquement avec François Guillaumat un entretien sur ce qui empêche de comprendre la Loi de Bitur-Camember, laquelle démontre que les destructions causées par la redistribution politique sont équivalentes au montant de ses butins.

Documents :
Pourquoi pas Bitur-Camember ?, Le pseudo-expérimentalisme, L’illusion fiscale
Liberpédia : Pseudo-expérimentalisme, Loi de Bitur-Camember, Maurice Allais, Vol de concepts
François-René Rideau : Redistribution = Dissipation
Nathaniel Branden : Le Vol de concepts
Gordon Tullock: The Welfare Costs of Monopolies and Theft
Ludwig von Mises : Remarques sur le traitement mathématique des problèmes de l’économie politique
La loi de Bitur-Camember
L’illusion fiscale
Le péril socialiste selon Vilfredo Pareto
Le prétendu “service public”, institution anti-démocratique
Le réchauffisme

http://yacast.dailymotion.com/video/xatbrt_lumiere-101-pourquoi-pas-bitur-came_news

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A la Freedom Fest de Paris, Georges Lane enregistre publiquement avec François Guillaumat un entretien sur ce qui empêche de comprendre la Loi de Bitur-Camember, laquelle démontre que les destructions causées par la redistribution politique sont équivalentes au montant de ses butins.

Documents :
Pourquoi pas Bitur-Camember ?, Le pseudo-expérimentalisme, L’illusion fiscale
Liberpédia : Pseudo-expérimentalisme, Loi de Bitur-Camember, Maurice Allais, Vol de concepts
François-René Rideau : Redistribution = Dissipation
Nathaniel Branden : Le Vol de concepts
Gordon Tullock: The Welfare Costs of Monopolies and Theft
Ludwig von Mises : Remarques sur le traitement mathématique des problèmes de l’économie politique
La loi de Bitur-Camember
L’illusion fiscale
Le péril socialiste selon Vilfredo Pareto
Le prétendu “service public”, institution anti-démocratique
Le réchauffisme

http://yacast.dailymotion.com/video/xatbrt_lumiere-101-pourquoi-pas-bitur-came_news

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Lumière 101noNo
L’Esclavagisme-absurdisme174090901-l_esclavagisme-absurdisme.mp3http://lumiere101.com/2009/09/01/lesclavagisme-absurdisme/http://lumiere101.com/2009/09/01/lesclavagisme-absurdisme/#commentsTue, 01 Sep 2009 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2009/09/01/lesclavagisme-absurdisme/“Esclavagisme-absurdisme” est le véritable nom du socialisme.
“Esclavagisme” parce que le socialisme se prétend d’emblée propriétaire sans limite du travail de ses victimes, qu’il leur impose un travail non rémunéré, qu’il leur vole la rémunération de leur travail ou qu’il leur interdise de travailler.
“Absurdisme ” parce que le socialisme est né d’un rejet de la cohérence logique comme moyen de preuve en matière de justice, avec toutes les conséquences bien connues qui s’ensuivent.

Références : Anthony de Jasay: “Incomes-Equalizing or Churning?” Liberpédia : Le pseudo-expérimentalisme ; Liberpédia: La Loi de Bitur-Camember

Enregistrement de Lumière 101: Le radjaïdjah socialiste ; Le pseudo-expérimentalisme ; L’absurde théorie des prétendues “externalités”.

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“Esclavagisme-absurdisme” est le véritable nom du socialisme.
“Esclavagisme” parce que le socialisme se prétend d’emblée propriétaire sans limite du travail de ses victimes, qu’il leur impose un travail non rémunéré, qu’il leur vole la rémunération de leur travail ou qu’il leur interdise de travailler.
“Absurdisme ” parce que le socialisme est né d’un rejet de la cohérence logique comme moyen de preuve en matière de justice, avec toutes les conséquences bien connues qui s’ensuivent.

Références : Anthony de Jasay: “Incomes-Equalizing or Churning?” Liberpédia : Le pseudo-expérimentalisme ; Liberpédia: La Loi de Bitur-Camember

Enregistrement de Lumière 101: Le radjaïdjah socialiste ; Le pseudo-expérimentalisme ; L’absurde théorie des prétendues “externalités”.

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http://lumiere101.com/2009/09/01/lesclavagisme-absurdisme//feed/01:00:03“Esclavagisme-absurdisme” est le véritable nom du socialisme.
“Esclavagisme” parce que le socialisme se prétend d’emblée propriétaire sans limite du travail de ses victimes, qu’il leur impose un travail non rémunéré, qu’il leur vole la rémunération de leur travail ou qu’il leur interdise de travailler.
“Absurdisme ” parce que le socialisme est né d’un rejet de la cohérence logique comme moyen de preuve en matière de justice, avec toutes les conséquences bien connues qui s’ensuivent.

Références : Anthony de Jasay: “Incomes-Equalizing or Churning?” Liberpédia : Le pseudo-expérimentalisme ; Liberpédia: La Loi de Bitur-Camember

Enregistrement de Lumière 101: Le radjaïdjah socialiste ; Le pseudo-expérimentalisme ; L’absurde théorie des prétendues “externalités”.

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“Esclavagisme-absurdisme” est le véritable nom du socialisme.
“Esclavagisme” parce que le socialisme se prétend d’emblée propriétaire sans limite du travail de ses victimes, qu’il leur impose un travail non rémunéré, qu’il leur vole la rémunération de leur travail ou qu’il leur interdise de travailler.
“Absurdisme ” parce que le socialisme est né d’un rejet de la cohérence logique comme moyen de preuve en matière de justice, avec toutes les conséquences bien connues qui s’ensuivent.

Références : Anthony de Jasay: “Incomes-Equalizing or Churning?” Liberpédia : Le pseudo-expérimentalisme ; Liberpédia: La Loi de Bitur-Camember

Enregistrement de Lumière 101: Le radjaïdjah socialiste ; Le pseudo-expérimentalisme ; L’absurde théorie des prétendues “externalités”.

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Lumière 101noNo
Morale et marché175090819-morale_et_marche.mp3http://lumiere101.com/2009/08/19/morale-et-marche/http://lumiere101.com/2009/08/19/morale-et-marche/#commentsWed, 19 Aug 2009 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2009/08/19/morale-et-marche/Le marché est l’ensemble des relations volontaires potentielles entre les personnes, donc une des manifestations de la morale sociale naturelle. Ces relations sont falsifiées par le socialisme qui attribue au marché une oppression dont l’étatisme est la cause, par le pseudo-conservatisme qui l’accuse faussement de subversion et de méconnaissance des valeurs, par le pseudo-expérimentalisme qui débouche sur un absurde subjectivisme.

Références:
Georges Lane : XXXIe Université de la Nouvelle Economie : marché et morale; Frédéric Bastiat : Protectionnisme et communisme; François Guillaumat et Georges Lane : Le pseudo-expérimentalisme, La Loi de Bitur-Camember; Liberpédia : Pseudo-expérimentalisme; Ayn Rand : Introduction to Objectivist epistemology; Gary North: Pourquoi Murray Rothbard n’aura jamais le prix Nobel
Emission de Lumière 101 : Les Forces du Désordre

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Le marché est l’ensemble des relations volontaires potentielles entre les personnes, donc une des manifestations de la morale sociale naturelle. Ces relations sont falsifiées par le socialisme qui attribue au marché une oppression dont l’étatisme est la cause, par le pseudo-conservatisme qui l’accuse faussement de subversion et de méconnaissance des valeurs, par le pseudo-expérimentalisme qui débouche sur un absurde subjectivisme.

Références:
Georges Lane : XXXIe Université de la Nouvelle Economie : marché et morale; Frédéric Bastiat : Protectionnisme et communisme; François Guillaumat et Georges Lane : Le pseudo-expérimentalisme, La Loi de Bitur-Camember; Liberpédia : Pseudo-expérimentalisme; Ayn Rand : Introduction to Objectivist epistemology; Gary North: Pourquoi Murray Rothbard n’aura jamais le prix Nobel
Emission de Lumière 101 : Les Forces du Désordre

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http://lumiere101.com/2009/08/19/morale-et-marche//feed/01:12:57Le marché est l’ensemble des relations volontaires potentielles entre les personnes, donc une des manifestations de la morale sociale naturelle. Ces relations sont falsifiées par le socialisme qui attribue au marché une oppression dont l’étatisme est la cause, par le pseudo-conservatisme qui l’accuse faussement de subversion et de méconnaissance des valeurs, par le pseudo-expérimentalisme qui débouche sur un absurde subjectivisme.

Références:
Georges Lane : XXXIe Université de la Nouvelle Economie : marché et morale; Frédéric Bastiat : Protectionnisme et communisme; François Guillaumat et Georges Lane : Le pseudo-expérimentalisme, La Loi de Bitur-Camember; Liberpédia : Pseudo-expérimentalisme; Ayn Rand : Introduction to Objectivist epistemology; Gary North: Pourquoi Murray Rothbard n’aura jamais le prix Nobel
Emission de Lumière 101 : Les Forces du Désordre

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Le marché est l’ensemble des relations volontaires potentielles entre les personnes, donc une des manifestations de la morale sociale naturelle. Ces relations sont falsifiées par le socialisme qui attribue au marché une oppression dont l’étatisme est la cause, par le pseudo-conservatisme qui l’accuse faussement de subversion et de méconnaissance des valeurs, par le pseudo-expérimentalisme qui débouche sur un absurde subjectivisme.

Références:
Georges Lane : XXXIe Université de la Nouvelle Economie : marché et morale; Frédéric Bastiat : Protectionnisme et communisme; François Guillaumat et Georges Lane : Le pseudo-expérimentalisme, La Loi de Bitur-Camember; Liberpédia : Pseudo-expérimentalisme; Ayn Rand : Introduction to Objectivist epistemology; Gary North: Pourquoi Murray Rothbard n’aura jamais le prix Nobel
Emission de Lumière 101 : Les Forces du Désordre

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Lumière 101noNo
Le Caucase (1919-2009)176090815-le_caucase_(1919-2009).mp3http://lumiere101.com/2009/08/15/le-caucase-1919-2009/http://lumiere101.com/2009/08/15/le-caucase-1919-2009/#commentsSat, 15 Aug 2009 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2009/08/15/le-caucase-1919-2009/Georges Mamoulia, s’entretenant avec François Guillaumat, présente son ouvrage qui vient de paraître : “Les combats indépendantistes des Caucasiens entre URSS et puissances occidentales - Le cas de la Géorgie (1921-1945)”
Pour comprendre la situation dans le Caucase aujourd’hui, il faut connaître son passé. Après l’invasion bolchévique,  la Géorgie a joué un rôle central dans le mouvement des peuples du Caucase, parce qu’elle était un état reconnu, avec un gouvernement exilé en France. Après l’arrivée au pouvoir du socialisme national hitlérien, une composante nationaliste s’est ajoutée à la composante social-démocrate qui dominait auparavant le mouvement indépendantiste. La Pologne joue toujours un rôle décisif pour défendre la liberté des peuples victimes de l’impérialisme moscovite.

Emissions de Lumière 101 :
La politique étrangère russe, modèle bolchevik 1918;
La Géorgie face à l’impérialisme moscovite (1);
La Géorgie face à l’impérialisme moscovite (2)

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Georges Mamoulia, s’entretenant avec François Guillaumat, présente son ouvrage qui vient de paraître : “Les combats indépendantistes des Caucasiens entre URSS et puissances occidentales - Le cas de la Géorgie (1921-1945)”
Pour comprendre la situation dans le Caucase aujourd’hui, il faut connaître son passé. Après l’invasion bolchévique,  la Géorgie a joué un rôle central dans le mouvement des peuples du Caucase, parce qu’elle était un état reconnu, avec un gouvernement exilé en France. Après l’arrivée au pouvoir du socialisme national hitlérien, une composante nationaliste s’est ajoutée à la composante social-démocrate qui dominait auparavant le mouvement indépendantiste. La Pologne joue toujours un rôle décisif pour défendre la liberté des peuples victimes de l’impérialisme moscovite.

Emissions de Lumière 101 :
La politique étrangère russe, modèle bolchevik 1918;
La Géorgie face à l’impérialisme moscovite (1);
La Géorgie face à l’impérialisme moscovite (2)

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http://lumiere101.com/2009/08/15/le-caucase-1919-2009//feed/01:00:16Georges Mamoulia, s’entretenant avec François Guillaumat, présente son ouvrage qui vient de paraître : “Les combats indépendantistes des Caucasiens entre URSS et puissances occidentales - Le cas de la Géorgie (1921-1945)”
Pour comprendre la situation dans le Caucase aujourd’hui, il faut connaître son passé. Après l’invasion bolchévique,  la Géorgie a joué un rôle central dans le mouvement des peuples du Caucase, parce qu’elle était un état reconnu, avec un gouvernement exilé en France. Après l’arrivée au pouvoir du socialisme national hitlérien, une composante nationaliste s’est ajoutée à la composante social-démocrate qui dominait auparavant le mouvement indépendantiste. La Pologne joue toujours un rôle décisif pour défendre la liberté des peuples victimes de l’impérialisme moscovite.

Emissions de Lumière 101 :
La politique étrangère russe, modèle bolchevik 1918;
La Géorgie face à l’impérialisme moscovite (1);
La Géorgie face à l’impérialisme moscovite (2)

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Georges Mamoulia, s’entretenant avec François Guillaumat, présente son ouvrage qui vient de paraître : “Les combats indépendantistes des Caucasiens entre URSS et puissances occidentales - Le cas de la Géorgie (1921-1945)”
Pour comprendre la situation dans le Caucase aujourd’hui, il faut connaître son passé. Après l’invasion bolchévique,  la Géorgie a joué un rôle central dans le mouvement des peuples du Caucase, parce qu’elle était un état reconnu, avec un gouvernement exilé en France. Après l’arrivée au pouvoir du socialisme national hitlérien, une composante nationaliste s’est ajoutée à la composante social-démocrate qui dominait auparavant le mouvement indépendantiste. La Pologne joue toujours un rôle décisif pour défendre la liberté des peuples victimes de l’impérialisme moscovite.

Emissions de Lumière 101 :
La politique étrangère russe, modèle bolchevik 1918;
La Géorgie face à l’impérialisme moscovite (1);
La Géorgie face à l’impérialisme moscovite (2)

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Lumière 101noNo
La crise institutionnelle aux Etats-Unis177090807-la_crise_institutionnelle_aux_etats-unis.mp3http://lumiere101.com/2009/08/07/la-crise-institutionnelle-aux-etats-unis/http://lumiere101.com/2009/08/07/la-crise-institutionnelle-aux-etats-unis/#commentsFri, 07 Aug 2009 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2009/08/07/la-crise-institutionnelle-aux-etats-unis/La crise institutionnelle est née de la partialité fanatique des médias en faveur du parti Démocrate, elle a été accélérée par le refus, à cause de la couleur de sa peau, de laisser connaître aucune vérité gênante sur un candidat qu’une seule d’entre elle aurait dû rendre inéligible — c’est la deuxième catastrophe planétaire du Politiquement Correct, et elle se traduit aujourd’hui par une négation concertée du fait que la légalité de sa candidature n’a jamais été prouvée.

Ann Coulter : Slander: Liberal Lies About the American Right
Florin Aftalion : La trahison des Rosenberg
Joseph Farah : “Not the last word on Obama’s birth”
The Western Center for Journalism : “Clearing the Smoke on Obama’s Eligibility: AnIntelligence Investigator’s June 10 Report”
Obamanotqualified.com : “Obama’s Kenyan Birth Record!

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La crise institutionnelle est née de la partialité fanatique des médias en faveur du parti Démocrate, elle a été accélérée par le refus, à cause de la couleur de sa peau, de laisser connaître aucune vérité gênante sur un candidat qu’une seule d’entre elle aurait dû rendre inéligible — c’est la deuxième catastrophe planétaire du Politiquement Correct, et elle se traduit aujourd’hui par une négation concertée du fait que la légalité de sa candidature n’a jamais été prouvée.

Ann Coulter : Slander: Liberal Lies About the American Right
Florin Aftalion : La trahison des Rosenberg
Joseph Farah : “Not the last word on Obama’s birth”
The Western Center for Journalism : “Clearing the Smoke on Obama’s Eligibility: AnIntelligence Investigator’s June 10 Report”
Obamanotqualified.com : “Obama’s Kenyan Birth Record!

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http://lumiere101.com/2009/08/07/la-crise-institutionnelle-aux-etats-unis//feed/01:04:44La crise institutionnelle est née de la partialité fanatique des médias en faveur du parti Démocrate, elle a été accélérée par le refus, à cause de la couleur de sa peau, de laisser connaître aucune vérité gênante sur un candidat qu’une seule d’entre elle aurait dû rendre inéligible — c’est la deuxième catastrophe planétaire du Politiquement Correct, et elle se traduit aujourd’hui par une négation concertée du fait que la légalité de sa candidature n’a jamais été prouvée.

Ann Coulter : Slander: Liberal Lies About the American Right
Florin Aftalion : La trahison des Rosenberg
Joseph Farah : “Not the last word on Obama’s birth”
The Western Center for Journalism : “Clearing the Smoke on Obama’s Eligibility: AnIntelligence Investigator’s June 10 Report”
Obamanotqualified.com : “Obama’s Kenyan Birth Record!

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La crise institutionnelle est née de la partialité fanatique des médias en faveur du parti Démocrate, elle a été accélérée par le refus, à cause de la couleur de sa peau, de laisser connaître aucune vérité gênante sur un candidat qu’une seule d’entre elle aurait dû rendre inéligible — c’est la deuxième catastrophe planétaire du Politiquement Correct, et elle se traduit aujourd’hui par une négation concertée du fait que la légalité de sa candidature n’a jamais été prouvée.

Ann Coulter : Slander: Liberal Lies About the American Right
Florin Aftalion : La trahison des Rosenberg
Joseph Farah : “Not the last word on Obama’s birth”
The Western Center for Journalism : “Clearing the Smoke on Obama’s Eligibility: AnIntelligence Investigator’s June 10 Report”
Obamanotqualified.com : “Obama’s Kenyan Birth Record!

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Lumière 101noNo
Le coup d’État contre l’assurance-maladie aux Etats-Unis178090721-le_coup_d_etat_contre_l_assurance-maladie_aux_etats-unis.mp3http://lumiere101.com/2009/07/21/le-coup-detat-contre-lassurance-maladie-aux-etats-unis/http://lumiere101.com/2009/07/21/le-coup-detat-contre-lassurance-maladie-aux-etats-unis/#commentsTue, 21 Jul 2009 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2009/07/21/le-coup-detat-contre-lassurance-maladie-aux-etats-unis/Le Parti Démocrate essaie d’imposer aux Etats-Unis ce qu’il appelle un “projet de réforme de l’assurance-maladie”. Le vrai problème de l’assurance-maladie aux Etats-Unis est qu’on la présente comme trop chère depuis des années. Le faux problème des “46 millions de résidents qui n’ont pas d’assurance” sert de prétexte aux Esclavagistes. Violant leurs promesses électorales, ils tentent de passer en force.

Georges Lane : 60 ans de sécurité sociale totalitaire en France
Fred Barnes : “The Obama Agenda Bogs Down”, Wall Street Journal, 20 juillet 2009
sur Lumière 101 L’illusion fiscale

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Le Parti Démocrate essaie d’imposer aux Etats-Unis ce qu’il appelle un “projet de réforme de l’assurance-maladie”. Le vrai problème de l’assurance-maladie aux Etats-Unis est qu’on la présente comme trop chère depuis des années. Le faux problème des “46 millions de résidents qui n’ont pas d’assurance” sert de prétexte aux Esclavagistes. Violant leurs promesses électorales, ils tentent de passer en force.

Georges Lane : 60 ans de sécurité sociale totalitaire en France
Fred Barnes : “The Obama Agenda Bogs Down”, Wall Street Journal, 20 juillet 2009
sur Lumière 101 L’illusion fiscale

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http://lumiere101.com/2009/07/21/le-coup-detat-contre-lassurance-maladie-aux-etats-unis//feed/01:07:31Le Parti Démocrate essaie d’imposer aux Etats-Unis ce qu’il appelle un “projet de réforme de l’assurance-maladie”. Le vrai problème de l’assurance-maladie aux Etats-Unis est qu’on la présente comme trop chère depuis des années. Le faux problème des “46 millions de résidents qui n’ont pas d’assurance” sert de prétexte aux Esclavagistes. Violant leurs promesses électorales, ils tentent de passer en force.

Georges Lane : 60 ans de sécurité sociale totalitaire en France
Fred Barnes : “The Obama Agenda Bogs Down”, Wall Street Journal, 20 juillet 2009
sur Lumière 101 L’illusion fiscale

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Le Parti Démocrate essaie d’imposer aux Etats-Unis ce qu’il appelle un “projet de réforme de l’assurance-maladie”. Le vrai problème de l’assurance-maladie aux Etats-Unis est qu’on la présente comme trop chère depuis des années. Le faux problème des “46 millions de résidents qui n’ont pas d’assurance” sert de prétexte aux Esclavagistes. Violant leurs promesses électorales, ils tentent de passer en force.

Georges Lane : 60 ans de sécurité sociale totalitaire en France
Fred Barnes : “The Obama Agenda Bogs Down”, Wall Street Journal, 20 juillet 2009
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Lumière 101noNo
Evocation du Yuan chinois179090710-evocation_du_Yuan_chinois.mp3http://lumiere101.com/2009/07/10/evocation-du-yuan-chinois/http://lumiere101.com/2009/07/10/evocation-du-yuan-chinois/#commentsFri, 10 Jul 2009 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2009/07/10/evocation-du-yuan-chinois/Entretien avec François Guillaumat. La monnaie chinoise a d’abord baissé par rapport au dollar, avant de remonter. Le prix relatif des deux monnaies a traduit des relations de dépendance réciproque, aussi marquée par des ingérences politiques qui devraient disparaître à terme. Il y a des précédents, avec l’Allemagne et le Japon.

Jacques Rueff : Le Péché monétaire de l’occident
Frédéric Bastiat : “Balance du commerce” et “Harmonies sociales” préfacé par G. Lane
Ludwig von Mises : “Sociologie et histoire”
Friedrich Hayek : “The Trend of Economic Thinking”, 1933 → Vilfredo Pareto : “Le Péril socialiste” préfacé par G. Lane

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Entretien avec François Guillaumat. La monnaie chinoise a d’abord baissé par rapport au dollar, avant de remonter. Le prix relatif des deux monnaies a traduit des relations de dépendance réciproque, aussi marquée par des ingérences politiques qui devraient disparaître à terme. Il y a des précédents, avec l’Allemagne et le Japon.

Jacques Rueff : Le Péché monétaire de l’occident
Frédéric Bastiat : “Balance du commerce” et “Harmonies sociales” préfacé par G. Lane
Ludwig von Mises : “Sociologie et histoire”
Friedrich Hayek : “The Trend of Economic Thinking”, 1933 → Vilfredo Pareto : “Le Péril socialiste” préfacé par G. Lane

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http://lumiere101.com/2009/07/10/evocation-du-yuan-chinois//feed/01:14:30Entretien avec François Guillaumat. La monnaie chinoise a d’abord baissé par rapport au dollar, avant de remonter. Le prix relatif des deux monnaies a traduit des relations de dépendance réciproque, aussi marquée par des ingérences politiques qui devraient disparaître à terme. Il y a des précédents, avec l’Allemagne et le Japon.

Jacques Rueff : Le Péché monétaire de l’occident
Frédéric Bastiat : “Balance du commerce” et “Harmonies sociales” préfacé par G. Lane
Ludwig von Mises : “Sociologie et histoire”
Friedrich Hayek : “The Trend of Economic Thinking”, 1933 → Vilfredo Pareto : “Le Péril socialiste” préfacé par G. Lane

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Entretien avec François Guillaumat. La monnaie chinoise a d’abord baissé par rapport au dollar, avant de remonter. Le prix relatif des deux monnaies a traduit des relations de dépendance réciproque, aussi marquée par des ingérences politiques qui devraient disparaître à terme. Il y a des précédents, avec l’Allemagne et le Japon.

Jacques Rueff : Le Péché monétaire de l’occident
Frédéric Bastiat : “Balance du commerce” et “Harmonies sociales” préfacé par G. Lane
Ludwig von Mises : “Sociologie et histoire”
Friedrich Hayek : “The Trend of Economic Thinking”, 1933 → Vilfredo Pareto : “Le Péril socialiste” préfacé par G. Lane

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Lumière 101noNo
Conseil et confusions180090703-conseil_et_confusions.mp3http://lumiere101.com/2009/07/03/conseil-et-confusions/http://lumiere101.com/2009/07/03/conseil-et-confusions/#commentsFri, 03 Jul 2009 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2009/07/03/conseil-et-confusions/La lecture de deux textes du conseiller du président de la république en exercice donne à François Guillaumat et Georges Lane l’occasion de constater la falsification des mots, des idées et des faits à laquelle celui-ci se livre, et qui semble bien caractériser le “pragmatisme à la française” par opposition au “pragmatisme” de Margaret Thatcher.

Références :
Henri Guaino : Tribune libre (juin 1999)
“Non, Monsieur Duisenberg” (avril 2002)
François Guillaumat : “Réponse à Henri Guaino”
Jacques Rueff : “L’Ordre social”
David Ricardo : Des principes de l’économie politique et de l’impôt
Hans-Hermann Hoppe : Le socialisme des ingénieurs sociaux et les fondements de l’analyse économique
Margaret Thatcher : The New Conservatism

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La lecture de deux textes du conseiller du président de la république en exercice donne à François Guillaumat et Georges Lane l’occasion de constater la falsification des mots, des idées et des faits à laquelle celui-ci se livre, et qui semble bien caractériser le “pragmatisme à la française” par opposition au “pragmatisme” de Margaret Thatcher.

Références :
Henri Guaino : Tribune libre (juin 1999)
“Non, Monsieur Duisenberg” (avril 2002)
François Guillaumat : “Réponse à Henri Guaino”
Jacques Rueff : “L’Ordre social”
David Ricardo : Des principes de l’économie politique et de l’impôt
Hans-Hermann Hoppe : Le socialisme des ingénieurs sociaux et les fondements de l’analyse économique
Margaret Thatcher : The New Conservatism

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http://lumiere101.com/2009/07/03/conseil-et-confusions//feed/57:39La lecture de deux textes du conseiller du président de la république en exercice donne à François Guillaumat et Georges Lane l’occasion de constater la falsification des mots, des idées et des faits à laquelle celui-ci se livre, et qui semble bien caractériser le “pragmatisme à la française” par opposition au “pragmatisme” de Margaret Thatcher.

Références :
Henri Guaino : Tribune libre (juin 1999)
“Non, Monsieur Duisenberg” (avril 2002)
François Guillaumat : “Réponse à Henri Guaino”
Jacques Rueff : “L’Ordre social”
David Ricardo : Des principes de l’économie politique et de l’impôt
Hans-Hermann Hoppe : Le socialisme des ingénieurs sociaux et les fondements de l’analyse économique
Margaret Thatcher : The New Conservatism

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La lecture de deux textes du conseiller du président de la république en exercice donne à François Guillaumat et Georges Lane l’occasion de constater la falsification des mots, des idées et des faits à laquelle celui-ci se livre, et qui semble bien caractériser le “pragmatisme à la française” par opposition au “pragmatisme” de Margaret Thatcher.

Références :
Henri Guaino : Tribune libre (juin 1999)
“Non, Monsieur Duisenberg” (avril 2002)
François Guillaumat : “Réponse à Henri Guaino”
Jacques Rueff : “L’Ordre social”
David Ricardo : Des principes de l’économie politique et de l’impôt
Hans-Hermann Hoppe : Le socialisme des ingénieurs sociaux et les fondements de l’analyse économique
Margaret Thatcher : The New Conservatism

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Lumière 101noNo
Une institution d’injustice : le prétendu service public181090625-une_institution_d_injustice_le_pretendu_service_public.mp3http://lumiere101.com/2009/06/27/une-institution-dinjustice-le-pretendu-service-public/http://lumiere101.com/2009/06/27/une-institution-dinjustice-le-pretendu-service-public/#commentsThu, 25 Jun 2009 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2009/06/27/une-institution-dinjustice-le-pretendu-service-public/Comme toute injustice, le prétendu “service public” présente trois caractéristiques :
- l’absurdité, prétendant résoudre des problèmes dont il est la seule cause, ou que nul ne saurait résoudre quand ils ne sont pas simplement imaginaires;
- l’injustice, faisant violence à des innocents au profit présumé de receleurs qui en réalité n’en profitent pas; on ne s’en rend pas compte dans la mesure où cette violence est commise contre d’autres, et où on ne perçoit pas qu’on en souffre indirectement
- la destruction, qu’on ne perçoit pas parce que l’institution mêle des services réels à la redistribution politique qui seule le caractérise, et qui en tendance détruit tout ce qu’elle vole.

François Lefort : Le prétendu “service public”
Vilfredo Pareto : Le Péril socialiste
François Guillaumat : L’illusion fiscale, La Loi de Bitur-Camember

Le prétendu “service public”  comme institution antidémocratique
L’illusion fiscale
La Loi de Bitur-Camember
L’absurde théorie des prétendues “externalités”
Le Péril socialiste selon Vilfredo Pareto

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Comme toute injustice, le prétendu “service public” présente trois caractéristiques :
- l’absurdité, prétendant résoudre des problèmes dont il est la seule cause, ou que nul ne saurait résoudre quand ils ne sont pas simplement imaginaires;
- l’injustice, faisant violence à des innocents au profit présumé de receleurs qui en réalité n’en profitent pas; on ne s’en rend pas compte dans la mesure où cette violence est commise contre d’autres, et où on ne perçoit pas qu’on en souffre indirectement
- la destruction, qu’on ne perçoit pas parce que l’institution mêle des services réels à la redistribution politique qui seule le caractérise, et qui en tendance détruit tout ce qu’elle vole.

François Lefort : Le prétendu “service public”
Vilfredo Pareto : Le Péril socialiste
François Guillaumat : L’illusion fiscale, La Loi de Bitur-Camember

Le prétendu “service public”  comme institution antidémocratique
L’illusion fiscale
La Loi de Bitur-Camember
L’absurde théorie des prétendues “externalités”
Le Péril socialiste selon Vilfredo Pareto

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http://lumiere101.com/2009/06/27/une-institution-dinjustice-le-pretendu-service-public//feed/46:29Comme toute injustice, le prétendu “service public” présente trois caractéristiques :
- l’absurdité, prétendant résoudre des problèmes dont il est la seule cause, ou que nul ne saurait résoudre quand ils ne sont pas simplement imaginaires;
- l’injustice, faisant violence à des innocents au profit présumé de receleurs qui en réalité n’en profitent pas; on ne s’en rend pas compte dans la mesure où cette violence est commise contre d’autres, et où on ne perçoit pas qu’on en souffre indirectement
- la destruction, qu’on ne perçoit pas parce que l’institution mêle des services réels à la redistribution politique qui seule le caractérise, et qui en tendance détruit tout ce qu’elle vole.

François Lefort : Le prétendu “service public”
Vilfredo Pareto : Le Péril socialiste
François Guillaumat : L’illusion fiscale, La Loi de Bitur-Camember

Le prétendu “service public”  comme institution antidémocratique
L’illusion fiscale
La Loi de Bitur-Camember
L’absurde théorie des prétendues “externalités”
Le Péril socialiste selon Vilfredo Pareto

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Comme toute injustice, le prétendu “service public” présente trois caractéristiques :
- l’absurdité, prétendant résoudre des problèmes dont il est la seule cause, ou que nul ne saurait résoudre quand ils ne sont pas simplement imaginaires;
- l’injustice, faisant violence à des innocents au profit présumé de receleurs qui en réalité n’en profitent pas; on ne s’en rend pas compte dans la mesure où cette violence est commise contre d’autres, et où on ne perçoit pas qu’on en souffre indirectement
- la destruction, qu’on ne perçoit pas parce que l’institution mêle des services réels à la redistribution politique qui seule le caractérise, et qui en tendance détruit tout ce qu’elle vole.

François Lefort : Le prétendu “service public”
Vilfredo Pareto : Le Péril socialiste
François Guillaumat : L’illusion fiscale, La Loi de Bitur-Camember

Le prétendu “service public”  comme institution antidémocratique
L’illusion fiscale
La Loi de Bitur-Camember
L’absurde théorie des prétendues “externalités”
Le Péril socialiste selon Vilfredo Pareto

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Lumière 101noNo
Le prétendu service public182090620-le_pretendu_service_public.mp3http://lumiere101.com/2009/06/20/le-pretendu-service-public/http://lumiere101.com/2009/06/20/le-pretendu-service-public/#commentsSat, 20 Jun 2009 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2009/06/20/le-pretendu-service-public/Le mensonge le plus courant à propos des violences arbitraires qui imposent le prétendu “service public” est aussi le plus facile à démonter, c’est celui comme quoi celles-ci seraient une expression de la “démocratie”.
Sous-tend cette imposture le mensonge premier du discours “citoyen”, qui consisteà prétendre,en dépit de l’évidence (mais il suffit de n’être jamais démenti) que le citoyen aurait plus de pouvoir en tant qu’électeur qu’en tant que vulgaire consommateur. La vérité est évidemment inverse, le marché libre étant un million de fois plus démocratique que n’importe quel simulacre de “représentation”.
Un mensonge secondaire est que le prétendu “service public” serait “égalitaire” alors que, par nature il n’est là que pour instituer des castes de privilégiés, sous le masque d’ersatz seulement singés sur les pratiques normales, privées et concurrentielles : c’est donc une imposture.
Enfin, le prétendu “service public” est contraire à la démocratie parce qu’il est par intention et par nature nature un instrument de censure: par intention parce que la violence du monopole et de l’impôt, qui le définissent, traduisent une volonté de l’empêcher de s’exprimer, comme l’illustre le monopole communiste de l’enseignement. Par nature parce que l’existence d’une “fonction publique” habituée à voler les autres et à se soustraire au contrôle du peuple est en soi un bouillon de culture idéologique.

Roland Drago : L’apparition de la notion de service public
François Lefort : Le prétendu “service public”
Liberpédia : L’Illusion fiscale

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Le mensonge le plus courant à propos des violences arbitraires qui imposent le prétendu “service public” est aussi le plus facile à démonter, c’est celui comme quoi celles-ci seraient une expression de la “démocratie”.
Sous-tend cette imposture le mensonge premier du discours “citoyen”, qui consisteà prétendre,en dépit de l’évidence (mais il suffit de n’être jamais démenti) que le citoyen aurait plus de pouvoir en tant qu’électeur qu’en tant que vulgaire consommateur. La vérité est évidemment inverse, le marché libre étant un million de fois plus démocratique que n’importe quel simulacre de “représentation”.
Un mensonge secondaire est que le prétendu “service public” serait “égalitaire” alors que, par nature il n’est là que pour instituer des castes de privilégiés, sous le masque d’ersatz seulement singés sur les pratiques normales, privées et concurrentielles : c’est donc une imposture.
Enfin, le prétendu “service public” est contraire à la démocratie parce qu’il est par intention et par nature nature un instrument de censure: par intention parce que la violence du monopole et de l’impôt, qui le définissent, traduisent une volonté de l’empêcher de s’exprimer, comme l’illustre le monopole communiste de l’enseignement. Par nature parce que l’existence d’une “fonction publique” habituée à voler les autres et à se soustraire au contrôle du peuple est en soi un bouillon de culture idéologique.

Roland Drago : L’apparition de la notion de service public
François Lefort : Le prétendu “service public”
Liberpédia : L’Illusion fiscale

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http://lumiere101.com/2009/06/20/le-pretendu-service-public//feed/47:20Le mensonge le plus courant à propos des violences arbitraires qui imposent le prétendu “service public” est aussi le plus facile à démonter, c’est celui comme quoi celles-ci seraient une expression de la “démocratie”.
Sous-tend cette imposture le mensonge premier du discours “citoyen”, qui consisteà prétendre,en dépit de l’évidence (mais il suffit de n’être jamais démenti) que le citoyen aurait plus de pouvoir en tant qu’électeur qu’en tant que vulgaire consommateur. La vérité est évidemment inverse, le marché libre étant un million de fois plus démocratique que n’importe quel simulacre de “représentation”.
Un mensonge secondaire est que le prétendu “service public” serait “égalitaire” alors que, par nature il n’est là que pour instituer des castes de privilégiés, sous le masque d’ersatz seulement singés sur les pratiques normales, privées et concurrentielles : c’est donc une imposture.
Enfin, le prétendu “service public” est contraire à la démocratie parce qu’il est par intention et par nature nature un instrument de censure: par intention parce que la violence du monopole et de l’impôt, qui le définissent, traduisent une volonté de l’empêcher de s’exprimer, comme l’illustre le monopole communiste de l’enseignement. Par nature parce que l’existence d’une “fonction publique” habituée à voler les autres et à se soustraire au contrôle du peuple est en soi un bouillon de culture idéologique.

Roland Drago : L’apparition de la notion de service public
François Lefort : Le prétendu “service public”
Liberpédia : L’Illusion fiscale

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Le mensonge le plus courant à propos des violences arbitraires qui imposent le prétendu “service public” est aussi le plus facile à démonter, c’est celui comme quoi celles-ci seraient une expression de la “démocratie”.
Sous-tend cette imposture le mensonge premier du discours “citoyen”, qui consisteà prétendre,en dépit de l’évidence (mais il suffit de n’être jamais démenti) que le citoyen aurait plus de pouvoir en tant qu’électeur qu’en tant que vulgaire consommateur. La vérité est évidemment inverse, le marché libre étant un million de fois plus démocratique que n’importe quel simulacre de “représentation”.
Un mensonge secondaire est que le prétendu “service public” serait “égalitaire” alors que, par nature il n’est là que pour instituer des castes de privilégiés, sous le masque d’ersatz seulement singés sur les pratiques normales, privées et concurrentielles : c’est donc une imposture.
Enfin, le prétendu “service public” est contraire à la démocratie parce qu’il est par intention et par nature nature un instrument de censure: par intention parce que la violence du monopole et de l’impôt, qui le définissent, traduisent une volonté de l’empêcher de s’exprimer, comme l’illustre le monopole communiste de l’enseignement. Par nature parce que l’existence d’une “fonction publique” habituée à voler les autres et à se soustraire au contrôle du peuple est en soi un bouillon de culture idéologique.

Roland Drago : L’apparition de la notion de service public
François Lefort : Le prétendu “service public”
Liberpédia : L’Illusion fiscale

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Lumière 101noNo
Dernières nouvelles de l’escroquerie réchauffiste183090606-dernieres_nouvelles_de_l_escroquerie_rechauffiste.mp3http://lumiere101.com/2009/06/06/dernieres-nouvelles-de-lescroquerie-rechauffiste/http://lumiere101.com/2009/06/06/dernieres-nouvelles-de-lescroquerie-rechauffiste/#commentsSat, 06 Jun 2009 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2009/06/06/dernieres-nouvelles-de-lescroquerie-rechauffiste/Au moment où les réchauffistes nous infligent un nouveau tapage obligatoire pour tenter d’entretenir la foi dans leur idole esclavagiste-absurdiste, les éditions de l’IREF viennent de publier l’ouvrage où le Président Václav Klaus dénonce l’imposture, et les dangers que celle-ci représente pour la prospérité et la liberté.
Cette traduction en français a été préfacée par Jacques Garello.

Vaclav Klaus a présenté à Paris “Planète bleue en péril vert”
Jacques Garello : “Il y a une peur panique du président Klaus en France”
The Goode Family
George Reisman : Ah ! Les emplois “verts” et Le redressement économique passe par la reconstitution du capital, non par des “plans de relance” étatiques
Nordhaus et Shellenberger, “The Green Bubble“ The New Republic, 20.5.09

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Au moment où les réchauffistes nous infligent un nouveau tapage obligatoire pour tenter d’entretenir la foi dans leur idole esclavagiste-absurdiste, les éditions de l’IREF viennent de publier l’ouvrage où le Président Václav Klaus dénonce l’imposture, et les dangers que celle-ci représente pour la prospérité et la liberté.
Cette traduction en français a été préfacée par Jacques Garello.

Vaclav Klaus a présenté à Paris “Planète bleue en péril vert”
Jacques Garello : “Il y a une peur panique du président Klaus en France”
The Goode Family
George Reisman : Ah ! Les emplois “verts” et Le redressement économique passe par la reconstitution du capital, non par des “plans de relance” étatiques
Nordhaus et Shellenberger, “The Green Bubble“ The New Republic, 20.5.09

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http://lumiere101.com/2009/06/06/dernieres-nouvelles-de-lescroquerie-rechauffiste//feed/40:52Au moment où les réchauffistes nous infligent un nouveau tapage obligatoire pour tenter d’entretenir la foi dans leur idole esclavagiste-absurdiste, les éditions de l’IREF viennent de publier l’ouvrage où le Président Václav Klaus dénonce l’imposture, et les dangers que celle-ci représente pour la prospérité et la liberté.
Cette traduction en français a été préfacée par Jacques Garello.

Vaclav Klaus a présenté à Paris “Planète bleue en péril vert”
Jacques Garello : “Il y a une peur panique du président Klaus en France”
The Goode Family
George Reisman : Ah ! Les emplois “verts” et Le redressement économique passe par la reconstitution du capital, non par des “plans de relance” étatiques
Nordhaus et Shellenberger, “The Green Bubble“ The New Republic, 20.5.09

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Au moment où les réchauffistes nous infligent un nouveau tapage obligatoire pour tenter d’entretenir la foi dans leur idole esclavagiste-absurdiste, les éditions de l’IREF viennent de publier l’ouvrage où le Président Václav Klaus dénonce l’imposture, et les dangers que celle-ci représente pour la prospérité et la liberté.
Cette traduction en français a été préfacée par Jacques Garello.

Vaclav Klaus a présenté à Paris “Planète bleue en péril vert”
Jacques Garello : “Il y a une peur panique du président Klaus en France”
The Goode Family
George Reisman : Ah ! Les emplois “verts” et Le redressement économique passe par la reconstitution du capital, non par des “plans de relance” étatiques
Nordhaus et Shellenberger, “The Green Bubble“ The New Republic, 20.5.09

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Lumière 101noNo
L’étalon-or184090527-l_etalon-or.mp3http://lumiere101.com/2009/05/27/letalon-or/http://lumiere101.com/2009/05/27/letalon-or/#commentsWed, 27 May 2009 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2009/05/27/letalon-or/François Guillaumat interroge Georges Lane sur l’étalon-or, sur la manière dont les lois économiques ont fini par l’imposer, celle dont, pour s’en débarrasser, on l’a fait le bouc émissaire de crises en fait dues aux monopoles d’émission, enfin sur les perspectives de restauration de l’or comme monnaie, avec et surtout sans banque centrale.

Références :
Alan Greenspan: L’or et la liberté économique
Jacques Rueff : Le Péché monétaire de l’Occident
George Selgin : Interview
Sur Lumière 101 : Cyberdevises

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François Guillaumat interroge Georges Lane sur l’étalon-or, sur la manière dont les lois économiques ont fini par l’imposer, celle dont, pour s’en débarrasser, on l’a fait le bouc émissaire de crises en fait dues aux monopoles d’émission, enfin sur les perspectives de restauration de l’or comme monnaie, avec et surtout sans banque centrale.

Références :
Alan Greenspan: L’or et la liberté économique
Jacques Rueff : Le Péché monétaire de l’Occident
George Selgin : Interview
Sur Lumière 101 : Cyberdevises

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http://lumiere101.com/2009/05/27/letalon-or//feed/01:17:37François Guillaumat interroge Georges Lane sur l’étalon-or, sur la manière dont les lois économiques ont fini par l’imposer, celle dont, pour s’en débarrasser, on l’a fait le bouc émissaire de crises en fait dues aux monopoles d’émission, enfin sur les perspectives de restauration de l’or comme monnaie, avec et surtout sans banque centrale.

Références :
Alan Greenspan: L’or et la liberté économique
Jacques Rueff : Le Péché monétaire de l’Occident
George Selgin : Interview
Sur Lumière 101 : Cyberdevises

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François Guillaumat interroge Georges Lane sur l’étalon-or, sur la manière dont les lois économiques ont fini par l’imposer, celle dont, pour s’en débarrasser, on l’a fait le bouc émissaire de crises en fait dues aux monopoles d’émission, enfin sur les perspectives de restauration de l’or comme monnaie, avec et surtout sans banque centrale.

Références :
Alan Greenspan: L’or et la liberté économique
Jacques Rueff : Le Péché monétaire de l’Occident
George Selgin : Interview
Sur Lumière 101 : Cyberdevises

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Lumière 101noNo
La transition vers les retraites du futur185090521-la_transition_vers_les_retraites_du_futur.mp3http://lumiere101.com/2009/05/21/la-transition-vers-les-retraites-du-futur/http://lumiere101.com/2009/05/21/la-transition-vers-les-retraites-du-futur/#commentsThu, 21 May 2009 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2009/05/21/la-transition-vers-les-retraites-du-futur/A l’occasion de la parution du troisième tome de la trilogie Futur des retraites et retraites du futur, François Guillaumat interroge Georges Lane sur la nature criminelle, obscurantiste et condamnée du prétendu système de retraites dit de “répartition”, sur les expériences étrangères de transition vers la capitalisation et sur les conditions de cette transition dans l’un des seuls pays qui ne l’ait pas encore entreprise, à savoir la France.

Georges Lane :
La transition (comment sortir d’un système de type Ponzi ou Madoff)
La sécurité sociale et comment s’en sortir
Livre I : Le futur de la répartition
Livre II : Les retraites du futur : la capitalisation

Enregistrements sur Lumière 101 :
Retraites du futur : la capitalisation
Le futur des retraites
Les “lois de financement” de la sécurité sociale française
Sur la sécurité sociale monopoliste française
Prendre le taureau par les cornes

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A l’occasion de la parution du troisième tome de la trilogie Futur des retraites et retraites du futur, François Guillaumat interroge Georges Lane sur la nature criminelle, obscurantiste et condamnée du prétendu système de retraites dit de “répartition”, sur les expériences étrangères de transition vers la capitalisation et sur les conditions de cette transition dans l’un des seuls pays qui ne l’ait pas encore entreprise, à savoir la France.

Georges Lane :
La transition (comment sortir d’un système de type Ponzi ou Madoff)
La sécurité sociale et comment s’en sortir
Livre I : Le futur de la répartition
Livre II : Les retraites du futur : la capitalisation

Enregistrements sur Lumière 101 :
Retraites du futur : la capitalisation
Le futur des retraites
Les “lois de financement” de la sécurité sociale française
Sur la sécurité sociale monopoliste française
Prendre le taureau par les cornes

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http://lumiere101.com/2009/05/21/la-transition-vers-les-retraites-du-futur//feed/01:21:39A l’occasion de la parution du troisième tome de la trilogie Futur des retraites et retraites du futur, François Guillaumat interroge Georges Lane sur la nature criminelle, obscurantiste et condamnée du prétendu système de retraites dit de “répartition”, sur les expériences étrangères de transition vers la capitalisation et sur les conditions de cette transition dans l’un des seuls pays qui ne l’ait pas encore entreprise, à savoir la France.

Georges Lane :
La transition (comment sortir d’un système de type Ponzi ou Madoff)
La sécurité sociale et comment s’en sortir
Livre I : Le futur de la répartition
Livre II : Les retraites du futur : la capitalisation

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Retraites du futur : la capitalisation
Le futur des retraites
Les “lois de financement” de la sécurité sociale française
Sur la sécurité sociale monopoliste française
Prendre le taureau par les cornes

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A l’occasion de la parution du troisième tome de la trilogie Futur des retraites et retraites du futur, François Guillaumat interroge Georges Lane sur la nature criminelle, obscurantiste et condamnée du prétendu système de retraites dit de “répartition”, sur les expériences étrangères de transition vers la capitalisation et sur les conditions de cette transition dans l’un des seuls pays qui ne l’ait pas encore entreprise, à savoir la France.

Georges Lane :
La transition (comment sortir d’un système de type Ponzi ou Madoff)
La sécurité sociale et comment s’en sortir
Livre I : Le futur de la répartition
Livre II : Les retraites du futur : la capitalisation

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Retraites du futur : la capitalisation
Le futur des retraites
Les “lois de financement” de la sécurité sociale française
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Lumière 101noNo
La distinction nécessaire la plus méconnue du débat politique186090513-la_distinction_necessaire_la_plus_meconnue_du_debat_politique.mp3http://lumiere101.com/2009/05/13/la-distinction-necessaire-la-plus-meconnue-du-debat-politique/http://lumiere101.com/2009/05/13/la-distinction-necessaire-la-plus-meconnue-du-debat-politique/#commentsWed, 13 May 2009 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2009/05/13/la-distinction-necessaire-la-plus-meconnue-du-debat-politique/Distinguer le nazisme du racisme est essentiel parce que c’est seulement ainsi que l’on distingue le coupable de l’innocent, et l’injuste du juste. En effet, si le racisme a inspiré force crimes, il n’est pas lui-même criminel, alors que le nazisme -le socialisme hitlérien- l’était par nature, parce que, comme le communisme, il niait les Droits de certains êtres humains sous prétexte de leur appartenance à certains groupes sociaux.
Traiter comme un crime ce qui n’en est pas un conduit à commettre des agressions contre des innocents alors que l’on croit administrer la justice contre des coupables : c’est alors cette agression-là, et non la conduite qu’elle veut réprimer, qui est criminelle.
L’erreur est tout sauf innocente : l’inspirent des coupables pires encore, qui cherchent à occulter leurs propres crimes en détournant l’attention de la qualification des crimes vers des circonstances moralement secondaires de ces crimes.
Elle conduit, en raison même de l’arbitraire qu’elle engendre, à détruire les Droits de l’homme et du Citoyen, et suivant des critères indiscutablement racistes.
On ne voit guère les victimes désignées de ce racisme institutionnel -ceux qui protestent contre une politique d’immigration injuste et antidémocratique- le dénoncer comme la négation du Droit de certains Hommes et de certains Citoyens qu’il est effectivement. Dans cette mesure on peut dire qu’ils sont dupes des impostures de leurs bourreaux, voire qu’ils leurs donnent raison en adoptant les mêmes principes, même si c’est dans l’autre sens.

Références :
Ayn Rand : Les Droits de l’homme
Ayn Rand : La collectivisation des Droits
Liberpédia : Socialisme hitlérien
Vilfredo Pareto : Le Péril socialiste

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Distinguer le nazisme du racisme est essentiel parce que c’est seulement ainsi que l’on distingue le coupable de l’innocent, et l’injuste du juste. En effet, si le racisme a inspiré force crimes, il n’est pas lui-même criminel, alors que le nazisme -le socialisme hitlérien- l’était par nature, parce que, comme le communisme, il niait les Droits de certains êtres humains sous prétexte de leur appartenance à certains groupes sociaux.
Traiter comme un crime ce qui n’en est pas un conduit à commettre des agressions contre des innocents alors que l’on croit administrer la justice contre des coupables : c’est alors cette agression-là, et non la conduite qu’elle veut réprimer, qui est criminelle.
L’erreur est tout sauf innocente : l’inspirent des coupables pires encore, qui cherchent à occulter leurs propres crimes en détournant l’attention de la qualification des crimes vers des circonstances moralement secondaires de ces crimes.
Elle conduit, en raison même de l’arbitraire qu’elle engendre, à détruire les Droits de l’homme et du Citoyen, et suivant des critères indiscutablement racistes.
On ne voit guère les victimes désignées de ce racisme institutionnel -ceux qui protestent contre une politique d’immigration injuste et antidémocratique- le dénoncer comme la négation du Droit de certains Hommes et de certains Citoyens qu’il est effectivement. Dans cette mesure on peut dire qu’ils sont dupes des impostures de leurs bourreaux, voire qu’ils leurs donnent raison en adoptant les mêmes principes, même si c’est dans l’autre sens.

Références :
Ayn Rand : Les Droits de l’homme
Ayn Rand : La collectivisation des Droits
Liberpédia : Socialisme hitlérien
Vilfredo Pareto : Le Péril socialiste

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http://lumiere101.com/2009/05/13/la-distinction-necessaire-la-plus-meconnue-du-debat-politique//feed/52:47Distinguer le nazisme du racisme est essentiel parce que c’est seulement ainsi que l’on distingue le coupable de l’innocent, et l’injuste du juste. En effet, si le racisme a inspiré force crimes, il n’est pas lui-même criminel, alors que le nazisme -le socialisme hitlérien- l’était par nature, parce que, comme le communisme, il niait les Droits de certains êtres humains sous prétexte de leur appartenance à certains groupes sociaux.
Traiter comme un crime ce qui n’en est pas un conduit à commettre des agressions contre des innocents alors que l’on croit administrer la justice contre des coupables : c’est alors cette agression-là, et non la conduite qu’elle veut réprimer, qui est criminelle.
L’erreur est tout sauf innocente : l’inspirent des coupables pires encore, qui cherchent à occulter leurs propres crimes en détournant l’attention de la qualification des crimes vers des circonstances moralement secondaires de ces crimes.
Elle conduit, en raison même de l’arbitraire qu’elle engendre, à détruire les Droits de l’homme et du Citoyen, et suivant des critères indiscutablement racistes.
On ne voit guère les victimes désignées de ce racisme institutionnel -ceux qui protestent contre une politique d’immigration injuste et antidémocratique- le dénoncer comme la négation du Droit de certains Hommes et de certains Citoyens qu’il est effectivement. Dans cette mesure on peut dire qu’ils sont dupes des impostures de leurs bourreaux, voire qu’ils leurs donnent raison en adoptant les mêmes principes, même si c’est dans l’autre sens.

Références :
Ayn Rand : Les Droits de l’homme
Ayn Rand : La collectivisation des Droits
Liberpédia : Socialisme hitlérien
Vilfredo Pareto : Le Péril socialiste

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Distinguer le nazisme du racisme est essentiel parce que c’est seulement ainsi que l’on distingue le coupable de l’innocent, et l’injuste du juste. En effet, si le racisme a inspiré force crimes, il n’est pas lui-même criminel, alors que le nazisme -le socialisme hitlérien- l’était par nature, parce que, comme le communisme, il niait les Droits de certains êtres humains sous prétexte de leur appartenance à certains groupes sociaux.
Traiter comme un crime ce qui n’en est pas un conduit à commettre des agressions contre des innocents alors que l’on croit administrer la justice contre des coupables : c’est alors cette agression-là, et non la conduite qu’elle veut réprimer, qui est criminelle.
L’erreur est tout sauf innocente : l’inspirent des coupables pires encore, qui cherchent à occulter leurs propres crimes en détournant l’attention de la qualification des crimes vers des circonstances moralement secondaires de ces crimes.
Elle conduit, en raison même de l’arbitraire qu’elle engendre, à détruire les Droits de l’homme et du Citoyen, et suivant des critères indiscutablement racistes.
On ne voit guère les victimes désignées de ce racisme institutionnel -ceux qui protestent contre une politique d’immigration injuste et antidémocratique- le dénoncer comme la négation du Droit de certains Hommes et de certains Citoyens qu’il est effectivement. Dans cette mesure on peut dire qu’ils sont dupes des impostures de leurs bourreaux, voire qu’ils leurs donnent raison en adoptant les mêmes principes, même si c’est dans l’autre sens.

Références :
Ayn Rand : Les Droits de l’homme
Ayn Rand : La collectivisation des Droits
Liberpédia : Socialisme hitlérien
Vilfredo Pareto : Le Péril socialiste

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Lumière 101noNo
La concurrence fiscale mise en cause166090415-la_concurrence_fiscale_mise_en_cause.mp3http://lumiere101.com/2009/04/15/la-concurrence-fiscale-mise-en-cause/http://lumiere101.com/2009/04/15/la-concurrence-fiscale-mise-en-cause/#commentsWed, 15 Apr 2009 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2009/04/15/la-concurrence-fiscale-mise-en-cause/La Loi des calamités continue de déployer ses effets : les hommes des Etats

1. ont désigné les boucs émissaires prévus pour les désordres et les destructions qu’ils ont causés, et ils en prennent prétexte pour voler encore davantage, non seulement
2. dans les domaines où on reconnaît l’existence d’une crise, mais
3. dans d’autres qui, logiquement, n’ont rien à voir.

La relance budgétaire peut appartenir à l’une ou l’autre de ces dernières catégories suivant que l’on croit qu’elle peut relancer l’activité économique ou que l’on sait qu’elle ne pourra jamais qu’aggraver les choses en consommant encore davantage de ce capital qui, précisément, fait défaut.

La mise en cause des prétendus “paradis fiscaux” fait pour sa part partie des entreprises spoliatrices dont personne n’ose prétendre qu’elle pourrait remédier aux problèmes actuels, mais les hommes des États profitent de l’affolement pour tenter de l’imposer. Elle est l’occasion d’observer les mensonges de fait, la multiple et complète inversion morale, et l’intention affichée de violer leurs propres lois qui caractérisent les exploiteurs de la pseudo-démocratie socialiste.

Références :
Georges Lane : Il fallait le trouver, le G20 l’a fait !
Liberpédia : Loi des calamités
Centre pour la Concurrence fiscale de L’Institut Constant de Rebecque

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La Loi des calamités continue de déployer ses effets : les hommes des Etats

1. ont désigné les boucs émissaires prévus pour les désordres et les destructions qu’ils ont causés, et ils en prennent prétexte pour voler encore davantage, non seulement
2. dans les domaines où on reconnaît l’existence d’une crise, mais
3. dans d’autres qui, logiquement, n’ont rien à voir.

La relance budgétaire peut appartenir à l’une ou l’autre de ces dernières catégories suivant que l’on croit qu’elle peut relancer l’activité économique ou que l’on sait qu’elle ne pourra jamais qu’aggraver les choses en consommant encore davantage de ce capital qui, précisément, fait défaut.

La mise en cause des prétendus “paradis fiscaux” fait pour sa part partie des entreprises spoliatrices dont personne n’ose prétendre qu’elle pourrait remédier aux problèmes actuels, mais les hommes des États profitent de l’affolement pour tenter de l’imposer. Elle est l’occasion d’observer les mensonges de fait, la multiple et complète inversion morale, et l’intention affichée de violer leurs propres lois qui caractérisent les exploiteurs de la pseudo-démocratie socialiste.

Références :
Georges Lane : Il fallait le trouver, le G20 l’a fait !
Liberpédia : Loi des calamités
Centre pour la Concurrence fiscale de L’Institut Constant de Rebecque

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http://lumiere101.com/2009/04/15/la-concurrence-fiscale-mise-en-cause//feed/51:12La Loi des calamités continue de déployer ses effets : les hommes des Etats

1. ont désigné les boucs émissaires prévus pour les désordres et les destructions qu’ils ont causés, et ils en prennent prétexte pour voler encore davantage, non seulement
2. dans les domaines où on reconnaît l’existence d’une crise, mais
3. dans d’autres qui, logiquement, n’ont rien à voir.

La relance budgétaire peut appartenir à l’une ou l’autre de ces dernières catégories suivant que l’on croit qu’elle peut relancer l’activité économique ou que l’on sait qu’elle ne pourra jamais qu’aggraver les choses en consommant encore davantage de ce capital qui, précisément, fait défaut.

La mise en cause des prétendus “paradis fiscaux” fait pour sa part partie des entreprises spoliatrices dont personne n’ose prétendre qu’elle pourrait remédier aux problèmes actuels, mais les hommes des États profitent de l’affolement pour tenter de l’imposer. Elle est l’occasion d’observer les mensonges de fait, la multiple et complète inversion morale, et l’intention affichée de violer leurs propres lois qui caractérisent les exploiteurs de la pseudo-démocratie socialiste.

Références :
Georges Lane : Il fallait le trouver, le G20 l’a fait !
Liberpédia : Loi des calamités
Centre pour la Concurrence fiscale de L’Institut Constant de Rebecque

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La Loi des calamités continue de déployer ses effets : les hommes des Etats

1. ont désigné les boucs émissaires prévus pour les désordres et les destructions qu’ils ont causés, et ils en prennent prétexte pour voler encore davantage, non seulement
2. dans les domaines où on reconnaît l’existence d’une crise, mais
3. dans d’autres qui, logiquement, n’ont rien à voir.

La relance budgétaire peut appartenir à l’une ou l’autre de ces dernières catégories suivant que l’on croit qu’elle peut relancer l’activité économique ou que l’on sait qu’elle ne pourra jamais qu’aggraver les choses en consommant encore davantage de ce capital qui, précisément, fait défaut.

La mise en cause des prétendus “paradis fiscaux” fait pour sa part partie des entreprises spoliatrices dont personne n’ose prétendre qu’elle pourrait remédier aux problèmes actuels, mais les hommes des États profitent de l’affolement pour tenter de l’imposer. Elle est l’occasion d’observer les mensonges de fait, la multiple et complète inversion morale, et l’intention affichée de violer leurs propres lois qui caractérisent les exploiteurs de la pseudo-démocratie socialiste.

Références :
Georges Lane : Il fallait le trouver, le G20 l’a fait !
Liberpédia : Loi des calamités
Centre pour la Concurrence fiscale de L’Institut Constant de Rebecque

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Lumière 101noNo
La politique étrangère russe, modèle bolchevik 1918187090331-la_politique_etrangere_russe_modele_bolchevik_1918.mp3http://lumiere101.com/2009/03/31/la-politique-etrangere-russe-modele-bolchevik-1918/http://lumiere101.com/2009/03/31/la-politique-etrangere-russe-modele-bolchevik-1918/#commentsTue, 31 Mar 2009 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2009/03/31/la-politique-etrangere-russe-modele-bolchevik-1918/Georges Lane et François Guillaumat reçoivent Françoise Thom, maître de conférences en histoire à l’Université de Paris-IV Sorbonne et Georges Mamoulia, historien, ancien diplomate conseiller du Président Chevardnadzé pour les affaires internationales.

Références :
Françoise Thom : L’agression russe en Géorgie : les leçons pour l’Europe, Pusillanimité occidentale face à la Russie, Le Monde, 20 août 2008
Pavel Felgenhauer : La saison de la guerre approche dans le Caucase

Autres enregistrements :
La Géorgie face à l’impérialisme moscovite (1)
La Géorgie face à l’impérialisme moscovite (2)

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Georges Lane et François Guillaumat reçoivent Françoise Thom, maître de conférences en histoire à l’Université de Paris-IV Sorbonne et Georges Mamoulia, historien, ancien diplomate conseiller du Président Chevardnadzé pour les affaires internationales.

Références :
Françoise Thom : L’agression russe en Géorgie : les leçons pour l’Europe, Pusillanimité occidentale face à la Russie, Le Monde, 20 août 2008
Pavel Felgenhauer : La saison de la guerre approche dans le Caucase

Autres enregistrements :
La Géorgie face à l’impérialisme moscovite (1)
La Géorgie face à l’impérialisme moscovite (2)

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http://lumiere101.com/2009/03/31/la-politique-etrangere-russe-modele-bolchevik-1918//feed/57:47Georges Lane et François Guillaumat reçoivent Françoise Thom, maître de conférences en histoire à l’Université de Paris-IV Sorbonne et Georges Mamoulia, historien, ancien diplomate conseiller du Président Chevardnadzé pour les affaires internationales.

Références :
Françoise Thom : L’agression russe en Géorgie : les leçons pour l’Europe, Pusillanimité occidentale face à la Russie, Le Monde, 20 août 2008
Pavel Felgenhauer : La saison de la guerre approche dans le Caucase

Autres enregistrements :
La Géorgie face à l’impérialisme moscovite (1)
La Géorgie face à l’impérialisme moscovite (2)

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Georges Lane et François Guillaumat reçoivent Françoise Thom, maître de conférences en histoire à l’Université de Paris-IV Sorbonne et Georges Mamoulia, historien, ancien diplomate conseiller du Président Chevardnadzé pour les affaires internationales.

Références :
Françoise Thom : L’agression russe en Géorgie : les leçons pour l’Europe, Pusillanimité occidentale face à la Russie, Le Monde, 20 août 2008
Pavel Felgenhauer : La saison de la guerre approche dans le Caucase

Autres enregistrements :
La Géorgie face à l’impérialisme moscovite (1)
La Géorgie face à l’impérialisme moscovite (2)

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Lumière 101noNo
Sortie de l’ajustement financier ?188090323-sortie_de_l_ajustement_financier.mp3http://lumiere101.com/2009/03/23/sortie-de-lajustement-financier/http://lumiere101.com/2009/03/23/sortie-de-lajustement-financier/#commentsMon, 23 Mar 2009 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2009/03/23/sortie-de-lajustement-financier/François Guillaumat interroge Georges Lane sur son interprétation des récents événements :
Sur les assurances dont les paiements reflètent l’ampleur des pertes de leurs assurés, notamment AIG dont la survie artificielle est l’occasion de polémiques qui ne le sont pas moins, sur la réassurance qui n’a pas encore fait état de pertes, sur la monnaie et ses rapports avec la finance.

Jacques Rueff : Le Péché monétaire de l’occident

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François Guillaumat interroge Georges Lane sur son interprétation des récents événements :
Sur les assurances dont les paiements reflètent l’ampleur des pertes de leurs assurés, notamment AIG dont la survie artificielle est l’occasion de polémiques qui ne le sont pas moins, sur la réassurance qui n’a pas encore fait état de pertes, sur la monnaie et ses rapports avec la finance.

Jacques Rueff : Le Péché monétaire de l’occident

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http://lumiere101.com/2009/03/23/sortie-de-lajustement-financier//feed/01:11:08François Guillaumat interroge Georges Lane sur son interprétation des récents événements :
Sur les assurances dont les paiements reflètent l’ampleur des pertes de leurs assurés, notamment AIG dont la survie artificielle est l’occasion de polémiques qui ne le sont pas moins, sur la réassurance qui n’a pas encore fait état de pertes, sur la monnaie et ses rapports avec la finance.

Jacques Rueff : Le Péché monétaire de l’occident

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François Guillaumat interroge Georges Lane sur son interprétation des récents événements :
Sur les assurances dont les paiements reflètent l’ampleur des pertes de leurs assurés, notamment AIG dont la survie artificielle est l’occasion de polémiques qui ne le sont pas moins, sur la réassurance qui n’a pas encore fait état de pertes, sur la monnaie et ses rapports avec la finance.

Jacques Rueff : Le Péché monétaire de l’occident

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Lumière 101noNo
L’absurde théorie des prétendues “externalités”189090316-l_absurde_theorie_des_pretendues__externalites.mp3http://lumiere101.com/2009/03/16/labsurde-theorie-des-pretendues-externalites/http://lumiere101.com/2009/03/16/labsurde-theorie-des-pretendues-externalites/#commentsMon, 16 Mar 2009 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2009/03/16/labsurde-theorie-des-pretendues-externalites/Que l’usage que je fais de ma propriété puisse affecter la satisfaction d’autrui a servi de prétexte à la plus importante rationalisation de la prédation étatique inventée par des économistes : la théorie des prétendues “externalités”, qui fait mine de voir dans ces situations un “écart à l’optimum” et une “défaillance du marché”.
Cette rationalisation prétend aussi fonder la théorie des prétendus “biens publics”, qui n’en est qu’une variante et dont on ne l’en distingue que faussement et arbitrairement.

Georges Lane et François Guillaumat réfutent entièrement cette théorie : ils démontrent d’abord qu’elle est anti-scientifique parce qu’elle est arbitraire, ne fournissant aucun critère objectif, notamment à l’intervention de l’état qu’elle prétend rationaliser, parce qu’elle glose sur l’inconnaissable au lieu de reconnaître ce qui est certain.
Puis ils démontrent qu’elle est absurde, parce que l’intervention de l’état qu’elle prétend justifier viole sa propre définition de l’optimum, parce qu’elle nie la propriété qu’il faut absolument reconnaître pour que la théorie dont on prétend la déduire puisse seulement exister, et enfin parce que la situation qu’elle prétend “problématique” est à la fois la raison d’être de l’échange et nécessairement prépondérante dans quelque optimum concevable que ce soit.

Il suffit donc de rappeler que, dans la théorie même dont on prétendait la déduire, l’échange est la seule manière prévue d’accroître sa satisfaction en disposant de la propriété d’autrui, pour réfuter entièrement l’idée absurde des prétendues “externalités”.

Références
Transcription

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Que l’usage que je fais de ma propriété puisse affecter la satisfaction d’autrui a servi de prétexte à la plus importante rationalisation de la prédation étatique inventée par des économistes : la théorie des prétendues “externalités”, qui fait mine de voir dans ces situations un “écart à l’optimum” et une “défaillance du marché”.
Cette rationalisation prétend aussi fonder la théorie des prétendus “biens publics”, qui n’en est qu’une variante et dont on ne l’en distingue que faussement et arbitrairement.

Georges Lane et François Guillaumat réfutent entièrement cette théorie : ils démontrent d’abord qu’elle est anti-scientifique parce qu’elle est arbitraire, ne fournissant aucun critère objectif, notamment à l’intervention de l’état qu’elle prétend rationaliser, parce qu’elle glose sur l’inconnaissable au lieu de reconnaître ce qui est certain.
Puis ils démontrent qu’elle est absurde, parce que l’intervention de l’état qu’elle prétend justifier viole sa propre définition de l’optimum, parce qu’elle nie la propriété qu’il faut absolument reconnaître pour que la théorie dont on prétend la déduire puisse seulement exister, et enfin parce que la situation qu’elle prétend “problématique” est à la fois la raison d’être de l’échange et nécessairement prépondérante dans quelque optimum concevable que ce soit.

Il suffit donc de rappeler que, dans la théorie même dont on prétendait la déduire, l’échange est la seule manière prévue d’accroître sa satisfaction en disposant de la propriété d’autrui, pour réfuter entièrement l’idée absurde des prétendues “externalités”.

Références
Transcription

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http://lumiere101.com/2009/03/16/labsurde-theorie-des-pretendues-externalites//feed/01:04:30Que l’usage que je fais de ma propriété puisse affecter la satisfaction d’autrui a servi de prétexte à la plus importante rationalisation de la prédation étatique inventée par des économistes : la théorie des prétendues “externalités”, qui fait mine de voir dans ces situations un “écart à l’optimum” et une “défaillance du marché”.
Cette rationalisation prétend aussi fonder la théorie des prétendus “biens publics”, qui n’en est qu’une variante et dont on ne l’en distingue que faussement et arbitrairement.

Georges Lane et François Guillaumat réfutent entièrement cette théorie : ils démontrent d’abord qu’elle est anti-scientifique parce qu’elle est arbitraire, ne fournissant aucun critère objectif, notamment à l’intervention de l’état qu’elle prétend rationaliser, parce qu’elle glose sur l’inconnaissable au lieu de reconnaître ce qui est certain.
Puis ils démontrent qu’elle est absurde, parce que l’intervention de l’état qu’elle prétend justifier viole sa propre définition de l’optimum, parce qu’elle nie la propriété qu’il faut absolument reconnaître pour que la théorie dont on prétend la déduire puisse seulement exister, et enfin parce que la situation qu’elle prétend “problématique” est à la fois la raison d’être de l’échange et nécessairement prépondérante dans quelque optimum concevable que ce soit.

Il suffit donc de rappeler que, dans la théorie même dont on prétendait la déduire, l’échange est la seule manière prévue d’accroître sa satisfaction en disposant de la propriété d’autrui, pour réfuter entièrement l’idée absurde des prétendues “externalités”.

Références
Transcription

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Que l’usage que je fais de ma propriété puisse affecter la satisfaction d’autrui a servi de prétexte à la plus importante rationalisation de la prédation étatique inventée par des économistes : la théorie des prétendues “externalités”, qui fait mine de voir dans ces situations un “écart à l’optimum” et une “défaillance du marché”.
Cette rationalisation prétend aussi fonder la théorie des prétendus “biens publics”, qui n’en est qu’une variante et dont on ne l’en distingue que faussement et arbitrairement.

Georges Lane et François Guillaumat réfutent entièrement cette théorie : ils démontrent d’abord qu’elle est anti-scientifique parce qu’elle est arbitraire, ne fournissant aucun critère objectif, notamment à l’intervention de l’état qu’elle prétend rationaliser, parce qu’elle glose sur l’inconnaissable au lieu de reconnaître ce qui est certain.
Puis ils démontrent qu’elle est absurde, parce que l’intervention de l’état qu’elle prétend justifier viole sa propre définition de l’optimum, parce qu’elle nie la propriété qu’il faut absolument reconnaître pour que la théorie dont on prétend la déduire puisse seulement exister, et enfin parce que la situation qu’elle prétend “problématique” est à la fois la raison d’être de l’échange et nécessairement prépondérante dans quelque optimum concevable que ce soit.

Il suffit donc de rappeler que, dans la théorie même dont on prétendait la déduire, l’échange est la seule manière prévue d’accroître sa satisfaction en disposant de la propriété d’autrui, pour réfuter entièrement l’idée absurde des prétendues “externalités”.

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Lumière 101noNo
Le dernier simulacre du partage des bénéfices164090225-le_dernier_simulacre_du_partage_des_benefices.mp3http://lumiere101.com/2009/02/25/le-dernier-simulacre-du-partage-des-benefices/http://lumiere101.com/2009/02/25/le-dernier-simulacre-du-partage-des-benefices/#commentsWed, 25 Feb 2009 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2009/02/25/le-dernier-simulacre-du-partage-des-benefices/Après avoir discuté du “pouvoir d’achat” tout en refusant d’examiner aucun des choix politiques qui permettraient de le relever, les hommes de l’État nous servent comme diversion le bouc émissaire des prétendus “profits”.
Georges Lane et François Guillaumat répondent. C’est par nature que le profit ne se partage pas : il est le produit d’un Droit préexistant, d’accords passés en vertu d’expériences que l’ingérence étatique traite par prétérition, et d’intérêts responsables auxquelles elle ne peut que nuire. Il n’y a rien de plus anti-naturel que de mettre en cause le profit et la spéculation puisque l’un et l’autre sont ce qui inspire toute action humaine.

Texte : Pascal Salin : “Le profit ne se partage pas”

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Après avoir discuté du “pouvoir d’achat” tout en refusant d’examiner aucun des choix politiques qui permettraient de le relever, les hommes de l’État nous servent comme diversion le bouc émissaire des prétendus “profits”.
Georges Lane et François Guillaumat répondent. C’est par nature que le profit ne se partage pas : il est le produit d’un Droit préexistant, d’accords passés en vertu d’expériences que l’ingérence étatique traite par prétérition, et d’intérêts responsables auxquelles elle ne peut que nuire. Il n’y a rien de plus anti-naturel que de mettre en cause le profit et la spéculation puisque l’un et l’autre sont ce qui inspire toute action humaine.

Texte : Pascal Salin : “Le profit ne se partage pas”

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http://lumiere101.com/2009/02/25/le-dernier-simulacre-du-partage-des-benefices//feed/55:33Après avoir discuté du “pouvoir d’achat” tout en refusant d’examiner aucun des choix politiques qui permettraient de le relever, les hommes de l’État nous servent comme diversion le bouc émissaire des prétendus “profits”.
Georges Lane et François Guillaumat répondent. C’est par nature que le profit ne se partage pas : il est le produit d’un Droit préexistant, d’accords passés en vertu d’expériences que l’ingérence étatique traite par prétérition, et d’intérêts responsables auxquelles elle ne peut que nuire. Il n’y a rien de plus anti-naturel que de mettre en cause le profit et la spéculation puisque l’un et l’autre sont ce qui inspire toute action humaine.

Texte : Pascal Salin : “Le profit ne se partage pas”

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Après avoir discuté du “pouvoir d’achat” tout en refusant d’examiner aucun des choix politiques qui permettraient de le relever, les hommes de l’État nous servent comme diversion le bouc émissaire des prétendus “profits”.
Georges Lane et François Guillaumat répondent. C’est par nature que le profit ne se partage pas : il est le produit d’un Droit préexistant, d’accords passés en vertu d’expériences que l’ingérence étatique traite par prétérition, et d’intérêts responsables auxquelles elle ne peut que nuire. Il n’y a rien de plus anti-naturel que de mettre en cause le profit et la spéculation puisque l’un et l’autre sont ce qui inspire toute action humaine.

Texte : Pascal Salin : “Le profit ne se partage pas”

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Lumière 101noNo
Crise scientifique et crise intellectuelle163090211-crise_scientifique_et_crise_intellectuelle.mp3http://lumiere101.com/2009/02/11/crise-scientifique-et-crise-intellectuelle/http://lumiere101.com/2009/02/11/crise-scientifique-et-crise-intellectuelle/#commentsWed, 11 Feb 2009 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2009/02/11/crise-scientifique-et-crise-intellectuelle/Georges Lane et François Guillaumat tentent de distinguer, chez ceux qui ne savent pas interpréter la situation actuelle, entre ceux qui le doivent à leur ignorance et ceux qui le doivent à leurs présupposés philosophiques.

Pour leur part, les vrais économistes vraiment libéraux n’ont pas été surpris par la baisse des prix sur les marchés, et sont habitués à voir la liberté résiduelle des individus de la société civile prise pour bouc émissaire des calamités d’origine étatique.

Doubles erreurs chez les autres : de méthode chez les macroéconomistes, plus générales chez les soi-disant intellectuels de gauche.

Textes :
Alain Madelin Conférence du 13 janvier 2009 à l’Assemblée Nationale
Friedrich Hayek : La Falsification de la science
Murray Rothbard : Les oripeaux de la science
Ayn Rand : La philosophie, qui en a besoin
George Reisman : C’est avec de l’épargne qu’on embauche, et qu’on embauchera

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Georges Lane et François Guillaumat tentent de distinguer, chez ceux qui ne savent pas interpréter la situation actuelle, entre ceux qui le doivent à leur ignorance et ceux qui le doivent à leurs présupposés philosophiques.

Pour leur part, les vrais économistes vraiment libéraux n’ont pas été surpris par la baisse des prix sur les marchés, et sont habitués à voir la liberté résiduelle des individus de la société civile prise pour bouc émissaire des calamités d’origine étatique.

Doubles erreurs chez les autres : de méthode chez les macroéconomistes, plus générales chez les soi-disant intellectuels de gauche.

Textes :
Alain Madelin Conférence du 13 janvier 2009 à l’Assemblée Nationale
Friedrich Hayek : La Falsification de la science
Murray Rothbard : Les oripeaux de la science
Ayn Rand : La philosophie, qui en a besoin
George Reisman : C’est avec de l’épargne qu’on embauche, et qu’on embauchera

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http://lumiere101.com/2009/02/11/crise-scientifique-et-crise-intellectuelle//feed/57:27Georges Lane et François Guillaumat tentent de distinguer, chez ceux qui ne savent pas interpréter la situation actuelle, entre ceux qui le doivent à leur ignorance et ceux qui le doivent à leurs présupposés philosophiques.

Pour leur part, les vrais économistes vraiment libéraux n’ont pas été surpris par la baisse des prix sur les marchés, et sont habitués à voir la liberté résiduelle des individus de la société civile prise pour bouc émissaire des calamités d’origine étatique.

Doubles erreurs chez les autres : de méthode chez les macroéconomistes, plus générales chez les soi-disant intellectuels de gauche.

Textes :
Alain Madelin Conférence du 13 janvier 2009 à l’Assemblée Nationale
Friedrich Hayek : La Falsification de la science
Murray Rothbard : Les oripeaux de la science
Ayn Rand : La philosophie, qui en a besoin
George Reisman : C’est avec de l’épargne qu’on embauche, et qu’on embauchera

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Georges Lane et François Guillaumat tentent de distinguer, chez ceux qui ne savent pas interpréter la situation actuelle, entre ceux qui le doivent à leur ignorance et ceux qui le doivent à leurs présupposés philosophiques.

Pour leur part, les vrais économistes vraiment libéraux n’ont pas été surpris par la baisse des prix sur les marchés, et sont habitués à voir la liberté résiduelle des individus de la société civile prise pour bouc émissaire des calamités d’origine étatique.

Doubles erreurs chez les autres : de méthode chez les macroéconomistes, plus générales chez les soi-disant intellectuels de gauche.

Textes :
Alain Madelin Conférence du 13 janvier 2009 à l’Assemblée Nationale
Friedrich Hayek : La Falsification de la science
Murray Rothbard : Les oripeaux de la science
Ayn Rand : La philosophie, qui en a besoin
George Reisman : C’est avec de l’épargne qu’on embauche, et qu’on embauchera

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Lumière 101noNo
La crise est d’abord une crise scientifique162090203-la_crise_est_d_abord_une_crise_scientifique.mp3http://lumiere101.com/2009/02/03/la-crise-est-dabord-une-crise-scientifique/http://lumiere101.com/2009/02/03/la-crise-est-dabord-une-crise-scientifique/#commentsTue, 03 Feb 2009 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2009/02/03/la-crise-est-dabord-une-crise-scientifique/Les débats récents auxquels nous avons assisté nous confirment que, même chez les libéraux, on n’a pas encore intégré la théorie monétaire de la conjoncture.
Or, celle-ci est la seule qui puisse expliquer des erreurs systématiques et irrémédiables de prévision auxquelles nous avons assisté.
Elle les rend même inévitables : comment un financier pourrait-il, face à la concurrence, résister à la pression pour tirer parti de taux d’intérêt artificiellement bas, ou de hausses de prix dont il sait pourtant qu’elles seront suivies d’une baisse brutale ?
L’hypothèse suivant laquelle les gestionnaires financiers et les Irresponsables institutionnels sont mal formés est donc confirmée.
Etre un économiste autrichien sur les marchés est moins difficile que dans le monopole communiste de l’enseignement, mais c’est difficile quand même.
L’ignorance actuelle est le produit du pseudo-expérimentalisme, qui lui-même prend deux formes :
- le raisonnement en termes macroéconomique (ou plus généralement statistiques), qui n’a pas de rapport avec l’action humaine et un rapport seulement indirect avec le système de prix.
Or, pour raisonner sur la conjoncture, c’est ce système des prix qu’il faut juger.
- La formalisation en termes mathématiques (et plus généralement infra-déterministes) qui méconnaît les lois de la causalité sociale pour traiter les évolutions de prix comme des phénomènes aléatoires, soumis à une incertitude déterministe –ce qui conduit à méconnaître certains risques systématiques.

Enregistrement de qualité sonore très moyenne au début.

Références :

Georges Lane :

La crise financière est d’abord une réalisation de la crise scientifique.
La conjoncture, alibi du dirigisme.
Le capitalisme, son propre ennemi ?
Le seul débat politique : (ultra)libéral ou (infra)déterministe

Friedrich Hayek :

La falsification de la science

George Selgin :

“La Théorie de la Banque libre”

Autres enregistrements :

le pseudo-expérimentalisme
La banque libre

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Les débats récents auxquels nous avons assisté nous confirment que, même chez les libéraux, on n’a pas encore intégré la théorie monétaire de la conjoncture.
Or, celle-ci est la seule qui puisse expliquer des erreurs systématiques et irrémédiables de prévision auxquelles nous avons assisté.
Elle les rend même inévitables : comment un financier pourrait-il, face à la concurrence, résister à la pression pour tirer parti de taux d’intérêt artificiellement bas, ou de hausses de prix dont il sait pourtant qu’elles seront suivies d’une baisse brutale ?
L’hypothèse suivant laquelle les gestionnaires financiers et les Irresponsables institutionnels sont mal formés est donc confirmée.
Etre un économiste autrichien sur les marchés est moins difficile que dans le monopole communiste de l’enseignement, mais c’est difficile quand même.
L’ignorance actuelle est le produit du pseudo-expérimentalisme, qui lui-même prend deux formes :
- le raisonnement en termes macroéconomique (ou plus généralement statistiques), qui n’a pas de rapport avec l’action humaine et un rapport seulement indirect avec le système de prix.
Or, pour raisonner sur la conjoncture, c’est ce système des prix qu’il faut juger.
- La formalisation en termes mathématiques (et plus généralement infra-déterministes) qui méconnaît les lois de la causalité sociale pour traiter les évolutions de prix comme des phénomènes aléatoires, soumis à une incertitude déterministe –ce qui conduit à méconnaître certains risques systématiques.

Enregistrement de qualité sonore très moyenne au début.

Références :

Georges Lane :

La crise financière est d’abord une réalisation de la crise scientifique.
La conjoncture, alibi du dirigisme.
Le capitalisme, son propre ennemi ?
Le seul débat politique : (ultra)libéral ou (infra)déterministe

Friedrich Hayek :

La falsification de la science

George Selgin :

“La Théorie de la Banque libre”

Autres enregistrements :

le pseudo-expérimentalisme
La banque libre

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http://lumiere101.com/2009/02/03/la-crise-est-dabord-une-crise-scientifique//feed/01:01:49Les débats récents auxquels nous avons assisté nous confirment que, même chez les libéraux, on n’a pas encore intégré la théorie monétaire de la conjoncture.
Or, celle-ci est la seule qui puisse expliquer des erreurs systématiques et irrémédiables de prévision auxquelles nous avons assisté.
Elle les rend même inévitables : comment un financier pourrait-il, face à la concurrence, résister à la pression pour tirer parti de taux d’intérêt artificiellement bas, ou de hausses de prix dont il sait pourtant qu’elles seront suivies d’une baisse brutale ?
L’hypothèse suivant laquelle les gestionnaires financiers et les Irresponsables institutionnels sont mal formés est donc confirmée.
Etre un économiste autrichien sur les marchés est moins difficile que dans le monopole communiste de l’enseignement, mais c’est difficile quand même.
L’ignorance actuelle est le produit du pseudo-expérimentalisme, qui lui-même prend deux formes :
- le raisonnement en termes macroéconomique (ou plus généralement statistiques), qui n’a pas de rapport avec l’action humaine et un rapport seulement indirect avec le système de prix.
Or, pour raisonner sur la conjoncture, c’est ce système des prix qu’il faut juger.
- La formalisation en termes mathématiques (et plus généralement infra-déterministes) qui méconnaît les lois de la causalité sociale pour traiter les évolutions de prix comme des phénomènes aléatoires, soumis à une incertitude déterministe –ce qui conduit à méconnaître certains risques systématiques.

Enregistrement de qualité sonore très moyenne au début.

Références :

Georges Lane :

La crise financière est d’abord une réalisation de la crise scientifique.
La conjoncture, alibi du dirigisme.
Le capitalisme, son propre ennemi ?
Le seul débat politique : (ultra)libéral ou (infra)déterministe

Friedrich Hayek :

La falsification de la science

George Selgin :

“La Théorie de la Banque libre”

Autres enregistrements :

le pseudo-expérimentalisme
La banque libre

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Les débats récents auxquels nous avons assisté nous confirment que, même chez les libéraux, on n’a pas encore intégré la théorie monétaire de la conjoncture.
Or, celle-ci est la seule qui puisse expliquer des erreurs systématiques et irrémédiables de prévision auxquelles nous avons assisté.
Elle les rend même inévitables : comment un financier pourrait-il, face à la concurrence, résister à la pression pour tirer parti de taux d’intérêt artificiellement bas, ou de hausses de prix dont il sait pourtant qu’elles seront suivies d’une baisse brutale ?
L’hypothèse suivant laquelle les gestionnaires financiers et les Irresponsables institutionnels sont mal formés est donc confirmée.
Etre un économiste autrichien sur les marchés est moins difficile que dans le monopole communiste de l’enseignement, mais c’est difficile quand même.
L’ignorance actuelle est le produit du pseudo-expérimentalisme, qui lui-même prend deux formes :
- le raisonnement en termes macroéconomique (ou plus généralement statistiques), qui n’a pas de rapport avec l’action humaine et un rapport seulement indirect avec le système de prix.
Or, pour raisonner sur la conjoncture, c’est ce système des prix qu’il faut juger.
- La formalisation en termes mathématiques (et plus généralement infra-déterministes) qui méconnaît les lois de la causalité sociale pour traiter les évolutions de prix comme des phénomènes aléatoires, soumis à une incertitude déterministe –ce qui conduit à méconnaître certains risques systématiques.

Enregistrement de qualité sonore très moyenne au début.

Références :

Georges Lane :

La crise financière est d’abord une réalisation de la crise scientifique.
La conjoncture, alibi du dirigisme.
Le capitalisme, son propre ennemi ?
Le seul débat politique : (ultra)libéral ou (infra)déterministe

Friedrich Hayek :

La falsification de la science

George Selgin :

“La Théorie de la Banque libre”

Autres enregistrements :

le pseudo-expérimentalisme
La banque libre

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Lumière 101noNo
La situation n’est pas “keynésienne”161090115-la_situation_n_est_pas_keynesienne.mp3http://lumiere101.com/2009/01/15/la-situation-nest-pas-keynesienne/http://lumiere101.com/2009/01/15/la-situation-nest-pas-keynesienne/#commentsThu, 15 Jan 2009 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2009/01/15/la-situation-nest-pas-keynesienne/Les hommes de l’état nous infligent de nouveaux gaspillages sous prétexte de relance parce que la situation, soi-disant, serait “keynésienne”. Elle ne l’est pas et ne peut pas l’être parce qu’il n’y a jamais de “situations keynésiennes” : les explications keynésiennes des crises sont charlatanesques, elles décrivent des éventualités impossibles avec des mots qui n’ont pas de sens identifiable.

Les hommes de l’état prennent seulement prétexte de prétendues “défaillances du marché” pour dépenser encore davantage d’argent qu’ils n’ont pas, au lieu de reconnaître que ce sont non seulement leurs interventions passées mais leurs intentions affichées d’intervenir encore davantage qui désorientent les investisseurs.

Références :

Etienne Mantoux : La «Théorie générale» de M. Keynes
Friedrich Hayek : The Economics of Abundance
Jacques Rueff : The Fallacies of Lord Keynes’ General Theory
Friedrich Hayek : La critique autrichienne
Murray Rothbard : Le “multiplicateur” keynésien
Ludwig von Mises : Stones into bread: The Keynesian Miracle

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Les hommes de l’état nous infligent de nouveaux gaspillages sous prétexte de relance parce que la situation, soi-disant, serait “keynésienne”. Elle ne l’est pas et ne peut pas l’être parce qu’il n’y a jamais de “situations keynésiennes” : les explications keynésiennes des crises sont charlatanesques, elles décrivent des éventualités impossibles avec des mots qui n’ont pas de sens identifiable.

Les hommes de l’état prennent seulement prétexte de prétendues “défaillances du marché” pour dépenser encore davantage d’argent qu’ils n’ont pas, au lieu de reconnaître que ce sont non seulement leurs interventions passées mais leurs intentions affichées d’intervenir encore davantage qui désorientent les investisseurs.

Références :

Etienne Mantoux : La «Théorie générale» de M. Keynes
Friedrich Hayek : The Economics of Abundance
Jacques Rueff : The Fallacies of Lord Keynes’ General Theory
Friedrich Hayek : La critique autrichienne
Murray Rothbard : Le “multiplicateur” keynésien
Ludwig von Mises : Stones into bread: The Keynesian Miracle

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http://lumiere101.com/2009/01/15/la-situation-nest-pas-keynesienne//feed/01:00:12Les hommes de l’état nous infligent de nouveaux gaspillages sous prétexte de relance parce que la situation, soi-disant, serait “keynésienne”. Elle ne l’est pas et ne peut pas l’être parce qu’il n’y a jamais de “situations keynésiennes” : les explications keynésiennes des crises sont charlatanesques, elles décrivent des éventualités impossibles avec des mots qui n’ont pas de sens identifiable.

Les hommes de l’état prennent seulement prétexte de prétendues “défaillances du marché” pour dépenser encore davantage d’argent qu’ils n’ont pas, au lieu de reconnaître que ce sont non seulement leurs interventions passées mais leurs intentions affichées d’intervenir encore davantage qui désorientent les investisseurs.

Références :

Etienne Mantoux : La «Théorie générale» de M. Keynes
Friedrich Hayek : The Economics of Abundance
Jacques Rueff : The Fallacies of Lord Keynes’ General Theory
Friedrich Hayek : La critique autrichienne
Murray Rothbard : Le “multiplicateur” keynésien
Ludwig von Mises : Stones into bread: The Keynesian Miracle

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Les hommes de l’état nous infligent de nouveaux gaspillages sous prétexte de relance parce que la situation, soi-disant, serait “keynésienne”. Elle ne l’est pas et ne peut pas l’être parce qu’il n’y a jamais de “situations keynésiennes” : les explications keynésiennes des crises sont charlatanesques, elles décrivent des éventualités impossibles avec des mots qui n’ont pas de sens identifiable.

Les hommes de l’état prennent seulement prétexte de prétendues “défaillances du marché” pour dépenser encore davantage d’argent qu’ils n’ont pas, au lieu de reconnaître que ce sont non seulement leurs interventions passées mais leurs intentions affichées d’intervenir encore davantage qui désorientent les investisseurs.

Références :

Etienne Mantoux : La «Théorie générale» de M. Keynes
Friedrich Hayek : The Economics of Abundance
Jacques Rueff : The Fallacies of Lord Keynes’ General Theory
Friedrich Hayek : La critique autrichienne
Murray Rothbard : Le “multiplicateur” keynésien
Ludwig von Mises : Stones into bread: The Keynesian Miracle

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Lumière 101noNo
Le charlatanisme keynésien160081223-le_charlatanisme_keynesien.mp3http://lumiere101.com/2008/12/23/le-charlatanisme-keynesien/http://lumiere101.com/2008/12/23/le-charlatanisme-keynesien/#commentsTue, 23 Dec 2008 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2008/12/23/le-charlatanisme-keynesien/Georges Lane, François Guillaumat et Jean-Gilles Malliarakis échangent leurs points de vue sur le procès de la macro-économie keynésienne. JG Malliarakis, à la demande des deux économistes évoque son parcours d’étudiant confronté au keynésianisme et, par la suite, des années consacrées à la défense du travail indépendant.

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Georges Lane, François Guillaumat et Jean-Gilles Malliarakis échangent leurs points de vue sur le procès de la macro-économie keynésienne. JG Malliarakis, à la demande des deux économistes évoque son parcours d’étudiant confronté au keynésianisme et, par la suite, des années consacrées à la défense du travail indépendant.

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http://lumiere101.com/2008/12/23/le-charlatanisme-keynesien//feed/01:09:06Georges Lane, François Guillaumat et Jean-Gilles Malliarakis échangent leurs points de vue sur le procès de la macro-économie keynésienne. JG Malliarakis, à la demande des deux économistes évoque son parcours d’étudiant confronté au keynésianisme et, par la suite, des années consacrées à la défense du travail indépendant.

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Georges Lane, François Guillaumat et Jean-Gilles Malliarakis échangent leurs points de vue sur le procès de la macro-économie keynésienne. JG Malliarakis, à la demande des deux économistes évoque son parcours d’étudiant confronté au keynésianisme et, par la suite, des années consacrées à la défense du travail indépendant.

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Lumière 101noNo
Le péril socialiste selon Vilfredo Pareto159081206-le_peril_socialiste_selon_vilfredo_pareto.mp3http://lumiere101.com/2008/12/06/le-peril-socialiste-selon-vilfredo-pareto/http://lumiere101.com/2008/12/06/le-peril-socialiste-selon-vilfredo-pareto/#commentsSat, 06 Dec 2008 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2008/12/06/le-peril-socialiste-selon-vilfredo-pareto/Georges Lane et François Guillaumat restituent la vraie figure de Vilfredo Pareto (1848-1923) économiste, défenseur de la liberté, pourfendeur des socialistes d’État et autres spoliateurs, l’un des plus percutants et des plus pertinents de son époque, dont la pensée est si souvent oubliée ou trahie. Ils le font à l’heure où les exemples que Pareto donnait en son temps (l’Italie de la fin du XIXe siècle, l’union monétaire latine, etc.) s’appliquent très exactement à l’économie “globale” et à l’Europe actuelle.

Murray Rothbard : Vilfredo Pareto, successeur pessimiste de Molinari
Vilfredo Pareto : Le péril socialiste
Pascal Salin : La vérité sur la monnaie

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Georges Lane et François Guillaumat restituent la vraie figure de Vilfredo Pareto (1848-1923) économiste, défenseur de la liberté, pourfendeur des socialistes d’État et autres spoliateurs, l’un des plus percutants et des plus pertinents de son époque, dont la pensée est si souvent oubliée ou trahie. Ils le font à l’heure où les exemples que Pareto donnait en son temps (l’Italie de la fin du XIXe siècle, l’union monétaire latine, etc.) s’appliquent très exactement à l’économie “globale” et à l’Europe actuelle.

Murray Rothbard : Vilfredo Pareto, successeur pessimiste de Molinari
Vilfredo Pareto : Le péril socialiste
Pascal Salin : La vérité sur la monnaie

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http://lumiere101.com/2008/12/06/le-peril-socialiste-selon-vilfredo-pareto//feed/59:17Georges Lane et François Guillaumat restituent la vraie figure de Vilfredo Pareto (1848-1923) économiste, défenseur de la liberté, pourfendeur des socialistes d’État et autres spoliateurs, l’un des plus percutants et des plus pertinents de son époque, dont la pensée est si souvent oubliée ou trahie. Ils le font à l’heure où les exemples que Pareto donnait en son temps (l’Italie de la fin du XIXe siècle, l’union monétaire latine, etc.) s’appliquent très exactement à l’économie “globale” et à l’Europe actuelle.

Murray Rothbard : Vilfredo Pareto, successeur pessimiste de Molinari
Vilfredo Pareto : Le péril socialiste
Pascal Salin : La vérité sur la monnaie

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Georges Lane et François Guillaumat restituent la vraie figure de Vilfredo Pareto (1848-1923) économiste, défenseur de la liberté, pourfendeur des socialistes d’État et autres spoliateurs, l’un des plus percutants et des plus pertinents de son époque, dont la pensée est si souvent oubliée ou trahie. Ils le font à l’heure où les exemples que Pareto donnait en son temps (l’Italie de la fin du XIXe siècle, l’union monétaire latine, etc.) s’appliquent très exactement à l’économie “globale” et à l’Europe actuelle.

Murray Rothbard : Vilfredo Pareto, successeur pessimiste de Molinari
Vilfredo Pareto : Le péril socialiste
Pascal Salin : La vérité sur la monnaie

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Lumière 101noNo
Ce qu’il ne faut pas faire et ce qu’il faut faire158081116-ce_qu_il_ne_faut_pas_faire_et_ce_qu_il_faut_faire.mp3http://lumiere101.com/2008/11/16/ce-quil-ne-faut-pas-faire-et-ce-quil-faut-faire/http://lumiere101.com/2008/11/16/ce-quil-ne-faut-pas-faire-et-ce-quil-faut-faire/#commentsSun, 16 Nov 2008 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2008/11/16/ce-quil-ne-faut-pas-faire-et-ce-quil-faut-faire/L’irresponsabilité institutionnelle et la violence d’état ayant conduit aux difficultés actuelles, financières et économiques, la question n’est pas de savoir quelles nouvelles violences les Irresponsables Institutionnels devraient commettre pour les résoudre mais celles dont ils devraient s’abstenir pour permettre de le faire ainsi que celles auxquelles ils devraient renoncer.
Georges Lane a donc invité PL Madrolle et François Guillaumat pour discuter :

- de ce qu’il ne faut pas faire : aggraver la concentration des risques par la politique monétaire et les réglementations centralisées, promettre de voler toujours davantage au titre des prétendues “garanties” étatiques et plus généralement donner l’impression qu’on ne sait pas ce qu’on fait mais qu’on n’a que du mépris pour la propriété d’autrui.

- De ce qu’il faut faire immédiatement : supprimer l’ISF, l’impôt sur les sociétés et autres impôts de la haine et du mensonge, qui entravent la formation du capital ; supprimer les impôts et règlements qui empêchent le développement d’un système parallèle et libre fondé sur l’or ; supprimer les impôts et les règlements qui font que les institutions financières ont très peu de fonds propres, alors que dans les systèmes de banque libre elles en avaient 60 %

- De ce qu’il faut faire à terme : guérir l’enseignement de l’économie et de la finance des conceptions mécanistes qui méconnaissent que la pensée humaine, dans un monde d’ignorance, est la cause de tous les phénomènes sociaux ; et supprimer enfin les banques centrales et autres monopoles monétaires, causes essentielles des effondrements financiers, qui constituent une menace permanente pour l’économie et pour les principes qui lui permettent de prospérer.

Références

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L’irresponsabilité institutionnelle et la violence d’état ayant conduit aux difficultés actuelles, financières et économiques, la question n’est pas de savoir quelles nouvelles violences les Irresponsables Institutionnels devraient commettre pour les résoudre mais celles dont ils devraient s’abstenir pour permettre de le faire ainsi que celles auxquelles ils devraient renoncer.
Georges Lane a donc invité PL Madrolle et François Guillaumat pour discuter :

- de ce qu’il ne faut pas faire : aggraver la concentration des risques par la politique monétaire et les réglementations centralisées, promettre de voler toujours davantage au titre des prétendues “garanties” étatiques et plus généralement donner l’impression qu’on ne sait pas ce qu’on fait mais qu’on n’a que du mépris pour la propriété d’autrui.

- De ce qu’il faut faire immédiatement : supprimer l’ISF, l’impôt sur les sociétés et autres impôts de la haine et du mensonge, qui entravent la formation du capital ; supprimer les impôts et règlements qui empêchent le développement d’un système parallèle et libre fondé sur l’or ; supprimer les impôts et les règlements qui font que les institutions financières ont très peu de fonds propres, alors que dans les systèmes de banque libre elles en avaient 60 %

- De ce qu’il faut faire à terme : guérir l’enseignement de l’économie et de la finance des conceptions mécanistes qui méconnaissent que la pensée humaine, dans un monde d’ignorance, est la cause de tous les phénomènes sociaux ; et supprimer enfin les banques centrales et autres monopoles monétaires, causes essentielles des effondrements financiers, qui constituent une menace permanente pour l’économie et pour les principes qui lui permettent de prospérer.

Références

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http://lumiere101.com/2008/11/16/ce-quil-ne-faut-pas-faire-et-ce-quil-faut-faire//feed/59:13L’irresponsabilité institutionnelle et la violence d’état ayant conduit aux difficultés actuelles, financières et économiques, la question n’est pas de savoir quelles nouvelles violences les Irresponsables Institutionnels devraient commettre pour les résoudre mais celles dont ils devraient s’abstenir pour permettre de le faire ainsi que celles auxquelles ils devraient renoncer.
Georges Lane a donc invité PL Madrolle et François Guillaumat pour discuter :

- de ce qu’il ne faut pas faire : aggraver la concentration des risques par la politique monétaire et les réglementations centralisées, promettre de voler toujours davantage au titre des prétendues “garanties” étatiques et plus généralement donner l’impression qu’on ne sait pas ce qu’on fait mais qu’on n’a que du mépris pour la propriété d’autrui.

- De ce qu’il faut faire immédiatement : supprimer l’ISF, l’impôt sur les sociétés et autres impôts de la haine et du mensonge, qui entravent la formation du capital ; supprimer les impôts et règlements qui empêchent le développement d’un système parallèle et libre fondé sur l’or ; supprimer les impôts et les règlements qui font que les institutions financières ont très peu de fonds propres, alors que dans les systèmes de banque libre elles en avaient 60 %

- De ce qu’il faut faire à terme : guérir l’enseignement de l’économie et de la finance des conceptions mécanistes qui méconnaissent que la pensée humaine, dans un monde d’ignorance, est la cause de tous les phénomènes sociaux ; et supprimer enfin les banques centrales et autres monopoles monétaires, causes essentielles des effondrements financiers, qui constituent une menace permanente pour l’économie et pour les principes qui lui permettent de prospérer.

Références

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L’irresponsabilité institutionnelle et la violence d’état ayant conduit aux difficultés actuelles, financières et économiques, la question n’est pas de savoir quelles nouvelles violences les Irresponsables Institutionnels devraient commettre pour les résoudre mais celles dont ils devraient s’abstenir pour permettre de le faire ainsi que celles auxquelles ils devraient renoncer.
Georges Lane a donc invité PL Madrolle et François Guillaumat pour discuter :

- de ce qu’il ne faut pas faire : aggraver la concentration des risques par la politique monétaire et les réglementations centralisées, promettre de voler toujours davantage au titre des prétendues “garanties” étatiques et plus généralement donner l’impression qu’on ne sait pas ce qu’on fait mais qu’on n’a que du mépris pour la propriété d’autrui.

- De ce qu’il faut faire immédiatement : supprimer l’ISF, l’impôt sur les sociétés et autres impôts de la haine et du mensonge, qui entravent la formation du capital ; supprimer les impôts et règlements qui empêchent le développement d’un système parallèle et libre fondé sur l’or ; supprimer les impôts et les règlements qui font que les institutions financières ont très peu de fonds propres, alors que dans les systèmes de banque libre elles en avaient 60 %

- De ce qu’il faut faire à terme : guérir l’enseignement de l’économie et de la finance des conceptions mécanistes qui méconnaissent que la pensée humaine, dans un monde d’ignorance, est la cause de tous les phénomènes sociaux ; et supprimer enfin les banques centrales et autres monopoles monétaires, causes essentielles des effondrements financiers, qui constituent une menace permanente pour l’économie et pour les principes qui lui permettent de prospérer.

Références

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Lumière 101noNo
De la justice comme seule norme politique157081102-de_la_justice_comme_seule_norme_politique.mp3http://lumiere101.com/2008/11/02/de-la-justice-comme-seule-norme-politique/http://lumiere101.com/2008/11/02/de-la-justice-comme-seule-norme-politique/#commentsSun, 02 Nov 2008 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2008/11/02/de-la-justice-comme-seule-norme-politique/Conséquence du subjectivisme que dénonce Benoît XVI, la plupart des mouvements politiques contemporains s’inspirent d’aspirations non raisonnées : celles-ci sont souvent légitimes, mais on n’a pas examiné de façon cohérente la possibilité de les mettre en œuvre dans le monde réel.
Il s’ensuit que tous les “-ismes” politiques sont marqués par des pseudo-pensées contradictoires, c’est-à dire truffées d’erreurs, et qui conduisent de ce fait leurs adeptes à l’échec et au crime.
Lorsqu’on réfléchit systématiquement sur la norme politique, on doit se rendre compte que sa définition ne dépend pas de ces aspirations subjectives, et que la justice naturelle est le seul critère rationnel qui permette de juger les politiques “économiques, financières et sociales” .

Hans-Hermann Hoppe : “Economic Science and the Austrian Method”, “Kritik der kausaIwissenschaftlichen Sozialforschung”, “De la théorie économique du laissez-faire à la politique du libéralisme”

Friedrich Hayek : Le Mirage de la justice sociale

François Guillaumat : La rationalité comme seul critère de distinction entre les normes politiques

Sur Lumière 101 avec Georges Lane : Le pseudo-conservatisme

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Conséquence du subjectivisme que dénonce Benoît XVI, la plupart des mouvements politiques contemporains s’inspirent d’aspirations non raisonnées : celles-ci sont souvent légitimes, mais on n’a pas examiné de façon cohérente la possibilité de les mettre en œuvre dans le monde réel.
Il s’ensuit que tous les “-ismes” politiques sont marqués par des pseudo-pensées contradictoires, c’est-à dire truffées d’erreurs, et qui conduisent de ce fait leurs adeptes à l’échec et au crime.
Lorsqu’on réfléchit systématiquement sur la norme politique, on doit se rendre compte que sa définition ne dépend pas de ces aspirations subjectives, et que la justice naturelle est le seul critère rationnel qui permette de juger les politiques “économiques, financières et sociales” .

Hans-Hermann Hoppe : “Economic Science and the Austrian Method”, “Kritik der kausaIwissenschaftlichen Sozialforschung”, “De la théorie économique du laissez-faire à la politique du libéralisme”

Friedrich Hayek : Le Mirage de la justice sociale

François Guillaumat : La rationalité comme seul critère de distinction entre les normes politiques

Sur Lumière 101 avec Georges Lane : Le pseudo-conservatisme

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http://lumiere101.com/2008/11/02/de-la-justice-comme-seule-norme-politique//feed/55:40Conséquence du subjectivisme que dénonce Benoît XVI, la plupart des mouvements politiques contemporains s’inspirent d’aspirations non raisonnées : celles-ci sont souvent légitimes, mais on n’a pas examiné de façon cohérente la possibilité de les mettre en œuvre dans le monde réel.
Il s’ensuit que tous les “-ismes” politiques sont marqués par des pseudo-pensées contradictoires, c’est-à dire truffées d’erreurs, et qui conduisent de ce fait leurs adeptes à l’échec et au crime.
Lorsqu’on réfléchit systématiquement sur la norme politique, on doit se rendre compte que sa définition ne dépend pas de ces aspirations subjectives, et que la justice naturelle est le seul critère rationnel qui permette de juger les politiques “économiques, financières et sociales” .

Hans-Hermann Hoppe : “Economic Science and the Austrian Method”, “Kritik der kausaIwissenschaftlichen Sozialforschung”, “De la théorie économique du laissez-faire à la politique du libéralisme”

Friedrich Hayek : Le Mirage de la justice sociale

François Guillaumat : La rationalité comme seul critère de distinction entre les normes politiques

Sur Lumière 101 avec Georges Lane : Le pseudo-conservatisme

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Conséquence du subjectivisme que dénonce Benoît XVI, la plupart des mouvements politiques contemporains s’inspirent d’aspirations non raisonnées : celles-ci sont souvent légitimes, mais on n’a pas examiné de façon cohérente la possibilité de les mettre en œuvre dans le monde réel.
Il s’ensuit que tous les “-ismes” politiques sont marqués par des pseudo-pensées contradictoires, c’est-à dire truffées d’erreurs, et qui conduisent de ce fait leurs adeptes à l’échec et au crime.
Lorsqu’on réfléchit systématiquement sur la norme politique, on doit se rendre compte que sa définition ne dépend pas de ces aspirations subjectives, et que la justice naturelle est le seul critère rationnel qui permette de juger les politiques “économiques, financières et sociales” .

Hans-Hermann Hoppe : “Economic Science and the Austrian Method”, “Kritik der kausaIwissenschaftlichen Sozialforschung”, “De la théorie économique du laissez-faire à la politique du libéralisme”

Friedrich Hayek : Le Mirage de la justice sociale

François Guillaumat : La rationalité comme seul critère de distinction entre les normes politiques

Sur Lumière 101 avec Georges Lane : Le pseudo-conservatisme

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Lumière 101noNo
“Il ne faut pas laisser les bourses faire n’importe quoi”156081025-il_ne_faut_pas_laisser_les_bourses_faire_n_importe_quoi.mp3http://lumiere101.com/2008/10/25/il-ne-faut-pas-laisser-les-bourses-faire-nimporte-quoi/http://lumiere101.com/2008/10/25/il-ne-faut-pas-laisser-les-bourses-faire-nimporte-quoi/#commentsSat, 25 Oct 2008 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2008/10/25/il-ne-faut-pas-laisser-les-bourses-faire-nimporte-quoi/Georges Lane et François Guillaumat font apparaître les règles de fonctionnement des entreprises de services d’échange que sont les marchés financiers organisés.
On méconnaît en général ces règles, comme s’il ne pouvait y en avoir en-dehors de la réglementation étatique, alors que l’intervention de l’état, nécessairement incohérente voire erratique, est la plus grande source d’incertitude dans l’économie.
La seule source d’irrationalité sur les marchés que l’on puisse identifier pour l’éliminer réside dans l’irresponsabilité institutionnelle des hommes de l’état et dans leur mise en cause de la propriété et des contrats, par le monopole monétaire et les garanties étatiques sur le dos des contribuables.

Textes :
Ronald Coase,  La nature de la firme
Friedrich Hayek,  Droit, législation et liberté
Charles Gave : Les incompétents et les corrompus veulent « moraliser » le capitalisme
Vincent Bénard : Subprime crisis : the overall picture

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Georges Lane et François Guillaumat font apparaître les règles de fonctionnement des entreprises de services d’échange que sont les marchés financiers organisés.
On méconnaît en général ces règles, comme s’il ne pouvait y en avoir en-dehors de la réglementation étatique, alors que l’intervention de l’état, nécessairement incohérente voire erratique, est la plus grande source d’incertitude dans l’économie.
La seule source d’irrationalité sur les marchés que l’on puisse identifier pour l’éliminer réside dans l’irresponsabilité institutionnelle des hommes de l’état et dans leur mise en cause de la propriété et des contrats, par le monopole monétaire et les garanties étatiques sur le dos des contribuables.

Textes :
Ronald Coase,  La nature de la firme
Friedrich Hayek,  Droit, législation et liberté
Charles Gave : Les incompétents et les corrompus veulent « moraliser » le capitalisme
Vincent Bénard : Subprime crisis : the overall picture

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http://lumiere101.com/2008/10/25/il-ne-faut-pas-laisser-les-bourses-faire-nimporte-quoi//feed/01:00:27Georges Lane et François Guillaumat font apparaître les règles de fonctionnement des entreprises de services d’échange que sont les marchés financiers organisés.
On méconnaît en général ces règles, comme s’il ne pouvait y en avoir en-dehors de la réglementation étatique, alors que l’intervention de l’état, nécessairement incohérente voire erratique, est la plus grande source d’incertitude dans l’économie.
La seule source d’irrationalité sur les marchés que l’on puisse identifier pour l’éliminer réside dans l’irresponsabilité institutionnelle des hommes de l’état et dans leur mise en cause de la propriété et des contrats, par le monopole monétaire et les garanties étatiques sur le dos des contribuables.

Textes :
Ronald Coase,  La nature de la firme
Friedrich Hayek,  Droit, législation et liberté
Charles Gave : Les incompétents et les corrompus veulent « moraliser » le capitalisme
Vincent Bénard : Subprime crisis : the overall picture

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Georges Lane et François Guillaumat font apparaître les règles de fonctionnement des entreprises de services d’échange que sont les marchés financiers organisés.
On méconnaît en général ces règles, comme s’il ne pouvait y en avoir en-dehors de la réglementation étatique, alors que l’intervention de l’état, nécessairement incohérente voire erratique, est la plus grande source d’incertitude dans l’économie.
La seule source d’irrationalité sur les marchés que l’on puisse identifier pour l’éliminer réside dans l’irresponsabilité institutionnelle des hommes de l’état et dans leur mise en cause de la propriété et des contrats, par le monopole monétaire et les garanties étatiques sur le dos des contribuables.

Textes :
Ronald Coase,  La nature de la firme
Friedrich Hayek,  Droit, législation et liberté
Charles Gave : Les incompétents et les corrompus veulent « moraliser » le capitalisme
Vincent Bénard : Subprime crisis : the overall picture

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Lumière 101noNo
La concurrence fiscale au service des peuples155081021-la_concurrence_fiscale_au_service_des_peuples.mp3http://lumiere101.com/2008/10/21/la-concurrence-fiscale-au-service-des-peuples/http://lumiere101.com/2008/10/21/la-concurrence-fiscale-au-service-des-peuples/#commentsTue, 21 Oct 2008 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2008/10/21/la-concurrence-fiscale-au-service-des-peuples/Au moment où, selon un procédé de crapulerie politique éprouvé, les hommes de l’état français voudraient faire des “paradis fiscaux” de nouveaux boucs émissaires de la “crise”, il importe de rappeler que le vote avec son argent, comme le vote avec ses pieds, est mille à cent mille fois plus démocratique que nos simulacres de représentation, que confisquent les groupes de pression et où les hommes de l’état usurpent le pouvoir du citoyen de décider des affaires qui sont les siennes.
Georges Lane et François Guillaumat montrent que la concurrence fiscale protège le peuple de l’oppression fiscale des soi-disant élites non seulement parce qu’elle limite leur pouvoir de voler, mais parce qu’en réalité c’est lui qui paierait les impôts auxquels, soi-disant, les évadés du fisc sont censés se soustraire.
Et de rappeler qu’en la matière les organisations internationales qui sont l’âme des cartels fiscaux contre les peuples comme elles incarnent les prémices du mondialisme, pratiquent le principe central de l’étatisme : “Faites ce que je dis, pas ce que je fais”.

Références :
James Buchanan: The Power to tax
Anthony Downs: An Economic Theory of Democracy
Philippe Lacoude, Frédéric Sautet, Véronique de Rugy, Pascal Salin, Philippe Nataf, Jacques Raiman : Action ou taxation
Pascal Salin: L’Arbitraire fiscal
Centre pour la Concurrence fiscale de L’Institut Constant de Rebecque
Yvan Blot : La démocratie confisquée
Sur Lumière 101 : Le mondialisme

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Au moment où, selon un procédé de crapulerie politique éprouvé, les hommes de l’état français voudraient faire des “paradis fiscaux” de nouveaux boucs émissaires de la “crise”, il importe de rappeler que le vote avec son argent, comme le vote avec ses pieds, est mille à cent mille fois plus démocratique que nos simulacres de représentation, que confisquent les groupes de pression et où les hommes de l’état usurpent le pouvoir du citoyen de décider des affaires qui sont les siennes.
Georges Lane et François Guillaumat montrent que la concurrence fiscale protège le peuple de l’oppression fiscale des soi-disant élites non seulement parce qu’elle limite leur pouvoir de voler, mais parce qu’en réalité c’est lui qui paierait les impôts auxquels, soi-disant, les évadés du fisc sont censés se soustraire.
Et de rappeler qu’en la matière les organisations internationales qui sont l’âme des cartels fiscaux contre les peuples comme elles incarnent les prémices du mondialisme, pratiquent le principe central de l’étatisme : “Faites ce que je dis, pas ce que je fais”.

Références :
James Buchanan: The Power to tax
Anthony Downs: An Economic Theory of Democracy
Philippe Lacoude, Frédéric Sautet, Véronique de Rugy, Pascal Salin, Philippe Nataf, Jacques Raiman : Action ou taxation
Pascal Salin: L’Arbitraire fiscal
Centre pour la Concurrence fiscale de L’Institut Constant de Rebecque
Yvan Blot : La démocratie confisquée
Sur Lumière 101 : Le mondialisme

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http://lumiere101.com/2008/10/21/la-concurrence-fiscale-au-service-des-peuples//feed/49:19Au moment où, selon un procédé de crapulerie politique éprouvé, les hommes de l’état français voudraient faire des “paradis fiscaux” de nouveaux boucs émissaires de la “crise”, il importe de rappeler que le vote avec son argent, comme le vote avec ses pieds, est mille à cent mille fois plus démocratique que nos simulacres de représentation, que confisquent les groupes de pression et où les hommes de l’état usurpent le pouvoir du citoyen de décider des affaires qui sont les siennes.
Georges Lane et François Guillaumat montrent que la concurrence fiscale protège le peuple de l’oppression fiscale des soi-disant élites non seulement parce qu’elle limite leur pouvoir de voler, mais parce qu’en réalité c’est lui qui paierait les impôts auxquels, soi-disant, les évadés du fisc sont censés se soustraire.
Et de rappeler qu’en la matière les organisations internationales qui sont l’âme des cartels fiscaux contre les peuples comme elles incarnent les prémices du mondialisme, pratiquent le principe central de l’étatisme : “Faites ce que je dis, pas ce que je fais”.

Références :
James Buchanan: The Power to tax
Anthony Downs: An Economic Theory of Democracy
Philippe Lacoude, Frédéric Sautet, Véronique de Rugy, Pascal Salin, Philippe Nataf, Jacques Raiman : Action ou taxation
Pascal Salin: L’Arbitraire fiscal
Centre pour la Concurrence fiscale de L’Institut Constant de Rebecque
Yvan Blot : La démocratie confisquée
Sur Lumière 101 : Le mondialisme

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Au moment où, selon un procédé de crapulerie politique éprouvé, les hommes de l’état français voudraient faire des “paradis fiscaux” de nouveaux boucs émissaires de la “crise”, il importe de rappeler que le vote avec son argent, comme le vote avec ses pieds, est mille à cent mille fois plus démocratique que nos simulacres de représentation, que confisquent les groupes de pression et où les hommes de l’état usurpent le pouvoir du citoyen de décider des affaires qui sont les siennes.
Georges Lane et François Guillaumat montrent que la concurrence fiscale protège le peuple de l’oppression fiscale des soi-disant élites non seulement parce qu’elle limite leur pouvoir de voler, mais parce qu’en réalité c’est lui qui paierait les impôts auxquels, soi-disant, les évadés du fisc sont censés se soustraire.
Et de rappeler qu’en la matière les organisations internationales qui sont l’âme des cartels fiscaux contre les peuples comme elles incarnent les prémices du mondialisme, pratiquent le principe central de l’étatisme : “Faites ce que je dis, pas ce que je fais”.

Références :
James Buchanan: The Power to tax
Anthony Downs: An Economic Theory of Democracy
Philippe Lacoude, Frédéric Sautet, Véronique de Rugy, Pascal Salin, Philippe Nataf, Jacques Raiman : Action ou taxation
Pascal Salin: L’Arbitraire fiscal
Centre pour la Concurrence fiscale de L’Institut Constant de Rebecque
Yvan Blot : La démocratie confisquée
Sur Lumière 101 : Le mondialisme

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Lumière 101noNo
“Discrimination”, les trois avatars d’un mot-zombi154081011-discrimination_les_trois_avatars_d_un mot-zombi.mp3http://lumiere101.com/2008/10/11/discrimination-les-trois-avatars-dun-mot-zombi/http://lumiere101.com/2008/10/11/discrimination-les-trois-avatars-dun-mot-zombi/#commentsSat, 11 Oct 2008 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2008/10/11/discrimination-les-trois-avatars-dun-mot-zombi/Georges Lane et François Guillaumat examinent les trois usages successifs du mot-zombi de “discrimination”, que la pseudo-démocratie socialiste a inventé pour faire oublier aux gens qu’ils savent ce que c’est que l’injustice.

Les hommes de l’état ont d’abord prétendu “ne pas discriminer” pour faire croire que leur action ne serait pas intrinsèquement injuste, ne volerait pas nécessairement les uns pour donner aux autres.

Puis, quand les gens se sont bien habitués à employer ce genre de simulacres à la place des catégories de la justice naturelle, la pseudo-démocratie socialiste a employé la “discrimination” pour faire procès aux propriétaires légitimes d’exercer souverainement leurs Droits.

Enfin, l’arbitraire des puissants atteint l’apothéose, et son impudence des sommets, lorsqu’en parlant de “discrimination positive” ils inversent la norme de justice en disant en substance que tout ce qu’ils font est juste alors que toute action de leurs victimes pourrait leur être imputée à crime.

Ouvrages mentionnés :
Ayn Rand : “Les Droits de l’Homme”
Ayn Rand : “La collectivisation des Droits”
Murray Rothbard : L’éthique de la liberté

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Georges Lane et François Guillaumat examinent les trois usages successifs du mot-zombi de “discrimination”, que la pseudo-démocratie socialiste a inventé pour faire oublier aux gens qu’ils savent ce que c’est que l’injustice.

Les hommes de l’état ont d’abord prétendu “ne pas discriminer” pour faire croire que leur action ne serait pas intrinsèquement injuste, ne volerait pas nécessairement les uns pour donner aux autres.

Puis, quand les gens se sont bien habitués à employer ce genre de simulacres à la place des catégories de la justice naturelle, la pseudo-démocratie socialiste a employé la “discrimination” pour faire procès aux propriétaires légitimes d’exercer souverainement leurs Droits.

Enfin, l’arbitraire des puissants atteint l’apothéose, et son impudence des sommets, lorsqu’en parlant de “discrimination positive” ils inversent la norme de justice en disant en substance que tout ce qu’ils font est juste alors que toute action de leurs victimes pourrait leur être imputée à crime.

Ouvrages mentionnés :
Ayn Rand : “Les Droits de l’Homme”
Ayn Rand : “La collectivisation des Droits”
Murray Rothbard : L’éthique de la liberté

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http://lumiere101.com/2008/10/11/discrimination-les-trois-avatars-dun-mot-zombi//feed/42:33Georges Lane et François Guillaumat examinent les trois usages successifs du mot-zombi de “discrimination”, que la pseudo-démocratie socialiste a inventé pour faire oublier aux gens qu’ils savent ce que c’est que l’injustice.

Les hommes de l’état ont d’abord prétendu “ne pas discriminer” pour faire croire que leur action ne serait pas intrinsèquement injuste, ne volerait pas nécessairement les uns pour donner aux autres.

Puis, quand les gens se sont bien habitués à employer ce genre de simulacres à la place des catégories de la justice naturelle, la pseudo-démocratie socialiste a employé la “discrimination” pour faire procès aux propriétaires légitimes d’exercer souverainement leurs Droits.

Enfin, l’arbitraire des puissants atteint l’apothéose, et son impudence des sommets, lorsqu’en parlant de “discrimination positive” ils inversent la norme de justice en disant en substance que tout ce qu’ils font est juste alors que toute action de leurs victimes pourrait leur être imputée à crime.

Ouvrages mentionnés :
Ayn Rand : “Les Droits de l’Homme”
Ayn Rand : “La collectivisation des Droits”
Murray Rothbard : L’éthique de la liberté

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Georges Lane et François Guillaumat examinent les trois usages successifs du mot-zombi de “discrimination”, que la pseudo-démocratie socialiste a inventé pour faire oublier aux gens qu’ils savent ce que c’est que l’injustice.

Les hommes de l’état ont d’abord prétendu “ne pas discriminer” pour faire croire que leur action ne serait pas intrinsèquement injuste, ne volerait pas nécessairement les uns pour donner aux autres.

Puis, quand les gens se sont bien habitués à employer ce genre de simulacres à la place des catégories de la justice naturelle, la pseudo-démocratie socialiste a employé la “discrimination” pour faire procès aux propriétaires légitimes d’exercer souverainement leurs Droits.

Enfin, l’arbitraire des puissants atteint l’apothéose, et son impudence des sommets, lorsqu’en parlant de “discrimination positive” ils inversent la norme de justice en disant en substance que tout ce qu’ils font est juste alors que toute action de leurs victimes pourrait leur être imputée à crime.

Ouvrages mentionnés :
Ayn Rand : “Les Droits de l’Homme”
Ayn Rand : “La collectivisation des Droits”
Murray Rothbard : L’éthique de la liberté

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Lumière 101noNo
La première calamité financière du politiquement correct153081003-la_premiere_calamite_financiere_du_politiquement_correct.mp3http://lumiere101.com/2008/10/03/la-premiere-calamite-financiere-du-politiquement-correct/http://lumiere101.com/2008/10/03/la-premiere-calamite-financiere-du-politiquement-correct/#commentsFri, 03 Oct 2008 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2008/10/03/la-premiere-calamite-financiere-du-politiquement-correct/Georges Lane et François Guillaumat rappellent les réglementations, garanties abusives et autres monopoles étatiques qui ont amené les banques américaines à faire trop de prêts hypothécaires à des débiteurs douteux.
Ils interprètent la calamité financière qui en résulte, la première que l’on doit au racisme institutionnel de la gauche, comme un exemple de la Loi des Calamités de Michel de Poncins : ce sont les hommes de l’état socialiste et leurs receleurs qui sont coupables, et ceux-ci se posent en sauveurs pour commettre de nouvelles déprédations.
La question demeure de savoir si des financiers responsables n’auraient pas pu échapper aux effets des agressions étatiques en estimant convenablement les ruines prévisibles que celles-ci allaient engendrer.

Le Meilleur des mondes : “La Force de la vérité”, “Les racines de la crise”
Georges Lane : “Les grands collecteurs”, “Mensonges et bulles de faux droits”, “Subprime surcrise ?”
Georges Lane et François Guillaumat sur Lumière 101 :
1987-2007 : 20 ans de crises financières ?
“La Loi de Bitur-Camember”
Liberpédia : “La Loi de Bitur-Camember et le Multiplicateur des Calamités”
Friedrich Hayek :Droit, Législation et liberté

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Georges Lane et François Guillaumat rappellent les réglementations, garanties abusives et autres monopoles étatiques qui ont amené les banques américaines à faire trop de prêts hypothécaires à des débiteurs douteux.
Ils interprètent la calamité financière qui en résulte, la première que l’on doit au racisme institutionnel de la gauche, comme un exemple de la Loi des Calamités de Michel de Poncins : ce sont les hommes de l’état socialiste et leurs receleurs qui sont coupables, et ceux-ci se posent en sauveurs pour commettre de nouvelles déprédations.
La question demeure de savoir si des financiers responsables n’auraient pas pu échapper aux effets des agressions étatiques en estimant convenablement les ruines prévisibles que celles-ci allaient engendrer.

Le Meilleur des mondes : “La Force de la vérité”, “Les racines de la crise”
Georges Lane : “Les grands collecteurs”, “Mensonges et bulles de faux droits”, “Subprime surcrise ?”
Georges Lane et François Guillaumat sur Lumière 101 :
1987-2007 : 20 ans de crises financières ?
“La Loi de Bitur-Camember”
Liberpédia : “La Loi de Bitur-Camember et le Multiplicateur des Calamités”
Friedrich Hayek :Droit, Législation et liberté

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http://lumiere101.com/2008/10/03/la-premiere-calamite-financiere-du-politiquement-correct//feed/44:15Georges Lane et François Guillaumat rappellent les réglementations, garanties abusives et autres monopoles étatiques qui ont amené les banques américaines à faire trop de prêts hypothécaires à des débiteurs douteux.
Ils interprètent la calamité financière qui en résulte, la première que l’on doit au racisme institutionnel de la gauche, comme un exemple de la Loi des Calamités de Michel de Poncins : ce sont les hommes de l’état socialiste et leurs receleurs qui sont coupables, et ceux-ci se posent en sauveurs pour commettre de nouvelles déprédations.
La question demeure de savoir si des financiers responsables n’auraient pas pu échapper aux effets des agressions étatiques en estimant convenablement les ruines prévisibles que celles-ci allaient engendrer.

Le Meilleur des mondes : “La Force de la vérité”, “Les racines de la crise”
Georges Lane : “Les grands collecteurs”, “Mensonges et bulles de faux droits”, “Subprime surcrise ?”
Georges Lane et François Guillaumat sur Lumière 101 :
1987-2007 : 20 ans de crises financières ?
“La Loi de Bitur-Camember”
Liberpédia : “La Loi de Bitur-Camember et le Multiplicateur des Calamités”
Friedrich Hayek :Droit, Législation et liberté

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Georges Lane et François Guillaumat rappellent les réglementations, garanties abusives et autres monopoles étatiques qui ont amené les banques américaines à faire trop de prêts hypothécaires à des débiteurs douteux.
Ils interprètent la calamité financière qui en résulte, la première que l’on doit au racisme institutionnel de la gauche, comme un exemple de la Loi des Calamités de Michel de Poncins : ce sont les hommes de l’état socialiste et leurs receleurs qui sont coupables, et ceux-ci se posent en sauveurs pour commettre de nouvelles déprédations.
La question demeure de savoir si des financiers responsables n’auraient pas pu échapper aux effets des agressions étatiques en estimant convenablement les ruines prévisibles que celles-ci allaient engendrer.

Le Meilleur des mondes : “La Force de la vérité”, “Les racines de la crise”
Georges Lane : “Les grands collecteurs”, “Mensonges et bulles de faux droits”, “Subprime surcrise ?”
Georges Lane et François Guillaumat sur Lumière 101 :
1987-2007 : 20 ans de crises financières ?
“La Loi de Bitur-Camember”
Liberpédia : “La Loi de Bitur-Camember et le Multiplicateur des Calamités”
Friedrich Hayek :Droit, Législation et liberté

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Les intellectuels et le socialisme152080927-les_intellectuels_et_le_socialisme.mp3http://lumiere101.com/2008/09/27/les-intellectuels-et-le-socialisme/http://lumiere101.com/2008/09/27/les-intellectuels-et-le-socialisme/#commentsSat, 27 Sep 2008 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2008/09/27/les-intellectuels-et-le-socialisme/Georges Lane et François Guillaumat se demandent dans quelle mesure et pendant combien de temps le socialisme, qui prétend mettre l’élite intellectuelle au pouvoir, réussit à ménager les penseurs avant de les sacrifier à ses idoles.

Igor Chafarevitch : Le Phénomène socialiste
Hayek : “Les intellectuels et le socialisme”
Madsen Pirie : La Micropolitique
Frédéric Bastiat : “Organisation naturelle, organisation artificielle”
François Guillaumat : L’illusion fiscale, Le pseudo-expérimentalisme

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Georges Lane et François Guillaumat se demandent dans quelle mesure et pendant combien de temps le socialisme, qui prétend mettre l’élite intellectuelle au pouvoir, réussit à ménager les penseurs avant de les sacrifier à ses idoles.

Igor Chafarevitch : Le Phénomène socialiste
Hayek : “Les intellectuels et le socialisme”
Madsen Pirie : La Micropolitique
Frédéric Bastiat : “Organisation naturelle, organisation artificielle”
François Guillaumat : L’illusion fiscale, Le pseudo-expérimentalisme

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http://lumiere101.com/2008/09/27/les-intellectuels-et-le-socialisme//feed/46:50Georges Lane et François Guillaumat se demandent dans quelle mesure et pendant combien de temps le socialisme, qui prétend mettre l’élite intellectuelle au pouvoir, réussit à ménager les penseurs avant de les sacrifier à ses idoles.

Igor Chafarevitch : Le Phénomène socialiste
Hayek : “Les intellectuels et le socialisme”
Madsen Pirie : La Micropolitique
Frédéric Bastiat : “Organisation naturelle, organisation artificielle”
François Guillaumat : L’illusion fiscale, Le pseudo-expérimentalisme

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Georges Lane et François Guillaumat se demandent dans quelle mesure et pendant combien de temps le socialisme, qui prétend mettre l’élite intellectuelle au pouvoir, réussit à ménager les penseurs avant de les sacrifier à ses idoles.

Igor Chafarevitch : Le Phénomène socialiste
Hayek : “Les intellectuels et le socialisme”
Madsen Pirie : La Micropolitique
Frédéric Bastiat : “Organisation naturelle, organisation artificielle”
François Guillaumat : L’illusion fiscale, Le pseudo-expérimentalisme

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La Géorgie face à l’impérialisme moscovite (2)151080918-la_georgie_face_a_l_imperialisme_moscovite_(2).mp3http://lumiere101.com/2008/09/18/la-georgie-face-a-l%e2%80%99imperialisme-moscovite-2/http://lumiere101.com/2008/09/18/la-georgie-face-a-l%e2%80%99imperialisme-moscovite-2/#commentsThu, 18 Sep 2008 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2008/09/18/la-georgie-face-a-l%e2%80%99imperialisme-moscovite-2/Suite de l’entretien avec Françoise Thom et Guiorgui Mamoulia sur la situation et la désinformation en Géorgie.

La première partie
Bibliographie

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Suite de l’entretien avec Françoise Thom et Guiorgui Mamoulia sur la situation et la désinformation en Géorgie.

La première partie
Bibliographie

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http://lumiere101.com/2008/09/18/la-georgie-face-a-l%e2%80%99imperialisme-moscovite-2//feed/47:06Suite de l’entretien avec Françoise Thom et Guiorgui Mamoulia sur la situation et la désinformation en Géorgie.

La première partie
Bibliographie

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Suite de l’entretien avec Françoise Thom et Guiorgui Mamoulia sur la situation et la désinformation en Géorgie.

La première partie
Bibliographie

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La Géorgie face à l’impérialisme moscovite (1)150080909-la_georgie_face_a_l_imperialisme_moscovite_(1).mp3http://lumiere101.com/2008/09/09/la-georgie-face-a-limperialisme-moscovite/http://lumiere101.com/2008/09/09/la-georgie-face-a-limperialisme-moscovite/#commentsTue, 09 Sep 2008 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2008/09/09/la-georgie-face-a-limperialisme-moscovite/Georges Lane et François Guillaumat reçoivent Françoise Thom, maître de conférences en histoire à l’Université de Paris-IV Sorbonne et Guiorgui Mamoulia, historien, ancien diplomate conseiller du Président Chevardnadzé pour les affaires internationales.

Articles sur le sujet
La deuxième partie

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Georges Lane et François Guillaumat reçoivent Françoise Thom, maître de conférences en histoire à l’Université de Paris-IV Sorbonne et Guiorgui Mamoulia, historien, ancien diplomate conseiller du Président Chevardnadzé pour les affaires internationales.

Articles sur le sujet
La deuxième partie

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http://lumiere101.com/2008/09/09/la-georgie-face-a-limperialisme-moscovite//feed/46:41Georges Lane et François Guillaumat reçoivent Françoise Thom, maître de conférences en histoire à l’Université de Paris-IV Sorbonne et Guiorgui Mamoulia, historien, ancien diplomate conseiller du Président Chevardnadzé pour les affaires internationales.

Articles sur le sujet
La deuxième partie

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Georges Lane et François Guillaumat reçoivent Françoise Thom, maître de conférences en histoire à l’Université de Paris-IV Sorbonne et Guiorgui Mamoulia, historien, ancien diplomate conseiller du Président Chevardnadzé pour les affaires internationales.

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Le radjaïdjah socialiste149080726-le_radjaidjah_socialiste.mp3http://lumiere101.com/2008/07/26/le-radjaidjah-socialiste/http://lumiere101.com/2008/07/26/le-radjaidjah-socialiste/#commentsSat, 26 Jul 2008 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2008/07/26/le-radjaidjah-socialiste/Georges Lane et François Guillaumat s’interrogent sur les ingrédients du “radjaïdjah socialiste”, le poison-qui-rend-fou et qui conduit à croire que l’agression criminelle des puissants contre les faibles serait une forme supérieure de justice et un moyen d’accroître la production, d’instituer l’égalité ainsi que la paix sociale… et de voir ce que les autres ne voient pas.
Après avoir ainsi énuméré les principales manifestations de cette folie, ils décrivent les contradictions inconscientes qu’inspire aux socialistes la prétention d’avoir forcément raison contre les autres. Puis ils passent à ce que Michel de Poncins appelle la “chronique des aveux” en ce qui concerne l’irrationalisme des socialistes, avec deux grands exemples : le déterminisme marxiste et son pâle imitateur en la matière, le polylogisme hitlérien –selon le mot forgé par Ludwig von Mises, “juif bourgeois” d’après ces polylogismes socialistes.

Hergé, Les cigares du pharaon 1934 Le lotus bleu 1936
Raymond Boudon, Pourquoi les intellectuels n’aiment pas le libéralisme ? 2004
Murray Rothbard , “Vers une reconstruction de la théorie de l’utilité et du bien-être” 1956 Economistes et charlatans, 1991
Friedrich von Hayek,  Droit, Législation et Liberté, tome II : Le mirage de la justice sociale  , 2007, 1ère éd. en anglais en 1973-79. Tome I en anglais
Karl Popper,  Misère de l’historicisme, 1956
George Reisman, “Platonic competition“, 1980, Knowledge and Decisions
Charles Darwin De l’origine des espèces, 2005 , 1ère ed. anglaise 1859
Margaret Sanger  The Pivot of Civilisation, 2004
Ann Coulter, Godless 2006
Ludwig von Mises, 1944, Le gouvernement omnipotent : “Les Nazis n’ont pas inventé le polylogisme, ils n’ont fait qu’y imprimer leur propre marque”

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Georges Lane et François Guillaumat s’interrogent sur les ingrédients du “radjaïdjah socialiste”, le poison-qui-rend-fou et qui conduit à croire que l’agression criminelle des puissants contre les faibles serait une forme supérieure de justice et un moyen d’accroître la production, d’instituer l’égalité ainsi que la paix sociale… et de voir ce que les autres ne voient pas.
Après avoir ainsi énuméré les principales manifestations de cette folie, ils décrivent les contradictions inconscientes qu’inspire aux socialistes la prétention d’avoir forcément raison contre les autres. Puis ils passent à ce que Michel de Poncins appelle la “chronique des aveux” en ce qui concerne l’irrationalisme des socialistes, avec deux grands exemples : le déterminisme marxiste et son pâle imitateur en la matière, le polylogisme hitlérien –selon le mot forgé par Ludwig von Mises, “juif bourgeois” d’après ces polylogismes socialistes.

Hergé, Les cigares du pharaon 1934 Le lotus bleu 1936
Raymond Boudon, Pourquoi les intellectuels n’aiment pas le libéralisme ? 2004
Murray Rothbard , “Vers une reconstruction de la théorie de l’utilité et du bien-être” 1956 Economistes et charlatans, 1991
Friedrich von Hayek,  Droit, Législation et Liberté, tome II : Le mirage de la justice sociale  , 2007, 1ère éd. en anglais en 1973-79. Tome I en anglais
Karl Popper,  Misère de l’historicisme, 1956
George Reisman, “Platonic competition“, 1980, Knowledge and Decisions
Charles Darwin De l’origine des espèces, 2005 , 1ère ed. anglaise 1859
Margaret Sanger  The Pivot of Civilisation, 2004
Ann Coulter, Godless 2006
Ludwig von Mises, 1944, Le gouvernement omnipotent : “Les Nazis n’ont pas inventé le polylogisme, ils n’ont fait qu’y imprimer leur propre marque”

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http://lumiere101.com/2008/07/26/le-radjaidjah-socialiste//feed/52:42Georges Lane et François Guillaumat s’interrogent sur les ingrédients du “radjaïdjah socialiste”, le poison-qui-rend-fou et qui conduit à croire que l’agression criminelle des puissants contre les faibles serait une forme supérieure de justice et un moyen d’accroître la production, d’instituer l’égalité ainsi que la paix sociale… et de voir ce que les autres ne voient pas.
Après avoir ainsi énuméré les principales manifestations de cette folie, ils décrivent les contradictions inconscientes qu’inspire aux socialistes la prétention d’avoir forcément raison contre les autres. Puis ils passent à ce que Michel de Poncins appelle la “chronique des aveux” en ce qui concerne l’irrationalisme des socialistes, avec deux grands exemples : le déterminisme marxiste et son pâle imitateur en la matière, le polylogisme hitlérien –selon le mot forgé par Ludwig von Mises, “juif bourgeois” d’après ces polylogismes socialistes.

Hergé, Les cigares du pharaon 1934 Le lotus bleu 1936
Raymond Boudon, Pourquoi les intellectuels n’aiment pas le libéralisme ? 2004
Murray Rothbard , “Vers une reconstruction de la théorie de l’utilité et du bien-être” 1956 Economistes et charlatans, 1991
Friedrich von Hayek,  Droit, Législation et Liberté, tome II : Le mirage de la justice sociale  , 2007, 1ère éd. en anglais en 1973-79. Tome I en anglais
Karl Popper,  Misère de l’historicisme, 1956
George Reisman, “Platonic competition“, 1980, Knowledge and Decisions
Charles Darwin De l’origine des espèces, 2005 , 1ère ed. anglaise 1859
Margaret Sanger  The Pivot of Civilisation, 2004
Ann Coulter, Godless 2006
Ludwig von Mises, 1944, Le gouvernement omnipotent : “Les Nazis n’ont pas inventé le polylogisme, ils n’ont fait qu’y imprimer leur propre marque”

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Georges Lane et François Guillaumat s’interrogent sur les ingrédients du “radjaïdjah socialiste”, le poison-qui-rend-fou et qui conduit à croire que l’agression criminelle des puissants contre les faibles serait une forme supérieure de justice et un moyen d’accroître la production, d’instituer l’égalité ainsi que la paix sociale… et de voir ce que les autres ne voient pas.
Après avoir ainsi énuméré les principales manifestations de cette folie, ils décrivent les contradictions inconscientes qu’inspire aux socialistes la prétention d’avoir forcément raison contre les autres. Puis ils passent à ce que Michel de Poncins appelle la “chronique des aveux” en ce qui concerne l’irrationalisme des socialistes, avec deux grands exemples : le déterminisme marxiste et son pâle imitateur en la matière, le polylogisme hitlérien –selon le mot forgé par Ludwig von Mises, “juif bourgeois” d’après ces polylogismes socialistes.

Hergé, Les cigares du pharaon 1934 Le lotus bleu 1936
Raymond Boudon, Pourquoi les intellectuels n’aiment pas le libéralisme ? 2004
Murray Rothbard , “Vers une reconstruction de la théorie de l’utilité et du bien-être” 1956 Economistes et charlatans, 1991
Friedrich von Hayek,  Droit, Législation et Liberté, tome II : Le mirage de la justice sociale  , 2007, 1ère éd. en anglais en 1973-79. Tome I en anglais
Karl Popper,  Misère de l’historicisme, 1956
George Reisman, “Platonic competition“, 1980, Knowledge and Decisions
Charles Darwin De l’origine des espèces, 2005 , 1ère ed. anglaise 1859
Margaret Sanger  The Pivot of Civilisation, 2004
Ann Coulter, Godless 2006
Ludwig von Mises, 1944, Le gouvernement omnipotent : “Les Nazis n’ont pas inventé le polylogisme, ils n’ont fait qu’y imprimer leur propre marque”

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Les mots-virus148080718-les_mots-virus.mp3http://lumiere101.com/2008/07/18/les-mots-virus/http://lumiere101.com/2008/07/18/les-mots-virus/#commentsFri, 18 Jul 2008 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2008/07/18/les-mots-virus/L’expérience nous montre qu’une bonne partie des choses dont on nous parle en économie sont mal définies, et il s’agit de trouver les moyens d’y remédier.Georges Lane et François Guillaumat s’interrogent sur rencontre de mots utilisés dans un sens imprécis ou dénaturé. Ces “mots-virus” rendent la pensée malade, lui infligeant entre malaise et destruction totale (auquel cas on parlera carrément d’anti-concepts).

La science économique, comme toute science mais d’autant plus qu’elle ne se prête pas à vérification expérimentale, repose de façon cruciale sur une identification correcte de son objet.

Elle progresse dans la mesure où elle définit bien ce dont elle parle, elle régresse dans la mesure où certaines manières de la pratiquer conduisent à méconnaître le contexte où on a défini les mots dont elle se sert.

Hans-Hermann Hoppe : Kritik der kausalwissenschaftlichen Sozialforschung
Murray Rothbard : “Vers une reconstruction de la théorie de l’utilité et du bien-être” ch. 4; “Le mythe de l”efficience” ch. 6 d’Economistes et charlatans.
Ludwig von Mises : L’action humaine ; The Theory of money and credit
Friedrich Hayek : Droit, législation et liberté
William Hutt : Economists and the Public - A Study of Competition and Opinion. Londres, Cape, 1936
Georges Lane : La sécurité sociale et comment s’en sortir
Vilfredo Pareto : Le péril socialiste, à paraître en septembre.
Nathaniel Branden : “Le vol de concepts”

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L’expérience nous montre qu’une bonne partie des choses dont on nous parle en économie sont mal définies, et il s’agit de trouver les moyens d’y remédier.Georges Lane et François Guillaumat s’interrogent sur rencontre de mots utilisés dans un sens imprécis ou dénaturé. Ces “mots-virus” rendent la pensée malade, lui infligeant entre malaise et destruction totale (auquel cas on parlera carrément d’anti-concepts).

La science économique, comme toute science mais d’autant plus qu’elle ne se prête pas à vérification expérimentale, repose de façon cruciale sur une identification correcte de son objet.

Elle progresse dans la mesure où elle définit bien ce dont elle parle, elle régresse dans la mesure où certaines manières de la pratiquer conduisent à méconnaître le contexte où on a défini les mots dont elle se sert.

Hans-Hermann Hoppe : Kritik der kausalwissenschaftlichen Sozialforschung
Murray Rothbard : “Vers une reconstruction de la théorie de l’utilité et du bien-être” ch. 4; “Le mythe de l”efficience” ch. 6 d’Economistes et charlatans.
Ludwig von Mises : L’action humaine ; The Theory of money and credit
Friedrich Hayek : Droit, législation et liberté
William Hutt : Economists and the Public - A Study of Competition and Opinion. Londres, Cape, 1936
Georges Lane : La sécurité sociale et comment s’en sortir
Vilfredo Pareto : Le péril socialiste, à paraître en septembre.
Nathaniel Branden : “Le vol de concepts”

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http://lumiere101.com/2008/07/18/les-mots-virus//feed/43:43L’expérience nous montre qu’une bonne partie des choses dont on nous parle en économie sont mal définies, et il s’agit de trouver les moyens d’y remédier.Georges Lane et François Guillaumat s’interrogent sur rencontre de mots utilisés dans un sens imprécis ou dénaturé. Ces “mots-virus” rendent la pensée malade, lui infligeant entre malaise et destruction totale (auquel cas on parlera carrément d’anti-concepts).

La science économique, comme toute science mais d’autant plus qu’elle ne se prête pas à vérification expérimentale, repose de façon cruciale sur une identification correcte de son objet.

Elle progresse dans la mesure où elle définit bien ce dont elle parle, elle régresse dans la mesure où certaines manières de la pratiquer conduisent à méconnaître le contexte où on a défini les mots dont elle se sert.

Hans-Hermann Hoppe : Kritik der kausalwissenschaftlichen Sozialforschung
Murray Rothbard : “Vers une reconstruction de la théorie de l’utilité et du bien-être” ch. 4; “Le mythe de l”efficience” ch. 6 d’Economistes et charlatans.
Ludwig von Mises : L’action humaine ; The Theory of money and credit
Friedrich Hayek : Droit, législation et liberté
William Hutt : Economists and the Public - A Study of Competition and Opinion. Londres, Cape, 1936
Georges Lane : La sécurité sociale et comment s’en sortir
Vilfredo Pareto : Le péril socialiste, à paraître en septembre.
Nathaniel Branden : “Le vol de concepts”

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L’expérience nous montre qu’une bonne partie des choses dont on nous parle en économie sont mal définies, et il s’agit de trouver les moyens d’y remédier.Georges Lane et François Guillaumat s’interrogent sur rencontre de mots utilisés dans un sens imprécis ou dénaturé. Ces “mots-virus” rendent la pensée malade, lui infligeant entre malaise et destruction totale (auquel cas on parlera carrément d’anti-concepts).

La science économique, comme toute science mais d’autant plus qu’elle ne se prête pas à vérification expérimentale, repose de façon cruciale sur une identification correcte de son objet.

Elle progresse dans la mesure où elle définit bien ce dont elle parle, elle régresse dans la mesure où certaines manières de la pratiquer conduisent à méconnaître le contexte où on a défini les mots dont elle se sert.

Hans-Hermann Hoppe : Kritik der kausalwissenschaftlichen Sozialforschung
Murray Rothbard : “Vers une reconstruction de la théorie de l’utilité et du bien-être” ch. 4; “Le mythe de l”efficience” ch. 6 d’Economistes et charlatans.
Ludwig von Mises : L’action humaine ; The Theory of money and credit
Friedrich Hayek : Droit, législation et liberté
William Hutt : Economists and the Public - A Study of Competition and Opinion. Londres, Cape, 1936
Georges Lane : La sécurité sociale et comment s’en sortir
Vilfredo Pareto : Le péril socialiste, à paraître en septembre.
Nathaniel Branden : “Le vol de concepts”

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Jacques Rueff (2)147080710-jacques_rueff_(2).mp3http://lumiere101.com/2008/07/10/jacques-rueff-2/http://lumiere101.com/2008/07/10/jacques-rueff-2/#commentsThu, 10 Jul 2008 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2008/07/10/jacques-rueff-2/La deuxième partie de l’enregistrement décrit le rôle de Jacques Rueff dans la lutte contre l’inflation mondiale, de nouveau le groupe X-crise, la statistique en vue de la planification, la réforme des marchés financiers, le comité Rueff-Armand, l’opposition aux thèses matérialistes de Jacques Monod.

Alain Desrosières, “Naissance d’un nouveau langage statistique entre 1940 et 1960″ , Courrier des statistiques, n°108, décembre, pp. 41-53 (2003)
Etienne Mantoux
La première partie

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La deuxième partie de l’enregistrement décrit le rôle de Jacques Rueff dans la lutte contre l’inflation mondiale, de nouveau le groupe X-crise, la statistique en vue de la planification, la réforme des marchés financiers, le comité Rueff-Armand, l’opposition aux thèses matérialistes de Jacques Monod.

Alain Desrosières, “Naissance d’un nouveau langage statistique entre 1940 et 1960″ , Courrier des statistiques, n°108, décembre, pp. 41-53 (2003)
Etienne Mantoux
La première partie

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http://lumiere101.com/2008/07/10/jacques-rueff-2//feed/39:32La deuxième partie de l’enregistrement décrit le rôle de Jacques Rueff dans la lutte contre l’inflation mondiale, de nouveau le groupe X-crise, la statistique en vue de la planification, la réforme des marchés financiers, le comité Rueff-Armand, l’opposition aux thèses matérialistes de Jacques Monod.

Alain Desrosières, “Naissance d’un nouveau langage statistique entre 1940 et 1960″ , Courrier des statistiques, n°108, décembre, pp. 41-53 (2003)
Etienne Mantoux
La première partie

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La deuxième partie de l’enregistrement décrit le rôle de Jacques Rueff dans la lutte contre l’inflation mondiale, de nouveau le groupe X-crise, la statistique en vue de la planification, la réforme des marchés financiers, le comité Rueff-Armand, l’opposition aux thèses matérialistes de Jacques Monod.

Alain Desrosières, “Naissance d’un nouveau langage statistique entre 1940 et 1960″ , Courrier des statistiques, n°108, décembre, pp. 41-53 (2003)
Etienne Mantoux
La première partie

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Lumière 101noNo
Jacques Rueff (1)146080703-jacques_rueff_(1).mp3http://lumiere101.com/2008/07/03/jacques-rueff-1/http://lumiere101.com/2008/07/03/jacques-rueff-1/#commentsThu, 03 Jul 2008 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2008/07/03/jacques-rueff-1/Avec Emil-Maria Claassen, Georges Lane a compilé les Oeuvres complètes de Jacques Rueff, ce qui lui a donné une connaissance irremplaçable d’un de plus grands économistes français du XX° siècle.

Dans cette première émission, Georges Lane raconte à François Guillaumat comment il est entré en contact avec Jacques Rueff pour mettre à jour une analyse du chômage. Il évoque ses années de formation, son opposition au groupe X-Crise, son idée de la régulation économique, sa lutte contre les politiques d’inflation.

Jacques Rueff : “La fin de l’ère keynésienne”

Georges Lane : “Justice à Jacques Rueff”, “Le chômage et son assurance”

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Avec Emil-Maria Claassen, Georges Lane a compilé les Oeuvres complètes de Jacques Rueff, ce qui lui a donné une connaissance irremplaçable d’un de plus grands économistes français du XX° siècle.

Dans cette première émission, Georges Lane raconte à François Guillaumat comment il est entré en contact avec Jacques Rueff pour mettre à jour une analyse du chômage. Il évoque ses années de formation, son opposition au groupe X-Crise, son idée de la régulation économique, sa lutte contre les politiques d’inflation.

Jacques Rueff : “La fin de l’ère keynésienne”

Georges Lane : “Justice à Jacques Rueff”, “Le chômage et son assurance”

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http://lumiere101.com/2008/07/03/jacques-rueff-1//feed/40:15Avec Emil-Maria Claassen, Georges Lane a compilé les Oeuvres complètes de Jacques Rueff, ce qui lui a donné une connaissance irremplaçable d’un de plus grands économistes français du XX° siècle.

Dans cette première émission, Georges Lane raconte à François Guillaumat comment il est entré en contact avec Jacques Rueff pour mettre à jour une analyse du chômage. Il évoque ses années de formation, son opposition au groupe X-Crise, son idée de la régulation économique, sa lutte contre les politiques d’inflation.

Jacques Rueff : “La fin de l’ère keynésienne”

Georges Lane : “Justice à Jacques Rueff”, “Le chômage et son assurance”

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Avec Emil-Maria Claassen, Georges Lane a compilé les Oeuvres complètes de Jacques Rueff, ce qui lui a donné une connaissance irremplaçable d’un de plus grands économistes français du XX° siècle.

Dans cette première émission, Georges Lane raconte à François Guillaumat comment il est entré en contact avec Jacques Rueff pour mettre à jour une analyse du chômage. Il évoque ses années de formation, son opposition au groupe X-Crise, son idée de la régulation économique, sa lutte contre les politiques d’inflation.

Jacques Rueff : “La fin de l’ère keynésienne”

Georges Lane : “Justice à Jacques Rueff”, “Le chômage et son assurance”

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Le mondialisme145080618-le_mondialisme.mp3http://lumiere101.com/2008/06/18/le-mondialisme/http://lumiere101.com/2008/06/18/le-mondialisme/#commentsWed, 18 Jun 2008 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2008/06/18/le-mondialisme/Exaspérés par les confusions et les fausses distinctions qui semblent prendre racine dans le discours “antimondialiste” de droite, Georges Lane et François Guillaumat les exposent afin de donner à ceux qui en sont dupes l’occasion d’y renoncer.

Une première fausse distinction consiste à croire que le protectionnisme opposerait l’intérêt national à l’intérêt étranger, alors qu’il nuit aussi bien à des nationaux qu’il enrichit des intérêts étrangers : la frontière y est un leurre, elle n’est pas le lieu d’opposition des intérêts.
Une deuxième fausse distinction consiste à croire qu’entraver les échanges aux frontières serait une politique différente du fait de les entraver à l’intérieur des frontières. C’est un cas particulier d’illusion fiscale par le Leurre de la loi, qui attire l’attention sur de faux enjeux en méconnaissant les lois de l’économie.
Une troisième fausse distinction consiste à croire qu’il y aurait une différence entre le protectionnisme et le fiscalisme.

Lewis Carroll : De l’autre côté du miroir
Georges Lane :Le projet de traité d’Union européenne : une illusion fiscale qui cache une spoliation de plus.”
Ludwig von Mises : Les illusions du protectionnisme et de l’autarcie
Hans-Hermann Hoppe : “Pour le libre échange et une immigration limitée”
François Guillaumat : “Le libéralisme contre l’immigrationnisme
Frédéric Bastiat : “L’Etat
La loi de Bitur-Camember

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Exaspérés par les confusions et les fausses distinctions qui semblent prendre racine dans le discours “antimondialiste” de droite, Georges Lane et François Guillaumat les exposent afin de donner à ceux qui en sont dupes l’occasion d’y renoncer.

Une première fausse distinction consiste à croire que le protectionnisme opposerait l’intérêt national à l’intérêt étranger, alors qu’il nuit aussi bien à des nationaux qu’il enrichit des intérêts étrangers : la frontière y est un leurre, elle n’est pas le lieu d’opposition des intérêts.
Une deuxième fausse distinction consiste à croire qu’entraver les échanges aux frontières serait une politique différente du fait de les entraver à l’intérieur des frontières. C’est un cas particulier d’illusion fiscale par le Leurre de la loi, qui attire l’attention sur de faux enjeux en méconnaissant les lois de l’économie.
Une troisième fausse distinction consiste à croire qu’il y aurait une différence entre le protectionnisme et le fiscalisme.

Lewis Carroll : De l’autre côté du miroir
Georges Lane :Le projet de traité d’Union européenne : une illusion fiscale qui cache une spoliation de plus.”
Ludwig von Mises : Les illusions du protectionnisme et de l’autarcie
Hans-Hermann Hoppe : “Pour le libre échange et une immigration limitée”
François Guillaumat : “Le libéralisme contre l’immigrationnisme
Frédéric Bastiat : “L’Etat
La loi de Bitur-Camember

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http://lumiere101.com/2008/06/18/le-mondialisme//feed/41:40Exaspérés par les confusions et les fausses distinctions qui semblent prendre racine dans le discours “antimondialiste” de droite, Georges Lane et François Guillaumat les exposent afin de donner à ceux qui en sont dupes l’occasion d’y renoncer.

Une première fausse distinction consiste à croire que le protectionnisme opposerait l’intérêt national à l’intérêt étranger, alors qu’il nuit aussi bien à des nationaux qu’il enrichit des intérêts étrangers : la frontière y est un leurre, elle n’est pas le lieu d’opposition des intérêts.
Une deuxième fausse distinction consiste à croire qu’entraver les échanges aux frontières serait une politique différente du fait de les entraver à l’intérieur des frontières. C’est un cas particulier d’illusion fiscale par le Leurre de la loi, qui attire l’attention sur de faux enjeux en méconnaissant les lois de l’économie.
Une troisième fausse distinction consiste à croire qu’il y aurait une différence entre le protectionnisme et le fiscalisme.

Lewis Carroll : De l’autre côté du miroir
Georges Lane :Le projet de traité d’Union européenne : une illusion fiscale qui cache une spoliation de plus.”
Ludwig von Mises : Les illusions du protectionnisme et de l’autarcie
Hans-Hermann Hoppe : “Pour le libre échange et une immigration limitée”
François Guillaumat : “Le libéralisme contre l’immigrationnisme
Frédéric Bastiat : “L’Etat
La loi de Bitur-Camember

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Exaspérés par les confusions et les fausses distinctions qui semblent prendre racine dans le discours “antimondialiste” de droite, Georges Lane et François Guillaumat les exposent afin de donner à ceux qui en sont dupes l’occasion d’y renoncer.

Une première fausse distinction consiste à croire que le protectionnisme opposerait l’intérêt national à l’intérêt étranger, alors qu’il nuit aussi bien à des nationaux qu’il enrichit des intérêts étrangers : la frontière y est un leurre, elle n’est pas le lieu d’opposition des intérêts.
Une deuxième fausse distinction consiste à croire qu’entraver les échanges aux frontières serait une politique différente du fait de les entraver à l’intérieur des frontières. C’est un cas particulier d’illusion fiscale par le Leurre de la loi, qui attire l’attention sur de faux enjeux en méconnaissant les lois de l’économie.
Une troisième fausse distinction consiste à croire qu’il y aurait une différence entre le protectionnisme et le fiscalisme.

Lewis Carroll : De l’autre côté du miroir
Georges Lane :Le projet de traité d’Union européenne : une illusion fiscale qui cache une spoliation de plus.”
Ludwig von Mises : Les illusions du protectionnisme et de l’autarcie
Hans-Hermann Hoppe : “Pour le libre échange et une immigration limitée”
François Guillaumat : “Le libéralisme contre l’immigrationnisme
Frédéric Bastiat : “L’Etat
La loi de Bitur-Camember

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Lumière 101noNo
La question pétrolière144080610-la_question_petroliere.mp3http://lumiere101.com/2008/06/10/la-question-petroliere/http://lumiere101.com/2008/06/10/la-question-petroliere/#commentsTue, 10 Jun 2008 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2008/06/10/la-question-petroliere/L’entretien permet de rappeler les lois de l’économie quand on parle des prix du pétrole.
Tout d’abord, que la réponse de l’offre et de la demande aux variations de prix est toujours plus forte à mesure que le temps passe.
C’est aussi l’occasion de décrire les rôles respectifs de la spéculation et de l’inflation dans la situation actuelle.
Ensuite, il s’agit de rappeler que l’intervention de l’Etat ne peut qu’accroître l’incertitude et la rareté. En particulier, les variations de prix qu’on observe aujourd’hui sont dues au fait qu’une grande partie du pétrole est volée par les hommes de divers états.
Enfin, que l’énergie est toujours produite, jamais gratuite, qu’il n’y a pas de richesses naturelles.

→ Peter Huber et Mark Mills : “Du pétrole ? Il y en a partout !”
Carburants et combustibles : l’UDC demande une baisse des impôts et des taxes
Frédéric Bastiat : “Justice et fraternité”
Enregistrement de Lumière101 : “Il n’y a pas de richesses naturelles”
Enregistrement de Lumière101 : “Le faux problème du développement durable”

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L’entretien permet de rappeler les lois de l’économie quand on parle des prix du pétrole.
Tout d’abord, que la réponse de l’offre et de la demande aux variations de prix est toujours plus forte à mesure que le temps passe.
C’est aussi l’occasion de décrire les rôles respectifs de la spéculation et de l’inflation dans la situation actuelle.
Ensuite, il s’agit de rappeler que l’intervention de l’Etat ne peut qu’accroître l’incertitude et la rareté. En particulier, les variations de prix qu’on observe aujourd’hui sont dues au fait qu’une grande partie du pétrole est volée par les hommes de divers états.
Enfin, que l’énergie est toujours produite, jamais gratuite, qu’il n’y a pas de richesses naturelles.

→ Peter Huber et Mark Mills : “Du pétrole ? Il y en a partout !”
Carburants et combustibles : l’UDC demande une baisse des impôts et des taxes
Frédéric Bastiat : “Justice et fraternité”
Enregistrement de Lumière101 : “Il n’y a pas de richesses naturelles”
Enregistrement de Lumière101 : “Le faux problème du développement durable”

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http://lumiere101.com/2008/06/10/la-question-petroliere//feed/35:51L’entretien permet de rappeler les lois de l’économie quand on parle des prix du pétrole.
Tout d’abord, que la réponse de l’offre et de la demande aux variations de prix est toujours plus forte à mesure que le temps passe.
C’est aussi l’occasion de décrire les rôles respectifs de la spéculation et de l’inflation dans la situation actuelle.
Ensuite, il s’agit de rappeler que l’intervention de l’Etat ne peut qu’accroître l’incertitude et la rareté. En particulier, les variations de prix qu’on observe aujourd’hui sont dues au fait qu’une grande partie du pétrole est volée par les hommes de divers états.
Enfin, que l’énergie est toujours produite, jamais gratuite, qu’il n’y a pas de richesses naturelles.

→ Peter Huber et Mark Mills : “Du pétrole ? Il y en a partout !”
Carburants et combustibles : l’UDC demande une baisse des impôts et des taxes
Frédéric Bastiat : “Justice et fraternité”
Enregistrement de Lumière101 : “Il n’y a pas de richesses naturelles”
Enregistrement de Lumière101 : “Le faux problème du développement durable”

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L’entretien permet de rappeler les lois de l’économie quand on parle des prix du pétrole.
Tout d’abord, que la réponse de l’offre et de la demande aux variations de prix est toujours plus forte à mesure que le temps passe.
C’est aussi l’occasion de décrire les rôles respectifs de la spéculation et de l’inflation dans la situation actuelle.
Ensuite, il s’agit de rappeler que l’intervention de l’Etat ne peut qu’accroître l’incertitude et la rareté. En particulier, les variations de prix qu’on observe aujourd’hui sont dues au fait qu’une grande partie du pétrole est volée par les hommes de divers états.
Enfin, que l’énergie est toujours produite, jamais gratuite, qu’il n’y a pas de richesses naturelles.

→ Peter Huber et Mark Mills : “Du pétrole ? Il y en a partout !”
Carburants et combustibles : l’UDC demande une baisse des impôts et des taxes
Frédéric Bastiat : “Justice et fraternité”
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Voleurs de pauvres143080522-voleurs_de_pauvres.mp3http://lumiere101.com/2008/05/22/voleurs-de-pauvres/http://lumiere101.com/2008/05/22/voleurs-de-pauvres/#commentsThu, 22 May 2008 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2008/05/22/voleurs-de-pauvres/Il s’agit de tordre le cou à un mensonge démagogique essentiel de la pseudo-démocratie socialiste comme quoi les pauvres seraient voués à la précarité en l’absence de redistribution politique.
En réalité, la redistribution politique ou spoliation légale, c’est par définition le pillage esclavagiste des faibles par les puissants : en tant que tel ce pillage ne profite à personne et les pauvres ont bien plus de chances d’en souffrir que d’en bénéficier.

C’est pourquoi François Guillaumat commence par l’énumération d’une demi-douzaine de politiques dont l’opinion croit qu’elles volent les riches au profit des pauvres alors qu’en fait ce sont des pauvres qu’elles volent, pour donner à des riches le butin de ce vol, sans aucun profit pour personne. C’est une occasion d’illustrer à quel point l’illusion fiscale peut tromper l’opinion sur les effets réels de la redistribution politique.

Ensuite, il s’agit de montrer que la protection sociale accroît la précarité au lieu de la diminuer : parce qu’elle vole et que par définition c’est aux plus faibles qu’elle s’en prend, parce qu’elle appauvrit tout le monde alors que la première précarité naît de la pauvreté, parce qu’elle détruit de plus en plus, et de ce fait, forcément, disparaîtra.

Alors, cette disparition, avec les catastrophes personnelles qu’elle va engendrer, illustrera l’absolue précarité dans laquelle la prétendue protection sociale vise à maintenir les gens, en les rendant dépendants de ses monopoles. Et elle révélera l’immense risque politique, caché au plus grand nombre (malgré ses reniements à répétition), que celle-ci a toujours porté.

Et ce sera une nouvelle illustration du fait que la spoliation légale, parce qu’elle viole les Droits de propriété, ne fait que surajouter une incertitude politique, incomparablement plus grande, à l’incertitude sociale qui naît naturellement de la liberté et de l’inventivité d’autrui.
Et que c’est dans le capitalisme de laissez-faire, où par définition personne ne vole personne, que la précarité est aussi faible que possible.

Vilfredo Pareto : Cours d’économie politique
Frédéric Bastiat : “Physiologie de la spoliation”
David Ricardo : Des Principes de l’économie politique et de l’impôt
François Guillaumat : “Voleurs de pauvres”
Georges Lane : “Le risque de sécurité sociale” dans : La sécurité sociale et comment s’en sortir
Bruno Leoni : La liberté et le Droit
Friedrich Hayek : Droit, législation et liberté
Ludwig von Mises : L’Action humaine (Human Action)

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Il s’agit de tordre le cou à un mensonge démagogique essentiel de la pseudo-démocratie socialiste comme quoi les pauvres seraient voués à la précarité en l’absence de redistribution politique.
En réalité, la redistribution politique ou spoliation légale, c’est par définition le pillage esclavagiste des faibles par les puissants : en tant que tel ce pillage ne profite à personne et les pauvres ont bien plus de chances d’en souffrir que d’en bénéficier.

C’est pourquoi François Guillaumat commence par l’énumération d’une demi-douzaine de politiques dont l’opinion croit qu’elles volent les riches au profit des pauvres alors qu’en fait ce sont des pauvres qu’elles volent, pour donner à des riches le butin de ce vol, sans aucun profit pour personne. C’est une occasion d’illustrer à quel point l’illusion fiscale peut tromper l’opinion sur les effets réels de la redistribution politique.

Ensuite, il s’agit de montrer que la protection sociale accroît la précarité au lieu de la diminuer : parce qu’elle vole et que par définition c’est aux plus faibles qu’elle s’en prend, parce qu’elle appauvrit tout le monde alors que la première précarité naît de la pauvreté, parce qu’elle détruit de plus en plus, et de ce fait, forcément, disparaîtra.

Alors, cette disparition, avec les catastrophes personnelles qu’elle va engendrer, illustrera l’absolue précarité dans laquelle la prétendue protection sociale vise à maintenir les gens, en les rendant dépendants de ses monopoles. Et elle révélera l’immense risque politique, caché au plus grand nombre (malgré ses reniements à répétition), que celle-ci a toujours porté.

Et ce sera une nouvelle illustration du fait que la spoliation légale, parce qu’elle viole les Droits de propriété, ne fait que surajouter une incertitude politique, incomparablement plus grande, à l’incertitude sociale qui naît naturellement de la liberté et de l’inventivité d’autrui.
Et que c’est dans le capitalisme de laissez-faire, où par définition personne ne vole personne, que la précarité est aussi faible que possible.

Vilfredo Pareto : Cours d’économie politique
Frédéric Bastiat : “Physiologie de la spoliation”
David Ricardo : Des Principes de l’économie politique et de l’impôt
François Guillaumat : “Voleurs de pauvres”
Georges Lane : “Le risque de sécurité sociale” dans : La sécurité sociale et comment s’en sortir
Bruno Leoni : La liberté et le Droit
Friedrich Hayek : Droit, législation et liberté
Ludwig von Mises : L’Action humaine (Human Action)

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http://lumiere101.com/2008/05/22/voleurs-de-pauvres//feed/42:02Il s’agit de tordre le cou à un mensonge démagogique essentiel de la pseudo-démocratie socialiste comme quoi les pauvres seraient voués à la précarité en l’absence de redistribution politique.
En réalité, la redistribution politique ou spoliation légale, c’est par définition le pillage esclavagiste des faibles par les puissants : en tant que tel ce pillage ne profite à personne et les pauvres ont bien plus de chances d’en souffrir que d’en bénéficier.

C’est pourquoi François Guillaumat commence par l’énumération d’une demi-douzaine de politiques dont l’opinion croit qu’elles volent les riches au profit des pauvres alors qu’en fait ce sont des pauvres qu’elles volent, pour donner à des riches le butin de ce vol, sans aucun profit pour personne. C’est une occasion d’illustrer à quel point l’illusion fiscale peut tromper l’opinion sur les effets réels de la redistribution politique.

Ensuite, il s’agit de montrer que la protection sociale accroît la précarité au lieu de la diminuer : parce qu’elle vole et que par définition c’est aux plus faibles qu’elle s’en prend, parce qu’elle appauvrit tout le monde alors que la première précarité naît de la pauvreté, parce qu’elle détruit de plus en plus, et de ce fait, forcément, disparaîtra.

Alors, cette disparition, avec les catastrophes personnelles qu’elle va engendrer, illustrera l’absolue précarité dans laquelle la prétendue protection sociale vise à maintenir les gens, en les rendant dépendants de ses monopoles. Et elle révélera l’immense risque politique, caché au plus grand nombre (malgré ses reniements à répétition), que celle-ci a toujours porté.

Et ce sera une nouvelle illustration du fait que la spoliation légale, parce qu’elle viole les Droits de propriété, ne fait que surajouter une incertitude politique, incomparablement plus grande, à l’incertitude sociale qui naît naturellement de la liberté et de l’inventivité d’autrui.
Et que c’est dans le capitalisme de laissez-faire, où par définition personne ne vole personne, que la précarité est aussi faible que possible.

Vilfredo Pareto : Cours d’économie politique
Frédéric Bastiat : “Physiologie de la spoliation”
David Ricardo : Des Principes de l’économie politique et de l’impôt
François Guillaumat : “Voleurs de pauvres”
Georges Lane : “Le risque de sécurité sociale” dans : La sécurité sociale et comment s’en sortir
Bruno Leoni : La liberté et le Droit
Friedrich Hayek : Droit, législation et liberté
Ludwig von Mises : L’Action humaine (Human Action)

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Il s’agit de tordre le cou à un mensonge démagogique essentiel de la pseudo-démocratie socialiste comme quoi les pauvres seraient voués à la précarité en l’absence de redistribution politique.
En réalité, la redistribution politique ou spoliation légale, c’est par définition le pillage esclavagiste des faibles par les puissants : en tant que tel ce pillage ne profite à personne et les pauvres ont bien plus de chances d’en souffrir que d’en bénéficier.

C’est pourquoi François Guillaumat commence par l’énumération d’une demi-douzaine de politiques dont l’opinion croit qu’elles volent les riches au profit des pauvres alors qu’en fait ce sont des pauvres qu’elles volent, pour donner à des riches le butin de ce vol, sans aucun profit pour personne. C’est une occasion d’illustrer à quel point l’illusion fiscale peut tromper l’opinion sur les effets réels de la redistribution politique.

Ensuite, il s’agit de montrer que la protection sociale accroît la précarité au lieu de la diminuer : parce qu’elle vole et que par définition c’est aux plus faibles qu’elle s’en prend, parce qu’elle appauvrit tout le monde alors que la première précarité naît de la pauvreté, parce qu’elle détruit de plus en plus, et de ce fait, forcément, disparaîtra.

Alors, cette disparition, avec les catastrophes personnelles qu’elle va engendrer, illustrera l’absolue précarité dans laquelle la prétendue protection sociale vise à maintenir les gens, en les rendant dépendants de ses monopoles. Et elle révélera l’immense risque politique, caché au plus grand nombre (malgré ses reniements à répétition), que celle-ci a toujours porté.

Et ce sera une nouvelle illustration du fait que la spoliation légale, parce qu’elle viole les Droits de propriété, ne fait que surajouter une incertitude politique, incomparablement plus grande, à l’incertitude sociale qui naît naturellement de la liberté et de l’inventivité d’autrui.
Et que c’est dans le capitalisme de laissez-faire, où par définition personne ne vole personne, que la précarité est aussi faible que possible.

Vilfredo Pareto : Cours d’économie politique
Frédéric Bastiat : “Physiologie de la spoliation”
David Ricardo : Des Principes de l’économie politique et de l’impôt
François Guillaumat : “Voleurs de pauvres”
Georges Lane : “Le risque de sécurité sociale” dans : La sécurité sociale et comment s’en sortir
Bruno Leoni : La liberté et le Droit
Friedrich Hayek : Droit, législation et liberté
Ludwig von Mises : L’Action humaine (Human Action)

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“Prouver statistiquement que deux et deux font cinq”142080513-prouver_statistiquement_que_deux_et_deux_font_cinq.mp3http://lumiere101.com/2008/05/13/prouver-statistiquement-que-deux-et-deux-font-cinq/http://lumiere101.com/2008/05/13/prouver-statistiquement-que-deux-et-deux-font-cinq/#commentsTue, 13 May 2008 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2008/05/13/prouver-statistiquement-que-deux-et-deux-font-cinq/Georges Lane et François Guillaumat examinent les sophismes historicistes en théorie sociale : ceux-ci invoquent de prétendues observations pour nier des vérités logiques de la théorie économique et de la philosophie politique .
Après avoir énuméré un certain nombre de ces vérités logiques pour l’édification de l’auditeur, ils examinent divers aspects du charlatanisme qui voudrait soi-disant réfuter celles-ci au nom d’une prétendue “expérience”.
Ils montrent enfin comment cette démarche compromet la compréhension de vérités bien établies, empêche d’en découvrir de nouvelles, et conduit à l’accumulation de doctrines absurdes auxquelles on a bien du mal à tordre le cou.

Maurice Allais : “Les multinationales et la doctrine libre-échangiste mondialiste”
Frédéric Bastiat : “Immense découverte!!!”
Alain Cotta, Inflation et croissance en France depuis 1962
Pascal Salin, La vérité sur la monnaie
Thomas Piketty, L’Economie des inégalités
François Guillaumat, “Voleurs de pauvres”
Leonard Peikoff, “La dichotomie analytique-synthétique”
Friedrich Hayek : The Counter-revolution of science

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Georges Lane et François Guillaumat examinent les sophismes historicistes en théorie sociale : ceux-ci invoquent de prétendues observations pour nier des vérités logiques de la théorie économique et de la philosophie politique .
Après avoir énuméré un certain nombre de ces vérités logiques pour l’édification de l’auditeur, ils examinent divers aspects du charlatanisme qui voudrait soi-disant réfuter celles-ci au nom d’une prétendue “expérience”.
Ils montrent enfin comment cette démarche compromet la compréhension de vérités bien établies, empêche d’en découvrir de nouvelles, et conduit à l’accumulation de doctrines absurdes auxquelles on a bien du mal à tordre le cou.

Maurice Allais : “Les multinationales et la doctrine libre-échangiste mondialiste”
Frédéric Bastiat : “Immense découverte!!!”
Alain Cotta, Inflation et croissance en France depuis 1962
Pascal Salin, La vérité sur la monnaie
Thomas Piketty, L’Economie des inégalités
François Guillaumat, “Voleurs de pauvres”
Leonard Peikoff, “La dichotomie analytique-synthétique”
Friedrich Hayek : The Counter-revolution of science

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http://lumiere101.com/2008/05/13/prouver-statistiquement-que-deux-et-deux-font-cinq//feed/01:16:31Georges Lane et François Guillaumat examinent les sophismes historicistes en théorie sociale : ceux-ci invoquent de prétendues observations pour nier des vérités logiques de la théorie économique et de la philosophie politique .
Après avoir énuméré un certain nombre de ces vérités logiques pour l’édification de l’auditeur, ils examinent divers aspects du charlatanisme qui voudrait soi-disant réfuter celles-ci au nom d’une prétendue “expérience”.
Ils montrent enfin comment cette démarche compromet la compréhension de vérités bien établies, empêche d’en découvrir de nouvelles, et conduit à l’accumulation de doctrines absurdes auxquelles on a bien du mal à tordre le cou.

Maurice Allais : “Les multinationales et la doctrine libre-échangiste mondialiste”
Frédéric Bastiat : “Immense découverte!!!”
Alain Cotta, Inflation et croissance en France depuis 1962
Pascal Salin, La vérité sur la monnaie
Thomas Piketty, L’Economie des inégalités
François Guillaumat, “Voleurs de pauvres”
Leonard Peikoff, “La dichotomie analytique-synthétique”
Friedrich Hayek : The Counter-revolution of science

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Georges Lane et François Guillaumat examinent les sophismes historicistes en théorie sociale : ceux-ci invoquent de prétendues observations pour nier des vérités logiques de la théorie économique et de la philosophie politique .
Après avoir énuméré un certain nombre de ces vérités logiques pour l’édification de l’auditeur, ils examinent divers aspects du charlatanisme qui voudrait soi-disant réfuter celles-ci au nom d’une prétendue “expérience”.
Ils montrent enfin comment cette démarche compromet la compréhension de vérités bien établies, empêche d’en découvrir de nouvelles, et conduit à l’accumulation de doctrines absurdes auxquelles on a bien du mal à tordre le cou.

Maurice Allais : “Les multinationales et la doctrine libre-échangiste mondialiste”
Frédéric Bastiat : “Immense découverte!!!”
Alain Cotta, Inflation et croissance en France depuis 1962
Pascal Salin, La vérité sur la monnaie
Thomas Piketty, L’Economie des inégalités
François Guillaumat, “Voleurs de pauvres”
Leonard Peikoff, “La dichotomie analytique-synthétique”
Friedrich Hayek : The Counter-revolution of science

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Un couac gouvernemental méconnu141080502-un_couac_gouvernemental_meconnu.mp3http://lumiere101.com/2008/05/02/un-couac-gouvernemental-meconnu/http://lumiere101.com/2008/05/02/un-couac-gouvernemental-meconnu/#commentsFri, 02 May 2008 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2008/05/02/un-couac-gouvernemental-meconnu/Georges Lane et François Guillaumat constatent que, alors que le ministère de l’économie prétend “amplifier la concurrence”, pour sa part le ministère du travail aggrave la violence que le monopole communiste de la sécurité sociale inflige aux salariés sous prétexte de préserver “leur” système de retraites.

Le gouvernement continue à tirer à hue et à dia, cette fois-ci parce qu’il ne veut reconnaître l’absurdité de la pensée magique qui inspire le monopole communiste.

Heureusement, on a l’expérience de ministres, en Estonie et en Nouvelle-Zélande, qui ont pu rapidement “amplifier la concurrence” en abolissant les privilèges, parce que leur électorat avait compris l’absurdité d’un système où tout le monde vole tout le monde avec pour seul effet de rendre vains les efforts de tous.

Frédéric Bastiat : “La concurrence”, ch. 10 des Harmonies économiques
Jacques Garello : “Les affameurs”, La nouvelle lettre, 19 avril 2008
Guy Millière : “L’écologisme des riches tue les pauvres”, Les 4 Vérités, 23 avril 2008.
Liberpédia : “La Loi de Bitur-Camember”
Lire la transcription de cette émission

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Georges Lane et François Guillaumat constatent que, alors que le ministère de l’économie prétend “amplifier la concurrence”, pour sa part le ministère du travail aggrave la violence que le monopole communiste de la sécurité sociale inflige aux salariés sous prétexte de préserver “leur” système de retraites.

Le gouvernement continue à tirer à hue et à dia, cette fois-ci parce qu’il ne veut reconnaître l’absurdité de la pensée magique qui inspire le monopole communiste.

Heureusement, on a l’expérience de ministres, en Estonie et en Nouvelle-Zélande, qui ont pu rapidement “amplifier la concurrence” en abolissant les privilèges, parce que leur électorat avait compris l’absurdité d’un système où tout le monde vole tout le monde avec pour seul effet de rendre vains les efforts de tous.

Frédéric Bastiat : “La concurrence”, ch. 10 des Harmonies économiques
Jacques Garello : “Les affameurs”, La nouvelle lettre, 19 avril 2008
Guy Millière : “L’écologisme des riches tue les pauvres”, Les 4 Vérités, 23 avril 2008.
Liberpédia : “La Loi de Bitur-Camember”
Lire la transcription de cette émission

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http://lumiere101.com/2008/05/02/un-couac-gouvernemental-meconnu//feed/42:11Georges Lane et François Guillaumat constatent que, alors que le ministère de l’économie prétend “amplifier la concurrence”, pour sa part le ministère du travail aggrave la violence que le monopole communiste de la sécurité sociale inflige aux salariés sous prétexte de préserver “leur” système de retraites.

Le gouvernement continue à tirer à hue et à dia, cette fois-ci parce qu’il ne veut reconnaître l’absurdité de la pensée magique qui inspire le monopole communiste.

Heureusement, on a l’expérience de ministres, en Estonie et en Nouvelle-Zélande, qui ont pu rapidement “amplifier la concurrence” en abolissant les privilèges, parce que leur électorat avait compris l’absurdité d’un système où tout le monde vole tout le monde avec pour seul effet de rendre vains les efforts de tous.

Frédéric Bastiat : “La concurrence”, ch. 10 des Harmonies économiques
Jacques Garello : “Les affameurs”, La nouvelle lettre, 19 avril 2008
Guy Millière : “L’écologisme des riches tue les pauvres”, Les 4 Vérités, 23 avril 2008.
Liberpédia : “La Loi de Bitur-Camember”
Lire la transcription de cette émission

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Georges Lane et François Guillaumat constatent que, alors que le ministère de l’économie prétend “amplifier la concurrence”, pour sa part le ministère du travail aggrave la violence que le monopole communiste de la sécurité sociale inflige aux salariés sous prétexte de préserver “leur” système de retraites.

Le gouvernement continue à tirer à hue et à dia, cette fois-ci parce qu’il ne veut reconnaître l’absurdité de la pensée magique qui inspire le monopole communiste.

Heureusement, on a l’expérience de ministres, en Estonie et en Nouvelle-Zélande, qui ont pu rapidement “amplifier la concurrence” en abolissant les privilèges, parce que leur électorat avait compris l’absurdité d’un système où tout le monde vole tout le monde avec pour seul effet de rendre vains les efforts de tous.

Frédéric Bastiat : “La concurrence”, ch. 10 des Harmonies économiques
Jacques Garello : “Les affameurs”, La nouvelle lettre, 19 avril 2008
Guy Millière : “L’écologisme des riches tue les pauvres”, Les 4 Vérités, 23 avril 2008.
Liberpédia : “La Loi de Bitur-Camember”
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Pourquoi tant de physiciens se prennent pour des économistes?140080429-pourquoi_tant_de_physiciens_se_prennent_pour_des_economistes.mp3http://lumiere101.com/2008/04/29/pourquoi-tant-de-physiciens-se-prennent-pour-des-economistes/http://lumiere101.com/2008/04/29/pourquoi-tant-de-physiciens-se-prennent-pour-des-economistes/#commentsTue, 29 Apr 2008 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2008/04/29/pourquoi-tant-de-physiciens-se-prennent-pour-des-economistes/François Guillaumat et Georges Lane se demandent successivement pourquoi il y a tant d’ignorants qui croient avoir quelque chose à dire en économie, pourquoi il y a tant de physiciens qui ne se sentent pas ridicules quand ils sortent de leur domaine de compétence, et s’il y a dans la science économique des aspects qui pourraient donner à croire aux physiciens qu’ils seraient a priori formés pour y raisonner.

Friedrich Hayek : The Counter-Revolution of Science
Ayn Rand : Introduction to Objectivist Epistemology
Nathaniel Branden : “Le vol de concepts”
Hans-Hermann Hoppe : “Le Rationalisme Autrichien À L’ère Du Déclin Du
François Lurçat : De la science à l’ignorance

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François Guillaumat et Georges Lane se demandent successivement pourquoi il y a tant d’ignorants qui croient avoir quelque chose à dire en économie, pourquoi il y a tant de physiciens qui ne se sentent pas ridicules quand ils sortent de leur domaine de compétence, et s’il y a dans la science économique des aspects qui pourraient donner à croire aux physiciens qu’ils seraient a priori formés pour y raisonner.

Friedrich Hayek : The Counter-Revolution of Science
Ayn Rand : Introduction to Objectivist Epistemology
Nathaniel Branden : “Le vol de concepts”
Hans-Hermann Hoppe : “Le Rationalisme Autrichien À L’ère Du Déclin Du
François Lurçat : De la science à l’ignorance

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http://lumiere101.com/2008/04/29/pourquoi-tant-de-physiciens-se-prennent-pour-des-economistes//feed/50:18François Guillaumat et Georges Lane se demandent successivement pourquoi il y a tant d’ignorants qui croient avoir quelque chose à dire en économie, pourquoi il y a tant de physiciens qui ne se sentent pas ridicules quand ils sortent de leur domaine de compétence, et s’il y a dans la science économique des aspects qui pourraient donner à croire aux physiciens qu’ils seraient a priori formés pour y raisonner.

Friedrich Hayek : The Counter-Revolution of Science
Ayn Rand : Introduction to Objectivist Epistemology
Nathaniel Branden : “Le vol de concepts”
Hans-Hermann Hoppe : “Le Rationalisme Autrichien À L’ère Du Déclin Du
François Lurçat : De la science à l’ignorance

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François Guillaumat et Georges Lane se demandent successivement pourquoi il y a tant d’ignorants qui croient avoir quelque chose à dire en économie, pourquoi il y a tant de physiciens qui ne se sentent pas ridicules quand ils sortent de leur domaine de compétence, et s’il y a dans la science économique des aspects qui pourraient donner à croire aux physiciens qu’ils seraient a priori formés pour y raisonner.

Friedrich Hayek : The Counter-Revolution of Science
Ayn Rand : Introduction to Objectivist Epistemology
Nathaniel Branden : “Le vol de concepts”
Hans-Hermann Hoppe : “Le Rationalisme Autrichien À L’ère Du Déclin Du
François Lurçat : De la science à l’ignorance

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Quelques ouvrages de Georges Lane139080415-quelques_ouvrages_de_georges_lane.mp3http://lumiere101.com/2008/04/15/quelques-livres-de-georges-lane/http://lumiere101.com/2008/04/15/quelques-livres-de-georges-lane/#commentsTue, 15 Apr 2008 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2008/04/15/quelques-livres-de-georges-lane/François Guillaumat interroge Georges Lane sur les dernières publications des Editions du Trident auxquelles celui-ci a participé.

Les Harmonies économiques de Frédéric Bastiat mettent en forme ses conceptions de la causalité et de l’organisation sociale. Les Harmonies sociales-spoliations et dissonances constituent le dernier état de sa pensée.

La Sécurité Sociale et comment s’en sortir de Georges Lane est le livre que tout le monde doit avoir lu pour comprendre non seulement comment elle est organisée, mais aussi pourquoi elle ne peut pas être régulée, et disparaîtra forcément.

Le péril socialiste : étatisme et protectionnisme de Vilfredo Pareto sera un recueil d’articles de la période 1887-1901, qui peut servir à réfuter les sophismes socialistes d’aujourd’hui presque autant qu’à l’époque.

Murray Rothbard : Economistes et charlatans

Ayn Rand : Atlas Shrugged

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François Guillaumat interroge Georges Lane sur les dernières publications des Editions du Trident auxquelles celui-ci a participé.

Les Harmonies économiques de Frédéric Bastiat mettent en forme ses conceptions de la causalité et de l’organisation sociale. Les Harmonies sociales-spoliations et dissonances constituent le dernier état de sa pensée.

La Sécurité Sociale et comment s’en sortir de Georges Lane est le livre que tout le monde doit avoir lu pour comprendre non seulement comment elle est organisée, mais aussi pourquoi elle ne peut pas être régulée, et disparaîtra forcément.

Le péril socialiste : étatisme et protectionnisme de Vilfredo Pareto sera un recueil d’articles de la période 1887-1901, qui peut servir à réfuter les sophismes socialistes d’aujourd’hui presque autant qu’à l’époque.

Murray Rothbard : Economistes et charlatans

Ayn Rand : Atlas Shrugged

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http://lumiere101.com/2008/04/15/quelques-livres-de-georges-lane//feed/01:02:40François Guillaumat interroge Georges Lane sur les dernières publications des Editions du Trident auxquelles celui-ci a participé.

Les Harmonies économiques de Frédéric Bastiat mettent en forme ses conceptions de la causalité et de l’organisation sociale. Les Harmonies sociales-spoliations et dissonances constituent le dernier état de sa pensée.

La Sécurité Sociale et comment s’en sortir de Georges Lane est le livre que tout le monde doit avoir lu pour comprendre non seulement comment elle est organisée, mais aussi pourquoi elle ne peut pas être régulée, et disparaîtra forcément.

Le péril socialiste : étatisme et protectionnisme de Vilfredo Pareto sera un recueil d’articles de la période 1887-1901, qui peut servir à réfuter les sophismes socialistes d’aujourd’hui presque autant qu’à l’époque.

Murray Rothbard : Economistes et charlatans

Ayn Rand : Atlas Shrugged

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François Guillaumat interroge Georges Lane sur les dernières publications des Editions du Trident auxquelles celui-ci a participé.

Les Harmonies économiques de Frédéric Bastiat mettent en forme ses conceptions de la causalité et de l’organisation sociale. Les Harmonies sociales-spoliations et dissonances constituent le dernier état de sa pensée.

La Sécurité Sociale et comment s’en sortir de Georges Lane est le livre que tout le monde doit avoir lu pour comprendre non seulement comment elle est organisée, mais aussi pourquoi elle ne peut pas être régulée, et disparaîtra forcément.

Le péril socialiste : étatisme et protectionnisme de Vilfredo Pareto sera un recueil d’articles de la période 1887-1901, qui peut servir à réfuter les sophismes socialistes d’aujourd’hui presque autant qu’à l’époque.

Murray Rothbard : Economistes et charlatans

Ayn Rand : Atlas Shrugged

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Les Droits de l’homme et leur vampirisation par le socialisme138080408-les_droits_de_l_homme_et_leur_vampirisation_par_le_socialisme.mp3http://lumiere101.com/2008/04/08/les-droits-de-lhomme-et-leur-vampirisation-par-le-socialisme/http://lumiere101.com/2008/04/08/les-droits-de-lhomme-et-leur-vampirisation-par-le-socialisme/#commentsTue, 08 Apr 2008 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2008/04/08/les-droits-de-lhomme-et-leur-vampirisation-par-le-socialisme/ Georges Lane et François Guillaumat font remarquer qu’une bonne partie des soi-disant manifestants “pour les Droits de l’homme” en sont eux-mêmes des ennemis acharnés, quand l’”homme” en question n’est pas exogène ou abstrait.
La perversion spécifique de leur démarche consiste en ce que c’est soi-disant au nom des Droits de l’homme qu’ils les détruisent, ces Droits. Car le socialisme pseudo-démocratique en a fait des anti-concepts au sens de Ayn Rand, des mots qui ne servent plus la pensée en désignant des choses identifiables, mais la rendent impossible en désignant n’importe quoi, dont à la fois une chose et son contraire.
La vampirisation des Droits de l’homme consiste à présenter comme autant de ces “droits” des pétitions de principe esclavagistes, ce que sont les prétendus “droits à”, ou “droits sociaux”.
Et elle en fait des zombis quand elle oppose faussement la notion de “Droits de l’homme”, non plus aux hommes de l’état, ce qu’ils sont là pour faire, mais à la libre disposition d’eux-mêmes et de leurs propriétés par les citoyens: ce qui fournit auxdits hommes de l’état un prétexte pour commettre la violation même des Droits de l’homme qu’à cette occasion ils reprochent soi-disant aux citoyens ordinaires.

→ Murray Rothbard : L’éthique de la liberté
John Locke : Traité du gouvernement civil
Hans-Hermann Hoppe : “De la théorie économique du laissez-faire à la politique du libéralisme”
Ayn Rand : “Les Droits de l’homme”
Frédéric Bastiat : “La loi”
François Lefort : La France et son Droit

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Georges Lane et François Guillaumat font remarquer qu’une bonne partie des soi-disant manifestants “pour les Droits de l’homme” en sont eux-mêmes des ennemis acharnés, quand l’”homme” en question n’est pas exogène ou abstrait.
La perversion spécifique de leur démarche consiste en ce que c’est soi-disant au nom des Droits de l’homme qu’ils les détruisent, ces Droits. Car le socialisme pseudo-démocratique en a fait des anti-concepts au sens de Ayn Rand, des mots qui ne servent plus la pensée en désignant des choses identifiables, mais la rendent impossible en désignant n’importe quoi, dont à la fois une chose et son contraire.
La vampirisation des Droits de l’homme consiste à présenter comme autant de ces “droits” des pétitions de principe esclavagistes, ce que sont les prétendus “droits à”, ou “droits sociaux”.
Et elle en fait des zombis quand elle oppose faussement la notion de “Droits de l’homme”, non plus aux hommes de l’état, ce qu’ils sont là pour faire, mais à la libre disposition d’eux-mêmes et de leurs propriétés par les citoyens: ce qui fournit auxdits hommes de l’état un prétexte pour commettre la violation même des Droits de l’homme qu’à cette occasion ils reprochent soi-disant aux citoyens ordinaires.

→ Murray Rothbard : L’éthique de la liberté
John Locke : Traité du gouvernement civil
Hans-Hermann Hoppe : “De la théorie économique du laissez-faire à la politique du libéralisme”
Ayn Rand : “Les Droits de l’homme”
Frédéric Bastiat : “La loi”
François Lefort : La France et son Droit

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http://lumiere101.com/2008/04/08/les-droits-de-lhomme-et-leur-vampirisation-par-le-socialisme//feed/49:04 Georges Lane et François Guillaumat font remarquer qu’une bonne partie des soi-disant manifestants “pour les Droits de l’homme” en sont eux-mêmes des ennemis acharnés, quand l’”homme” en question n’est pas exogène ou abstrait.
La perversion spécifique de leur démarche consiste en ce que c’est soi-disant au nom des Droits de l’homme qu’ils les détruisent, ces Droits. Car le socialisme pseudo-démocratique en a fait des anti-concepts au sens de Ayn Rand, des mots qui ne servent plus la pensée en désignant des choses identifiables, mais la rendent impossible en désignant n’importe quoi, dont à la fois une chose et son contraire.
La vampirisation des Droits de l’homme consiste à présenter comme autant de ces “droits” des pétitions de principe esclavagistes, ce que sont les prétendus “droits à”, ou “droits sociaux”.
Et elle en fait des zombis quand elle oppose faussement la notion de “Droits de l’homme”, non plus aux hommes de l’état, ce qu’ils sont là pour faire, mais à la libre disposition d’eux-mêmes et de leurs propriétés par les citoyens: ce qui fournit auxdits hommes de l’état un prétexte pour commettre la violation même des Droits de l’homme qu’à cette occasion ils reprochent soi-disant aux citoyens ordinaires.

→ Murray Rothbard : L’éthique de la liberté
John Locke : Traité du gouvernement civil
Hans-Hermann Hoppe : “De la théorie économique du laissez-faire à la politique du libéralisme”
Ayn Rand : “Les Droits de l’homme”
Frédéric Bastiat : “La loi”
François Lefort : La France et son Droit

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Georges Lane et François Guillaumat font remarquer qu’une bonne partie des soi-disant manifestants “pour les Droits de l’homme” en sont eux-mêmes des ennemis acharnés, quand l’”homme” en question n’est pas exogène ou abstrait.
La perversion spécifique de leur démarche consiste en ce que c’est soi-disant au nom des Droits de l’homme qu’ils les détruisent, ces Droits. Car le socialisme pseudo-démocratique en a fait des anti-concepts au sens de Ayn Rand, des mots qui ne servent plus la pensée en désignant des choses identifiables, mais la rendent impossible en désignant n’importe quoi, dont à la fois une chose et son contraire.
La vampirisation des Droits de l’homme consiste à présenter comme autant de ces “droits” des pétitions de principe esclavagistes, ce que sont les prétendus “droits à”, ou “droits sociaux”.
Et elle en fait des zombis quand elle oppose faussement la notion de “Droits de l’homme”, non plus aux hommes de l’état, ce qu’ils sont là pour faire, mais à la libre disposition d’eux-mêmes et de leurs propriétés par les citoyens: ce qui fournit auxdits hommes de l’état un prétexte pour commettre la violation même des Droits de l’homme qu’à cette occasion ils reprochent soi-disant aux citoyens ordinaires.

→ Murray Rothbard : L’éthique de la liberté
John Locke : Traité du gouvernement civil
Hans-Hermann Hoppe : “De la théorie économique du laissez-faire à la politique du libéralisme”
Ayn Rand : “Les Droits de l’homme”
Frédéric Bastiat : “La loi”
François Lefort : La France et son Droit

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Lumière 101noNo
La Micropolitique137080401-la_micropolitique.mp3http://lumiere101.com/2008/04/01/la-micropolitique/http://lumiere101.com/2008/04/01/la-micropolitique/#commentsTue, 01 Apr 2008 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2008/04/01/la-micropolitique/François Guillaumat et Georges Lane présentent La Micropolitique, livre de Madsen Pirie paru il y a 20 ans, qui montre qu’une approche différente de la réforme politique permet de neutraliser l’opposition à la restauration de la responsabilité et de la liberté personnelles.
L’auteur est parti de ce constat, fait par les théoriciens des choix publics, que les institutions soi-disant représentatives trahissent les intérêts de la population qu’elles sont censées servir. Alors que la redistribution politique se développe et détruit toujours plus de richesse sans aucun profit pour personne, la politique semble ne plus disposer d’aucune institution qui permette de l’en empêcher.
Le génie de Madsen Pirie aura consisté à retourner les procédés de la démagogie politique contre elle-même, en inventant les principes qui permettent d’en définir une qui aille dans le bon sens : en constituant des coalitions d’intérêts irrésistibles vouées à ce qu’il y ait moins de vol, moins d’irresponsabilité, moins de destruction en pure perte.

Madsen Pirie : La Micropolitique
François Guillaumat et Georges Lane : “La loi de Bitur-Camember”
François Guillaumat avec Pascal Dray : L’Illusion fiscale
David Ricardo : Principes de l’économie politique et de l’impôt
Anthony de Jasay : L’Etat (The State)

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François Guillaumat et Georges Lane présentent La Micropolitique, livre de Madsen Pirie paru il y a 20 ans, qui montre qu’une approche différente de la réforme politique permet de neutraliser l’opposition à la restauration de la responsabilité et de la liberté personnelles.
L’auteur est parti de ce constat, fait par les théoriciens des choix publics, que les institutions soi-disant représentatives trahissent les intérêts de la population qu’elles sont censées servir. Alors que la redistribution politique se développe et détruit toujours plus de richesse sans aucun profit pour personne, la politique semble ne plus disposer d’aucune institution qui permette de l’en empêcher.
Le génie de Madsen Pirie aura consisté à retourner les procédés de la démagogie politique contre elle-même, en inventant les principes qui permettent d’en définir une qui aille dans le bon sens : en constituant des coalitions d’intérêts irrésistibles vouées à ce qu’il y ait moins de vol, moins d’irresponsabilité, moins de destruction en pure perte.

Madsen Pirie : La Micropolitique
François Guillaumat et Georges Lane : “La loi de Bitur-Camember”
François Guillaumat avec Pascal Dray : L’Illusion fiscale
David Ricardo : Principes de l’économie politique et de l’impôt
Anthony de Jasay : L’Etat (The State)

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http://lumiere101.com/2008/04/01/la-micropolitique//feed/57:11François Guillaumat et Georges Lane présentent La Micropolitique, livre de Madsen Pirie paru il y a 20 ans, qui montre qu’une approche différente de la réforme politique permet de neutraliser l’opposition à la restauration de la responsabilité et de la liberté personnelles.
L’auteur est parti de ce constat, fait par les théoriciens des choix publics, que les institutions soi-disant représentatives trahissent les intérêts de la population qu’elles sont censées servir. Alors que la redistribution politique se développe et détruit toujours plus de richesse sans aucun profit pour personne, la politique semble ne plus disposer d’aucune institution qui permette de l’en empêcher.
Le génie de Madsen Pirie aura consisté à retourner les procédés de la démagogie politique contre elle-même, en inventant les principes qui permettent d’en définir une qui aille dans le bon sens : en constituant des coalitions d’intérêts irrésistibles vouées à ce qu’il y ait moins de vol, moins d’irresponsabilité, moins de destruction en pure perte.

Madsen Pirie : La Micropolitique
François Guillaumat et Georges Lane : “La loi de Bitur-Camember”
François Guillaumat avec Pascal Dray : L’Illusion fiscale
David Ricardo : Principes de l’économie politique et de l’impôt
Anthony de Jasay : L’Etat (The State)

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François Guillaumat et Georges Lane présentent La Micropolitique, livre de Madsen Pirie paru il y a 20 ans, qui montre qu’une approche différente de la réforme politique permet de neutraliser l’opposition à la restauration de la responsabilité et de la liberté personnelles.
L’auteur est parti de ce constat, fait par les théoriciens des choix publics, que les institutions soi-disant représentatives trahissent les intérêts de la population qu’elles sont censées servir. Alors que la redistribution politique se développe et détruit toujours plus de richesse sans aucun profit pour personne, la politique semble ne plus disposer d’aucune institution qui permette de l’en empêcher.
Le génie de Madsen Pirie aura consisté à retourner les procédés de la démagogie politique contre elle-même, en inventant les principes qui permettent d’en définir une qui aille dans le bon sens : en constituant des coalitions d’intérêts irrésistibles vouées à ce qu’il y ait moins de vol, moins d’irresponsabilité, moins de destruction en pure perte.

Madsen Pirie : La Micropolitique
François Guillaumat et Georges Lane : “La loi de Bitur-Camember”
François Guillaumat avec Pascal Dray : L’Illusion fiscale
David Ricardo : Principes de l’économie politique et de l’impôt
Anthony de Jasay : L’Etat (The State)

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Lumière 101noNo
Le pseudo-conservatisme136080326-le_pseudo-conservatisme.mp3http://lumiere101.com/2008/03/27/le-pseudo-conservatisme/http://lumiere101.com/2008/03/27/le-pseudo-conservatisme/#commentsWed, 26 Mar 2008 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2008/03/27/le-pseudo-conservatisme/Etant donné que le conservatisme se définit a priori comme un refus du changement, François Guillaumat examine avec Georges Lane à quelles conditions ce refus-là peut se traduire par des principes politiques.
Ayant d’abord fait remarquer qu’il est beaucoup plus efficace de critiquer l’immigrationnisme au nom de la démocratie et des Droits de l’homme qu’au nom de l’”identité”, ils distinguent les changements institutionnels qui sont légitimes voire inéluctables, de ceux qu’il faudrait justement interdire par la force.
Ils font ensuite remarquer que le protectionnisme est un exemple de ces innovations institutionnelles injustifiées : celui-ci est naturellement subversif de l’ordre juridique, et ne se distingue en rien du socialisme, dont il n’est qu’un des aspects.
L’émission s’achève sur l’examen de quelques erreurs caractéristiques du pseudo-conservatisme tel qu’on peut l’observer dans le contexte français.

Hans-Hermann Hoppe :” De la théorie économique du laissez-faire à la politique du libéralisme”
Friedrich Hayek : Scientisme et sciences sociales
Vilfredo Pareto : Cours d’économie politique
Ayn Rand : La vertu d’égoïsme
Margaret Thatcher : “The New Conservatism”

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Etant donné que le conservatisme se définit a priori comme un refus du changement, François Guillaumat examine avec Georges Lane à quelles conditions ce refus-là peut se traduire par des principes politiques.
Ayant d’abord fait remarquer qu’il est beaucoup plus efficace de critiquer l’immigrationnisme au nom de la démocratie et des Droits de l’homme qu’au nom de l’”identité”, ils distinguent les changements institutionnels qui sont légitimes voire inéluctables, de ceux qu’il faudrait justement interdire par la force.
Ils font ensuite remarquer que le protectionnisme est un exemple de ces innovations institutionnelles injustifiées : celui-ci est naturellement subversif de l’ordre juridique, et ne se distingue en rien du socialisme, dont il n’est qu’un des aspects.
L’émission s’achève sur l’examen de quelques erreurs caractéristiques du pseudo-conservatisme tel qu’on peut l’observer dans le contexte français.

Hans-Hermann Hoppe :” De la théorie économique du laissez-faire à la politique du libéralisme”
Friedrich Hayek : Scientisme et sciences sociales
Vilfredo Pareto : Cours d’économie politique
Ayn Rand : La vertu d’égoïsme
Margaret Thatcher : “The New Conservatism”

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http://lumiere101.com/2008/03/27/le-pseudo-conservatisme//feed/56:40Etant donné que le conservatisme se définit a priori comme un refus du changement, François Guillaumat examine avec Georges Lane à quelles conditions ce refus-là peut se traduire par des principes politiques.
Ayant d’abord fait remarquer qu’il est beaucoup plus efficace de critiquer l’immigrationnisme au nom de la démocratie et des Droits de l’homme qu’au nom de l’”identité”, ils distinguent les changements institutionnels qui sont légitimes voire inéluctables, de ceux qu’il faudrait justement interdire par la force.
Ils font ensuite remarquer que le protectionnisme est un exemple de ces innovations institutionnelles injustifiées : celui-ci est naturellement subversif de l’ordre juridique, et ne se distingue en rien du socialisme, dont il n’est qu’un des aspects.
L’émission s’achève sur l’examen de quelques erreurs caractéristiques du pseudo-conservatisme tel qu’on peut l’observer dans le contexte français.

Hans-Hermann Hoppe :” De la théorie économique du laissez-faire à la politique du libéralisme”
Friedrich Hayek : Scientisme et sciences sociales
Vilfredo Pareto : Cours d’économie politique
Ayn Rand : La vertu d’égoïsme
Margaret Thatcher : “The New Conservatism”

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Etant donné que le conservatisme se définit a priori comme un refus du changement, François Guillaumat examine avec Georges Lane à quelles conditions ce refus-là peut se traduire par des principes politiques.
Ayant d’abord fait remarquer qu’il est beaucoup plus efficace de critiquer l’immigrationnisme au nom de la démocratie et des Droits de l’homme qu’au nom de l’”identité”, ils distinguent les changements institutionnels qui sont légitimes voire inéluctables, de ceux qu’il faudrait justement interdire par la force.
Ils font ensuite remarquer que le protectionnisme est un exemple de ces innovations institutionnelles injustifiées : celui-ci est naturellement subversif de l’ordre juridique, et ne se distingue en rien du socialisme, dont il n’est qu’un des aspects.
L’émission s’achève sur l’examen de quelques erreurs caractéristiques du pseudo-conservatisme tel qu’on peut l’observer dans le contexte français.

Hans-Hermann Hoppe :” De la théorie économique du laissez-faire à la politique du libéralisme”
Friedrich Hayek : Scientisme et sciences sociales
Vilfredo Pareto : Cours d’économie politique
Ayn Rand : La vertu d’égoïsme
Margaret Thatcher : “The New Conservatism”

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Lumière 101noNo
Finance et science économique135080319-finance_et_science_economique.mp3http://lumiere101.com/2008/03/19/finance-et-science-economique/http://lumiere101.com/2008/03/19/finance-et-science-economique/#commentsWed, 19 Mar 2008 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2008/03/19/finance-et-science-economique/François Guillaumat interroge Georges Lane à propos des événements récents sur les marchés financiers. Dans quelle mesure les financiers connaissent-ils assez de théorie économique pour prendre en compte certains risques? Dans quelle mesure les économistes demeurent-ils assez conscients de ce que les financiers savent par leur vécu quotidien? Et à l’inverse, comment faire connaître aux professionnels de la finance les raisonnements que leur expérience seule ne leur permet pas de prendre en compte avant qu’il ne soit trop tard?

Harry Markowitz : “Portfolio Selection”, Journal of Finance, 1952

Charles Gide et Charles Rist, Histoire des doctrines économiques

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François Guillaumat interroge Georges Lane à propos des événements récents sur les marchés financiers. Dans quelle mesure les financiers connaissent-ils assez de théorie économique pour prendre en compte certains risques? Dans quelle mesure les économistes demeurent-ils assez conscients de ce que les financiers savent par leur vécu quotidien? Et à l’inverse, comment faire connaître aux professionnels de la finance les raisonnements que leur expérience seule ne leur permet pas de prendre en compte avant qu’il ne soit trop tard?

Harry Markowitz : “Portfolio Selection”, Journal of Finance, 1952

Charles Gide et Charles Rist, Histoire des doctrines économiques

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http://lumiere101.com/2008/03/19/finance-et-science-economique//feed/56:10François Guillaumat interroge Georges Lane à propos des événements récents sur les marchés financiers. Dans quelle mesure les financiers connaissent-ils assez de théorie économique pour prendre en compte certains risques? Dans quelle mesure les économistes demeurent-ils assez conscients de ce que les financiers savent par leur vécu quotidien? Et à l’inverse, comment faire connaître aux professionnels de la finance les raisonnements que leur expérience seule ne leur permet pas de prendre en compte avant qu’il ne soit trop tard?

Harry Markowitz : “Portfolio Selection”, Journal of Finance, 1952

Charles Gide et Charles Rist, Histoire des doctrines économiques

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François Guillaumat interroge Georges Lane à propos des événements récents sur les marchés financiers. Dans quelle mesure les financiers connaissent-ils assez de théorie économique pour prendre en compte certains risques? Dans quelle mesure les économistes demeurent-ils assez conscients de ce que les financiers savent par leur vécu quotidien? Et à l’inverse, comment faire connaître aux professionnels de la finance les raisonnements que leur expérience seule ne leur permet pas de prendre en compte avant qu’il ne soit trop tard?

Harry Markowitz : “Portfolio Selection”, Journal of Finance, 1952

Charles Gide et Charles Rist, Histoire des doctrines économiques

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Le Parti Révolutionnaire Institutionnel134080312-le_parti_revolutionnaire_institutionnel.mp3http://lumiere101.com/2008/03/12/le-parti-revolutionnaire-institutionnel/http://lumiere101.com/2008/03/12/le-parti-revolutionnaire-institutionnel/#commentsWed, 12 Mar 2008 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2008/03/12/le-parti-revolutionnaire-institutionnel/A voir de puissants oppresseurs, prendre des poses de contestataires et de rebelles, Georges Lane et François Guillaumat sont amenés à parler de Parti Révolutionnaire Institutionnel pour décrire la caste dirigeante de la pseudo-démocratie socialiste mûrissante.
Ce discours vise à démobiliser la caste exploitée, et à fournir de nouveaux prétextes pour l’opprimer; il n’en reflète pas moins aussi l’exaspération des utopistes au pouvoir face à une réalité qui expose sans cesse l’inanité de leurs lubies.
Enfin, il dissimule les tendances de plus en plus réactionnaires de cette caste installée.

Ann Coulter : Slander

Ludwig von Mises : Politique économique.

Ayn Rand : Atlas Shrugged

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A voir de puissants oppresseurs, prendre des poses de contestataires et de rebelles, Georges Lane et François Guillaumat sont amenés à parler de Parti Révolutionnaire Institutionnel pour décrire la caste dirigeante de la pseudo-démocratie socialiste mûrissante.
Ce discours vise à démobiliser la caste exploitée, et à fournir de nouveaux prétextes pour l’opprimer; il n’en reflète pas moins aussi l’exaspération des utopistes au pouvoir face à une réalité qui expose sans cesse l’inanité de leurs lubies.
Enfin, il dissimule les tendances de plus en plus réactionnaires de cette caste installée.

Ann Coulter : Slander

Ludwig von Mises : Politique économique.

Ayn Rand : Atlas Shrugged

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http://lumiere101.com/2008/03/12/le-parti-revolutionnaire-institutionnel//feed/53:20A voir de puissants oppresseurs, prendre des poses de contestataires et de rebelles, Georges Lane et François Guillaumat sont amenés à parler de Parti Révolutionnaire Institutionnel pour décrire la caste dirigeante de la pseudo-démocratie socialiste mûrissante.
Ce discours vise à démobiliser la caste exploitée, et à fournir de nouveaux prétextes pour l’opprimer; il n’en reflète pas moins aussi l’exaspération des utopistes au pouvoir face à une réalité qui expose sans cesse l’inanité de leurs lubies.
Enfin, il dissimule les tendances de plus en plus réactionnaires de cette caste installée.

Ann Coulter : Slander

Ludwig von Mises : Politique économique.

Ayn Rand : Atlas Shrugged

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A voir de puissants oppresseurs, prendre des poses de contestataires et de rebelles, Georges Lane et François Guillaumat sont amenés à parler de Parti Révolutionnaire Institutionnel pour décrire la caste dirigeante de la pseudo-démocratie socialiste mûrissante.
Ce discours vise à démobiliser la caste exploitée, et à fournir de nouveaux prétextes pour l’opprimer; il n’en reflète pas moins aussi l’exaspération des utopistes au pouvoir face à une réalité qui expose sans cesse l’inanité de leurs lubies.
Enfin, il dissimule les tendances de plus en plus réactionnaires de cette caste installée.

Ann Coulter : Slander

Ludwig von Mises : Politique économique.

Ayn Rand : Atlas Shrugged

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La fausse conscience133080304-la_fausse_conscience.mp3http://lumiere101.com/2008/03/05/la-fausse-conscience/http://lumiere101.com/2008/03/05/la-fausse-conscience/#commentsTue, 04 Mar 2008 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2008/03/05/la-fausse-conscience/A partir d’un fait divers qui révèle l’anomie bureaucratique des organisations patronales, Georges Lane et François Guillaumat s’interrogent sur les raisons qui pourraient pousser les capitalistes à méconnaître la réalité du bien commun.
Répondant aux “antilibéraux” qui accusent les défenseurs du capitalisme d’être aveuglés par leur intérêt de classe, ou d’être les apologistes stipendiés de doctrines qu’ils sauraient fausses, ils montrent :

- que l’intérêt des capitalistes en tant que tels n’est pas lié à telle ou telle forme de croyance politique, alors que celui des Parasites Sociaux Institutionnels du socialisme dépend de la croyance dans le socialisme.

- que les capitalistes, étant responsables, ont toujours intérêt à connaître la vérité, qu’ils choisissent d’investir dans la production, ou dans l’imposture et le crime ; alors que les Parasites Sociaux Institutionnels du socialisme ont intérêt à ce qu’on croie toujours aux mensonges qui tentent de rationaliser leur exploitation criminelle.

- que les apologistes du capitalisme le font par souci du Bien commun et notamment de la défense des plus pauvres, et non par intérêt personnel.

Ils concluent en rappelant que les dénonciateurs, au nom de la “science”, de l’”idéologie patronale”, ont toujours aussi, à un moment ou à un autre, dénoncé la logique et même avoué que pour eux la vérité n’existe pas — de sorte que leur seul “argument”, c’est la violence.

Jules Monnerot : Sociologie du Communisme

Etienne Bonnot de Condillac : Traité des sensations

Antoine-Louis Claude Destutt de Tracy : Elemens d’idéologie

Friedrich Hayek : La Route de la servitude.

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A partir d’un fait divers qui révèle l’anomie bureaucratique des organisations patronales, Georges Lane et François Guillaumat s’interrogent sur les raisons qui pourraient pousser les capitalistes à méconnaître la réalité du bien commun.
Répondant aux “antilibéraux” qui accusent les défenseurs du capitalisme d’être aveuglés par leur intérêt de classe, ou d’être les apologistes stipendiés de doctrines qu’ils sauraient fausses, ils montrent :

- que l’intérêt des capitalistes en tant que tels n’est pas lié à telle ou telle forme de croyance politique, alors que celui des Parasites Sociaux Institutionnels du socialisme dépend de la croyance dans le socialisme.

- que les capitalistes, étant responsables, ont toujours intérêt à connaître la vérité, qu’ils choisissent d’investir dans la production, ou dans l’imposture et le crime ; alors que les Parasites Sociaux Institutionnels du socialisme ont intérêt à ce qu’on croie toujours aux mensonges qui tentent de rationaliser leur exploitation criminelle.

- que les apologistes du capitalisme le font par souci du Bien commun et notamment de la défense des plus pauvres, et non par intérêt personnel.

Ils concluent en rappelant que les dénonciateurs, au nom de la “science”, de l’”idéologie patronale”, ont toujours aussi, à un moment ou à un autre, dénoncé la logique et même avoué que pour eux la vérité n’existe pas — de sorte que leur seul “argument”, c’est la violence.

Jules Monnerot : Sociologie du Communisme

Etienne Bonnot de Condillac : Traité des sensations

Antoine-Louis Claude Destutt de Tracy : Elemens d’idéologie

Friedrich Hayek : La Route de la servitude.

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http://lumiere101.com/2008/03/05/la-fausse-conscience//feed/55:21A partir d’un fait divers qui révèle l’anomie bureaucratique des organisations patronales, Georges Lane et François Guillaumat s’interrogent sur les raisons qui pourraient pousser les capitalistes à méconnaître la réalité du bien commun.
Répondant aux “antilibéraux” qui accusent les défenseurs du capitalisme d’être aveuglés par leur intérêt de classe, ou d’être les apologistes stipendiés de doctrines qu’ils sauraient fausses, ils montrent :

- que l’intérêt des capitalistes en tant que tels n’est pas lié à telle ou telle forme de croyance politique, alors que celui des Parasites Sociaux Institutionnels du socialisme dépend de la croyance dans le socialisme.

- que les capitalistes, étant responsables, ont toujours intérêt à connaître la vérité, qu’ils choisissent d’investir dans la production, ou dans l’imposture et le crime ; alors que les Parasites Sociaux Institutionnels du socialisme ont intérêt à ce qu’on croie toujours aux mensonges qui tentent de rationaliser leur exploitation criminelle.

- que les apologistes du capitalisme le font par souci du Bien commun et notamment de la défense des plus pauvres, et non par intérêt personnel.

Ils concluent en rappelant que les dénonciateurs, au nom de la “science”, de l’”idéologie patronale”, ont toujours aussi, à un moment ou à un autre, dénoncé la logique et même avoué que pour eux la vérité n’existe pas — de sorte que leur seul “argument”, c’est la violence.

Jules Monnerot : Sociologie du Communisme

Etienne Bonnot de Condillac : Traité des sensations

Antoine-Louis Claude Destutt de Tracy : Elemens d’idéologie

Friedrich Hayek : La Route de la servitude.

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A partir d’un fait divers qui révèle l’anomie bureaucratique des organisations patronales, Georges Lane et François Guillaumat s’interrogent sur les raisons qui pourraient pousser les capitalistes à méconnaître la réalité du bien commun.
Répondant aux “antilibéraux” qui accusent les défenseurs du capitalisme d’être aveuglés par leur intérêt de classe, ou d’être les apologistes stipendiés de doctrines qu’ils sauraient fausses, ils montrent :

- que l’intérêt des capitalistes en tant que tels n’est pas lié à telle ou telle forme de croyance politique, alors que celui des Parasites Sociaux Institutionnels du socialisme dépend de la croyance dans le socialisme.

- que les capitalistes, étant responsables, ont toujours intérêt à connaître la vérité, qu’ils choisissent d’investir dans la production, ou dans l’imposture et le crime ; alors que les Parasites Sociaux Institutionnels du socialisme ont intérêt à ce qu’on croie toujours aux mensonges qui tentent de rationaliser leur exploitation criminelle.

- que les apologistes du capitalisme le font par souci du Bien commun et notamment de la défense des plus pauvres, et non par intérêt personnel.

Ils concluent en rappelant que les dénonciateurs, au nom de la “science”, de l’”idéologie patronale”, ont toujours aussi, à un moment ou à un autre, dénoncé la logique et même avoué que pour eux la vérité n’existe pas — de sorte que leur seul “argument”, c’est la violence.

Jules Monnerot : Sociologie du Communisme

Etienne Bonnot de Condillac : Traité des sensations

Antoine-Louis Claude Destutt de Tracy : Elemens d’idéologie

Friedrich Hayek : La Route de la servitude.

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Lumière 101noNo
Le conflit d’intérêts132080226-le_conflit_d_interets.mp3http://lumiere101.com/2008/02/27/le-conflit-dinterets/http://lumiere101.com/2008/02/27/le-conflit-dinterets/#commentsTue, 26 Feb 2008 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2008/02/27/le-conflit-dinterets/ Georges Lane et François Guillaumat font apparaître que le conflit d’intérêts, bien connu et traité autant que faire se peut dans l’activité privée - même là où l’on peut démonter qu’il n’existe pas - demeure méconnu dans l’activité des hommes de l’Etat alors qu’il y est systématique. Le grand échec, le grand défaut de la démocratie est qu’elle n’a pas compris à quel point il est nécessaire d’empêcher ceux qui vivent d’argent volé aux autres par l’impôt de décider du montant des dépenses publiques, comme de leur affectation.
Les dispositions qui pourraient empêcher les Parasites Sociaux Institutionnels d’abuser indéfiniment de leur privilège existent déjà traditionnellement, et on peut en imaginer d’autres.

Madsen Pirie, La Micropolitique.

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Georges Lane et François Guillaumat font apparaître que le conflit d’intérêts, bien connu et traité autant que faire se peut dans l’activité privée - même là où l’on peut démonter qu’il n’existe pas - demeure méconnu dans l’activité des hommes de l’Etat alors qu’il y est systématique. Le grand échec, le grand défaut de la démocratie est qu’elle n’a pas compris à quel point il est nécessaire d’empêcher ceux qui vivent d’argent volé aux autres par l’impôt de décider du montant des dépenses publiques, comme de leur affectation.
Les dispositions qui pourraient empêcher les Parasites Sociaux Institutionnels d’abuser indéfiniment de leur privilège existent déjà traditionnellement, et on peut en imaginer d’autres.

Madsen Pirie, La Micropolitique.

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http://lumiere101.com/2008/02/27/le-conflit-dinterets//feed/45:43 Georges Lane et François Guillaumat font apparaître que le conflit d’intérêts, bien connu et traité autant que faire se peut dans l’activité privée - même là où l’on peut démonter qu’il n’existe pas - demeure méconnu dans l’activité des hommes de l’Etat alors qu’il y est systématique. Le grand échec, le grand défaut de la démocratie est qu’elle n’a pas compris à quel point il est nécessaire d’empêcher ceux qui vivent d’argent volé aux autres par l’impôt de décider du montant des dépenses publiques, comme de leur affectation.
Les dispositions qui pourraient empêcher les Parasites Sociaux Institutionnels d’abuser indéfiniment de leur privilège existent déjà traditionnellement, et on peut en imaginer d’autres.

Madsen Pirie, La Micropolitique.

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Georges Lane et François Guillaumat font apparaître que le conflit d’intérêts, bien connu et traité autant que faire se peut dans l’activité privée - même là où l’on peut démonter qu’il n’existe pas - demeure méconnu dans l’activité des hommes de l’Etat alors qu’il y est systématique. Le grand échec, le grand défaut de la démocratie est qu’elle n’a pas compris à quel point il est nécessaire d’empêcher ceux qui vivent d’argent volé aux autres par l’impôt de décider du montant des dépenses publiques, comme de leur affectation.
Les dispositions qui pourraient empêcher les Parasites Sociaux Institutionnels d’abuser indéfiniment de leur privilège existent déjà traditionnellement, et on peut en imaginer d’autres.

Madsen Pirie, La Micropolitique.

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Lumière 101noNo
L’indépendance du Kosovo au regard du Droit131080219-l_independance_du_kosovo_au_regard_du_droit.mp3http://lumiere101.com/2008/02/19/lindependance-du-kosovo-au-regard-du-droit/http://lumiere101.com/2008/02/19/lindependance-du-kosovo-au-regard-du-droit/#commentsTue, 19 Feb 2008 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2008/02/19/lindependance-du-kosovo-au-regard-du-droit/François Guillaumat et Georges Lane examinent l’indépendance du Kosovo au regard des principes libéraux de la justice naturelle. Le Droit se fondant sur les actes passés, à quelles condition et à partir de quand des immigrés peuvent-ils se dire chez eux sur un territoire?
Etant établi que les Albanais ne sont pas des immigrés au Kosovo mais en sont, en tant que descendants des Illyriens, les premiers habitants, la question se pose alors de savoir pourquoi les Serbes s’imaginent tant que le Kosovo leur appartiendrait.
Enfin, ayant rappelé que la Constitution fédérale de 1974 reconnaissait aux Kosovars le Droit de se déclarer indépendants au même titre que la Croatie et la Slovénie, ils posent la question de savoir pourquoi les Occidentaux ont refusé d’appliquer à cette question leurs propres principes supposés de l’état de droit et de la démocratie, affaiblissant leur position juridique actuelle et laissant dire, faussement, que cette indépendance-là créerait un précédent.

André Ducellier : “Les Albanais ont-ils envahi le Kosovo ?“

Noel Malcolm : Kosovo : A Short History, “Le Kosovo, le nationalisme serbe et la partition territoriale”

François Guillaumat : “Le Kosovo est déjà juridiquement indépendant”

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François Guillaumat et Georges Lane examinent l’indépendance du Kosovo au regard des principes libéraux de la justice naturelle. Le Droit se fondant sur les actes passés, à quelles condition et à partir de quand des immigrés peuvent-ils se dire chez eux sur un territoire?
Etant établi que les Albanais ne sont pas des immigrés au Kosovo mais en sont, en tant que descendants des Illyriens, les premiers habitants, la question se pose alors de savoir pourquoi les Serbes s’imaginent tant que le Kosovo leur appartiendrait.
Enfin, ayant rappelé que la Constitution fédérale de 1974 reconnaissait aux Kosovars le Droit de se déclarer indépendants au même titre que la Croatie et la Slovénie, ils posent la question de savoir pourquoi les Occidentaux ont refusé d’appliquer à cette question leurs propres principes supposés de l’état de droit et de la démocratie, affaiblissant leur position juridique actuelle et laissant dire, faussement, que cette indépendance-là créerait un précédent.

André Ducellier : “Les Albanais ont-ils envahi le Kosovo ?“

Noel Malcolm : Kosovo : A Short History, “Le Kosovo, le nationalisme serbe et la partition territoriale”

François Guillaumat : “Le Kosovo est déjà juridiquement indépendant”

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http://lumiere101.com/2008/02/19/lindependance-du-kosovo-au-regard-du-droit//feed/53:18François Guillaumat et Georges Lane examinent l’indépendance du Kosovo au regard des principes libéraux de la justice naturelle. Le Droit se fondant sur les actes passés, à quelles condition et à partir de quand des immigrés peuvent-ils se dire chez eux sur un territoire?
Etant établi que les Albanais ne sont pas des immigrés au Kosovo mais en sont, en tant que descendants des Illyriens, les premiers habitants, la question se pose alors de savoir pourquoi les Serbes s’imaginent tant que le Kosovo leur appartiendrait.
Enfin, ayant rappelé que la Constitution fédérale de 1974 reconnaissait aux Kosovars le Droit de se déclarer indépendants au même titre que la Croatie et la Slovénie, ils posent la question de savoir pourquoi les Occidentaux ont refusé d’appliquer à cette question leurs propres principes supposés de l’état de droit et de la démocratie, affaiblissant leur position juridique actuelle et laissant dire, faussement, que cette indépendance-là créerait un précédent.

André Ducellier : “Les Albanais ont-ils envahi le Kosovo ?“

Noel Malcolm : Kosovo : A Short History, “Le Kosovo, le nationalisme serbe et la partition territoriale”

François Guillaumat : “Le Kosovo est déjà juridiquement indépendant”

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François Guillaumat et Georges Lane examinent l’indépendance du Kosovo au regard des principes libéraux de la justice naturelle. Le Droit se fondant sur les actes passés, à quelles condition et à partir de quand des immigrés peuvent-ils se dire chez eux sur un territoire?
Etant établi que les Albanais ne sont pas des immigrés au Kosovo mais en sont, en tant que descendants des Illyriens, les premiers habitants, la question se pose alors de savoir pourquoi les Serbes s’imaginent tant que le Kosovo leur appartiendrait.
Enfin, ayant rappelé que la Constitution fédérale de 1974 reconnaissait aux Kosovars le Droit de se déclarer indépendants au même titre que la Croatie et la Slovénie, ils posent la question de savoir pourquoi les Occidentaux ont refusé d’appliquer à cette question leurs propres principes supposés de l’état de droit et de la démocratie, affaiblissant leur position juridique actuelle et laissant dire, faussement, que cette indépendance-là créerait un précédent.

André Ducellier : “Les Albanais ont-ils envahi le Kosovo ?“

Noel Malcolm : Kosovo : A Short History, “Le Kosovo, le nationalisme serbe et la partition territoriale”

François Guillaumat : “Le Kosovo est déjà juridiquement indépendant”

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Lumière 101noNo
La censure est l’essence du socialisme130080212-la_censure_est_l_essence_du_socialisme.mp3http://lumiere101.com/2008/02/12/la-censure-est-lessence-du-socialisme/http://lumiere101.com/2008/02/12/la-censure-est-lessence-du-socialisme/#commentsTue, 12 Feb 2008 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2008/02/12/la-censure-est-lessence-du-socialisme/François Guillaumat et Georges Lane démontrent que la nature, et l’intention, du socialisme est de nier la rationalité des autres, et de l’empêcher par la force de s’exprimer.
Ils rappellent que la censure socialiste est une violation des Droits de l’homme, et montrent comment cette censure est la plus forte là où on ne la reconnaît pas comme telle.
Ils présentent la censure du socialisme comme la preuve ultime de son caractère anti-scientifique, citant les auteurs qui ont démontré que les principes libéraux du respect de la propriété et de la personne d’autrui sont, logiquement, des conditions préalables de la science.

Friedrich Hayek : Droit, législation et liberté

Michael Polanyi : La logique de la liberté

Hans-Hermann Hoppe : “De la théorie économique du laissez-faire à la politique du libéralisme”
François Lurçat : La science suicidaire, De la science à l’ignorance

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François Guillaumat et Georges Lane démontrent que la nature, et l’intention, du socialisme est de nier la rationalité des autres, et de l’empêcher par la force de s’exprimer.
Ils rappellent que la censure socialiste est une violation des Droits de l’homme, et montrent comment cette censure est la plus forte là où on ne la reconnaît pas comme telle.
Ils présentent la censure du socialisme comme la preuve ultime de son caractère anti-scientifique, citant les auteurs qui ont démontré que les principes libéraux du respect de la propriété et de la personne d’autrui sont, logiquement, des conditions préalables de la science.

Friedrich Hayek : Droit, législation et liberté

Michael Polanyi : La logique de la liberté

Hans-Hermann Hoppe : “De la théorie économique du laissez-faire à la politique du libéralisme”
François Lurçat : La science suicidaire, De la science à l’ignorance

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http://lumiere101.com/2008/02/12/la-censure-est-lessence-du-socialisme//feed/47:34François Guillaumat et Georges Lane démontrent que la nature, et l’intention, du socialisme est de nier la rationalité des autres, et de l’empêcher par la force de s’exprimer.
Ils rappellent que la censure socialiste est une violation des Droits de l’homme, et montrent comment cette censure est la plus forte là où on ne la reconnaît pas comme telle.
Ils présentent la censure du socialisme comme la preuve ultime de son caractère anti-scientifique, citant les auteurs qui ont démontré que les principes libéraux du respect de la propriété et de la personne d’autrui sont, logiquement, des conditions préalables de la science.

Friedrich Hayek : Droit, législation et liberté

Michael Polanyi : La logique de la liberté

Hans-Hermann Hoppe : “De la théorie économique du laissez-faire à la politique du libéralisme”
François Lurçat : La science suicidaire, De la science à l’ignorance

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François Guillaumat et Georges Lane démontrent que la nature, et l’intention, du socialisme est de nier la rationalité des autres, et de l’empêcher par la force de s’exprimer.
Ils rappellent que la censure socialiste est une violation des Droits de l’homme, et montrent comment cette censure est la plus forte là où on ne la reconnaît pas comme telle.
Ils présentent la censure du socialisme comme la preuve ultime de son caractère anti-scientifique, citant les auteurs qui ont démontré que les principes libéraux du respect de la propriété et de la personne d’autrui sont, logiquement, des conditions préalables de la science.

Friedrich Hayek : Droit, législation et liberté

Michael Polanyi : La logique de la liberté

Hans-Hermann Hoppe : “De la théorie économique du laissez-faire à la politique du libéralisme”
François Lurçat : La science suicidaire, De la science à l’ignorance

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Lumière 101noNo
La démocratie contre le socialisme129080205-la_democratie_contre_le_socialisme.mp3http://lumiere101.com/2008/02/05/la-democratie-contre-le-socialisme/http://lumiere101.com/2008/02/05/la-democratie-contre-le-socialisme/#commentsTue, 05 Feb 2008 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2008/02/05/la-democratie-contre-le-socialisme/Le jour où le Congrès se réunit à Versailles pour éviter de demander au peuple son avis sur le traité de Lisbonne qui constitue une aliénation de son pouvoir démocratique, François Guillaumat et Georges Lane exposent les impostures qui permettent à la pseudo-démocratie socialiste, sous prétexte d’élection, d’usurper le pouvoir social et de gouverner contre l’opinion.

La pseudo-démocratie socialiste inverse le sens des mots “démocratie” et “égalité”, invoque une imaginaire “décision collective” et fait tout pour oblitérer les fondements justificatifs de la démocratie : le Droit du citoyen de décider de ses propres affaires et l’adhésion volontaire aux procédures de l’organisation sociale.

Ils démontrent que la seule véritable démocratie réside dans le contrat, et que toute extension de l’usurpation socialiste contribue à la détruire encore davantage.

“A bas la démocratie” par Hans-Hermann Hoppe

La Loi” par Frédéric Bastiat

L’illusion fiscale” par François Guillaumat

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Le jour où le Congrès se réunit à Versailles pour éviter de demander au peuple son avis sur le traité de Lisbonne qui constitue une aliénation de son pouvoir démocratique, François Guillaumat et Georges Lane exposent les impostures qui permettent à la pseudo-démocratie socialiste, sous prétexte d’élection, d’usurper le pouvoir social et de gouverner contre l’opinion.

La pseudo-démocratie socialiste inverse le sens des mots “démocratie” et “égalité”, invoque une imaginaire “décision collective” et fait tout pour oblitérer les fondements justificatifs de la démocratie : le Droit du citoyen de décider de ses propres affaires et l’adhésion volontaire aux procédures de l’organisation sociale.

Ils démontrent que la seule véritable démocratie réside dans le contrat, et que toute extension de l’usurpation socialiste contribue à la détruire encore davantage.

“A bas la démocratie” par Hans-Hermann Hoppe

La Loi” par Frédéric Bastiat

L’illusion fiscale” par François Guillaumat

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http://lumiere101.com/2008/02/05/la-democratie-contre-le-socialisme//feed/46:15Le jour où le Congrès se réunit à Versailles pour éviter de demander au peuple son avis sur le traité de Lisbonne qui constitue une aliénation de son pouvoir démocratique, François Guillaumat et Georges Lane exposent les impostures qui permettent à la pseudo-démocratie socialiste, sous prétexte d’élection, d’usurper le pouvoir social et de gouverner contre l’opinion.

La pseudo-démocratie socialiste inverse le sens des mots “démocratie” et “égalité”, invoque une imaginaire “décision collective” et fait tout pour oblitérer les fondements justificatifs de la démocratie : le Droit du citoyen de décider de ses propres affaires et l’adhésion volontaire aux procédures de l’organisation sociale.

Ils démontrent que la seule véritable démocratie réside dans le contrat, et que toute extension de l’usurpation socialiste contribue à la détruire encore davantage.

“A bas la démocratie” par Hans-Hermann Hoppe

La Loi” par Frédéric Bastiat

L’illusion fiscale” par François Guillaumat

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Le jour où le Congrès se réunit à Versailles pour éviter de demander au peuple son avis sur le traité de Lisbonne qui constitue une aliénation de son pouvoir démocratique, François Guillaumat et Georges Lane exposent les impostures qui permettent à la pseudo-démocratie socialiste, sous prétexte d’élection, d’usurper le pouvoir social et de gouverner contre l’opinion.

La pseudo-démocratie socialiste inverse le sens des mots “démocratie” et “égalité”, invoque une imaginaire “décision collective” et fait tout pour oblitérer les fondements justificatifs de la démocratie : le Droit du citoyen de décider de ses propres affaires et l’adhésion volontaire aux procédures de l’organisation sociale.

Ils démontrent que la seule véritable démocratie réside dans le contrat, et que toute extension de l’usurpation socialiste contribue à la détruire encore davantage.

“A bas la démocratie” par Hans-Hermann Hoppe

La Loi” par Frédéric Bastiat

L’illusion fiscale” par François Guillaumat

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Lumière 101noNo
Le capitalisme financier128080129-le_capitalisme_financier.mp3http://lumiere101.com/2008/01/29/le-capitalisme-financier/http://lumiere101.com/2008/01/29/le-capitalisme-financier/#commentsTue, 29 Jan 2008 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2008/01/29/le-capitalisme-financier/L’actualité est l’occasion d’un certain nombre de malentendus et de mythes sur les marchés financiers. François Guillaumat et Georges Lane présentent la finance comme une industrie de services, dont la raison d’être est de gérer la durée. Comme tout marché, la finance échange des Droits de propriété mais en plus elle les recompose pour permettre à chacun de mieux gérer son patrimoine.

Georges Lane : “Le capitalisme financier : un merveilleux pléonasme”

Harry M. Markowitz, “Portfolio selection”, Journal of Finance, 1952

Ronald Coase “La nature de l’entreprise“, 1937

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L’actualité est l’occasion d’un certain nombre de malentendus et de mythes sur les marchés financiers. François Guillaumat et Georges Lane présentent la finance comme une industrie de services, dont la raison d’être est de gérer la durée. Comme tout marché, la finance échange des Droits de propriété mais en plus elle les recompose pour permettre à chacun de mieux gérer son patrimoine.

Georges Lane : “Le capitalisme financier : un merveilleux pléonasme”

Harry M. Markowitz, “Portfolio selection”, Journal of Finance, 1952

Ronald Coase “La nature de l’entreprise“, 1937

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http://lumiere101.com/2008/01/29/le-capitalisme-financier//feed/55:40L’actualité est l’occasion d’un certain nombre de malentendus et de mythes sur les marchés financiers. François Guillaumat et Georges Lane présentent la finance comme une industrie de services, dont la raison d’être est de gérer la durée. Comme tout marché, la finance échange des Droits de propriété mais en plus elle les recompose pour permettre à chacun de mieux gérer son patrimoine.

Georges Lane : “Le capitalisme financier : un merveilleux pléonasme”

Harry M. Markowitz, “Portfolio selection”, Journal of Finance, 1952

Ronald Coase “La nature de l’entreprise“, 1937

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L’actualité est l’occasion d’un certain nombre de malentendus et de mythes sur les marchés financiers. François Guillaumat et Georges Lane présentent la finance comme une industrie de services, dont la raison d’être est de gérer la durée. Comme tout marché, la finance échange des Droits de propriété mais en plus elle les recompose pour permettre à chacun de mieux gérer son patrimoine.

Georges Lane : “Le capitalisme financier : un merveilleux pléonasme”

Harry M. Markowitz, “Portfolio selection”, Journal of Finance, 1952

Ronald Coase “La nature de l’entreprise“, 1937

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Lumière 101noNo
Le réchauffisme127080122-le_rechauffisme.mp3http://lumiere101.com/2008/01/22/le-rechauffisme/http://lumiere101.com/2008/01/22/le-rechauffisme/#commentsTue, 22 Jan 2008 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2008/01/22/le-rechauffisme/François Guillaumat et Georges Lane expliquent pourquoi, en tant qu’économistes, ils ne peuvent pas croire au discours officiel sur le “réchauffement de la planète” : non seulement leur expérience des modèles de prévision ne leur permet pas de prendre au sérieux celles des réchauffistes, mais ils ont plusieurs raisons de juger absurdes les politiques qu’ils prétendent en tirer. Par ailleurs, c’est leur métier que de décrire la manière dont la politisation fausse la science, à l’abri des illusions fiscales de la violence indirecte et de la censure par le monopole.

Henri Poincaré, Science et méthode (1908)

Hans-Hermann Hoppe, “Le rationalisme autrichien à l’ère du déclin du positivisme”

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François Guillaumat et Georges Lane expliquent pourquoi, en tant qu’économistes, ils ne peuvent pas croire au discours officiel sur le “réchauffement de la planète” : non seulement leur expérience des modèles de prévision ne leur permet pas de prendre au sérieux celles des réchauffistes, mais ils ont plusieurs raisons de juger absurdes les politiques qu’ils prétendent en tirer. Par ailleurs, c’est leur métier que de décrire la manière dont la politisation fausse la science, à l’abri des illusions fiscales de la violence indirecte et de la censure par le monopole.

Henri Poincaré, Science et méthode (1908)

Hans-Hermann Hoppe, “Le rationalisme autrichien à l’ère du déclin du positivisme”

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http://lumiere101.com/2008/01/22/le-rechauffisme//feed/55:19François Guillaumat et Georges Lane expliquent pourquoi, en tant qu’économistes, ils ne peuvent pas croire au discours officiel sur le “réchauffement de la planète” : non seulement leur expérience des modèles de prévision ne leur permet pas de prendre au sérieux celles des réchauffistes, mais ils ont plusieurs raisons de juger absurdes les politiques qu’ils prétendent en tirer. Par ailleurs, c’est leur métier que de décrire la manière dont la politisation fausse la science, à l’abri des illusions fiscales de la violence indirecte et de la censure par le monopole.

Henri Poincaré, Science et méthode (1908)

Hans-Hermann Hoppe, “Le rationalisme autrichien à l’ère du déclin du positivisme”

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François Guillaumat et Georges Lane expliquent pourquoi, en tant qu’économistes, ils ne peuvent pas croire au discours officiel sur le “réchauffement de la planète” : non seulement leur expérience des modèles de prévision ne leur permet pas de prendre au sérieux celles des réchauffistes, mais ils ont plusieurs raisons de juger absurdes les politiques qu’ils prétendent en tirer. Par ailleurs, c’est leur métier que de décrire la manière dont la politisation fausse la science, à l’abri des illusions fiscales de la violence indirecte et de la censure par le monopole.

Henri Poincaré, Science et méthode (1908)

Hans-Hermann Hoppe, “Le rationalisme autrichien à l’ère du déclin du positivisme”

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Lumière 101noNo
L’escroquerie morale du “commerce équitable”126080115-l_escroquerie_morale_du_commerce_equitable.mp3http://lumiere101.com/2008/01/15/lescroquerie-morale-du-commerce-equitable/http://lumiere101.com/2008/01/15/lescroquerie-morale-du-commerce-equitable/#commentsTue, 15 Jan 2008 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2008/01/15/lescroquerie-morale-du-commerce-equitable/François Guillaumat et Georges Lane examinent les erreurs d’interprétation qui ont engendré la notion de “commerce équitable”.
Ils y voient une privatisation du combat contre l’”échange inégal”, alors que d’autres comprenaient que ce qui fausse les échanges ce sont les entraves aux échanges imposées par les hommes des états.
Dans la mesure où le “commerce équitable” et son extension, le “commerce éthique”, procèdent encore de jugements moraux arbitraires et d’une conception utopique de la nature humaine, ils colportent des erreurs dangereuses.
Et dans la mesure où ils permettent à certains de prospérer en maintenant les pauvres dans des formes d’organisation en fait désavantageuses pour eux, on peut dire qu’ils trompent ceux qui leur font confiance.

“Ce qu’on voit et ce qu’on ne voit pas dans le commerce équitable” par Xavier Méra (2005)
“Immense découverte !!!” par Frédéric Bastiat (1845)
L’échange inégal et la loi de la valeur par Samir Amin (1973)
“Avantage comparatif” par Wikipédia
“Proposition de résolution du Parlement européen sur le commerce équitable et le développement” (2005)

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François Guillaumat et Georges Lane examinent les erreurs d’interprétation qui ont engendré la notion de “commerce équitable”.
Ils y voient une privatisation du combat contre l’”échange inégal”, alors que d’autres comprenaient que ce qui fausse les échanges ce sont les entraves aux échanges imposées par les hommes des états.
Dans la mesure où le “commerce équitable” et son extension, le “commerce éthique”, procèdent encore de jugements moraux arbitraires et d’une conception utopique de la nature humaine, ils colportent des erreurs dangereuses.
Et dans la mesure où ils permettent à certains de prospérer en maintenant les pauvres dans des formes d’organisation en fait désavantageuses pour eux, on peut dire qu’ils trompent ceux qui leur font confiance.

“Ce qu’on voit et ce qu’on ne voit pas dans le commerce équitable” par Xavier Méra (2005)
“Immense découverte !!!” par Frédéric Bastiat (1845)
L’échange inégal et la loi de la valeur par Samir Amin (1973)
“Avantage comparatif” par Wikipédia
“Proposition de résolution du Parlement européen sur le commerce équitable et le développement” (2005)

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http://lumiere101.com/2008/01/15/lescroquerie-morale-du-commerce-equitable//feed/39:28François Guillaumat et Georges Lane examinent les erreurs d’interprétation qui ont engendré la notion de “commerce équitable”.
Ils y voient une privatisation du combat contre l’”échange inégal”, alors que d’autres comprenaient que ce qui fausse les échanges ce sont les entraves aux échanges imposées par les hommes des états.
Dans la mesure où le “commerce équitable” et son extension, le “commerce éthique”, procèdent encore de jugements moraux arbitraires et d’une conception utopique de la nature humaine, ils colportent des erreurs dangereuses.
Et dans la mesure où ils permettent à certains de prospérer en maintenant les pauvres dans des formes d’organisation en fait désavantageuses pour eux, on peut dire qu’ils trompent ceux qui leur font confiance.

“Ce qu’on voit et ce qu’on ne voit pas dans le commerce équitable” par Xavier Méra (2005)
“Immense découverte !!!” par Frédéric Bastiat (1845)
L’échange inégal et la loi de la valeur par Samir Amin (1973)
“Avantage comparatif” par Wikipédia
“Proposition de résolution du Parlement européen sur le commerce équitable et le développement” (2005)

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François Guillaumat et Georges Lane examinent les erreurs d’interprétation qui ont engendré la notion de “commerce équitable”.
Ils y voient une privatisation du combat contre l’”échange inégal”, alors que d’autres comprenaient que ce qui fausse les échanges ce sont les entraves aux échanges imposées par les hommes des états.
Dans la mesure où le “commerce équitable” et son extension, le “commerce éthique”, procèdent encore de jugements moraux arbitraires et d’une conception utopique de la nature humaine, ils colportent des erreurs dangereuses.
Et dans la mesure où ils permettent à certains de prospérer en maintenant les pauvres dans des formes d’organisation en fait désavantageuses pour eux, on peut dire qu’ils trompent ceux qui leur font confiance.

“Ce qu’on voit et ce qu’on ne voit pas dans le commerce équitable” par Xavier Méra (2005)
“Immense découverte !!!” par Frédéric Bastiat (1845)
L’échange inégal et la loi de la valeur par Samir Amin (1973)
“Avantage comparatif” par Wikipédia
“Proposition de résolution du Parlement européen sur le commerce équitable et le développement” (2005)

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Lumière 101noNo
Le faux problème du développement durable125080108-le_faux_probleme_du_developpement_durable.mp3http://lumiere101.com/2008/01/08/le-faux-probleme-du-developpement-durable/http://lumiere101.com/2008/01/08/le-faux-probleme-du-developpement-durable/#commentsTue, 08 Jan 2008 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2008/01/08/le-faux-probleme-du-developpement-durable/François Guillaumat et Georges Lane, rappelant que la production consiste dans de l’information créée par l’esprit de l’homme, déduisent que le seul problème de disponibilité des ressources est l’ignorance inévitable de chacun.
Ceux qui s’inquiètent des “ressources non renouvelables” sont dans l’erreur, les nécessités de la conservation ne sauraient justifier aucun autoritarisme agressif, et les générations à venir n’ont aujourd’hui aucun Droit.

Frédéric Bastiat : “Justice et fraternité”

Article sur Simon-Ehrlich Wager (en anglais)
Ce texte est d’autant plus intéressant que le paragraphe sur le “proposed second wager” qu’on y trouve, et que les soi-disant “écologistes” conçoivent naturellement comme une “justification” de leur alarmisme les réfute en réalité, puisque aucun des indicateurs qu’ils présentent comme un “problème écologique” n’est perçu comme tel par les personnes responsables : il ne fait que prouver à quel point ils sont dans l’incapacité de comprendre qu’un raisonnement économique porte, et doit porter, sur des objets économiques.

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François Guillaumat et Georges Lane, rappelant que la production consiste dans de l’information créée par l’esprit de l’homme, déduisent que le seul problème de disponibilité des ressources est l’ignorance inévitable de chacun.
Ceux qui s’inquiètent des “ressources non renouvelables” sont dans l’erreur, les nécessités de la conservation ne sauraient justifier aucun autoritarisme agressif, et les générations à venir n’ont aujourd’hui aucun Droit.

Frédéric Bastiat : “Justice et fraternité”

Article sur Simon-Ehrlich Wager (en anglais)
Ce texte est d’autant plus intéressant que le paragraphe sur le “proposed second wager” qu’on y trouve, et que les soi-disant “écologistes” conçoivent naturellement comme une “justification” de leur alarmisme les réfute en réalité, puisque aucun des indicateurs qu’ils présentent comme un “problème écologique” n’est perçu comme tel par les personnes responsables : il ne fait que prouver à quel point ils sont dans l’incapacité de comprendre qu’un raisonnement économique porte, et doit porter, sur des objets économiques.

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http://lumiere101.com/2008/01/08/le-faux-probleme-du-developpement-durable//feed/57:46François Guillaumat et Georges Lane, rappelant que la production consiste dans de l’information créée par l’esprit de l’homme, déduisent que le seul problème de disponibilité des ressources est l’ignorance inévitable de chacun.
Ceux qui s’inquiètent des “ressources non renouvelables” sont dans l’erreur, les nécessités de la conservation ne sauraient justifier aucun autoritarisme agressif, et les générations à venir n’ont aujourd’hui aucun Droit.

Frédéric Bastiat : “Justice et fraternité”

Article sur Simon-Ehrlich Wager (en anglais)
Ce texte est d’autant plus intéressant que le paragraphe sur le “proposed second wager” qu’on y trouve, et que les soi-disant “écologistes” conçoivent naturellement comme une “justification” de leur alarmisme les réfute en réalité, puisque aucun des indicateurs qu’ils présentent comme un “problème écologique” n’est perçu comme tel par les personnes responsables : il ne fait que prouver à quel point ils sont dans l’incapacité de comprendre qu’un raisonnement économique porte, et doit porter, sur des objets économiques.

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François Guillaumat et Georges Lane, rappelant que la production consiste dans de l’information créée par l’esprit de l’homme, déduisent que le seul problème de disponibilité des ressources est l’ignorance inévitable de chacun.
Ceux qui s’inquiètent des “ressources non renouvelables” sont dans l’erreur, les nécessités de la conservation ne sauraient justifier aucun autoritarisme agressif, et les générations à venir n’ont aujourd’hui aucun Droit.

Frédéric Bastiat : “Justice et fraternité”

Article sur Simon-Ehrlich Wager (en anglais)
Ce texte est d’autant plus intéressant que le paragraphe sur le “proposed second wager” qu’on y trouve, et que les soi-disant “écologistes” conçoivent naturellement comme une “justification” de leur alarmisme les réfute en réalité, puisque aucun des indicateurs qu’ils présentent comme un “problème écologique” n’est perçu comme tel par les personnes responsables : il ne fait que prouver à quel point ils sont dans l’incapacité de comprendre qu’un raisonnement économique porte, et doit porter, sur des objets économiques.

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Lumière 101noNo
Le prétendu “principe de précaution”103071225-le_pretendu_principe_de_precaution.mp3http://lumiere101.com/2007/12/25/le-pretendu-principe-de-precaution/http://lumiere101.com/2007/12/25/le-pretendu-principe-de-precaution/#commentsTue, 25 Dec 2007 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2007/12/25/le-pretendu-principe-de-precaution/François Guillaumat et Georges Lane démontrent que le prétendu “principe de précaution” est tout sauf un rappel à la prudence ordinaire: bien au contraire, il associe un refus absurde et systématique de tenir compte des conséquences de ses actes à un rejet de toute expérience au nom de frayeurs nées de la seule imagination.

Cette démence est née de la rationalisation de leurs pratiques et de leur vécu par les Irresponsables Institutionnels du socialisme, à l’occasion de catastrophes qu’avait déjà causées leur usurpation du pouvoir social; et elle nous en promet bien sûr de bien plus graves encore pour l’avenir.

Liberpédia : “Le principe de précaution (comporte une liste de liens)
Alan Greenspan : “The Assault on Integrity” (YouTube)
Georges Lane : “Le principe de précaution : l’imposture dirigiste”
François Guillaumat : “A quoi sert le principe de précaution ?”
Philippe Kourilsky et Geneviève Viney : “Le principe de précaution” (.pdf)

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François Guillaumat et Georges Lane démontrent que le prétendu “principe de précaution” est tout sauf un rappel à la prudence ordinaire: bien au contraire, il associe un refus absurde et systématique de tenir compte des conséquences de ses actes à un rejet de toute expérience au nom de frayeurs nées de la seule imagination.

Cette démence est née de la rationalisation de leurs pratiques et de leur vécu par les Irresponsables Institutionnels du socialisme, à l’occasion de catastrophes qu’avait déjà causées leur usurpation du pouvoir social; et elle nous en promet bien sûr de bien plus graves encore pour l’avenir.

Liberpédia : “Le principe de précaution (comporte une liste de liens)
Alan Greenspan : “The Assault on Integrity” (YouTube)
Georges Lane : “Le principe de précaution : l’imposture dirigiste”
François Guillaumat : “A quoi sert le principe de précaution ?”
Philippe Kourilsky et Geneviève Viney : “Le principe de précaution” (.pdf)

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http://lumiere101.com/2007/12/25/le-pretendu-principe-de-precaution//feed/01:07:00François Guillaumat et Georges Lane démontrent que le prétendu “principe de précaution” est tout sauf un rappel à la prudence ordinaire: bien au contraire, il associe un refus absurde et systématique de tenir compte des conséquences de ses actes à un rejet de toute expérience au nom de frayeurs nées de la seule imagination.

Cette démence est née de la rationalisation de leurs pratiques et de leur vécu par les Irresponsables Institutionnels du socialisme, à l’occasion de catastrophes qu’avait déjà causées leur usurpation du pouvoir social; et elle nous en promet bien sûr de bien plus graves encore pour l’avenir.

Liberpédia : “Le principe de précaution (comporte une liste de liens)
Alan Greenspan : “The Assault on Integrity” (YouTube)
Georges Lane : “Le principe de précaution : l’imposture dirigiste”
François Guillaumat : “A quoi sert le principe de précaution ?”
Philippe Kourilsky et Geneviève Viney : “Le principe de précaution” (.pdf)

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François Guillaumat et Georges Lane démontrent que le prétendu “principe de précaution” est tout sauf un rappel à la prudence ordinaire: bien au contraire, il associe un refus absurde et systématique de tenir compte des conséquences de ses actes à un rejet de toute expérience au nom de frayeurs nées de la seule imagination.

Cette démence est née de la rationalisation de leurs pratiques et de leur vécu par les Irresponsables Institutionnels du socialisme, à l’occasion de catastrophes qu’avait déjà causées leur usurpation du pouvoir social; et elle nous en promet bien sûr de bien plus graves encore pour l’avenir.

Liberpédia : “Le principe de précaution (comporte une liste de liens)
Alan Greenspan : “The Assault on Integrity” (YouTube)
Georges Lane : “Le principe de précaution : l’imposture dirigiste”
François Guillaumat : “A quoi sert le principe de précaution ?”
Philippe Kourilsky et Geneviève Viney : “Le principe de précaution” (.pdf)

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Lumière 101noNo
Il n’y a pas de “richesses naturelles”102071218-Il_n_y_a_pas_de_richesses_naturelles.mp3http://lumiere101.com/2007/12/18/il-ny-a-pas-de-richesses-naturelles/http://lumiere101.com/2007/12/18/il-ny-a-pas-de-richesses-naturelles/#commentsTue, 18 Dec 2007 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2007/12/18/il-ny-a-pas-de-richesses-naturelles/À partir d’une définition correcte de la production, François Guillaumat et Georges Lane montrent que ce ne sont pas les caractéristiques physiques des objets qui limitent la disponibilité des richesses. Il n’y a pas lieu d’envisager l’épuisement des “richesses naturelles” parce qu’il n’est de richesse que d’hommes.

Israel Kirzner : Les dangers de la réglementation: une approche par les processus du marché
→ Julian Simon : L’homme, notre dernière chance

Le pseudo-expérimentalisme

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À partir d’une définition correcte de la production, François Guillaumat et Georges Lane montrent que ce ne sont pas les caractéristiques physiques des objets qui limitent la disponibilité des richesses. Il n’y a pas lieu d’envisager l’épuisement des “richesses naturelles” parce qu’il n’est de richesse que d’hommes.

Israel Kirzner : Les dangers de la réglementation: une approche par les processus du marché
→ Julian Simon : L’homme, notre dernière chance

Le pseudo-expérimentalisme

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http://lumiere101.com/2007/12/18/il-ny-a-pas-de-richesses-naturelles//feed/53:48À partir d’une définition correcte de la production, François Guillaumat et Georges Lane montrent que ce ne sont pas les caractéristiques physiques des objets qui limitent la disponibilité des richesses. Il n’y a pas lieu d’envisager l’épuisement des “richesses naturelles” parce qu’il n’est de richesse que d’hommes.

Israel Kirzner : Les dangers de la réglementation: une approche par les processus du marché
→ Julian Simon : L’homme, notre dernière chance

Le pseudo-expérimentalisme

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À partir d’une définition correcte de la production, François Guillaumat et Georges Lane montrent que ce ne sont pas les caractéristiques physiques des objets qui limitent la disponibilité des richesses. Il n’y a pas lieu d’envisager l’épuisement des “richesses naturelles” parce qu’il n’est de richesse que d’hommes.

Israel Kirzner : Les dangers de la réglementation: une approche par les processus du marché
→ Julian Simon : L’homme, notre dernière chance

Le pseudo-expérimentalisme

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Lumière 101noNo
L’Euro et la Banque centrale européenne101071211-l_euro_et_la_banque_centrale_europeenne.mp3http://lumiere101.com/2007/12/11/leuro-et-la-banque-centrale-europeenne/http://lumiere101.com/2007/12/11/leuro-et-la-banque-centrale-europeenne/#commentsTue, 11 Dec 2007 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2007/12/11/leuro-et-la-banque-centrale-europeenne/François Guillaumat et Georges Lane tirent les conséquences du fait que l’Euro est une expérience sans précédent pour des raisons politiques. Alors que tous les problèmes monétaires sont dus au monopole, il a été imposé un super-monopole qui empêche tout ajustement des offres de monnaie aux conditions locales de la demande.

Georges Lane : “L’Euro : si ex nihilo non est, sed ex quo ?”
François Guillaumat et Pascal Dray : “La banque centrale européenne ou le retour de l’inflation”
Pascal Salin : “L’euro détruit le calcul économique”, L’unité monétaire - au profit de qui ? Economica, Paris, 1980

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François Guillaumat et Georges Lane tirent les conséquences du fait que l’Euro est une expérience sans précédent pour des raisons politiques. Alors que tous les problèmes monétaires sont dus au monopole, il a été imposé un super-monopole qui empêche tout ajustement des offres de monnaie aux conditions locales de la demande.

Georges Lane : “L’Euro : si ex nihilo non est, sed ex quo ?”
François Guillaumat et Pascal Dray : “La banque centrale européenne ou le retour de l’inflation”
Pascal Salin : “L’euro détruit le calcul économique”, L’unité monétaire - au profit de qui ? Economica, Paris, 1980

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http://lumiere101.com/2007/12/11/leuro-et-la-banque-centrale-europeenne//feed/52:13François Guillaumat et Georges Lane tirent les conséquences du fait que l’Euro est une expérience sans précédent pour des raisons politiques. Alors que tous les problèmes monétaires sont dus au monopole, il a été imposé un super-monopole qui empêche tout ajustement des offres de monnaie aux conditions locales de la demande.

Georges Lane : “L’Euro : si ex nihilo non est, sed ex quo ?”
François Guillaumat et Pascal Dray : “La banque centrale européenne ou le retour de l’inflation”
Pascal Salin : “L’euro détruit le calcul économique”, L’unité monétaire - au profit de qui ? Economica, Paris, 1980

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François Guillaumat et Georges Lane tirent les conséquences du fait que l’Euro est une expérience sans précédent pour des raisons politiques. Alors que tous les problèmes monétaires sont dus au monopole, il a été imposé un super-monopole qui empêche tout ajustement des offres de monnaie aux conditions locales de la demande.

Georges Lane : “L’Euro : si ex nihilo non est, sed ex quo ?”
François Guillaumat et Pascal Dray : “La banque centrale européenne ou le retour de l’inflation”
Pascal Salin : “L’euro détruit le calcul économique”, L’unité monétaire - au profit de qui ? Economica, Paris, 1980

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Lumière 101noNo
La falsification marxiste du libéralisme100071208-la_falsification_marxiste_du_liberalisme.mp3http://lumiere101.com/2007/12/08/la-falsification-marxiste-du-liberalisme/http://lumiere101.com/2007/12/08/la-falsification-marxiste-du-liberalisme/#commentsSat, 08 Dec 2007 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2007/12/08/la-falsification-marxiste-du-liberalisme/Si le marxisme domine encore dans la pratique politique française, c’est parce qu’il fournit aux démagogues une falsification du concept d’”exploitation” qui repose sur des confusions, le plus souvent volontaires.

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Si le marxisme domine encore dans la pratique politique française, c’est parce qu’il fournit aux démagogues une falsification du concept d’”exploitation” qui repose sur des confusions, le plus souvent volontaires.

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http://lumiere101.com/2007/12/08/la-falsification-marxiste-du-liberalisme//feed/48:02Si le marxisme domine encore dans la pratique politique française, c’est parce qu’il fournit aux démagogues une falsification du concept d’”exploitation” qui repose sur des confusions, le plus souvent volontaires.

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Si le marxisme domine encore dans la pratique politique française, c’est parce qu’il fournit aux démagogues une falsification du concept d’”exploitation” qui repose sur des confusions, le plus souvent volontaires.

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Lumière 101noNo
La banque libre99071204-la_banque_libre.mp3http://lumiere101.com/2007/12/04/la-banque-libre/http://lumiere101.com/2007/12/04/la-banque-libre/#commentsTue, 04 Dec 2007 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2007/12/04/la-banque-libre/François Guillaumat et Georges Lane présentent le problème qu’a créé la suppression de la liberté des contrats en matière monétaire : la banque libre fournissait à ses utilisateurs la quantité exacte de monnaie que ceux-ci souhaitaient détenir.
Depuis, l’imposition de monopoles réglementaires par les hommes des états, notamment sur les billets de banque, crée des surplus ou des insuffisances qui débordent sur les marchés des autres produits, ce qui change le pouvoir d’achat de la monnaie et surtout fausse l’ensemble des prix, engendrant des pertes spectaculaires.
Cependant, conformément à la loi des calamités, au lieu de renoncer aux ingérences qui les avaient causées, les hommes de l’état ont pris prétexte de ces pertes pour violer encore davantage la liberté des contrats.

Livre : “Théorie de la banque libre”, George Selgin, Paris, Les Belles lettres, mars 1991
Steve Hanke, “Free Banking for Zimbabwe”, Globe Asia, December 2007

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François Guillaumat et Georges Lane présentent le problème qu’a créé la suppression de la liberté des contrats en matière monétaire : la banque libre fournissait à ses utilisateurs la quantité exacte de monnaie que ceux-ci souhaitaient détenir.
Depuis, l’imposition de monopoles réglementaires par les hommes des états, notamment sur les billets de banque, crée des surplus ou des insuffisances qui débordent sur les marchés des autres produits, ce qui change le pouvoir d’achat de la monnaie et surtout fausse l’ensemble des prix, engendrant des pertes spectaculaires.
Cependant, conformément à la loi des calamités, au lieu de renoncer aux ingérences qui les avaient causées, les hommes de l’état ont pris prétexte de ces pertes pour violer encore davantage la liberté des contrats.

Livre : “Théorie de la banque libre”, George Selgin, Paris, Les Belles lettres, mars 1991
Steve Hanke, “Free Banking for Zimbabwe”, Globe Asia, December 2007

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http://lumiere101.com/2007/12/04/la-banque-libre//feed/51:41François Guillaumat et Georges Lane présentent le problème qu’a créé la suppression de la liberté des contrats en matière monétaire : la banque libre fournissait à ses utilisateurs la quantité exacte de monnaie que ceux-ci souhaitaient détenir.
Depuis, l’imposition de monopoles réglementaires par les hommes des états, notamment sur les billets de banque, crée des surplus ou des insuffisances qui débordent sur les marchés des autres produits, ce qui change le pouvoir d’achat de la monnaie et surtout fausse l’ensemble des prix, engendrant des pertes spectaculaires.
Cependant, conformément à la loi des calamités, au lieu de renoncer aux ingérences qui les avaient causées, les hommes de l’état ont pris prétexte de ces pertes pour violer encore davantage la liberté des contrats.

Livre : “Théorie de la banque libre”, George Selgin, Paris, Les Belles lettres, mars 1991
Steve Hanke, “Free Banking for Zimbabwe”, Globe Asia, December 2007

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François Guillaumat et Georges Lane présentent le problème qu’a créé la suppression de la liberté des contrats en matière monétaire : la banque libre fournissait à ses utilisateurs la quantité exacte de monnaie que ceux-ci souhaitaient détenir.
Depuis, l’imposition de monopoles réglementaires par les hommes des états, notamment sur les billets de banque, crée des surplus ou des insuffisances qui débordent sur les marchés des autres produits, ce qui change le pouvoir d’achat de la monnaie et surtout fausse l’ensemble des prix, engendrant des pertes spectaculaires.
Cependant, conformément à la loi des calamités, au lieu de renoncer aux ingérences qui les avaient causées, les hommes de l’état ont pris prétexte de ces pertes pour violer encore davantage la liberté des contrats.

Livre : “Théorie de la banque libre”, George Selgin, Paris, Les Belles lettres, mars 1991
Steve Hanke, “Free Banking for Zimbabwe”, Globe Asia, December 2007

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Lumière 101noNo
Les Forces du désordre98071127-les_forces_du_desordre.mp3http://lumiere101.com/2007/11/27/les-forces-du-desordre/http://lumiere101.com/2007/11/27/les-forces-du-desordre/#commentsTue, 27 Nov 2007 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2007/11/27/les-forces-du-desordre/François Guillaumat et Georges Lane exposent la violence que les grèves dans les prétendus “services publics” infligent à leurs usagers.
Ils démontrent la réalité, exposent la nature, et dénoncent les auteurs réels de cette oppression : les Forces du Désordre.
Georges Lane décrit la guerre des gangs qui se déroule à cette occasion au sein de la Caste Exploiteuse.

Georges Lane : Les “régimes spéciaux” : la forme et le fond du problème

Liberpédia : Les Forces du désordre, Caste exploiteuse, Partenaires sociaux à part entière

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François Guillaumat et Georges Lane exposent la violence que les grèves dans les prétendus “services publics” infligent à leurs usagers.
Ils démontrent la réalité, exposent la nature, et dénoncent les auteurs réels de cette oppression : les Forces du Désordre.
Georges Lane décrit la guerre des gangs qui se déroule à cette occasion au sein de la Caste Exploiteuse.

Georges Lane : Les “régimes spéciaux” : la forme et le fond du problème

Liberpédia : Les Forces du désordre, Caste exploiteuse, Partenaires sociaux à part entière

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http://lumiere101.com/2007/11/27/les-forces-du-desordre//feed/50:41François Guillaumat et Georges Lane exposent la violence que les grèves dans les prétendus “services publics” infligent à leurs usagers.
Ils démontrent la réalité, exposent la nature, et dénoncent les auteurs réels de cette oppression : les Forces du Désordre.
Georges Lane décrit la guerre des gangs qui se déroule à cette occasion au sein de la Caste Exploiteuse.

Georges Lane : Les “régimes spéciaux” : la forme et le fond du problème

Liberpédia : Les Forces du désordre, Caste exploiteuse, Partenaires sociaux à part entière

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François Guillaumat et Georges Lane exposent la violence que les grèves dans les prétendus “services publics” infligent à leurs usagers.
Ils démontrent la réalité, exposent la nature, et dénoncent les auteurs réels de cette oppression : les Forces du Désordre.
Georges Lane décrit la guerre des gangs qui se déroule à cette occasion au sein de la Caste Exploiteuse.

Georges Lane : Les “régimes spéciaux” : la forme et le fond du problème

Liberpédia : Les Forces du désordre, Caste exploiteuse, Partenaires sociaux à part entière

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Lumière 101noNo
Le pseudo-expérimentalisme97071112-le_pseudo-experimentalisme.mp3http://lumiere101.com/2007/11/13/le-pseudo-experimentalisme/http://lumiere101.com/2007/11/13/le-pseudo-experimentalisme/#commentsMon, 12 Nov 2007 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2007/11/13/le-pseudo-experimentalisme/François Guillaumat et Georges Lane expliquent pourquoi le socialisme traite les gens comme des animaux ou comme des objets, incapables de penser : c’est qu’il s’inspire d’une conception de la connaissance qui implique d’étudier toute chose comme si elle en était vraiment incapable. C’est le pseudo-expérimentalisme, qui consiste à vouloir appliquer la méthode expérimentale là où, logiquement, on sait qu’elle ne peut pas s’appliquer.

“La source de l’orgueil scientiste”, chapitre 11 de The Counter-Revolution of Science, traduit par Hervé de Quengo.
Scientisme et sciences sociales (1952) traduction partielle par Raymond Barre de la Counter-Revolution of Science de Friedrich Hayek
L’Action humaine de Ludwig von Mises (3° édition 1966).
“Scientisme et socialisme” par François Guillaumat
“La logique de l’action et la science du Droit” par François Guillaumat

Transcription de cet enregistrement

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François Guillaumat et Georges Lane expliquent pourquoi le socialisme traite les gens comme des animaux ou comme des objets, incapables de penser : c’est qu’il s’inspire d’une conception de la connaissance qui implique d’étudier toute chose comme si elle en était vraiment incapable. C’est le pseudo-expérimentalisme, qui consiste à vouloir appliquer la méthode expérimentale là où, logiquement, on sait qu’elle ne peut pas s’appliquer.

“La source de l’orgueil scientiste”, chapitre 11 de The Counter-Revolution of Science, traduit par Hervé de Quengo.
Scientisme et sciences sociales (1952) traduction partielle par Raymond Barre de la Counter-Revolution of Science de Friedrich Hayek
L’Action humaine de Ludwig von Mises (3° édition 1966).
“Scientisme et socialisme” par François Guillaumat
“La logique de l’action et la science du Droit” par François Guillaumat

Transcription de cet enregistrement

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http://lumiere101.com/2007/11/13/le-pseudo-experimentalisme//feed/53:54François Guillaumat et Georges Lane expliquent pourquoi le socialisme traite les gens comme des animaux ou comme des objets, incapables de penser : c’est qu’il s’inspire d’une conception de la connaissance qui implique d’étudier toute chose comme si elle en était vraiment incapable. C’est le pseudo-expérimentalisme, qui consiste à vouloir appliquer la méthode expérimentale là où, logiquement, on sait qu’elle ne peut pas s’appliquer.

“La source de l’orgueil scientiste”, chapitre 11 de The Counter-Revolution of Science, traduit par Hervé de Quengo.
Scientisme et sciences sociales (1952) traduction partielle par Raymond Barre de la Counter-Revolution of Science de Friedrich Hayek
L’Action humaine de Ludwig von Mises (3° édition 1966).
“Scientisme et socialisme” par François Guillaumat
“La logique de l’action et la science du Droit” par François Guillaumat

Transcription de cet enregistrement

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François Guillaumat et Georges Lane expliquent pourquoi le socialisme traite les gens comme des animaux ou comme des objets, incapables de penser : c’est qu’il s’inspire d’une conception de la connaissance qui implique d’étudier toute chose comme si elle en était vraiment incapable. C’est le pseudo-expérimentalisme, qui consiste à vouloir appliquer la méthode expérimentale là où, logiquement, on sait qu’elle ne peut pas s’appliquer.

“La source de l’orgueil scientiste”, chapitre 11 de The Counter-Revolution of Science, traduit par Hervé de Quengo.
Scientisme et sciences sociales (1952) traduction partielle par Raymond Barre de la Counter-Revolution of Science de Friedrich Hayek
L’Action humaine de Ludwig von Mises (3° édition 1966).
“Scientisme et socialisme” par François Guillaumat
“La logique de l’action et la science du Droit” par François Guillaumat

Transcription de cet enregistrement

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Lumière 101noNo
La “solidarité sociale”96071106-la_solidarite_sociale.mp3http://lumiere101.com/2007/11/06/la-solidarite-sociale/http://lumiere101.com/2007/11/06/la-solidarite-sociale/#commentsTue, 06 Nov 2007 00:00:00 -0700http://lumiere101.com/2007/11/06/la-solidarite-sociale/A partir d’un texte de Vilfredo Pareto en 1898, François Guillaumat et Georges Lane exposent le caractère absurde et mensonger de la notion de “solidarité sociale”. Ils montrent que la prétendue “solidarité” des hommes de l’état n’est que du vol, inspiré par une pensée magique primitive entretenue par l’illusion fiscale; ils démontrent, à partir des exemples de l’assurance et de l’exclusion sociale, que la véritable solidarité passe par la liberté des contrats.

A lire : L’assurance obligatoire et l’économiste libéral

A lire : Vilfredo Pareto : Libre-échangisme, protectionnisme et socialisme. A paraître en 2008 aux Editions du Trident.

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A partir d’un texte de Vilfredo Pareto en 1898, François Guillaumat et Georges Lane exposent le caractère absurde et mensonger de la notion de “solidarité sociale”. Ils montrent que la prétendue “solidarité” des hommes de l’état n’est que du vol, inspiré par une pensée magique primitive entretenue par l’illusion fiscale; ils démontrent, à partir des exemples de l’assurance et de l’exclusion sociale, que la véritable solidarité passe par la liberté des contrats.

A lire : L’assurance obligatoire et l’économiste libéral

A lire : Vilfredo Pareto : Libre-échangisme, protectionnisme et socialisme. A paraître en 2008 aux Editions du Trident.

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http://lumiere101.com/2007/11/06/la-solidarite-sociale//feed/46:20A partir d’un texte de Vilfredo Pareto en 1898, François Guillaumat et Georges Lane exposent le caractère absurde et mensonger de la notion de “solidarité sociale”. Ils montrent que la prétendue “solidarité” des hommes de l’état n’est que du vol, inspiré par une pensée magique primitive entretenue par l’illusion fiscale; ils démontrent, à partir des exemples de l’assurance et de l’exclusion sociale, que la véritable solidarité passe par la liberté des contrats.

A lire : L’assurance obligatoire et l’économiste libéral

A lire : Vilfredo Pareto : Libre-échangisme, protectionnisme et socialisme. A paraître en 2008 aux Editions du Trident.

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A partir d’un texte de Vilfredo Pareto en 1898, François Guillaumat et Georges Lane exposent le caractère absurde et mensonger de la notion de “solidarité sociale”. Ils montrent que la prétendue “solidarité” des hommes de l’état n’est que du vol, inspiré par une pensée magique primitive entretenue par l’illusion fiscale; ils démontrent, à partir des exemples de l’assurance et de l’exclusion sociale, que la véritable solidarité passe par la liberté des contrats.

A lire : L’assurance obligatoire et l’économiste libéral

A lire : Vilfredo Pareto : Libre-échangisme, protectionnisme et socialisme. A paraître en 2008 aux Editions du Trident.

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Lumière 101noNo
Ultralibéralisme ou infradéterminisme95071030-ultraliberalisme_ou_infradeterminisme.mp3http://lumiere101.com/2007/10/30/ultraliberalisme-ou-infradeterminisme/http://lumiere101.com/2007/10/30/ultraliberalisme-ou-infradeterminisme/#commentsTue, 30 Oct 2007 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2007/10/30/ultraliberalisme-ou-infradeterminisme/François Guillaumat et Georges Lane démontrent que les socialistes, en renonçant au déterminisme universel des scientistes du XIX° siècle, reconnaissent implicitement de ce fait que leur prétendue “justice sociale ” ne peut rien signifier.
Sous ses divers avatars “égalité des chances”, “lutte contre les discriminations” ou au contraire “discrimination positive”, il n’en reste que des prétextes dont les puissants se servent pour voler les faibles et pour les opprimer.

Georges Lane, Le seul débat politique : (ultra)libéral ou (infra)déterministe”
François Lurçat, L’autorité de la science, De la science à l’ignorance
Ludwig von Mises, L’action humaine
Friedrich Hayek, Le mirage de la justice sociale (réédité en octobre 2007).

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François Guillaumat et Georges Lane démontrent que les socialistes, en renonçant au déterminisme universel des scientistes du XIX° siècle, reconnaissent implicitement de ce fait que leur prétendue “justice sociale ” ne peut rien signifier.
Sous ses divers avatars “égalité des chances”, “lutte contre les discriminations” ou au contraire “discrimination positive”, il n’en reste que des prétextes dont les puissants se servent pour voler les faibles et pour les opprimer.

Georges Lane, Le seul débat politique : (ultra)libéral ou (infra)déterministe”
François Lurçat, L’autorité de la science, De la science à l’ignorance
Ludwig von Mises, L’action humaine
Friedrich Hayek, Le mirage de la justice sociale (réédité en octobre 2007).

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http://lumiere101.com/2007/10/30/ultraliberalisme-ou-infradeterminisme//feed/46:18François Guillaumat et Georges Lane démontrent que les socialistes, en renonçant au déterminisme universel des scientistes du XIX° siècle, reconnaissent implicitement de ce fait que leur prétendue “justice sociale ” ne peut rien signifier.
Sous ses divers avatars “égalité des chances”, “lutte contre les discriminations” ou au contraire “discrimination positive”, il n’en reste que des prétextes dont les puissants se servent pour voler les faibles et pour les opprimer.

Georges Lane, Le seul débat politique : (ultra)libéral ou (infra)déterministe”
François Lurçat, L’autorité de la science, De la science à l’ignorance
Ludwig von Mises, L’action humaine
Friedrich Hayek, Le mirage de la justice sociale (réédité en octobre 2007).

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François Guillaumat et Georges Lane démontrent que les socialistes, en renonçant au déterminisme universel des scientistes du XIX° siècle, reconnaissent implicitement de ce fait que leur prétendue “justice sociale ” ne peut rien signifier.
Sous ses divers avatars “égalité des chances”, “lutte contre les discriminations” ou au contraire “discrimination positive”, il n’en reste que des prétextes dont les puissants se servent pour voler les faibles et pour les opprimer.

Georges Lane, Le seul débat politique : (ultra)libéral ou (infra)déterministe”
François Lurçat, L’autorité de la science, De la science à l’ignorance
Ludwig von Mises, L’action humaine
Friedrich Hayek, Le mirage de la justice sociale (réédité en octobre 2007).

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Lumière 101noNo
Les “lois de financement” de la Sécurité sociale94071023-les_lois_de_financement_de_la_securite_sociale.mp3http://lumiere101.com/2007/10/23/les-lois-de-financement-de-la-securite-sociale/http://lumiere101.com/2007/10/23/les-lois-de-financement-de-la-securite-sociale/#commentsTue, 23 Oct 2007 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2007/10/23/les-lois-de-financement-de-la-securite-sociale/Depuis 1996, le Parlement vote chaque année  une “loi de financement” de la Sécurité sociale. A partir du 23 octobre 2007, l’Assemblée nationale commence  à débattre de la douzième.
L’entretien porte sur  les principes ou l’absence de principes qui guident le vote de ces lois.

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Depuis 1996, le Parlement vote chaque année  une “loi de financement” de la Sécurité sociale. A partir du 23 octobre 2007, l’Assemblée nationale commence  à débattre de la douzième.
L’entretien porte sur  les principes ou l’absence de principes qui guident le vote de ces lois.

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http://lumiere101.com/2007/10/23/les-lois-de-financement-de-la-securite-sociale//feed/45:44Depuis 1996, le Parlement vote chaque année  une “loi de financement” de la Sécurité sociale. A partir du 23 octobre 2007, l’Assemblée nationale commence  à débattre de la douzième.
L’entretien porte sur  les principes ou l’absence de principes qui guident le vote de ces lois.

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Depuis 1996, le Parlement vote chaque année  une “loi de financement” de la Sécurité sociale. A partir du 23 octobre 2007, l’Assemblée nationale commence  à débattre de la douzième.
L’entretien porte sur  les principes ou l’absence de principes qui guident le vote de ces lois.

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Lumière 101noNo
1987-2007 : 20 ans de crises financières ?93071016-1987-2007_20_ans_de_crises_financieres.mp3http://lumiere101.com/2007/10/16/1987-2007-20-ans-de-crises-financieres/http://lumiere101.com/2007/10/16/1987-2007-20-ans-de-crises-financieres/#commentsTue, 16 Oct 2007 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2007/10/16/1987-2007-20-ans-de-crises-financieres/L’entretien vise à répondre à la question : est-ce que la sagesse des épargnants-investisseurs rattrapera un jour l’innovation financière ?

Les hommes de l’état finiront-ils par imposer leur n’importe quoi faute de comprendre les conséquences de leur irresponsabilité institutionnelle ?

Le monde entre crise et Krach : crise des choix irresponsables. Le Spectacle du Monde, n° 440, novembre 1998 pp. 34-39

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L’entretien vise à répondre à la question : est-ce que la sagesse des épargnants-investisseurs rattrapera un jour l’innovation financière ?

Les hommes de l’état finiront-ils par imposer leur n’importe quoi faute de comprendre les conséquences de leur irresponsabilité institutionnelle ?

Le monde entre crise et Krach : crise des choix irresponsables. Le Spectacle du Monde, n° 440, novembre 1998 pp. 34-39

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http://lumiere101.com/2007/10/16/1987-2007-20-ans-de-crises-financieres//feed/01:00:25L’entretien vise à répondre à la question : est-ce que la sagesse des épargnants-investisseurs rattrapera un jour l’innovation financière ?

Les hommes de l’état finiront-ils par imposer leur n’importe quoi faute de comprendre les conséquences de leur irresponsabilité institutionnelle ?

Le monde entre crise et Krach : crise des choix irresponsables. Le Spectacle du Monde, n° 440, novembre 1998 pp. 34-39

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L’entretien vise à répondre à la question : est-ce que la sagesse des épargnants-investisseurs rattrapera un jour l’innovation financière ?

Les hommes de l’état finiront-ils par imposer leur n’importe quoi faute de comprendre les conséquences de leur irresponsabilité institutionnelle ?

Le monde entre crise et Krach : crise des choix irresponsables. Le Spectacle du Monde, n° 440, novembre 1998 pp. 34-39

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Lumière 101noNo
L’illusion fiscale92071009-l_illusion_fiscale.mp3http://lumiere101.com/2007/10/09/lillusion-fiscale/http://lumiere101.com/2007/10/09/lillusion-fiscale/#commentsTue, 09 Oct 2007 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2007/10/09/lillusion-fiscale/Georges Lane reçoit François Guillaumat à propos de l’illusion fiscale qu’il définit de la manière suivante :
“L’illusion fiscale est l’écart insoupçonné entre les effets réels des politiques et des institutions (tels qu’une réflexion systématique permet de les connaître) et l’idée que s’en fait l’opinion. Elle est le produit à la fois intellectuel et pratique de l’étatisme. Le ressort secret de l’illusion fiscale systématique est que l’étatisme, en faussant la prise de décisions, fausse en même temps l’intérêt que les gens ont à s’informer.”
Après avoir développé le propos précédent, l’émission donne maints exemples d’illusion fiscale.

Le libre entretien sur la Loi Bitur Camember

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Georges Lane reçoit François Guillaumat à propos de l’illusion fiscale qu’il définit de la manière suivante :
“L’illusion fiscale est l’écart insoupçonné entre les effets réels des politiques et des institutions (tels qu’une réflexion systématique permet de les connaître) et l’idée que s’en fait l’opinion. Elle est le produit à la fois intellectuel et pratique de l’étatisme. Le ressort secret de l’illusion fiscale systématique est que l’étatisme, en faussant la prise de décisions, fausse en même temps l’intérêt que les gens ont à s’informer.”
Après avoir développé le propos précédent, l’émission donne maints exemples d’illusion fiscale.

Le libre entretien sur la Loi Bitur Camember

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http://lumiere101.com/2007/10/09/lillusion-fiscale//feed/54:37Georges Lane reçoit François Guillaumat à propos de l’illusion fiscale qu’il définit de la manière suivante :
“L’illusion fiscale est l’écart insoupçonné entre les effets réels des politiques et des institutions (tels qu’une réflexion systématique permet de les connaître) et l’idée que s’en fait l’opinion. Elle est le produit à la fois intellectuel et pratique de l’étatisme. Le ressort secret de l’illusion fiscale systématique est que l’étatisme, en faussant la prise de décisions, fausse en même temps l’intérêt que les gens ont à s’informer.”
Après avoir développé le propos précédent, l’émission donne maints exemples d’illusion fiscale.

Le libre entretien sur la Loi Bitur Camember

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Georges Lane reçoit François Guillaumat à propos de l’illusion fiscale qu’il définit de la manière suivante :
“L’illusion fiscale est l’écart insoupçonné entre les effets réels des politiques et des institutions (tels qu’une réflexion systématique permet de les connaître) et l’idée que s’en fait l’opinion. Elle est le produit à la fois intellectuel et pratique de l’étatisme. Le ressort secret de l’illusion fiscale systématique est que l’étatisme, en faussant la prise de décisions, fausse en même temps l’intérêt que les gens ont à s’informer.”
Après avoir développé le propos précédent, l’émission donne maints exemples d’illusion fiscale.

Le libre entretien sur la Loi Bitur Camember

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Lumière 101noNo
La Loi de Bitur Camember91071001-la_loi_de_bitur-camember.mp3http://lumiere101.com/2007/10/01/la-loi-de-bitur-camembert/http://lumiere101.com/2007/10/01/la-loi-de-bitur-camembert/#commentsMon, 01 Oct 2007 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2007/10/01/la-loi-de-bitur-camembert/Georges Lane s’entretient avec François Guillaumat à propos de la “Loi de Bitur Camember”, loi économique qui veut que la redistribution politique détruit en tendance une richesse équivalente à celle qu’elle vole.

Article sur la Loi Bitur-Camenber

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Georges Lane s’entretient avec François Guillaumat à propos de la “Loi de Bitur Camember”, loi économique qui veut que la redistribution politique détruit en tendance une richesse équivalente à celle qu’elle vole.

Article sur la Loi Bitur-Camenber

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http://lumiere101.com/2007/10/01/la-loi-de-bitur-camembert//feed/55:19Georges Lane s’entretient avec François Guillaumat à propos de la “Loi de Bitur Camember”, loi économique qui veut que la redistribution politique détruit en tendance une richesse équivalente à celle qu’elle vole.

Article sur la Loi Bitur-Camenber

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Georges Lane s’entretient avec François Guillaumat à propos de la “Loi de Bitur Camember”, loi économique qui veut que la redistribution politique détruit en tendance une richesse équivalente à celle qu’elle vole.

Article sur la Loi Bitur-Camenber

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Lumière 101noNo
Le mirage antitrust de la justice européenne90070925-le_mirage_antitrust_de_la_justice_europeenne.mp3http://lumiere101.com/2007/09/25/le-mirage-antitrust-de-la-justice-europeenne/http://lumiere101.com/2007/09/25/le-mirage-antitrust-de-la-justice-europeenne/#commentsTue, 25 Sep 2007 00:00:00 -0600http://lumiere101.com/2007/09/25/le-mirage-antitrust-de-la-justice-europeenne/Georges Lane reçoit François Guillaumat, Docteur ès-sciences économiques (1) pour évoquer l’arrêt anti-Microsoft du 17 septembre et les absurdités du prétendu droit de la concurrence.

(1) Auteur d’une thèse “L’étude des structures industrielles peut-elle être scientifique ?” (Paris-Dauphine 2001)

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Georges Lane reçoit François Guillaumat, Docteur ès-sciences économiques (1) pour évoquer l’arrêt anti-Microsoft du 17 septembre et les absurdités du prétendu droit de la concurrence.

(1) Auteur d’une thèse “L’étude des structures industrielles peut-elle être scientifique ?” (Paris-Dauphine 2001)

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http://lumiere101.com/2007/09/25/le-mirage-antitrust-de-la-justice-europeenne//feed/57:25Georges Lane reçoit François Guillaumat, Docteur ès-sciences économiques (1) pour évoquer l’arrêt anti-Microsoft du 17 septembre et les absurdités du prétendu droit de la concurrence.

(1) Auteur d’une thèse “L’étude des structures industrielles peut-elle être scientifique ?” (Paris-Dauphine 2001)

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Georges Lane reçoit François Guillaumat, Docteur ès-sciences économiques (1) pour évoquer l’arrêt anti-Microsoft du 17 septembre et les absurdités du prétendu droit de la concurrence.

(1) Auteur d’une thèse “L’étude des structures industrielles peut-elle être scientifique ?” (Paris-Dauphine 2001)

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